Votre entreprise et la crise

Eh non pas le choix, les prix augmente de tous les cotés j'en avertit deja la clientele depuis novembre, elles nont pas lair de me prendre au serieux mdrrrrrrrrrrr
javoue avoir peur car janvier je domicialise ailleurs avec un loyer plus cher!
je suis sur de mon boulot et e la qualité mais je suis tres douteuse, c me ressemble pas
grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr


il faut vraiment que tu sois à l'aise dans tes baskettes, toutes les boites augmentent leur prix ....y compris tes clients !
tu n'as qu'à leur dire dans ton argumnetaire "mais j'ai vu que vous aussi vous avez augmenté vos prix"

aprés bien sur il faut rester raisonnable et s'assurer que le service rendu est à la hauteur. Les clients sont prets à entendre tes arguments du moment où ils sont objectifs : augmentation des salaires, des matières premieres, des loyers etc.....

Moi j'ai perdu mes chèques cadeaux!!!!

Avant je m'en foutais de la crise

c'est *** ça !!!
moi j'ai perdu mon carnet de chéque resto pour le mois de decembre j'ai cherché sous mes dossiers rien :(


Juste
 
Salam à tous,


Pour beaucoup la fin de l’année est synonyme de Budgets pour 2009 (un vrai casse tête épuisant  où il faut presque pleurer)

Beaucoup d’entreprises surtout les PME s’attendent à une année 2009 difficile et anticipent un certain ralentissement de l’économie et prennent des décisions dés maintenant.

Quelles sont les mesures que vos entreprises ont déjà prises pour s’adapter à la crise ?
Est-ce que vous ressentez déjà les premièrs signes dans vos boites soit en interne soit chez vos clients qui comment à renégocier leurs contrats ?

A vos claviers


Juste

La crise ne touche(ra) pas tous les secteurs, et pour preuve, l'investissement publicitaire sur le net, n'a globalement pas diminué depuis le début de la crise.

Cette crise est une crise financière, et ne devrait pas atteindre la valeur réelle des choses réelles : connaissance, information, savoir-faire, resource naturelle, compétence sociale, energie renouvelable, etc.

L'argent, ou plutôt ceux/celles qui possèdent l'argent, ne font que contrôler l'économie, mais ne produisent pas la valeur de ce que véhicule l'économie.

Se laisser aller au fatalisme, serait un acte de soumission, une manière de reconnaitre une valeur non appropriée à un système qui n'a pas pour but de créer de la valeur, mais de seulement en contrôler les mouvements.

Bref, ce serait une erreur du même type que de se taire et ne plus s'exprimer au pretexte par exemple d'une censure des médias ou de l'éducation (certains thèmes ne sont jamais abordés par l'éducation, ce qui est une forme de censure).

C'est ce que j'entend par « soumission ». Cette crise n'est que le crise d'un système : un système qui ne nous a jamais rien donné, qui n'a jamais créé de valeur, et qui n'a toujours fait au contraire que les siphonner pour son propre compte.

Pourquoi s'inquièter de l'effondrement de ce qui n'a toujours été que nuisible et n'a jamais rien apporté ? N'est-ce pas paradoxal ? N'est-ce pas un acte de soumission incompréhensible ?

Il faut rester conscience de ses propres valeurs, les préserver, ne pas les perdre, et souhaiter au contraire que cet éffondrement aboutisse.

Car la plus grande menace serait plutôt justement que cette effondrement n'aboutisse pas. Et cette menace est bien réel, puisque tout est fait pour maintenir ces organisme en état de vie artificielle. L'argent est là pour sauver les banque, mais pas pour loger les sans-abris.

Ne priez pas pour la fin de la crise, mais priez pour qu'elle aboutisse, et ne vous soumettez pas.

Ne nous laissons pas déposseder.
 
La crise ne touche(ra) pas tous les secteurs, et pour preuve, l'investissement publicitaire sur le net, n'a globalement pas diminué depuis le début de la crise.
Cette crise est une crise financière, et ne devrait pas atteindre la valeur réelle des choses réelles : connaissance, information, savoir-faire, resource naturelle, compétence sociale, energie renouvelable, etc.
L'argent, ou plutôt ceux/celles qui possèdent l'argent, ne font que contrôler l'économie, mais ne produisent pas la valeur de ce que véhicule l'économie.
Se laisser aller au fatalisme, serait un acte de soumission, une manière de reconnaitre une valeur non appropriée à un système qui n'a pas pour but de créer de la valeur, mais de seulement en contrôler les mouvements.
Bref, ce serait une erreur du même type que de se taire et ne plus s'exprimer au pretexte par exemple d'une censure des médias ou de l'éducation (certains thèmes ne sont jamais abordés par l'éducation, ce qui est une forme de censure).
C'est ce que j'entend par « soumission ». Cette crise n'est que le crise d'un système : un système qui ne nous a jamais rien donné, qui n'a jamais créé de valeur, et qui n'a toujours fait au contraire que les siphonner pour son propre compte.
Pourquoi s'inquièter de l'effondrement de ce qui n'a toujours été que nuisible et n'a jamais rien apporté ? N'est-ce pas paradoxal ? N'est-ce pas un acte de soumission incompréhensible ?
Il faut rester conscience de ses propres valeurs, les préserver, ne pas les perdre, et souhaiter au contraire que cet éffondrement aboutisse.
Car la plus grande menace serait plutôt justement que cette effondrement n'aboutisse pas. Et cette menace est bien réel, puisque tout est fait pour maintenir ces organisme en état de vie artificielle. L'argent est là pour sauver les banque, mais pas pour loger les sans-abris.
Ne priez pas pour la fin de la crise, mais priez pour qu'elle aboutisse, et ne vous soumettez pas.

Ce n'est plus seulement une crise financière !! Elle s'est transformée dans l'économie "réelle" !!

Les carnets de commande baissent, les budgets sont serrés, les plans de réduction des coûts fleurissent,..............................

Chez moi on a bloqué tout recrutement externe, on a coupé les budgets et pour nos bonus, intéressement,..........on peut se brosser !!!
 
La crise ne touche(ra) pas tous les secteurs, et pour preuve, l'investissement publicitaire sur le net, n'a globalement pas diminué depuis le début de la crise.

Cette crise est une crise financière, et ne devrait pas atteindre la valeur réelle des choses réelles : connaissance, information, savoir-faire, resource naturelle, compétence sociale, energie renouvelable, etc.

L'argent, ou plutôt ceux/celles qui possèdent l'argent, ne font que contrôler l'économie, mais ne produisent pas la valeur de ce que véhicule l'économie.

Se laisser aller au fatalisme, serait un acte de soumission, une manière de reconnaitre une valeur non appropriée à un système qui n'a pas pour but de créer de la valeur, mais de seulement en contrôler les mouvements.

Bref, ce serait une erreur du même type que de se taire et ne plus s'exprimer au pretexte par exemple d'une censure des médias ou de l'éducation (certains thèmes ne sont jamais abordés par l'éducation, ce qui est une forme de censure).

C'est ce que j'entend par « soumission ». Cette crise n'est que le crise d'un système : un système qui ne nous a jamais rien donné, qui n'a jamais créé de valeur, et qui n'a toujours fait au contraire que les siphonner pour son propre compte.

Pourquoi s'inquièter de l'effondrement de ce qui n'a toujours été que nuisible et n'a jamais rien apporté ? N'est-ce pas paradoxal ? N'est-ce pas un acte de soumission incompréhensible ?

Il faut rester conscience de ses propres valeurs, les préserver, ne pas les perdre, et souhaiter au contraire que cet éffondrement aboutisse.

Car la plus grande menace serait plutôt justement que cette effondrement n'aboutisse pas. Et cette menace est bien réel, puisque tout est fait pour maintenir ces organisme en état de vie artificielle. L'argent est là pour sauver les banque, mais pas pour loger les sans-abris.

Ne priez pas pour la fin de la crise, mais priez pour qu'elle aboutisse, et ne vous soumettez pas.

Ne nous laissons pas déposseder.


je comprends ce que tu veux dire et je suis assez d'accord sur le fait que cette crise bien particulière peut être finalement salutaire ceci dit en restant objectif on ne peut objectivement pas nier l'interconnexion des choses !

Les banques à la base de la crise ne pretent plus, les entreprises de leur coté continuent à avoir besoin de liquidités et se voient obligé de prendre des mesures (réduire les délais de payement, freiner les investissements etc...)

sans oublier que la crise de ses propres clients a forcément des repercutions sur l'entreprise elle même.

Mes principaux clients ferment leur usines à l'heure qu'il est, donc pensant la fermeture je ne peux pas generer du CA et c'est autant de manque à gagner ! tout est lié même si certains profitent d'un pseudo crise pour faire le sale boulot tout en réalisant de jolie profits!

Il est difficilement envisageable qu'il y ait des secteur qui restent completement indifferent à ce qui se passe.

La pub sur le net ne fait que beneficier d'un transfert ves ce canal des investissements qui étaient plus orientés vers la télé et la radio.

Juste
 
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