Salam à tous,
Pour beaucoup la fin de l’année est synonyme de Budgets pour 2009 (un vrai casse tête épuisant  où il faut presque pleurer)
Beaucoup d’entreprises surtout les PME s’attendent à une année 2009 difficile et anticipent un certain ralentissement de l’économie et prennent des décisions dés maintenant.
Quelles sont les mesures que vos entreprises ont déjà prises pour s’adapter à la crise ?
Est-ce que vous ressentez déjà les premièrs signes dans vos boites soit en interne soit chez vos clients qui comment à renégocier leurs contrats ?
A vos claviers
Juste
La crise ne touche(ra) pas tous les secteurs, et pour preuve, l'investissement publicitaire sur le net, n'a globalement pas diminué depuis le début de la crise.
Cette crise est une crise financière, et ne devrait pas atteindre la valeur réelle des choses réelles : connaissance, information, savoir-faire, resource naturelle, compétence sociale, energie renouvelable, etc.
L'argent, ou plutôt ceux/celles qui possèdent l'argent, ne font que contrôler l'économie, mais ne produisent pas la valeur de ce que véhicule l'économie.
Se laisser aller au fatalisme, serait un acte de soumission, une manière de reconnaitre une valeur non appropriée à un système qui n'a pas pour but de créer de la valeur, mais de seulement en contrôler les mouvements.
Bref, ce serait une erreur du même type que de se taire et ne plus s'exprimer au pretexte par exemple d'une censure des médias ou de l'éducation (certains thèmes ne sont jamais abordés par l'éducation, ce qui est une forme de censure).
C'est ce que j'entend par « soumission ». Cette crise n'est que le crise d'un système : un système qui ne nous a jamais rien donné, qui n'a jamais créé de valeur, et qui n'a toujours fait au contraire que les siphonner pour son propre compte.
Pourquoi s'inquièter de l'effondrement de ce qui n'a toujours été que nuisible et n'a jamais rien apporté ? N'est-ce pas paradoxal ? N'est-ce pas un acte de soumission incompréhensible ?
Il faut rester conscience de ses propres valeurs, les préserver, ne pas les perdre, et souhaiter au contraire que cet éffondrement aboutisse.
Car la plus grande menace serait plutôt justement que cette effondrement n'aboutisse pas. Et cette menace est bien réel, puisque tout est fait pour maintenir ces organisme en état de vie artificielle. L'argent est là pour sauver les banque, mais pas pour loger les sans-abris.
Ne priez pas pour la fin de la crise, mais priez pour qu'elle aboutisse, et ne vous soumettez pas.
Ne nous laissons pas déposseder.