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An hini a garan, gwechall bihan er gêr
Pa oamp tostig an eil, an eil ouzh egile
Va c'halon ne gare, gare nemet unan
Pa oan bihan er gêr an hini a garan

An hini a garan, 'm eus kollet da viken
'Mañ degouezhet pell ha ne zistroio ken
Ha setu ma kanan, kanan keti ketañ
Ha setu ma kanan d'an hini a garan

An hini a garan, un deiz 'n eus va losket
Aet eo d'ar broioù pell, d'ur vro n'an'vezan ket
Aet eo d'ar broioù pell da c'hounit e vara
Kollet, kollet un deiz, an hini a garan



Celui que j'aime, autrefois, petits à la maison,
quand nous étions tout près l'un de l'autre,
mon cœur n'en aimait qu'un ;
quand j'étais petite à la maison, celui que j'aime

Celui que j'aime, je l'ai perdu à jamais ;
il est parti au loin et ne reviendra pas ;
et voici que je chante à celui que j'aime

Celui que j'aime, un jour il m'a laissée ;
parti vers les pays lointains, des pays que je ne connais pas,
parti vers les pays lointains , pour gagner son pain.
Perdu, perdu un jour, celui que j'aime
 
" ......Ils nous rendent la vie dure intentionnellement....On a des vies entre nos mains...et puis vient le moment ou c'est bien plus qu'un jeu.....Et là ou on fait un pas en avant ou on tourne le dos et on s'en va....."

 
Un mec bien

Le textes il est parfait c'est d'ailleurs un de ces classiques que je préfère, mais le refain ... :claque: non là c'est abusé! :D
 
Dernière édition:
I am what I am
And what I am needs no excuses
I deal my own deck
Sometimes the aces sometimes the deuces
It's one life and there's no return and no deposit
One life so it's time to open up your closet
Life's not worth a dam till you can shout out
I am what I am

:love::love:
 

Une folle comme moi celle là :D

La pêche et n'avale pas le noyau khady....je m'aime :love:
 
La légende dit au milieu du XVIe siècle, les habitants de Mexico prenaient l'habitude de se réfugier dans leurs foyers à l'heure du couvre-feu. Les survivants de l'ancienne Tenochtitlán en particulier fermaient portes et fenêtres, et toutes les nuits certains se réveillaient au son des pleurs d'une femme qui déambulait dans les rues.

La version originale de la légende est d'origine mexica. Cette mystérieuse femme serait la déesse Cihuacóatl, vêtue comme une dame de cour précolombienne, qui criait lors de la Conquête du Mexique : "Oh, mes enfants ! Où pourrais-je vous emporter pour ne pas tous vous perdre ?" en annonce de terribles événements.

Une version indique que la Llorona est l'âme de La Malinche, punie pour avoir trahi les Mexicains durant la Conquête.

Une autre version relate la tragédie d'une femme riche et cupide, qui perdit ses richesses à son veuvage. Ne supportant pas la misère, elle noya ses enfants et mourut, mais revint de l'au-delà pour payer ses crimes.

Une autre version encore raconte que c'était une jeune fille amoureuse morte la veille de ses noces, et qui apportait à son fiancé la couronne de roses qu'elle n'avait pas pu porter.

Pour d'autres, il s'agissait d'une épouse morte en absence de son mari, revenant pour lui donner un baiser d'adieu.

Une dernière version assure que cette femme fut assassinée par son mari jaloux et réapparaissait pour déplorer sa mort et protester de son innocence.


 
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