[votre humeur en chanson]

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion marouaneka
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La discussion n'est pas ouverte à d'autres réponses
En mode zen total .... on a besoin de toutes les petites choses pour faire un monde ... des grosses aussi



Sometime coffe
Sometime Tea
What's good for you
May be bad for me

Every little things we need to make a world
Every little things we need to make a world

We need the fat girls
And the slim girls
We need the diamonds
And perles

Every little things we need to make a world
Every little things we need to make a world

Juste be yourself
We no want no one else
The world is waiting for you
So you gotta pass through
gotta pass through
gotta pass through

Every little things we need to make a world
Every little things we need to make a world

We need the fat, the tall
The short and the slim girls
We need the yellow, black
The white and di brown girls

(Watch ya man)

Smoke a little herb
Fi go cool off you nerves
Smoke a little herb
Fi go cool off you nerves

Sometime what you get
Is not what you deserve
Leave and you will learn
And mi say learn and you will earn
 

paris \ 'pa-res\ n 1 : a sentimental yearning for a reality that isn't genuine 2 : an irrecoverable condition for fantasy that evokes nostalgia or day dreams
 


Tellement d'parents se bornent à faire que leurs enfants soient leurs clones
Héritiers des souffrances de leur père, mais rarement de leur trône
De mère en fille, on se passe le relais, on se partage les secrets
Une génération disparaît, c'est dans celle d'après qu'elle relaie
Et les faubourgs du pont d'l'Alma au cœur de l'Alabama
Des rues d'Shanghai à Casa', d'Épinal à Brazza'
Les mères lèguent à leurs filles les recettes de tout c'qu'elles nourrissent dans leur tête
Quand leur mal-être se reflète, leur histoire se répète
Les p'tites filles jouent les grandes avec les chaussures de leur mère
Les p'tits garçons copient leur père en imitant leur airs
Ils feront, juste après l'enfance, leur crise d'adolescence
Pour revenir sur la piste dans le même sens que leur triste arborescence
Reprendront l'affaire d'famille, les guerres de famille
Les patrons d'la famille, les victimes, les amis, les ennemis d'la famille
Puis feront leur propre famille, père et mère sur les mêmes ossatures
De marmots qu'imiteront leurs airs et leur prendront leurs chaussures

Les mêmes médias squattent l'époque avec l'envie de vendre la même haine
Et les mêmes zombies mangent la même chair, s'abonnent aux mêmes chaînes
Les politiques transmettent les mêmes merdes, stéréotypent les mêmes thèmes
Jusqu'à c'que d'autres deviennent victimes et subissent les mêmes scènes
La vie n'est pas une page blanche que tu remplis, elle est papier calque
Copie conforme des mêmes étapes, des mêmes erreurs, des mêmes spectacles
Mêmes aigreurs, mêmes démarches, mêmes peurs, on passe des heures
À changer l'monde, mais reviennent les mêmes démons, les mêmes désastres
Les rebelles deviendront l'ennemi dès qu'ils occuperont tout l'boulevard
Tu lutteras comme eux pour être libre jusqu'à c'qu'on t'propose tout l'pouvoir
Conclusion : ce système est vieux malgré les révolutions
Hun, comment sortir de la spirale sans sa déconstruction ?
Dur de faire tomber les murs d'la vieille culture tant qu'on a la même base
Ceux qui veulent créer la rupture n'imaginent pas l'futur sans leur blase
Les politiques et journalistes du futur et du passé
Sont coincés dans la vieille matrice, dépassés et ressassés
Le compte courant me défoule (défoule), j'me protège de la foule (la foule)
Quand l'histoire se répète, j'étouffe sous l'récit qu'en découle (découle)
L'histoire se répète, sa spirale rend soûl, rend fou
Le pouvoir a pris l'pouvoir, remake de temps d'jours d'en-dessous


Génération future d'un passé recousu aux points d'suture
Dont les plaies suppurent et rendent le présent bien plus dur
Aucune censure ne peut, sur un souvenir, en cacher leurs blessures
Aucune com' ne gomme la ligne de cassure, aucune cure ne peut ressouder la fracture
Facture et contentieux se payent selon là d'où tu germes
Fils de riche : t'auras l'non-lieu ; fils d'ouvrier : prends du ferme
Fils d'employé, fils de patron, les amis aussi s'recrutent
Quand fils de *** fait la une, c'est produit par fils de ****
À contre courant d'la spirale, je me cherche une raison qui vaille
De péter l'engrenage qui cale mais gêne à la peine maximale
Je rends hommage à ceux qu'ont pu changer la donne ou l'inverser
Sur l'héritage qu'ils ont reçu et sur celui qu'ils vont laisser
 


Tellement d'parents se bornent à faire que leurs enfants soient leurs clones
Héritiers des souffrances de leur père, mais rarement de leur trône
De mère en fille, on se passe le relais, on se partage les secrets
Une génération disparaît, c'est dans celle d'après qu'elle relaie
Et les faubourgs du pont d'l'Alma au cœur de l'Alabama
Des rues d'Shanghai à Casa', d'Épinal à Brazza'
Les mères lèguent à leurs filles les recettes de tout c'qu'elles nourrissent dans leur tête
Quand leur mal-être se reflète, leur histoire se répète
Les p'tites filles jouent les grandes avec les chaussures de leur mère
Les p'tits garçons copient leur père en imitant leur airs
Ils feront, juste après l'enfance, leur crise d'adolescence
Pour revenir sur la piste dans le même sens que leur triste arborescence
Reprendront l'affaire d'famille, les guerres de famille
Les patrons d'la famille, les victimes, les amis, les ennemis d'la famille
Puis feront leur propre famille, père et mère sur les mêmes ossatures
De marmots qu'imiteront leurs airs et leur prendront leurs chaussures

Les mêmes médias squattent l'époque avec l'envie de vendre la même haine
Et les mêmes zombies mangent la même chair, s'abonnent aux mêmes chaînes
Les politiques transmettent les mêmes merdes, stéréotypent les mêmes thèmes
Jusqu'à c'que d'autres deviennent victimes et subissent les mêmes scènes
La vie n'est pas une page blanche que tu remplis, elle est papier calque
Copie conforme des mêmes étapes, des mêmes erreurs, des mêmes spectacles
Mêmes aigreurs, mêmes démarches, mêmes peurs, on passe des heures
À changer l'monde, mais reviennent les mêmes démons, les mêmes désastres
Les rebelles deviendront l'ennemi dès qu'ils occuperont tout l'boulevard
Tu lutteras comme eux pour être libre jusqu'à c'qu'on t'propose tout l'pouvoir
Conclusion : ce système est vieux malgré les révolutions
Hun, comment sortir de la spirale sans sa déconstruction ?
Dur de faire tomber les murs d'la vieille culture tant qu'on a la même base
Ceux qui veulent créer la rupture n'imaginent pas l'futur sans leur blase
Les politiques et journalistes du futur et du passé
Sont coincés dans la vieille matrice, dépassés et ressassés
Le compte courant me défoule (défoule), j'me protège de la foule (la foule)
Quand l'histoire se répète, j'étouffe sous l'récit qu'en découle (découle)
L'histoire se répète, sa spirale rend soûl, rend fou
Le pouvoir a pris l'pouvoir, remake de temps d'jours d'en-dessous


Génération future d'un passé recousu aux points d'suture
Dont les plaies suppurent et rendent le présent bien plus dur
Aucune censure ne peut, sur un souvenir, en cacher leurs blessures
Aucune com' ne gomme la ligne de cassure, aucune cure ne peut ressouder la fracture
Facture et contentieux se payent selon là d'où tu germes
Fils de riche : t'auras l'non-lieu ; fils d'ouvrier : prends du ferme
Fils d'employé, fils de patron, les amis aussi s'recrutent
Quand fils de *** fait la une, c'est produit par fils de ****
À contre courant d'la spirale, je me cherche une raison qui vaille
De péter l'engrenage qui cale mais gêne à la peine maximale
Je rends hommage à ceux qu'ont pu changer la donne ou l'inverser
Sur l'héritage qu'ils ont reçu et sur celui qu'ils vont laisser
On veut juste qu'ils prennent le meilleur de nous.. Le reste, ils le construiront tout seuls .
 
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