oui biensur j'attend des textes et de la substance ., quand je dis que quelque chose et bidon , j'essaie au moins d'en amener la preuve ou tout au moins si c'est subjectif des arguments d'experts en la matiere .
tu m'as dit , ils sont décrier dans leur mlillieu , j'attend toujours des critiques venants d'expert a leur encontre , pour l'instant je n'ai eu qu'un lien d'un pseudo sur un forum qui se disait egyptologue .....
lol marant que tu me parles de ça , c'est justement mon metier ...; et oui avec un moule defectueux et un peu de jugeotte on sait tirer de belles pieces .
Reprends le lien tout doucement et fais tes propres recherches si tu n'es pas convaincu pose la question à l'auteur de cette réponse est ce si compliqué que cela ? Tu as la flemme ? ça demande un effort mais cela vaut la peine .
Lequel Rashi est l'auteur du plus célèbre commentaire sur la Bible et DU commentaire sur le Talmud de Babylone, sans lequel il serait resté longtemps un livre fermé. Quant à l'article du Figaro, il suffit de bien payer pour avoir un article afin de faire vendre le livre incriminé. Article écrit, bien entendu, par un non spécialiste.
Spécialiste du texte biblique - à un niveau universitaire et scientifique - j'ai acheté ce livre et je l'ai lu. Première impression: les connaissances des frères Sabbah en matière de langues sémitiques, en général, et d'hébreu et d'araméen, en particulier, sont bien maigres.Parler de Bible araméenne - quand il s'agit du Targoum Onqélos - plus ancienne que le texte hébreu est une contre-vérité scientifique, sinon un mensonge (et qui n'est pas pieux, celui-là). On estime que sa rédaction est antérieure à la seconde révolte (132-135). On pense qu'il a atteint sa forme consonantique définitive avant la première moitié du IIIème siècle (cf.
Madeleine TARADACH , Le Midrash, Labor et Fides, Genève, 1991, p. 67). Par ailleurs, il existe d'autres traductions/interprétations araméennes du texte biblique: Targoum du Pseudo-Jonathan (Yerouchalmi I), Targoum
Neophyti, Targoum Yerouchalmi II
Quant à la lecture des 2 yods dans ledit Targoum (et ailleurs), ils inventent carrément, palliant ainsi leur ignorance en matière d'hébreu et de connaissances liturgiques. En effet, ces 2 yods, le premier vocalisé avec un Shewa, et le deuxième avec un Qamats, ne sont qu'une représentation symbolique (en même temps qu'un aide-mémoire) du Nom - YHWH - et de sa lecture traditionnelle - Adonaï (= Seigneur); c'est un Qeri permanent de l'Ecriture (Ketiv: ce qui est écrit; Qeri: ce qui doit être lu).