Les chercheurs en sciences économiques et politiques étudient depuis des décennies le lien potentiel entre la croissance économique dun pays et de nombreux facteurs comme les institutions politiques, le QI de ses habitants, léducation ou encore la santé.
Mais pour Tatu Westling, doctorant du département détudes économiques et politiques de luniversité dHelsinki en Finlande, la littérature scientifique avait jusquici injustement laissé de côté un facteur biologique important: la taille moyenne du pénis. Westling a donc décidé de tester lhypothèse selon laquelle la taille moyenne du pénis (PDF) en érection dun pays est liée à son niveau de PIB, en se concentrant sue la période 1960-1985.
Westling a trouvé une corrélation «en forme de U inversé» entre les deux indicateurs: la taille de pénis qui maximise le PIB se situe à 13,5 centimètres, tandis que létude identifie une nette chute dans le développement économique des pays quand la taille moyenne dépasse les 16 centimètres. Les pays avec une taille moyenne inférieure à 12 centimètres sont également moins développés économiquement.
Autre résultat surprenant: «lorgane masculin est associé de manière plus marquée à la croissance du PIB que le type de régime politique dun pays».
«Bien que les trouvailles restent indicatives à ce stade, l«hypothèse de lorgane masculin» explorée ici résiste à une panoplie de contrôles exhaustifs et sappuie sur des corrélations étonnement fortes» écrit Tatu Westling.
Comme le faisait remarquer Stephen Dubner sur le site Freakonomics, obtenir des données fiables sur la taille du pénis est difficile. Westling a utilisé les données du site à lorigine de la fameuse carte mondiale de la taille du pénis qui avait beaucoup fait parler delle en mars dernier. Des données qui se basent aussi bien sur des chiffres des autorités sanitaires fiables que détudes auto-déclaratives (questionnaires), et donc beaucoup moins précises.
Comme le notait Pierre Barthélémy sur le blog scientifique de Slate Globule et Téléscope, «la différence entre les deux catégories saute aux yeux: aucun chiffre auto-déclaré ne descend sous les 13,5 cm et rares sont les nations qui reconnaissent delles-mêmes des zizis de moins de 15 cm ».
Létude de Westling est-elle à prendre au sérieux? Thomas Mucha du site Global Post a posé la question à lauteur, qui répond:
«Cela avait commencé comme un essai à moitié sérieux, mais je ne mattendais pas à trouver des corrélations aussi fortes. [ ] Je vais peut être la soumettre [létude] à une revue économique. Mais le sérieux ne signifie pas que je crois en un lien de cause à effet pour le moment.»
L'étude du doctorant finlandais détaillant de manière précise la méthodologie et la source des données, chacun peut aller se faire son idée.
Source
Mais pour Tatu Westling, doctorant du département détudes économiques et politiques de luniversité dHelsinki en Finlande, la littérature scientifique avait jusquici injustement laissé de côté un facteur biologique important: la taille moyenne du pénis. Westling a donc décidé de tester lhypothèse selon laquelle la taille moyenne du pénis (PDF) en érection dun pays est liée à son niveau de PIB, en se concentrant sue la période 1960-1985.
Westling a trouvé une corrélation «en forme de U inversé» entre les deux indicateurs: la taille de pénis qui maximise le PIB se situe à 13,5 centimètres, tandis que létude identifie une nette chute dans le développement économique des pays quand la taille moyenne dépasse les 16 centimètres. Les pays avec une taille moyenne inférieure à 12 centimètres sont également moins développés économiquement.
Autre résultat surprenant: «lorgane masculin est associé de manière plus marquée à la croissance du PIB que le type de régime politique dun pays».
«Bien que les trouvailles restent indicatives à ce stade, l«hypothèse de lorgane masculin» explorée ici résiste à une panoplie de contrôles exhaustifs et sappuie sur des corrélations étonnement fortes» écrit Tatu Westling.
Comme le faisait remarquer Stephen Dubner sur le site Freakonomics, obtenir des données fiables sur la taille du pénis est difficile. Westling a utilisé les données du site à lorigine de la fameuse carte mondiale de la taille du pénis qui avait beaucoup fait parler delle en mars dernier. Des données qui se basent aussi bien sur des chiffres des autorités sanitaires fiables que détudes auto-déclaratives (questionnaires), et donc beaucoup moins précises.
Comme le notait Pierre Barthélémy sur le blog scientifique de Slate Globule et Téléscope, «la différence entre les deux catégories saute aux yeux: aucun chiffre auto-déclaré ne descend sous les 13,5 cm et rares sont les nations qui reconnaissent delles-mêmes des zizis de moins de 15 cm ».
Létude de Westling est-elle à prendre au sérieux? Thomas Mucha du site Global Post a posé la question à lauteur, qui répond:
«Cela avait commencé comme un essai à moitié sérieux, mais je ne mattendais pas à trouver des corrélations aussi fortes. [ ] Je vais peut être la soumettre [létude] à une revue économique. Mais le sérieux ne signifie pas que je crois en un lien de cause à effet pour le moment.»
L'étude du doctorant finlandais détaillant de manière précise la méthodologie et la source des données, chacun peut aller se faire son idée.
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