22h20, la 2: la réussite des Beurs à Dubai.

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Zoubir8
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il nous ont montré que le bon coté de dubaï , combien de maghrébin sont allé là bas pour rien ou ils ont finis carreleur après avoir fait HEC ( si si j'en connais un )
 
alors là franchement j'en sais rien , lui par contre avait trouvé un bon taf en france , va comprendre son délire

A dubai pour trouver un boulot faut 4 choses

Un niveau acceptable en anglais
Un travail rigoureux de ciblage de societe ( les boites preferent recrutes qqun encore en France )
De quoi tenir les 60 jours de visa :)
Se lever tot
 
A dubai pour trouver un boulot faut 4 choses

Un niveau acceptable en anglais
Un travail rigoureux de ciblage de societe ( les boites preferent recrutes qqun encore en France )
De quoi tenir les 60 jours de visa :)
Se lever tot

il doit bien avoir un sur les 4 :D



PS : cette même personne à son beau frère au quatar qui lui est architecte
 
il nous ont montré que le bon coté de dubaï , combien de maghrébin sont allé là bas pour rien ou ils ont finis carreleur après avoir fait HEC ( si si j'en connais un )

ERREUR MEC ?ILS N'ONT PAS FINI CARRELEUR ,ILS SONT RESTER SUR LE CARREAU.Tout ce luxe bedoin (à Dubai bien sur ) ne m'attire pas ,mais pas du tout ...
 
Pour ceux qui bossent en France ou dans n'importe quel autre pays et se voient décrocher un entretien dans un des pays du Golf persique, Ne jamais oublier de demander à l'entreprise de prendre en charge les frais du séjour ( vol compris ) :eek:
 
mince, j'ai raté l'émission..ca doit être bien dubai, vivre la bas quand ta un bon boulot, un mari gentil, un appart de 100m2 ca le fait...waouhhh ca donne envie lol en plus y'a la mer et le soleil toute l'année....
 
mince, j'ai raté l'émission..ca doit être bien dubai, vivre la bas quand ta un bon boulot, un mari gentil, un appart de 100m2 ca le fait...waouhhh ca donne envie lol en plus y'a la mer et le soleil toute l'année....
le probleme c'est qu'il y'a trop de soleil impossible de sortir dehors a des périodes de l'année entre la chaleur trop forte et la clim trop forte dans tous les endroit fermé ca te fait vieillir en
mois :D

le loyé est trés chere a dubai
 
mince, j'ai raté l'émission..ca doit être bien dubai, vivre la bas quand ta un bon boulot, un mari gentil, un appart de 100m2 ca le fait...waouhhh ca donne envie lol en plus y'a la mer et le soleil toute l'année....

Si t'as le lecteur Media Player, tu peux revoir l'émission en cliquant sur ce lien ( le reportage sur les beurs commence à la 53ème min )

mms://a988.v101995.c10199.e.vm.akam...10/S16/117004_complement_enquete_20100419.wmv

Cela dit, tous ces gens qui s'expatrient sont seulement à la recherche dial lguermima :D au bout de 5 ans à 8 ans, ils rentrent chez eux !
 
je poste cet article car meme si c est pas un " beur " et que ça parle pas de Dubai , le gars dit des choses intéressantes sur la réussite en France comparée aux usa , ou ils ont l air d etre plus pragmatiques .


Le docteur Elias Zerhouni ne parlait pas anglais quand il fit le voyage d’Alger vers les Etats-Unis en 1975. Il dirige aujourd’hui les Instituts nationaux de la santé, plus grands centres de recherche médicale au monde, au budget annuel de 28 milliards de dollars. A la fin de ses études de médecine à Alger, il envisageait la France. « Ma famille me l’a déconseillé, on m’a dit, que c’était trop dur, que j’allais à l’échec.

Aujourd’hui, des jeunes d’origine algérienne se révoltent en France. Si j’avais fait ce choix, mes enfants seraient probablement en train de jeter des pierres à la police en ce moment », dit le docteur Zerhouni en souriant. Mais le patron de la recherche publique américaine, 54 ans, débarqué il y a 30 ans à Baltimore avec 369 dollars en poche, ne plaisante qu’à moitié. « Je pense que le rêve américain est réel. A la différence d’autres pays, ici, si vous démontrez vos compétences, vous êtes reconnu. » Il dresse la longue liste des obstacles à sa réussite, avec le même enthousiasme que s’il évoquait sa dernière partie de tennis. « Je suis venu ici par moi-même, pas d’ami, pas de famille, je n’ai pas fait Harvard, les grandes écoles, je n’ai pas de diplôme supérieur américain, et les élites peuvent bien dire que je ne suis pas comme elles. Je ne suis pas un politicien, je n’ai pas de réseau, d’ailleurs je suis indépendant, ni démocrate ni républicain. En plus, je suis musulman, tous les préjugés auraient pu jouer contre moi. » Comment expliquer qu’en 2002 le président George W. Bush le choisisse parmi une centaine de candidats pour remonter les NIH, alors en crise d’identité, sans patron depuis plus de deux ans ? Et comment obtient-il, presque comme une formalité, un vote de confirmation du Congrès d’ordinaire si difficile ? « Je dirais que ma nomination s’est faite au mérite, parce que j’avais démontré et accompli des choses. Ce n’est pas l’image qui fait la différence en Amérique, c’est la substance », poursuit-il en jetant un coup d’œil aux notes préparées pour son discours. Si le docteur Zerhouni se défend d’être une « bête » politique, il ne peut nier son talent en société. Hilare, il confie que le président Bush aussi oublie systématiquement le « s » de « Johns » quand il veut parler de Johns Hopkins University, déclenchant l’hilarité dans la salle. Avant de prendre la tête des 27 Instituts de recherche publics des NIH (17 000 employés), M. Zerhouni était directeur de l’école de médecine de Johns Hopkins University. Radiologue et inventeur, il détient 8 brevets lui assurant une fortune personnelle de plusieurs dizaines de millions de dollars. Né à Nédroma en 1951, marié avant son départ pour l’Amérique à une pédiatre algérienne, Nadia, père de trois enfants et naturalisé américain, il attribue une partie de sa réussite à sa double culture d’Algérien formé à la française, endurci à l’américaine depuis son premier job aux urgences de l’hôpital de Baltimore. « La culture française a été extrêmement importante dans ma croissance en Amérique. C’est vrai ! », s’exclame-t-il en français. « La méthode cartésienne pour aborder un problème se combine extrêmement bien avec le pragmatisme américain. » Le docteur Zerhouni revient sur la situation en France, qui lui tient à cœur. « Les préjugés existent dans toutes les sociétés, mais certainement plus fortement en Europe qu’aux Etats-Unis. En Europe, il y a une volonté d’exclusion, ici davantage une volonté d’inclusion, même si, tout n’est pas si simple. »
 
ce que j aime c est son discours humble et sa capacité à ne pas juger les autres qui n ont pas eu son parcours alors qu il pourrait vachement se la péter

il n a pas cette mentalité de certains maghrébins de France qui réussissent à très petite échelle comparé à lui et qui éprouvent le besoin d enfoncer les autres pr mieux se faire accepter . J ai l impression que c est spécifique à l europe , surtout en France peut etre le passé colonial qui joue ...
Ce qui me conforte dans ma théorie , à savoir , que quand on ne doit sa réussite qu à soi meme , quand on est compétent et qu on est à sa place, on n éprouve pas le besoin d enfoncer les autres pour se maintenir à flot !!
 
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