Assad est tombé exactement comme le Pentagone l’avait prévu il y a 23 ans

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drianke
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Pas un mort sur les milliers de cadavres retrouvés dans les prisons mais des chaudes larmes pour le tombeau d'un tyran
Toujours la meme manipulation langagière diffusé à la télé et reprise par tout la fachosphère.

Cette technique consiste à éviter de répondre par un argument et simplement reprocher à son adversaire de ne pas parler d'un autre fait.

Ce sophisme est largement utiliser et facile à produire.
 
Assad affirme avoir etre kidnapée par les Russes, qu'il n'aura pas quitté la Syrie de lui meme.....ben voyons, trop d'admettre d'être un lache, et que sa visite à la banques centrale n'était qu'une coïncidence.
https://resistancenews.org/2024/12/...mstances-leading-to-his-departure-from-syria/
peu importe comment il y est arrivé, maintenant qu'il y est c'est un problème pour Poutine.
En particulier si le nouveau pouvoir à Damas demande son extradition, que va t il en faire ?
s'il le lâche c'est un mauvais signal pour les autres alliés de la Russie, s'il le protège ce n'est pas très bon non plus pour les relations avec le nouveau pouvoir Syrien, or Poutine tient à garder ses bases navales en Syrie.
 

L’Iran dans le collimateur

De nombreux indices peuvent nous aider à répondre à ces questions.

Wesley Clark, ancien général de l’armée américaine, s’est souvenu d’une visite qu’il a faite au Pentagone quelques semaines après les attentats du 11 septembre 2001 contre les tours jumelles.

On lui a montré un document classifié qui expliquait comment les États-Unis allaient « éliminer sept pays en cinq ans, en commençant par l’Irak, puis la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et en terminant par l’Iran ».

Aucun de ces pays n’avait de lien évident avec les événements du 11 septembre. Celui qui en avait un – l’Arabie saoudite – ne figurait pas sur la liste et est resté l’un des États clients préféré des États-Unis.


L’ordre des cibles prioritaires établi par Washington a été modifié – et le calendrier n’a pas été tenu – mais la réalisation du plan de 2001 est plus proche que jamais.

L’invasion de l’Irak en 2003 par les États-Unis et le Royaume-Uni, sous de faux prétextes, a conduit à la destitution du dictateur Saddam Hussein et à l’effondrement de l’État irakien.

Le pays a été plongé dans une guerre sectaire dévastatrice dont il peine encore à se remettre.

L’ingérence de l’OTAN en Libye, toujours sous de faux prétextes, a conduit à la destitution du dictateur Mouammar Kadhafi et à l’effondrement de l’État libyen en 2011. Depuis, c’est un État failli dirigé par des seigneurs de la guerre.

Le Soudan et la Somalie – cette dernière ayant fait l’objet d’une invasion éthiopienne soutenue par les États-Unis en 2007 – sont tous deux des cas désespérés, déchirés par d’horribles guerres civiles que les États-Unis ont contribué à attiser plutôt qu’à résoudre.

La destruction de ces différents États a créé un espace propice à l’épanouissement de nouveaux groupes islamistes ultra-violents et intolérants tels qu’Al-Qaïda et le groupe État islamique (EI).

Le soutien ouvert de la Turquie aux rebelles en Syrie – ainsi que le soutien plus secret de la CIA et du MI6
– ont conduit à la destitution du dictateur syrien Assad ce week-end et à l’effondrement de ce qui restait de l’État syrien. Il est difficile d’imaginer qu’une autorité unifiée puisse émerger dans le pays.

Entre-temps, les conditions de reddition imposées à Beyrouth pour mettre fin aux bombardements sauvages d’Israël sur le Liban ne semblent pas conçues pour tenir. Les arrangements sectaires déjà fragiles qui tiennent à peine l’État libanais en un seul morceau sont presque certains de s’effondrer dans les mois à venir.

L’Iran, dernière cible sur la liste du Pentagone, est désormais dans le collimateur. Privé de ses alliés en Syrie et désormais largement coupé de ses alliés du Hezbollah au Liban, Téhéran est plus vulnérable qu’il ne l’a jamais été.

Vue d’ensemble​

Rien de tout cela n’est accidentel.

Si les opinions publiques occidentales n’étaient pas si profondément influencées par des années de désinformation de la part de leurs politiciens et de leurs médias, elles pourraient commencer à voir une image plus large se dessiner progressivement.

Un tableau où ce qui est en jeu, c’est le destin de la Syrie, du Liban, de la Palestine et de l’Iran. Un tableau dans lequel les puissances occidentales, sous la houlette de Washington, s’ingèrent une fois de plus, en violation du droit international, pour détruire l’intégrité territoriale de chacun de ces pays. Une situation dans laquelle les intérêts géostratégiques d’Israël et de l’Occident s’exercent aux dépens de la liberté et du bien-être des habitants de la région.

C’est mal d’être un dictateur. C’est mal d’assassiner des civils. Mais l’utilisation sélective que nos médias aux ordres font de ces truismes, obscurcit le tableau d’ensemble.

Lorsque qu’un gouvernement « ennemi » s’effondre ou qu’une guerre civile éclate, on fait croire au public occidental qu’il s’agit d’un événement géopolitique naturel. Rien n’est plus faux.
 

« Nous aimons Israël »​

Aujourd’hui, des années plus tard, les lignes de combat se sont soudainement décomposées. Comme Washington l’avait envisagé il y a 23 ans, Assad est le dernier dictateur du Moyen-Orient, qui dérangeait Israël, à avoir été renversé.

HTS tient à rassurer Washington sur le fait qu’il ne constitue pas une menace pour Israël, ni pour le génocide qui se poursuit à Gaza.

Des interviews à la télévision israélienne ont montré des commandants rebelles faisant l’éloge des frappes aériennes israéliennes sur la Syrie, les citant comme l’un des facteurs ayant contribué à la progression rapide de HTS.


Channel 12 a interviewé un commandant anonyme qui a également noté que le cessez-le-feu d’Israël avec le Hezbollah avait été déterminant pour le timing de l’attaque de HTS sur Alep.

« Nous avons examiné l’accord [de cessez-le-feu] avec le Hezbollah et nous avons compris que c’était le moment de libérer nos terres », a-t-il déclaré, ajoutant : « Nous ne laisserons pas le Hezbollah combattre dans nos régions et nous ne laisserons pas les Iraniens s’y implanter ».

Dans une autre interview accordée à la chaîne israélienne Kan TV, un combattant a déclaré : « Nous aimons Israël et nous n’avons jamais été ses ennemis. »

Les États-Unis et la Grande-Bretagne, surpris par la rapidité du succès des rebelles, s’empressent de retirer la prime de 10 millions de dollars de la CIA sur la tête de Jolani et de rayer le HTS de leurs listes de terroristes.


Israël n’a pas perdu de temps pour envahir – et annexer de fait – des pans entiers du territoire syrien, qui viennent s’ajouter aux zones du Golan dont il s’est emparé en 1967, en violation du droit international. Comparez la réaction discrète de l’Occident à cette invasion israélienne de la Syrie avec l’indignation qu’il a manifestée lors de l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022.

Dans le même temps, Israël a lancé des centaines de frappes aériennes sur la Syrie, bombardant l’infrastructure militaire du pays pour s’assurer que le prochain gouvernement – si un tel gouvernement émerge un jour – n’aura pas les moyens de se défendre. Israël veut une Syrie aussi impuissante et vulnérable que la Palestine, où il commet un génocide.

Selon le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, Israël est en train de « changer la face du Moyen-Orient ».
 
Assad affirme avoir etre kidnapée par les Russes, qu'il n'aura pas quitté la Syrie de lui meme.....ben voyons, trop d'admettre d'être un lache, et que sa visite à la banques centrale n'était qu'une coïncidence.
https://resistancenews.org/2024/12/...mstances-leading-to-his-departure-from-syria/
Les propos de M. Bachar el Assad confirment sans ambiguïté la justesse des commentaires qui furent produits par @Drianke ou @Quovadis , commentaires qui dans l’ensemble s’opposaient vigoureusement à ceux véhiculés par ceux-là même qui avaient épousé les propos imbéciles du genre tyran sanguinaire et autres avanies proférés par des politiques et des médias.indignes.

 

« Nous aimons Israël »​

Aujourd’hui, des années plus tard, les lignes de combat se sont soudainement décomposées. Comme Washington l’avait envisagé il y a 23 ans, Assad est le dernier dictateur du Moyen-Orient, qui dérangeait Israël, à avoir été renversé.

HTS tient à rassurer Washington sur le fait qu’il ne constitue pas une menace pour Israël, ni pour le génocide qui se poursuit à Gaza.

Des interviews à la télévision israélienne ont montré des commandants rebelles faisant l’éloge des frappes aériennes israéliennes sur la Syrie, les citant comme l’un des facteurs ayant contribué à la progression rapide de HTS.


Channel 12 a interviewé un commandant anonyme qui a également noté que le cessez-le-feu d’Israël avec le Hezbollah avait été déterminant pour le timing de l’attaque de HTS sur Alep.

« Nous avons examiné l’accord [de cessez-le-feu] avec le Hezbollah et nous avons compris que c’était le moment de libérer nos terres », a-t-il déclaré, ajoutant : « Nous ne laisserons pas le Hezbollah combattre dans nos régions et nous ne laisserons pas les Iraniens s’y implanter ».

Dans une autre interview accordée à la chaîne israélienne Kan TV, un combattant a déclaré : « Nous aimons Israël et nous n’avons jamais été ses ennemis. »

Les États-Unis et la Grande-Bretagne, surpris par la rapidité du succès des rebelles, s’empressent de retirer la prime de 10 millions de dollars de la CIA sur la tête de Jolani et de rayer le HTS de leurs listes de terroristes.


Israël n’a pas perdu de temps pour envahir – et annexer de fait – des pans entiers du territoire syrien, qui viennent s’ajouter aux zones du Golan dont il s’est emparé en 1967, en violation du droit international. Comparez la réaction discrète de l’Occident à cette invasion israélienne de la Syrie avec l’indignation qu’il a manifestée lors de l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022.

Dans le même temps, Israël a lancé des centaines de frappes aériennes sur la Syrie, bombardant l’infrastructure militaire du pays pour s’assurer que le prochain gouvernement – si un tel gouvernement émerge un jour – n’aura pas les moyens de se défendre. Israël veut une Syrie aussi impuissante et vulnérable que la Palestine, où il commet un génocide.

Selon le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, Israël est en train de « changer la face du Moyen-Orient ».
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L'énorme et le scandaleux 2 poids 2 mesures devant les yeux du monde.

Quand les terroristes ruinent le M.O. et la Lybie les occidentaux n'y trouvent rien a y redire.

Quand ce cancer israelien applique son projet du Grand Israel en rasant plusieurs régions du M.O l'occident hypocrite au double standard y participe.

Quand le néo nazi veut faire oublier le génocide de Gaza en ouvrant d'autres fronts avec le parapluie anglo americain, ces complices participent à l'entreprise de ruine aussi..

Le génocidaire neo nazi sionistes et ses supplétifs terroristes subitement blanchis indiquent au reste du monde qu'on peut être dans un naufrage moral total et prétendre encore donner des leçons ailleurs.

L'humanité sombre dans les abîmes.

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L’Iran dans le collimateur

De nombreux indices peuvent nous aider à répondre à ces questions.

Wesley Clark, ancien général de l’armée américaine, s’est souvenu d’une visite qu’il a faite au Pentagone quelques semaines après les attentats du 11 septembre 2001 contre les tours jumelles.

On lui a montré un document classifié qui expliquait comment les États-Unis allaient « éliminer sept pays en cinq ans, en commençant par l’Irak, puis la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et en terminant par l’Iran ».

Aucun de ces pays n’avait de lien évident avec les événements du 11 septembre. Celui qui en avait un – l’Arabie saoudite – ne figurait pas sur la liste et est resté l’un des États clients préféré des États-Unis.


L’ordre des cibles prioritaires établi par Washington a été modifié – et le calendrier n’a pas été tenu – mais la réalisation du plan de 2001 est plus proche que jamais.

L’invasion de l’Irak en 2003 par les États-Unis et le Royaume-Uni, sous de faux prétextes, a conduit à la destitution du dictateur Saddam Hussein et à l’effondrement de l’État irakien.

Le pays a été plongé dans une guerre sectaire dévastatrice dont il peine encore à se remettre.

L’ingérence de l’OTAN en Libye, toujours sous de faux prétextes, a conduit à la destitution du dictateur Mouammar Kadhafi et à l’effondrement de l’État libyen en 2011. Depuis, c’est un État failli dirigé par des seigneurs de la guerre.

Le Soudan et la Somalie – cette dernière ayant fait l’objet d’une invasion éthiopienne soutenue par les États-Unis en 2007 – sont tous deux des cas désespérés, déchirés par d’horribles guerres civiles que les États-Unis ont contribué à attiser plutôt qu’à résoudre.

La destruction de ces différents États a créé un espace propice à l’épanouissement de nouveaux groupes islamistes ultra-violents et intolérants tels qu’Al-Qaïda et le groupe État islamique (EI).

Le soutien ouvert de la Turquie aux rebelles en Syrie – ainsi que le soutien plus secret de la CIA et du MI6
– ont conduit à la destitution du dictateur syrien Assad ce week-end et à l’effondrement de ce qui restait de l’État syrien. Il est difficile d’imaginer qu’une autorité unifiée puisse émerger dans le pays.

Entre-temps, les conditions de reddition imposées à Beyrouth pour mettre fin aux bombardements sauvages d’Israël sur le Liban ne semblent pas conçues pour tenir. Les arrangements sectaires déjà fragiles qui tiennent à peine l’État libanais en un seul morceau sont presque certains de s’effondrer dans les mois à venir.

L’Iran, dernière cible sur la liste du Pentagone, est désormais dans le collimateur. Privé de ses alliés en Syrie et désormais largement coupé de ses alliés du Hezbollah au Liban, Téhéran est plus vulnérable qu’il ne l’a jamais été.

Vue d’ensemble​

Rien de tout cela n’est accidentel.

Je me souviens très bien de ce plan présenté à Wesley Clark.

Il s'agit du plan de Oded Yinon ami de Netanyahu et appelé CLEAN BREAK...à savoir RUPTURE NETTE...

Il ne s'agit de ne plus viser la paix avec les pays mais de les balkaniser en petites entités qui s'opposeront entre elles afin qu'elles seront trop faibles et occupées se combattre plutôt que de s'occuper du drame palestinien.

Les monarchies du Golfe ont été neutralisées par les accords d'Abraham et les autres qui ont résisté à l'oppression israelienne en Palestine sont en train d'être rayés de la carte par la balkanisation via des terroristes wahabites soumis et les bombardements massifs israelo US.

Mission presque complètement accomplie.

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peu importe comment il y est arrivé, maintenant qu'il y est c'est un problème pour Poutine.
En particulier si le nouveau pouvoir à Damas demande son extradition, que va t il en faire ?
s'il le lâche c'est un mauvais signal pour les autres alliés de la Russie, s'il le protège ce n'est pas très bon non plus pour les relations avec le nouveau pouvoir Syrien, or Poutine tient à garder ses bases navales en Syrie.
Je vais te dire qqch :

Aux échecs, Poutine est le grand maître. Les autres ne peuvent que constater ses exploits.


Quant à la Syrie, il n’est pas dit du tout que Bachar El Assad n’y retournera pas ...



L’occident, il ferait bien d’entendre qu’il n’a rien à y foutre en Syrie et que les pillards finissent toujours pendus !
 
Je me souviens très bien de ce plan présenté à Wesley Clark.

Il s'agit du plan de Oded Yinon ami de Netanyahu et appelé CLEAN BREAK...à savoir RUPTURE NETTE...

Il ne s'agit de ne plus viser la paix avec les pays mais de les balkaniser en petites entités qui s'opposeront entre elles afin qu'elles seront trop faibles et occupées se combattre plutôt que de s'occuper du drame palestinien.

Les monarchies du Golfe ont été neutralisées par les accords d'Abraham et les autres qui ont résisté à l'oppression israelienne en Palestine sont en train d'être rayés de la carte par la balkanisation via des terroristes wahabites soumis et les bombardements massifs israelo US.

Mission presque complètement accomplie.

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Surtout, Oded Yinon, l'auteur de l'article, était -et est resté- un parfait inconnu pour les Israéliens. Il est présenté à la fois comme "journaliste" et comme "ancien fonctionnaire du ministère israélien des Affaires étrangères". A quel niveau? Nous n'en saurons rien. Lorsqu'on recherche son nom sur la version en hébreu de Google, on obtient ainsi 43 résultats, dont la très grande majorité sont consacrés au livre qu'il a écrit sur son père, Dov Yinon, qui fut commentateur à la radio israélienne. La même requête sur la version anglophone du moteur de recherche donne 28.700 occurrences, pratiquement toutes consacrées à dénoncer le plan machiavélique dont Oded Yinon serait l'auteur.

Toujours est-il que ce texte a été repéré dès sa publication par Israël Shahak, un militant antisioniste radical qui finira par être publié par la maison d'édition négationniste La Vieille Taupe. Par l'entremise de Shahak, des extraits de l'article d'Oded Yinon seront publiés dès 1982 par la Revue d'études palestiniennes. Depuis plus de trente ans, il est régulièrement cité dans la littérature antisémite et négationniste qui est allé jusqu'à le rebaptiser "Plan Yinon", attribuant une importance démesurée à un texte qui en est à peu près totalement dénué malgré son titre emphatique: "Une stratégie pour Israël dans les années 80". Roger Garaudy en avait par exemple fait l'un des arguments phares de son livreL'Affaire Israël (1983). Aujourd'hui, le "Plan Yinon" fait les choux gras de Thierry Meyssan, Alain Soral, Kémi Seba ou Pierre Hillard. Et l'on en retrouve trace aussi bien dans un numéro de 2007 de la revue Confluences Méditerranée que sur des sites conspirationnistes, antisémites et/ou islamistes: Réseau Voltaire, Le Grand Soir, Alterinfo, Le National Emancipé, The-Savoisien.com, SOS-crise, Mondialisation.ca, IRIB, pascasher.blogspot.com, Kontre-Kulture, Boulevard Voltaire, Médias-Presse-Info, etc.

Comme l'indiquent Michaël Prazan et Adrien Minard dans le livre de référence qu'ils ont consacré à l'itinéraire intellectuel et politique de Garaudy, "rien n'indique que cet article, qui évoque successivement l'opportunité d'une action en faveur d'une désagrégation des pays du Moyen-Orient et d'un transfert massif des Palestiniens vers la Jordanie, désigne un plan de travail concret validé par les autorités et devant orienter de tout temps la politique extérieure de l'Etat hébreu. Bien au contraire. Il s'agit d'une position personnelle parmi d'autres, exprimée par un simple journaliste dans le contexte particulièrement tendu des semaines qui précèdent l'opération Paix en Galilée menée par Tsahal au Sud-Liban" (2).

Mais la force de conviction des dénonciations du prétendu "Plan Yinon" réside également dans la "valeur prédictive" que l'on confère à ce texte, à l'instar des Protocoles des Sages de Sion. "L'argument, écrit Pierre-André Taguieff, revient à interpréter le cours de l'histoire comme strictement conforme au plan des Sages de Sion" (3) (dans le cas d'espèce, on dira: "des sionistes"). La situation chaotique dans laquelle convulserait le Moyen-Orient viendrait ainsi valider le caractère prophétique, et donc l'importance décisive, d'un texte qui n'a jamais rien eu de secret et n'a sans doute jamais eu la moindre influence sur les décisions stratégiques prises par l'Etat d'Israël.

 
Aux échecs, Poutine est le grand maître. Les autres ne peuvent que constater ses exploits.
Faire adhérer à l'OTAN la Suède et la Finlande, se prendre une branlée en voulant prendre Kiev et patauger en Ukraine depuis 2 ans, ne plus être capable de maintenir son pote le boucher de Damas au pouvoir, en effet sacrés exploits... Un vrai champion, un peu à l'image des simplets qui l'adulent...
 
Faire adhérer à l'OTAN la Suède et la Finlande, se prendre une branlée en voulant prendre Kiev et patauger en Ukraine depuis 2 ans, ne plus être capable de maintenir son pote le boucher de Damas au pouvoir, en effet sacrés exploits... Un vrai champion, un peu à l'image des simplets qui l'adulent...
Tout ce que l’État profond américain touche se transforme en me*de. Pour servir ses intérêts géopolitiques, il a mis au pouvoir ce qu’il y a de pire en Ukraine, les bandéristes, qui font office de djihadistes version locale : même absence d’empathie et d’humanité, même absence de morale, d’éthique et de sens de l’honneur, même cruauté avec leurs ennemis mais aussi avec les leurs quand ils ne sont plus utiles. Et, comme toujours, quand les Occidentaux réveillent et nourrissent un monstre, celui-ci finit un jour ou l’autre par se retourner contre eux. Si l’on en croit la maxime de Kissinger, l’Ukraine se dirige inexorablement vers une issue fatale.

Mais une fois l’Ukraine vaincue et expurgée de sa vermine néonazie, que se passera-t-il ensuite pour les gentils pays occidentaux qui n’ont pas tenu leurs promesses ? Les alliés d’hier se transformeront peut-être en ennemis, ou tout au moins en terroristes. Or les terroristes n’ont pas d’amis, ils n’ont que des employeurs, et ils ne sont pas regardants sur l’identité de l’employeur tant qu’ils sont bien payés. Au fait, les djihadistes et les bandéristes s’entendent très bien…
 
Lorsque qu’un gouvernement « ennemi » s’effondre ou qu’une guerre civile éclate, on fait croire au public occidental qu’il s’agit d’un événement géopolitique naturel. Rien n’est plus faux.

Les longs efforts des États-Unis, de la Turquie et d’Israël pour renverser le gouvernement syrien, principalement par l’intermédiaire de leurs alliés d’Al-Qaïda, viennent, en un éclair, d’être couronnés de succès.

Jeffrey Sachs, le célèbre économiste américain a dit.

"Il y avait diverses forces en Syrie, il y avait des forces régionales, mais tout était bloqué par un seul pays. Bloqué par le gouvernement américain"


Les États-Unis ont exigé la démission immédiate de Bachar al-Assad ; ils n’ont pas eu besoin d’un processus politique pour résoudre le conflit. Il s’agissait d’une opération purement américaine, conclut Sachs.

Et aujourd’hui, des années plus tard, les Américains semblent avoir atteint leur objectif. Mais tout n’est pas aussi clair que le dit Sachs.

Les militants de « l'opposition syrienne » arrivés au pouvoir, aux côtés des forces armées turques, s'apprêtent à mener une opération contre les Kurdes, qui semblent être les alliés des États-Unis. Les médias turcs rapportent que l'état-major turc a reçu l'ordre d'abattre les combattants israéliens s'ils soutiennent les Kurdes. Israël est le principal allié des États-Unis au Moyen-Orient et la Turquie, pour un moment, est membre de l’OTAN et possède la deuxième plus grande armée.

Dans le même temps, le journal émirati The National, citant une source du groupe pro-turc arrivé au pouvoir en République arabe syrienne, rapporte que la Russie a toutes les chances de maintenir ses bases militaires dans le pays. En d’autres termes, le renversement d’Assad, préparé depuis si longtemps, n’apporte en réalité aucun avantage supplémentaire aux États-Unis en Syrie et pourrait bien ajouter de nouveaux problèmes.


 

« Nous aimons Israël »​

Aujourd’hui, des années plus tard, les lignes de combat se sont soudainement décomposées. Comme Washington l’avait envisagé il y a 23 ans, Assad est le dernier dictateur du Moyen-Orient, qui dérangeait Israël, à avoir été renversé.

Les médias qui diabolisent Assad, occultent de cette façon les crimes du génocideur Natanyahou

Le grand « dictateur » et sa famille…

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Balade en famille du plus grand « dictateur » de tous les temps…


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Les médias qui diabolisent Assad, occultent de cette façon les crimes du génocideur Natanyahou

Le grand « dictateur » et sa famille…

Regarde la pièce jointe 404111


Balade en famille du plus grand « dictateur » de tous les temps…


Le-dictateur-et-sa-famille2
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En effet...on constate que ce daesh washing a

pour but de donner une pseudo légitimité aux

terroristes et à travers eux une légitimité aux

frasques militaires expansionistes israeliennes

ce qui contribue à faire passer le génocide

en Palestine et les massacres délibérés au Liban

destinés à choquer la population libanaise visée

à l'arrière plan.

Les USA sont responsables de chaque mort

et enfant mutilé dans ce M.O martyrisé depuis

des décennies.


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Assad affirme avoir etre kidnapée par les Russes, qu'il n'aura pas quitté la Syrie de lui meme.....ben voyons, trop d'admettre d'être un lache, et que sa visite à la banques centrale n'était qu'une coïncidence.
https://resistancenews.org/2024/12/...mstances-leading-to-his-departure-from-syria/
Il a láché l’affaire car daech a promi des massacres massif de civiles, le seul truc c’est qu’il a consulté personne, ni l’iran, ni la chine,ni la russie

La vérité eqt encore loins d’etre revelèe

sinon les turcs qui parlent de lacheté c’est une blague mdr vous etes pret a toute les bassesse pour voler le gaz syrien
 
Il a láché l’affaire car daech a promi des massacres massif de civiles, le seul truc c’est qu’il a consulté personne, ni l’iran, ni la chine,ni la russie

La vérité eqt encore loins d’etre revelèe

sinon les turcs qui parlent de lacheté c’est une blague mdr vous etes pret a toute les bassesse pour voler le gaz syrien


Tu n'a pas suivi les évènement toi...Assad n'a pas osé faire une seule déclaration pendant la chute de Alep, puis de Hama, puis de Homs ni à Damas.
Soit presque 2 semaines, les pauvres idiots de partisan et soldat de son armée ont était abandonnée à leur sort.

Puis Assad soit disant à quitter le pouvoir pour épargner les civils ? Mais t'es un vraiment un idiot hypocrite là.
Assad pouvoit faire cela 13 ans auparavant, mais à la place il à choisi de reduires des villes Syriens en cendres avec ces bombardements, utilisés des gaz chimiques, envoyé son peuple digne des prison de nazies...Meme Daech à coté c'est un bisounours.
 
Tu n'a pas suivi les évènement toi...Assad n'a pas osé faire une seule déclaration pendant la chute de Alep, puis de Hama, puis de Homs ni à Damas.
Soit presque 2 semaines, les pauvres idiots de partisan et soldat de son armée ont était abandonnée à leur sort.

Puis Assad soit disant à quitter le pouvoir pour épargner les civils ? Mais t'es un vraiment un idiot hypocrite là.
Assad pouvoit faire cela 13 ans auparavant, mais à la place il à choisi de reduires des villes Syriens en cendres avec ces bombardements, utilisés des gaz chimiques, envoyé son peuple digne des prison de nazies...Meme Daech à coté c'est un bisounours.
La propagande simpliste et puéril des génocidaires...
 
Bien sur, tout cela c'est un complot, propagande, que 6 millions de réfugiés Syrien sont apparu dans le monde parce qu'ils sont part de la propagande pour faire croire que Assad c'est un méchant.
La seule explication que tu as sur les 6 millions de réfugiés syriens et la destruction de leurs pays, c'est celle de la propagande des génocidaire.
 
La seule explication que tu as sur les 6 millions de réfugiés syriens et la destruction de leurs pays, c'est celle de la propagande des génocidaire.

Rassure moi c'est de la pure hypocrisie mensongère là ? Tu ne peux pas être aussi idiot ?

Tout les govts européens sont tombés lors des élections à cause de la crise migratoires, ce n'est pas de la propagande. On vois des villes en ruines à cause des bombardement de Assad par image satellite.

Meme dans ma ville de moins de 50 000 habitants je croise des refugiés Syriens mendié à tout les rond-point.
 
Je n'avale pas comme toi la propagande des génocidaires, la meme utilisée contre Sadam, Kadafi et tous les gouvernements qui ne furent pas aussi larbins qu'ils le souhaitaient.

Tu à évité de citer le reste de mon message.
Tu t'es rendu compte que nier l'existence de 6 millions réfugiés Syrien dans le monde te faisais passer soit pour un idiot soit pour un gros hypocrite...

C'est la crise migratoires la plus grande depuis la second guerre mondial, à elle seul à un poussé tout l'Europe à prendre un virage à droite en politique. Tu peux pas simplement dire que c'est de la propagande, c'est la réalité.
 
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