Le sociologue Samir Amghar révèle au Journal du Dimanche du 11 février 2018 qu’un tiers à un quart des salafistes sont des convertis…
À la lecture d’un article publié par le magazine l’Express du 21 novembre 2014, on apprend que, d’après les chiffres du ministère de l’Intérieur, 23% de djihadistes français n'ont pas été élevés dans la culture musulmane et que la majorité de ces convertis ont entre 15 et 35 ans…
voilà pour des faits sociologiques!
il faudrait que les musulmans regardent ces faits en face et fassent le ménage...qui s'impose
je le dis aux musulmans la balle est dans leur camp...
je sais que s'opposer aux fanatiques ce n'est pas facile, mais c'est la seule voie pour éviter l'amalgame...
salut
Dans le cas de cet individu, ça relève de la psychiatrie, s’il est vrai qu’il a prétendu entendre des voix en pleine nuit. Ou alors sa conjointe parlait en dormant, mais ce qui compte c’est ce que lui a cru.
Pour ratisser large et prendre un exemple parallèle, question radicalisme, on a de sérieux problèmes avec deux bords politiques et même un plus que l’autre, pourtant jamais on ne demande aux familles de dénoncer un communiste qui appel à la guérilla urbaine ou à la lutte armée contre le pouvoir ou simplement au chaos, parfois même ça passe crème.
Pour ce qui est du prétexte, on ne peut pas accuser le prétexte d’être le responsable, les deux sont liés mais pas nécessairement par une relation de causalité. Par exemple après la chute du rideau de fer, quand les communistes ont compris que leur idéologie était en train de s’effondrer, ils se sont accroché à tout ce qu’ils ont put pour en faire de nouvelles vitrines de leur idéologie : écologie, science humaine, informatique, pour ne citer que les principaux. Va‑t‑on accuser ces domaines d’être responsables de l’abrutissement idéologique de ceux qui les ont envahis ?
Question pratique, c’est facile à dire, « faire le ménage chez soi », mais tu fais comment pour dépister ? Tu fais quoi en cas de suspicion sachant que le doute reste possible ? Tu dénonce à qui ? Et tu dénonce au risque de perdre une confiance qui pourrait être précieuse ?
Y a qu’à, y qu’à, je voudrais bien t’y voir …