Ça chauffe au Sénégal

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Adhrab
  • Date de début Date de début
Salam Zouleyka,

Pour moi, ce n'est pas question de "compétence" mais un "droit" qui doit être respecté. Tout le monde peut postuler au poste du président le nombre de fois qu'il veut... et c'est au peuple de dire ce qu'il pense : s'il le veut, il va l'élire sinon qu'il postule à l'infini, la confiance du peuple jamais il ne va l'avoir.

Pour le cas de son fils, je ne pense pas que ça va être possible : "En cas de démission, d'empêchement ou de décès, le président de la République est suppléé par le Président de l'Assemblée nationale. Au cas où celui-ci serait lui-même dans l'un des cas ci-dessus, la suppléance est assurée par l'un des vice-présidents de l'Assemblée nationale dans l'ordre de préséance. La même règle définie par l'article précédent s'applique à toutes les suppléances. En tout état de cause, le suppléant doit remplir toutes les conditions fixées à l'article 28".
3aleykoum as Salam MarxIslam

Le probleme c est que jamais tout le monde ne pourra postuler au poste de president car sinon il risque d y avoir des millions de candidats lol.Perso dans les systemes democratiques actuels je suis pour un systeme de parrainages mais non pas par des grands electeurs mais par n importe quel citoyen qui pourrait donner son parrainage avec un nombre minimum de parrainages a acquerir.

Sinon quant a l article de la constitution,malheureusement c est l Afrique et elle peut etre ''facilement'' violee par les chefs d etat. :confus:
 
Brusque accès de fièvre à Dakar

le 17 février 2012 21H56 | par
Vincent Hugeux



Dans un manuel de maintien de l’ordre ou de guérilla urbaine, on appellerait ça un « face-à-face tendu ». Ce vendredi vers 19H30 -20H30 à Paris-, des centaines de jeunes défiaient encore entre chien et loup les forces de sécurité au cœur du centre-ville de Dakar. Théâtre de ces affrontements, les abords de la mosquée El Hadj Malick Sy, fief de la confrérie tidjane, sur l’avenue Lamine-Gueye. Les hautes flammes et l’épaisse fumée d’un brasier improvisé -pneus, tables et poubelles- balisent la ligne de front, non loin du marché Sandaga, alors qu’à l’arrière, une ambulance évacue les blessés toutes sirènes hurlantes.

En guise d’étincelle, une incursion pour le moins maladroite de la police anti-émeutes. « Les flics ont balancé deux ou trois grenades lacrymogènes à l’intérieur du sanctuaire, au milieu des fidèles en prière, raconte un reporter de la station Zik-FM, témoin de la scène. Aussitôt, les jeunes ont vu rouge. Ils ont riposté par un déluge de briques et de cailloux. Certains ont même bondi sur un pick-up de la police. » Deux heures plus tard, tandis que le bras-de-fer se poursuivait, la mosquée résonnait des « khadaras » des croyants. « Une louange que les musulmans tidjanes entonnent toutes les cinq prières, précise le confrère. Mais cette fois, ils imploraient Dieu de faire partir Abdoulaye Wade. » Présent sur les lieux, le photoreporter Moctar Kane a entendu alors retentir des « Allahou Akbar ! » -Dieu est le plus grand !- rageurs......

http://blogs.lexpress.fr/afrique-en-face/2012/02/17/brusque-acces-de-fievre-a-dakar/
 
Il faut encourager WADE. Oui, il faut l'encourager... à prendre une retraite bien méritée. :D

Nous la jouer "sénile au pouvoir", non merci.
En outre, pourquoi sortir par la petite porte quand il avait tout pour partir la tête haute?
Sans oublier qu'il n'a pas été avare de conseils à ses alter ego, en demandant à Gbagbo, à Kaddafi, de se retirer... Faites ce que je dis, pas ce que je fais? :D
 
Sénégal : la situation se dégrade à une semaine de la présidentielle

A sept jours du premier tour de la présidentielle au Sénégal, la mobilisation d'une partie de la rue contre la candidature du président Wade ne faiblit pas. Des manifestants ont de nouveau dressé à Dakar des barricades, brûlé pneus et poubelles, et affronté la police anti-émeutes. Des heurts qui ont fait au moins une dizaine de blessés. Par ailleurs, un jeune est mort après avoir été blessé vendredi soir à Kaolack, au centre-ouest ; lors de la manifestation organisée pour protester contre ce qui a été perçu comme «la profanation» d'une mosquée de Dakar par la police..........

http://www.rfi.fr/afrique/20120219-senegal-presidentielle-2012-degrade-dakar-tivaouane
 
Les heurts font deux nouveaux morts au Sénégal

À une semaine du premier tour des élections présidentielles au Sénégal, de nouveaux affrontements ont fait deux morts dimanche lors de manifestations demandant le retrait de la candidature du président sortant Abdoulaye Wade.

Un protestataire a été tué dans la ville de Kaolack, ainsi qu'un autre en banlieue de la capitale Dakar, ce qui porte à six le nombre de décès survenus depuis trois semaines, selon l'agence de presse officielle du pays.

Les manifestants protestent contre la décision du Conseil constitutionnel du Sénégal de permettre au président sortant de briguer un troisième mandat au scrutin du 26 février.

Depuis la fin janvier, le Mouvement du 23 juin (M23), qui rassemble opposition politique et groupes de la société civile, tente ainsi de mobiliser la rue pour contester ce qu'il qualifie de « coup d'État constitutionnel ».

Les affrontements de dimanche sont les plus intenses à survenir depuis le début des troubles, certains contestataires ayant réussi à prendre le contrôle de plusieurs rues dans le centre-ville de Dakar, tout près d'une mosquée que les policiers avaient bombardée de grenades lacrymogènes vendredi.

Les échauffourées entre les opposants au président Wade et les forces de sécurité sénégalaises s'étaient poursuivies samedi, alors qu'une centaine de jeunes ont jeté des pierres sur des policiers qui barraient l'accès à la place de l'Indépendance et qui ont riposté à coups de gaz lacrymogènes. Des dizaines de personnes ont été blessées.

Dimanche soir, le ministre de l'Intérieur, Ousmane Ngom, a présenté ses excuses à la population et a demandé aux Sénégalais musulmans de pardonner l'incident survenu près de la mosquée, qu'il a qualifié de « bavure policière ».

Radio Canada
 
Le verdict c’est qu’il va gagner.
L’opposition est trop désunie et les jeunes manifestants du M23 et Yen a marre n’ont aucun plan ou de propositions substantielles.
En plus je vois pas Wade aller jusqu’a modifier la constitution, corrompre la moitie du pays et tuer des gens pour après perdre.
Il va frauder et gagner peut être même au premier tour. Wait and see.
 
Le chanteur et opposant sénégalais Youssou Ndour a été blessé à une jambe, mardi 21 février, lors de la dispersion d'une foule qui entendait participer à un rassemblement interdit par les autorités dans le centre-ville de Dakar, a affirmé son entourage. "Youssou Ndour a été blessé à la jambe gauche, il a été examiné par un médecin, mais il ne souhaite pas en faire une affaire d'Etat et nous ne commenterons pas plus cette information", a déclaré Charles Faye, conseiller en communication de son mouvement, Fekké Ma ci boolé ("Concernés").

M. Faye n'a pas souhaité préciser le type de projectile qui avait touché M. Ndour qui, a-t-il simplement indiqué, a été blessé "dans le feu de l'action" lors de la dispersion de la foule rassemblée sur une avenue menant à la place de l'Indépendance, dont l'accès était interdit par des policiers antiémeutes.
Les incidents ont éclaté mardi soir lorsque, juché sur le toit d'une voiture, Youssou Ndour, s'est approché très près d'un cordon de policiers antiémeutes sur l'avenue Georges-Pompidou, à quelques pas de la place de l'Indépendance. Des pierres sont alors parties de la foule qui entourait son véhicule en direction de la police, qui a riposté par des tirs de gaz lacrymogènes.
Youssou Ndour avait très rapidement quitté les lieux après le début de la dispersion par la police, au cours de laquelle au moins une personne, évacuée par des secouristes, a été blessée à la jambe, selon un journaliste présent sur l'avenue. Après la dispersion, des jeunes se sont éparpillés par petits groupes dans des rues adjacentes, y érigeant des barricades.

Près d'un millier de personnes étaient sur l'avenue Pompidou (anciennement William-Ponty) pour tenter d'accéder à la place de l'Indépendance, rassemblés autour de Youssou Ndour et de trois autres opposants et candidats à la présidentielle du 26 février, l'ex-premier ministre Idrissa Seck, l'ex-ministre des affaires étrangères Ibrahima Fall et le député et maire Cheikh Bamba Dièye. Pendant près de deux heures, les manifestants, face aux policiers, ont scandé des slogans et chanté des refrains d'une chanson hostile au président Abdoulaye Wade, également en lice et dont ils contestent la candidature, estimant qu'il doit quitter le pouvoir après deux mandats (élu en 2000, réélu en 2007). Avant la dispersion de la foule, Youssou Ndour, dont la candidature à la présidentielle a été rejetée par le Conseil constitutionnel, avait répété que M. Wade doit renoncer à se présenter.

Youssou Ndour, Idrissa Seck, Ibrahima Fall et Cheikh Bamba Dièye sont tous membres du Mouvement du 23-Juin (M23), coalition de partis d'opposition et d'organisations de la société civile qui réclame le retrait de la course de M. Wade. De précédents appels de cette coalition à se rassembler place de l'Indépendance ont entraîné des violences entre manifestants, en grande partie des jeunes qui tentaient de s'y rendre, et les forces de l'ordre. Depuis le 27 janvier, date de la validation de la candidature d'Abdoulaye Wade à la présidentielle – confirmée le 29 janvier après examen de recours –, les violences liées à la contestation de son nouveau mandat ont fait au total six morts, selon des sources concordantes.



http://www.lemonde.fr/afrique/artic...d-une-manifestation-a-dakar_1646584_3212.html
 
J'espère qu'il vont dégager ce vieux dictateur corrompu comme les autres

Il s'est permis de donner des leçons de morale et de conduite à Khadafi
Alors qu'il a voulu placer son fils au pouvoir et que lui même veux pas lacher son trône

Il se croyais au de danger mais le temps est venu pour lui de dégager

Dehors !
 
Election au Sénégal : Abdoulaye Wade peut-il être battu ?

Y-a-t-il un candidat pour battre Abdoulaye Wade ? Le premier tour de l’élection présidentielle sénégalaise a lieu dimanche 26 février et la question inquiète une partie des Sénégalais.

Les manifestations se sont multipliées à Dakar, la capitale, ainsi que dans plusieurs villes du pays, pour contester la candidature de Wade. Ce dernier se représente pour troisième mandat, alors même que la constitution sénégalaise le lui interdit. De son côté, l’actuel président tente de verrouiller l’élection en empêchant certaines candidatures et en réprimant les manifestations.

Etienne Smith, chercheur à l’université de Columbia (New York) et spécialiste du Sénégal s’est rendu sur place pour assister à l’élection.

FTVI : Existe-t-il une vraie opposition, crédible face à la candidature d’Abdoulaye Wade ?
Etienne Smith : Il n’y a pas un front d’opposition uni. Il y a treize candidats en face de Wade, qu’on peut séparer en deux parties. Il y a beaucoup de petits candidats, qui ont très peu de chances de s’imposer par les urnes. Ils n’ont d’ailleurs pour la plupart pas fait campagne en dehors de Dakar, comme c’est le cas de Youssou N’Dour. Ce sont eux qui ont le plus mobilisé dans les manifestations. Ils contestent la candidature de Wade et veulent reporter l’élection. Mais le report reste très peu probable, Wade étant le seul à avoir le pouvoir de le faire.

De l’autre côté, trois candidats se détachent. Macky Sall, Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niasse. Ils ont un poids électoral plus important et ne veulent pas faire reporter le scrutin. Ils veulent essayer de battre Wade par les urnes.


L’un d’entre eux a-t-il une chance de battre le président sortant ?
Macky Sall est aujourd’hui le favori des opposants. Il a été Premier ministre de Wade et s’inscrit politiquement dans la même ligne. Il a développé son programme dans la continuité, il est dans la même mouvance libérale que Wade. Mais il fait campagne sur la nécessité de changer de président. Il a démantelé une partie de la clientèle de Wade, et beaucoup d’anciens ministres et militants pro-Wade se sont ralliés à lui.

Mais l’enjeu pour ces opposants, c’est avant tout de se qualifier au second tour. Aucun de ces candidats n’est rassuré sur la procédure de dimanche. Ils redoutent qu’Abdoulaye Wade ne tente de passer en force au premier tour. Depuis plusieurs mois, il fait passer des faux sondages dans la population, qui le donnent vainqueur à 53% au premier tour. Mais il est au final très peu probable qu’il remporte la majorité des voix dès dimanche.

Si le second tour a lieu, il a de grandes chances de l’emporter, parce l’opposition tout entière sera unie face à Wade. C’est d’ailleurs comme ça que Wade était arrivé au pouvoir en 2000, en fédérant l’opposition face au président sortant.


Et si Wade passe en force, ou est réélu ?
Macky Sall a déjà prévenu qu’il mettrait en place un gouvernement parallèle. Beaucoup soutiennent que si Wade passe, il sera dans l’illégalité, alors l’insurrection sera légitime. On peut s’attendre à des manifestations incontrôlées.
Mais il y a des observateurs de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest ainsi qui sont venus pour surveiller l’élection.


Quentin Laurent
francetv.fr
 
Eh ben on dirait que yaura un deuxieme tour et que Wade risque de passer la main Inch Allah
Disons que c'est là qu'on va voir si les opposants savent être moins bêtes qu'ailleurs en réussissant à ne pas se laisser instrumentaliser.
Ils voulaient tous que Wade partent. J'attends de voir qu'ils appellent à voter pour celui d'entre eux qui est arrivé au second tour. Car je connais des cas où les opposants voulaient que l'opposition se réunisse au second tour... seulement si c'étaient eux qui y étaient. Une pointe de jalousie de voir le voisin pouvoir faire ce qu'on a rêvé de faire, ça peut donner des retournements de vestes pitoyables...

Wait and see. J'espère que les Sénégalais réussiront à faire un cadeau à Wade: lui permettre de prendre, vu son âge, un repos bien mérité, quoique forcé... :D
 
Les Sénégalais redoutent déjà l'après-présidentielle

REPORTAGE - En l'absence de sondages, certains candidats cèdent à la surenchère verbale et les électeurs ne savent trop à quel saint se vouer.


De notre envoyé spécial à Dakar (Sénégal)
Le plus étonnant, c'est le silence. À l'approche de l'école Thiam de Pikine, on n'entend aucun des bruits habituels de cette banlieue populaire de Dakar. Ce n'est pas l'appréhension qui explique ce calme étrange mais l'importance du moment et les questions que tout le monde se pose. Ici, comme partout en ce dimanche au Sénégal, on a pris le vote pour l'élection présidentielle au sérieux. Dans la cour de sable jaune, les femmes, en robes élégantes, sont sagement alignées entre les hommes aux polos fraîchement repassés. Dans les bureaux, le matériel est là. Le Sénégal a une tradition démocratique qui se lit dans la logistique. Pourtant, malgré tout, cette année les électeurs se sentent un peu perdus.

La décision d'Abdoulaye Wade de se présenter pour un troisième mandat, jugée illégale par l'opposition mais entérinée par le Conseil constitutionnel, a déboussolé un pays qui se considérait comme exemplaire. La stratégie obscure de ses rivaux, rassemblés au sein du M23, n'a rien arrangé. Accrochés à leur refus de voir Wade concourir, les leaders de l'opposition n'ont jamais donné de consignes claires, refusant d'appeler à voter ou au contraire à boycotter le scrutin, avant de se perdre dans leurs divisions. Aucun des ténors anti-Wade n'a su réunir sur son nom les déçus du régime. Pikine, ex-fief wadiste, reste à prendre. Certes, le vieux président y conserve malgré tout des fidèles, comme Amara, qui explique: «Tout n'est pas parfait, mais Wade a travaillé. Il faut lui laisser le temps de finir.»....

La suite dans le lien ci dessous

http://khadyfm.com/actualite/senega...doutent-deja-l-apres-presidentielle-1141.html
 
je constate que l'homme ne maîtrise plus sa destiné quand il tout au fond, c'est le cas des plongeurs qui connaissent l'ivresse des profondeurs et quand il est au sommet de la montagne, par manque d'oxygène. mais quand il est au sommet de l'Etat, il atteint par l'ivresse du pouvoir, chose bizarre qui échappe à la logique, parce qu'il ne manque pas d'air.


ça doit être terrible pour un chef d'Etat quu s'accroche à son trone et qui lui échappe.
 
La question que je me pose : Si Wade est réélu va t' il y avoir des débordements?
Allah y ster :(


SALAM ça va ?

Oui il y en aura c'est clair.Mais tous ces débordements venaient d'une minorité et étaient encouragés par les membres de l'opposition et du M23 en tête.Macky sall passe devant tous les autres,car il a été le premier a arrêter les manifs pour mener campagne tandis que d'autres se sont entêtés jusqu'au bout au détriment de leur parti et programme politique.

Si wade est élu,ce sera de manière démocratique,et cela voudrait dire qu'une partie du peuple veut qu'il soit reconduit pour un troisième mandat.Mais vu que sur les 13 candidats,12 sont ouvertement contre lui,on peut dire qu'il n'a aucune chance d'être de gagner un potentiel second tour et d'être réélu.Ali votre envoyé spécial :cool:
 
As Salam 3aleykoum Wa Ra7matou Allahi Ta3ala Wa Barakatouhou


C est une excellente nouvelle cette election avec les felicitations de Wade a l encontre du vainqueur.Ca donne un message positif pour l Afrique comme quoi il est possible d avoir un pays ''democratique'' et que tout se passe bien.Ca change du Mali avec le coup d etat ou de la C.I et du Congo ou chacun des deux candidats declare avoir gagne.

En tout cas c est tres positif de voir qu il y a au moins une vraie ''democratie'' en Afrique
 
Pkoi vous êtes si sur que Wade va permettre un deuxième tour.
Certains porte-parole de Wade annonce déjà sa victoire avec plus de 51% des votes !!!

Wait and see
Salam,


Comme quoi beaucoup se sont trompés.Wade n'a jamais été un dictateur,c'est un sénégalais ayant résidé là bas et qui y va quasiment chaque année qui vous le dit.Il vivait dans un microcosme où tous ceux qui l'entouraient lui faisaient croire qu'il était aimé par une majorité de son peuple et que seule une infime minorité faisait du bruit,et qu'au final,les urnes lui donneraient raison.

Il a vu que ce n'était pas le cas,a accepté sa défaite,et part comme il est venu.Fin de l'histoire.
 
Salam,


Comme quoi beaucoup se sont trompés.Wade n'a jamais été un dictateur,c'est un sénégalais ayant résidé là bas et qui y va quasiment chaque année qui vous le dit.Il vivait dans un microcosme où tous ceux qui l'entouraient lui faisaient croire qu'il était aimé par une majorité de son peuple et que seule une infime minorité faisait du bruit,et qu'au final,les urnes lui donneraient raison.

Il a vu que ce n'était pas le cas,a accepté sa défaite,et part comme il est venu.Fin de l'histoire.
Ce microcosme corrompu a failli le faire franchir la ligne rouge des le premier tour.
Il s’en est fallu de peu. Que se serait-il passe s’il avait obtenu 48 ou 49% des votes ?
Dieu seul sait. Ya aussi le coup d’etat au Mali qui a fait reflechir le Vieux. Enfin ''Yallah bakhne'' et le Senegal a échappé a une catastrophe.


ps. je ne fait pas parti de ceux qui traitent Wade de dictateur
 
Retour
Haut