Campagne story

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion JohnWOO
  • Date de début Date de début
D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai connu que ce vaste paysage de terre aride où des générations se sont battue pour en tiré de maigres récoltes.
S'il renvoyait une impression d'austérité mon pays était pour moi un vaste terrain de jeu du temps de mon enfance. Contrairement aux autres, je ne revais pas de m'envolé vers d'autres horizons ou d'exploré le monde, mon rêve a moi c'était de coulé des jours heureux ici chez moi et d'etre aussi respecté que ces hommes qui s'occupait de la terre avec une confiance inébranlable en l'avenir.


Je suis le dernier d'une famille de 4 enfants tous des garçons a la plus grande fierté de mon père, dans le village nous étions une grande famille et mon père était l'un des hommes les plus respecté son charisme, sa force de caractère mais aussi son calme et la confiance qu'il inspirait en faisait une des figure incontournable dans notre village perdue dans la campagne marocaine.


Mon père assumait la charge ô combien importante d'enseigner la religion aux enfants du village.J'etais moi le plus rêveur de mes frères,mon prénom Mustapha n'était utilisé que par mon père qui le prononcait toujours avec solennité, tout le monde m'appellait depuis ma naissance Mouss, ma nature rêveuse,maladroite et mon physique frêle etaient l'objet de toutes les moqueries de mes grands frères qui ressemblaient tous a mon père.

Tout le monde savait que j'apprenais un peu moins vite que les autres alors j'en avais honte, j'adorais rester avec ma mère, la regarder travailler en silence avec sur le visage un air mélancolique qui la rendait belle, il lui arrivait de chantonner c'était pour moi les meilleurs moments, jusqu'a aujourd'hui presque un siècle plus tard je crois l'entendre chanter ces chants d'autrefois lorsqu'au plus profond de la nuit je me sens seul.

Nous étions pauvres mais heureux, et les années de mon enfance et de l'adolescence passaient lentement et paisiblement comme dans un rêve dont on ne voudrait pas qu'il s'arrête.
 
D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai connu que ce vaste paysage de terre aride où des générations se sont battue pour en tiré de maigres récoltes.
S'il renvoyait une impression d'austérité mon pays était pour moi un vaste terrain de jeu du temps de mon enfance. Contrairement aux autres, je ne revais pas de m'envolé vers d'autres horizons ou d'exploré le monde, mon rêve a moi c'était de coulé des jours heureux ici chez moi et d'etre aussi respecté que ces hommes qui s'occupait de la terre avec une confiance inébranlable en l'avenir.


Je suis le dernier d'une famille de 4 enfants tous des garçons a la plus grande fierté de mon père, dans le village nous étions une grande famille et mon père était l'un des hommes les plus respecté son charisme, sa force de caractère mais aussi son calme et la confiance qu'il inspirait en faisait une des figure incontournable dans notre village perdue dans la campagne marocaine.


Mon père assumait la charge ô combien importante d'enseigner la religion aux enfants du village.J'etais moi le plus rêveur de mes frères,mon prénom Mustapha n'était utilisé que par mon père qui le prononcait toujours avec solennité, tout le monde m'appellait depuis ma naissance Mouss, ma nature rêveuse,maladroite et mon physique frêle etaient l'objet de toutes les moqueries de mes grands frères qui ressemblaient tous a mon père.

Tout le monde savait que j'apprenais un peu moins vite que les autres alors j'en avais honte, j'adorais rester avec ma mère, la regarder travailler en silence avec sur le visage un air mélancolique qui la rendait belle, il lui arrivait de chantonner c'était pour moi les meilleurs moments, jusqu'a aujourd'hui presque un siècle plus tard je crois l'entendre chanter ces chants d'autrefois lorsqu'au plus profond de la nuit je me sens seul.

Nous étions pauvres mais heureux, et les années de mon enfance et de l'adolescence passaient lentement et paisiblement comme dans un rêve dont on ne voudrait pas qu'il s'arrête.

C'est bon, j'arrête d'écrire ... je viens de me prendre une leçon d'humilité en direct live
 
Mon père finit par nous quitter il était déja vieux lorsque je suis né, il avait le jour de sa mort sur le visage comme une lumière qui nous empêchât d'être triste.

Cet évenement marqua pour moi la fin d'une certaine insoucience ,bientôt mes frères s'en iront les un après les autres chercher fortune dans les grandes villes parfois a plus d'une centaines de kilomètre et je resta ainsi seul avec ma mère.

Les evenements de la vie font parfois que la réalité nous rattrape, sensible emotif et reveurs, je me mis aux travaux agricole je ne reconnaissais plus, ma mère déja de nature mélancolique tomba rapidement malade de tristesse disait-on.

L'être humain présente une faculté d'adaptation exceptionnelle, en résumé on s'habitue a tout, je fini par m'habitué a la rigueur du labeur sur les champs, j'en arrivait même parfois a éprouver un certain plaisir dans la douleur du travail.

Je fis par la même une rencontre, celle de Nordine qui lui avait une histoire assez peu commune, il n'était comme moi pas bavard mais au fil des jours il m'expliquat que lui venait de la ville a l'heure de l'exode rurale ils avaient lui et sa famille fait le chemin inverse !

La ville lui et sa famille ne la supportait plus son visage marqué lui faisait paraitre plus que son age, dans le village ils vivaient en reclue dans une petite maison a l'écart et ne participaient nullement a la vie en communauté.

Les mois passèrent et l'etat de santé de maman se degradait, tout autant que ma solitude, Nordine par sa discretion, sa pudeur et son calme était devenu mon unique ami dans ce village ou j'avais l'impression que personne ne me comprenait.

Nordine était d'humeur joyeuse, aujourd'hui il avait enfin pû finir de construire cette maison de campagne dont il rêvait temps et c'est tout naturellement qu'il me proposat de venir partager en fin d'après-midi un thé.
 
Modestement meublé la demeure de Nordine présentait un certain charme, dans son aménagement et il y régnait une atmosphère qui chez moi avait depuis longtemps disparu,
-Fais comme chez toi, me dit Nordine
-Si seulement ça pouvais l'être lui répondis-je.

Je vis alors un court instant le visage de mon ami s'assombrir et je regrettait d'avoir été aussi intrusif.


c'est a cet instant que je la vis pour la première fois Myriam, nos regards ce croisèrent un court instant qui me sembla une éternité, dans l'hiver de mon coeur elle avait fait a cet instants précis soufflé par sa seule présence le vent du désert.

Je mourrais d'envie de la revoir, je n'arrivais pas a penser a autre chose, ma vie avait pris un autre tournant, une autre texture, je décidais de m'éloigner de Nordin, je me sentais coupable de ressentir de tels emotions pour la fille de mon ami.

Au bout de quelque jours il vient s'exuser de m'avoir jeté son bonheurs en pleine figure en me ramenant chez lui, il ne savait pas qu'en me faisant visité sa maison il venait faire éclore le mien, je vivais dans mes reves, mais ma conscience me disais de m'éloigner et de tout oublié mais quelque chose en moi avait changer, c'était trop tard et je le savais.


Ma mère elle, commencait a aller mieux, il ne suiffit parfois de pas grand chose pour voir le futur s'éclaircir, peut etre que le lien qui uni une mère a son enfant s'est reveillé et que ma mère,sentant que j'allais mieux, s'en était rendue plus forte.

Dans les bons jours il lui arrivait de se lever pour se promener dans les vergers environnant, cela me rappelait avec nostalgie l'époque ou elle aimait a flaner dans les champs pour humer l'air tiède des fins de journées d'été.

Le problème restait le meme depuis plusieurs mois a savoir comment m'occupé de ma mère et de la maison, sorti de la torpeur dans laquelle j'étais plongé depuis des mois je décida de prendre les choses en main et d'enfin cherché quelqu'un pour s'occuper convenablement de ma mère au moins le temps qu'elle aille mieux me disais-je.

Nordin se sentant toujours coupable me proposa Myriam pour s'occuper de ma mère, je sentis en moi l'indiscible espoir de la voir réapparaitre devant moi, j'acceptait sa proposition meme si je m'étais promis de ne jamais m'approcher d'elle.

Je voyais alors Myriam très souvent nous ne parlions jamais, mais nos regards se croisai souvent et ça voulait tout dire.Je m'endormais chaque soir en me félicitant de pouvoir vivre avec la présence de de celle que j'aimais.

La réalité me rattrapa rapidemant, ce matin-là je me reveillait en sursaut le front empli de sueur comme par l'effet d'un mauvais rêve dont je ne me rappelais plus. J'étouffais, l'air était empli d'une tension qui m'empéchait de respirer, j'avais un mauvais préssentiment et je ne me reconnu pas lorsque je vis ce visage déformé par un rictus de douleur dans la glace.

La charge de travail sur les champs me fit oublié ma frayeur matinal la moisson était arrivé et on avait besoin de moi mais un certain malaise me pesait toute la journée, je comprit en rentrant le soir, ma mère allait mal, et les médecins s'était succedé tout la journée a son chevet sous l'oeil inquêt de Myriam.Elle alternait les crises d'angoisse ou elle ne reconnaissait plus personne et les pertes de connaissance qui nous faisait craindre le pire !!
 
D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai connu que ce vaste paysage de terre aride où des générations se sont battue pour en tiré de maigres récoltes.
S'il renvoyait une impression d'austérité mon pays était pour moi un vaste terrain de jeu du temps de mon enfance. Contrairement aux autres, je ne revais pas de m'envolé vers d'autres horizons ou d'exploré le monde, mon rêve a moi c'était de coulé des jours heureux ici chez moi et d'etre aussi respecté que ces hommes qui s'occupait de la terre avec une confiance inébranlable en l'avenir.


Je suis le dernier d'une famille de 4 enfants tous des garçons a la plus grande fierté de mon père, dans le village nous étions une grande famille et mon père était l'un des hommes les plus respecté son charisme, sa force de caractère mais aussi son calme et la confiance qu'il inspirait en faisait une des figure incontournable dans notre village perdue dans la campagne marocaine.


Mon père assumait la charge ô combien importante d'enseigner la religion aux enfants du village.J'etais moi le plus rêveur de mes frères,mon prénom Mustapha n'était utilisé que par mon père qui le prononcait toujours avec solennité, tout le monde m'appellait depuis ma naissance Mouss, ma nature rêveuse,maladroite et mon physique frêle etaient l'objet de toutes les moqueries de mes grands frères qui ressemblaient tous a mon père.

Tout le monde savait que j'apprenais un peu moins vite que les autres alors j'en avais honte, j'adorais rester avec ma mère, la regarder travailler en silence avec sur le visage un air mélancolique qui la rendait belle, il lui arrivait de chantonner c'était pour moi les meilleurs moments, jusqu'a aujourd'hui presque un siècle plus tard je crois l'entendre chanter ces chants d'autrefois lorsqu'au plus profond de la nuit je me sens seul.

Nous étions pauvres mais heureux, et les années de mon enfance et de l'adolescence passaient lentement et paisiblement comme dans un rêve dont on ne voudrait pas qu'il s'arrête.


comme un air de ressemblance :
http://www.bladi.info/259340-linconnue/
 
La maladie de ma mère prenait de l'ampleur et je ne pouvais plus assumer les sommes astronomique que me réclamaient les médecins dont la plupart étaient des charlatans, La seul solution qui me restait pour assumer les charges de plus en plus lourde était de partir voir mes frères tous parti cherché fortune ailleurs.

Tout se passa très vite je conven dans la nuit avec Nordin qu'il s'occuperai de ce qui restait de la demeure qui m'avait vu grandir, j'étais désormais seul face a mon destin et je pris la décision d'allé voir l'ainée de mes frère Idriss. Au lever du soleil je pris la route ..
ce matin la , je partis sans me retourné, un étrange sentiment me pris je savais que lorsque je reviendrais plus rien ne serait pareil, ce soleil, ces montagne, ces visages cette terre Ma terre qu'allait-elle devenir sans moi, qu'allais-je devenir loin d'elle ? Je devais avancé et rejoindre mon frère la vie de ma chère mère en dépendait !

Mon frère Idriss avait toujours été distant avec moi et je n'avais de lui que ce papier chiffonné datant alors d'il y a déja quelque année
sur lequel était vaguement griffoné le quartier de cette grande ville ou il habitait alors,
mes peurs d'enfant reapparure pour la première fois
qu'allait-il pensé de moi ?
que je n'étais pas capable d'assumer seul la vie auprès de ma mère que j'avais choisi
Je m'imaginait déja etre l'objet de ses raillerie comme
a l'époque ou avec mes autres frère m'humilier faisait partie de leurs occupation favorite.
chaque pas qui me rapprochait du prochain village ou je devais faire une alte m'évoquait la futur rencontre avec ce frere que finalement je ne connaissais pas.
 
d'emblée à la lecture du début de ton récit j'ai retrouvé un petit quelque chose de Driss Chraïbi dans "La Civilisation, ma Mère".
l impression laissée par ton récit de Omar hier .... se confirme ( à mon grand plaisir)

je continue la lecture !!!!
 
La maladie de ma mère prenait de l'ampleur et je ne pouvais plus assumer les sommes astronomique que me réclamaient les médecins dont la plupart étaient des charlatans, La seul solution qui me restait pour assumer les charges de plus en plus lourde était de partir voir mes frères tous parti cherché fortune ailleurs.

Tout se passa très vite je conven dans la nuit avec Nordin qu'il s'occuperai de ce qui restait de la demeure qui m'avait vu grandir, j'étais désormais seul face a mon destin et je pris la décision d'allé voir l'ainée de mes frère Idriss. Au lever du soleil je pris la route ..
ce matin la , je partis sans me retourné, un étrange sentiment me pris je savais que lorsque je reviendrais plus rien ne serait pareil, ce soleil, ces montagne, ces visages cette terre Ma terre qu'allait-elle devenir sans moi, qu'allais-je devenir loin d'elle ? Je devais avancé et rejoindre mon frère la vie de ma chère mère en dépendait !

Mon frère Idriss avait toujours été distant avec moi et je n'avais de lui que ce papier chiffonné datant alors d'il y a déja quelque année
sur lequel était vaguement griffoné le quartier de cette grande ville ou il habitait alors,
mes peurs d'enfant reapparure pour la première fois
qu'allait-il pensé de moi ?
que je n'étais pas capable d'assumer seul la vie auprès de ma mère que j'avais choisi
Je m'imaginait déja etre l'objet de ses raillerie comme
a l'époque ou avec mes autres frère m'humilier faisait partie de leurs occupation favorite.
chaque pas qui me rapprochait du prochain village ou je devais faire une alte m'évoquait la futur rencontre avec ce frere que finalement je ne connaissais pas.


Mal reveillé, anxieux et stressé la matinée et le début d'apres midi passèrent rapidement mon village après n'avoir été qu'un point a l'horizon avait maintenant depuis longtemps disparu et le soleil a son tour tirait sa réverance.

L'excitation m'avait elle aussi a son tour délaissée, Nordin avant de me quitter m'avait glissé un paquet de cigarette a moitié entamé et un paquet d'allumettes pour disait-il tuer l'ennui, moi je ne fumais pas.

Je commencais machinalement a jouer avec puis j'allumais la première, je toussais en regardant les voluptes de fumée s'elevé vers le ciel étoilé je repensais pour la première fois depuis longtemps a mon père, lui qui avait été le ciment de notre famille m'observait-il a cet instant, était-il fière de moi ?

Un brise fraiche vint me caresser le visage a ce moment mon père était avec moi il me guidait j'en était maintenant persuadé !

J'arrivais après une journée de marche épuisé dans la ville ou habitait Idriss l'ainé de mes frères, Marrakech la ville rouge, en pleine nuit, je passait le reste de la nuit a errer dans cette ville que je connaissait pas comme un fantome.
 
Je finis par m'assoupir sur un des bancs en pierre, non loin des anciens rempart de la médina.Je ne sais pas combien de temps le sommeil m'avait emporté.
Je revais de ma mère, elle était belle et jeune, elle riait et elle me disais de me dépêcher, qu'il fallait que je revienne la voir pour l'accompagner.

J'me reveillais en sursaut, des larmes inondait mon visage, mais l'agitation de la ville qui pour moi était peu commune et me fit rapidement oublié ce rêve déchirant, Marrakech pour moi qui débarquait de ma campagne reculé était une foumillère rouge et bouillante qui m'asphyxiait.

Je cherchais mon chemin au début je marchais au hasard, ce bout de papier ne serai pas suffisant, je me sentais mal ces inconnus qui marchaient sans me voir. Je cherchais mon frère des yeux en imaginant mon père en plus jeune. Cette frénesie des grande villes me donnait l'impression d'un vertige, je voulais rentrait chez moi peut-être pourrais-je emprunté un peu d'argent pour assuré a ma mère les soins dont elle avait besoin !

C'était trop tard je ne pouvais plus faire marche arrière c'était une question de fierté, ces astres qui m'avaient accompagner toute la nuit dernière jusqu'ici m'avaient abandonnés et ne seraient pas témoin du désastre me disais-je.Le doute s'était emparé de mon coeur.
j'arrivais sur une grande places bordée d'échoppe en face de la grande mosquée, qui semblait être le quartier commercant de la ville, la chaleur ayant ralentie son activitée elle était presque vide a cette heure ou le soleil était a son zénith. dans un coin a l'ombre une agitation ce faisait jour, un petit groupe faisait du bruit et semblait agité d'une excitation assez peu commune, je m'approchais comme un insecte attiré en pleine nuit par la lumière de la lampe.
Des Gnawas !! je n'en avais jamais vu leur chant m'apaisais, il avait pour moi quelque chose de magique, leurs présence e( leurs musique dont je n'avais que vaguement entendu parler me rassurait et lorsqu'ils décidèrent de s'en aller je me mis machinalement a les suivres...
 
Marrakech avec eux me semblait moins inquietente , au bout d'un certain temps ils finirent par me remarquer.Qui était ce jeune adulte inconnus qui les suivaient depuis une bonne heure a travers les dédalle de la vieille ville ?!

J'aimais leurs joie de vivre, leur gouaille et cette forme d'insouciance qu'ils dégagaient et que je n'avais plus depuis longtemps, malgré mon jeune age.

-qui es-tu fini par me demander celui qui semblait être leur chef.

Je bredouillait quelque chose d'inaudible avant de me reprendre :
-Je cherche mon grand frère Idriss mais je suis perdu !

Ils éclatèrent de rire tous en coeur !
-Tu semble un peu vieux pour être perdu et cherché ton frère.

Je leur racontais mon histoire et leurs visages ce firent rapidement plus grave.
Il envoyèrent un des jeunes qui les accompagnait se resenseigner avec pour seul indice un prénom et un quartier.

Celui-ci partit comme un flêche, plein de détermination.
Il réapparu vers la fin d'après midi, un sourire au coin des lèvres.

Je promis de revenir voir ce groupe qui parcourait la ville et semait la ou il passait une joyeuse pagaille et suivait, mon sauveur a travers les rues.On s'éloignait des endroits que j'avais jusqu'a lors parcouru en rentrant dans une partie de la ville que je n'avais pas encore découvert.

Des magnifiques villas, bordées d'arbes centenaire ou la vie semblais calme et paisible, je restait un instant scotché par la beauté de cette endroit.
Le jeune musicien me laissa devant une de ces demeures de style colonial en me disant que mon frère y travaillait.

Mon frère Idriss, l'archétype de l'homme courageux, un physique a faire palir les plus noble des guerrier, la tête et le front toujours haut, un vulgaire domestique ! Je ne pouvais pas le croire.

Je sonnais et c'est lui qui m'ouvrit, il m'attendait et me reconnu au premier regard.
 
*****, je viens de comprendre JohnWOO c'est Sickooooo :eek:

Je me disais en plus que le style était très similaire, et la plume était tout aussi efficace.
Sotchée l'Ami.

Arf, t'aurais pu me le dire quand tu m'as envoyé ce lien en MP que c'était toi ! LOL
Moi qui me disais depuis quelques semaines que ça faisait longtemps que j'avais pas vu Sicko, mais que quand même, sur le topic musique, y'avait un JohnWOO qui arrivait quelque peu à estomper mon chagrin ! :D

Je me sens bêêête tout d'un coup.

Sinon ... pfiouuu chapeau bas pour l'histoire, l'écriture, le style, tout est remarquable !
D'ailleurs je voulais le faire remarquer à "Sicko" la dernière fois que je "lui" ai parlé, mais il avait disparu _=___=

Et pour le blog potentiel (cf la suggestion de Red_1), ce serait un très beau cadeau que tu nous ferais.

Très bonne continuation en tout cas !
 
Retour
Haut