D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai connu que ce vaste paysage de terre aride où des générations se sont battue pour en tiré de maigres récoltes.
S'il renvoyait une impression d'austérité mon pays était pour moi un vaste terrain de jeu du temps de mon enfance. Contrairement aux autres, je ne revais pas de m'envolé vers d'autres horizons ou d'exploré le monde, mon rêve a moi c'était de coulé des jours heureux ici chez moi et d'etre aussi respecté que ces hommes qui s'occupait de la terre avec une confiance inébranlable en l'avenir.
Je suis le dernier d'une famille de 4 enfants tous des garçons a la plus grande fierté de mon père, dans le village nous étions une grande famille et mon père était l'un des hommes les plus respecté son charisme, sa force de caractère mais aussi son calme et la confiance qu'il inspirait en faisait une des figure incontournable dans notre village perdue dans la campagne marocaine.
Mon père assumait la charge ô combien importante d'enseigner la religion aux enfants du village.J'etais moi le plus rêveur de mes frères,mon prénom Mustapha n'était utilisé que par mon père qui le prononcait toujours avec solennité, tout le monde m'appellait depuis ma naissance Mouss, ma nature rêveuse,maladroite et mon physique frêle etaient l'objet de toutes les moqueries de mes grands frères qui ressemblaient tous a mon père.
Tout le monde savait que j'apprenais un peu moins vite que les autres alors j'en avais honte, j'adorais rester avec ma mère, la regarder travailler en silence avec sur le visage un air mélancolique qui la rendait belle, il lui arrivait de chantonner c'était pour moi les meilleurs moments, jusqu'a aujourd'hui presque un siècle plus tard je crois l'entendre chanter ces chants d'autrefois lorsqu'au plus profond de la nuit je me sens seul.
Nous étions pauvres mais heureux, et les années de mon enfance et de l'adolescence passaient lentement et paisiblement comme dans un rêve dont on ne voudrait pas qu'il s'arrête.
S'il renvoyait une impression d'austérité mon pays était pour moi un vaste terrain de jeu du temps de mon enfance. Contrairement aux autres, je ne revais pas de m'envolé vers d'autres horizons ou d'exploré le monde, mon rêve a moi c'était de coulé des jours heureux ici chez moi et d'etre aussi respecté que ces hommes qui s'occupait de la terre avec une confiance inébranlable en l'avenir.
Je suis le dernier d'une famille de 4 enfants tous des garçons a la plus grande fierté de mon père, dans le village nous étions une grande famille et mon père était l'un des hommes les plus respecté son charisme, sa force de caractère mais aussi son calme et la confiance qu'il inspirait en faisait une des figure incontournable dans notre village perdue dans la campagne marocaine.
Mon père assumait la charge ô combien importante d'enseigner la religion aux enfants du village.J'etais moi le plus rêveur de mes frères,mon prénom Mustapha n'était utilisé que par mon père qui le prononcait toujours avec solennité, tout le monde m'appellait depuis ma naissance Mouss, ma nature rêveuse,maladroite et mon physique frêle etaient l'objet de toutes les moqueries de mes grands frères qui ressemblaient tous a mon père.
Tout le monde savait que j'apprenais un peu moins vite que les autres alors j'en avais honte, j'adorais rester avec ma mère, la regarder travailler en silence avec sur le visage un air mélancolique qui la rendait belle, il lui arrivait de chantonner c'était pour moi les meilleurs moments, jusqu'a aujourd'hui presque un siècle plus tard je crois l'entendre chanter ces chants d'autrefois lorsqu'au plus profond de la nuit je me sens seul.
Nous étions pauvres mais heureux, et les années de mon enfance et de l'adolescence passaient lentement et paisiblement comme dans un rêve dont on ne voudrait pas qu'il s'arrête.