Cap ou pas cap

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion just me
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je m'en fou je suis fier de moi, au moins tu ose pas mettre la tienne,je met fotos de chez moi de salle à manger , je fais ce que je veux MDR à toi de mettre tes fesses sur ton album pour attirer le bladinautes hhhhhh tu fais pitié, change ton image perso c trop laide :D

Y'a pas de quoi pourtant :D
 
cap de rire jusqu'à la fin de la journée.. cap de m'aider pour m'aider à faire ma dissert' de philo??

Lol, tu te sers de nous:eek:

Sa dépend du sujet, c'est quoi??

Essera a dit:
bon laisse tomber.. ça vaut même pas la peine que je te réponde!

Toi aussi tu le comprends pas =D


math2007 a dit:
oui fier,et t as pas à me juger car t'es laide MDRrrr

Je ne t'es jugé à aucun moment, juste donné des conseils, c'est toi qui me juge ;)
Je ne suis pas du genre à dire à quelqu'un qu'il ressemble à deux trois détails près à une mer**. J'ai trop de coeur jcrois...
 
Sois pas criste
Moi aussi j'ai envie de rigoulé!
On reviens au sujet!
Cap ou pas cap de dire à ta mère que tu t'es marié en cachette et de lui dire après que c'est un poisson d'avril?

pas cap! ma mère serait trop déçue après mdrrrrrrrrrrrrr

suis je ce que je suis conscient d'être?

ça c'est du sujet! alors qu'est ce que la conscience? est ce en lien avec l'intelligence, la morale?
et du coup c'est aussi par rapport aux autres!

donc moi à ta place je ferais une première partie sur la conscience et ta manière de vivre
et je metterai en parallèle ça avec la société et les règles qui la régisse

au final ta réponse sera je pense que chacun analyse ou voit l'autre en fonction de ses propres attentes et valeurs donc tu n'es pas ce que tu crois être!

je re ce soir je dois y aller si t'as besoin je t'aide titaleur ;)
 
Lol, tu te sers de nous:eek:

Sa dépend du sujet, c'est quoi??



Toi aussi tu le comprends pas =D




Je ne t'es jugé à aucun moment, juste donné des conseils, c'est toi qui me juge ;)
Je ne suis pas du genre à dire à quelqu'un qu'il ressemble à deux trois détails près à une mer**. J'ai trop de coeur jcrois...

tu me fais rire,dire *** c pas jugement?? moi je te juge pas ma soeur, je dis la realité, un laide reste un laide sauf si y a de miracles pour l esthetique mais dommage ca coute cher
sniif, t inquiete tu va te marier en avril hhhhhhhhhhh
 
suis je ce que je suis conscient d'être? :eek:

sens des termes.

"Je" : notion de sujet (pensant); désigne l'homme en tant que connaissant.

"Etre"; "suis" : exister (être en général : réalité)

"conscience" : esprit qui connaît par opposition aux choses à connaître; on peut définir les différents niveaux de la conscience : conscience immédiate; réfléchie (se saisir comme sujet pensant, comme conscience; cf; introspection, faculté de rentrer à l'intérieur de soi pour se connaître). Sorte de savoir immédiat. Mais ici, il s'agit de la conscience réfléchie.

Sens de la question (mise en rapport des termes).

Le sujet nous invite à réfléchir sur le problème du rapport entre la conscience et l'être (qui se manifeste dans l'epérience du "je suis") et sur les figures possibles de ce rapport :

suis-je tout ce que j'ai conscience d'être, ie, y a-t-il identité entre conscience et être? (Descartes)

Suis-je moins ou plus que ce que j'ai conscience d'être?
Ou même tout à fait autre? (Freud)

Présupposé.

La conscience pourrait être un obstacle à la connaissance moi-même, et serait même, en ce qui me concerne, une source d'illusions. Bref, la conscience me trompe. Nous sommes peut-être tout à fait autre que ce que nous avons conscience d'être -du moins, cela est ici présenté comme douteux

Enjeu :

a) si oui alors la conscience est un savoir, elle est toute-puissante

b) si non, alors, il existe autre chose qu'elle, il y a sans doute un inconscient

Problématique :

la conscience (réfléchie), qui depuis Descartes est censée avoir un privilège (cf. le cogito) concernant l'accès à nous-mêmes, ne serait-elle que la superficie de l'esprit? N'est-elle pas, plutôt que la connaissance de nous-mêmes, illusion sur nous-mêmes? Ne nous cache-t-elle pas tout de nous?




Plan.

I- La transparence à soi de la conscience ou le cogito cartésien :

Je suis tout ce que j'ai conscience d'être; comment en serait-il autrement, étant donné que la conscience, quand elle porte sur les contenus propres de l'esprit, de mon "moi", ne peut par définition me tromper?

A) Je pense donc je suis :

pas de différence entre être et penser être tel ou tel (ie, ce qui apparaît et ce qui est réellement). Avoir conscience de soi c'est se connaître avec certitude.

B) Développt :

le monde extérieur est douteux mais moi, je suis certain de me connaître tel que je suis grâce à ma conscience; cf. malin génie.
Transition : que présuppose la thèse selon laquelle je suis tout ce que j'ai conscience d'être? Que la conscience existe ou peut exister à part du monde extérieur. On va montrer que ce présupposé ne va en fait pas de soi.

II- Soit Hume, soit Kant :

ainsi, peut-être ne suis-je pas exactement tel que je m'apparais à moi-même à travers ma conscience?

Qui nous dit que la conscience bénéficie d'une telle immunité? Il faudrait alors que la conscience soit pure intériorité, ie, que je puisse discerner totalement "avoir conscience de soi" et "du monde". Or, ce n'est pas le cas. On aboutit ici à une nouvelle déf de la conscience: elle est toujours conscience de quelque chose. D'où : le postulat nécessaire au privilège de la conscience étant détruit, on ne peut être sûr d'être tel que ce que l'on a conscience d'être.

III-Ne suis-je pas même tout à fait autre que ce que j'ai conscience d'être?

L'inconscient freudien
Les sciences humaines (primat du social sur l'individuel)
La conscience perd tout privilège; elle n'est plus que la surface du psychisme. Son immédiateté est trompeuse (elle nous trompe sur nous-mêmes). Bref, il y a quelque chose de plus profond qu'elle, qui est mon être véritable, et à quoi je n'ai hélas pas accès directement.

IV - Mais finalement, ne puis-je pas partiellement prendre conscience de ce que je suis?

Je peux en effet prendre conscience de cette méconnaissance de moi-même, par les techniques de libération freudiennes. (On peut aussi partir de la critique de Sartre, qui serait ici judicieuse). La conscience de soi peut être conscience de l'illusion sur soi : ie, en prenant conscience que je ne suis pas ce que j'ai conscience d'être, je peux mieux me connaître (à une condition évidemment : que je ne sois pas fatalement détermién par mon inconscient, que celui-ci ne soit pas un "destin" -d'où, encore, l'intérêt de recourir à Sartre).



Alors cap ou pas cap :cool:
 
lol just me et math 2007 vous avez pas encore fini

sens des termes.

"Je" : notion de sujet (pensant); désigne l'homme en tant que connaissant.

"Etre"; "suis" : exister (être en général : réalité)

"conscience" : esprit qui connaît par opposition aux choses à connaître; on peut définir les différents niveaux de la conscience : conscience immédiate; réfléchie (se saisir comme sujet pensant, comme conscience; cf; introspection, faculté de rentrer à l'intérieur de soi pour se connaître). Sorte de savoir immédiat. Mais ici, il s'agit de la conscience réfléchie.

Sens de la question (mise en rapport des termes).

Le sujet nous invite à réfléchir sur le problème du rapport entre la conscience et l'être (qui se manifeste dans l'epérience du "je suis") et sur les figures possibles de ce rapport :

suis-je tout ce que j'ai conscience d'être, ie, y a-t-il identité entre conscience et être? (Descartes)

Suis-je moins ou plus que ce que j'ai conscience d'être?
Ou même tout à fait autre? (Freud)

Présupposé.

La conscience pourrait être un obstacle à la connaissance moi-même, et serait même, en ce qui me concerne, une source d'illusions. Bref, la conscience me trompe. Nous sommes peut-être tout à fait autre que ce que nous avons conscience d'être -du moins, cela est ici présenté comme douteux

Enjeu :

a) si oui alors la conscience est un savoir, elle est toute-puissante

b) si non, alors, il existe autre chose qu'elle, il y a sans doute un inconscient

Problématique :

la conscience (réfléchie), qui depuis Descartes est censée avoir un privilège (cf. le cogito) concernant l'accès à nous-mêmes, ne serait-elle que la superficie de l'esprit? N'est-elle pas, plutôt que la connaissance de nous-mêmes, illusion sur nous-mêmes? Ne nous cache-t-elle pas tout de nous?




Plan.

I- La transparence à soi de la conscience ou le cogito cartésien :

Je suis tout ce que j'ai conscience d'être; comment en serait-il autrement, étant donné que la conscience, quand elle porte sur les contenus propres de l'esprit, de mon "moi", ne peut par définition me tromper?

A) Je pense donc je suis :

pas de différence entre être et penser être tel ou tel (ie, ce qui apparaît et ce qui est réellement). Avoir conscience de soi c'est se connaître avec certitude.

B) Développt :

le monde extérieur est douteux mais moi, je suis certain de me connaître tel que je suis grâce à ma conscience; cf. malin génie.
Transition : que présuppose la thèse selon laquelle je suis tout ce que j'ai conscience d'être? Que la conscience existe ou peut exister à part du monde extérieur. On va montrer que ce présupposé ne va en fait pas de soi.

II- Soit Hume, soit Kant :

ainsi, peut-être ne suis-je pas exactement tel que je m'apparais à moi-même à travers ma conscience?

Qui nous dit que la conscience bénéficie d'une telle immunité? Il faudrait alors que la conscience soit pure intériorité, ie, que je puisse discerner totalement "avoir conscience de soi" et "du monde". Or, ce n'est pas le cas. On aboutit ici à une nouvelle déf de la conscience: elle est toujours conscience de quelque chose. D'où : le postulat nécessaire au privilège de la conscience étant détruit, on ne peut être sûr d'être tel que ce que l'on a conscience d'être.

III-Ne suis-je pas même tout à fait autre que ce que j'ai conscience d'être?

L'inconscient freudien
Les sciences humaines (primat du social sur l'individuel)
La conscience perd tout privilège; elle n'est plus que la surface du psychisme. Son immédiateté est trompeuse (elle nous trompe sur nous-mêmes). Bref, il y a quelque chose de plus profond qu'elle, qui est mon être véritable, et à quoi je n'ai hélas pas accès directement.

IV - Mais finalement, ne puis-je pas partiellement prendre conscience de ce que je suis?

Je peux en effet prendre conscience de cette méconnaissance de moi-même, par les techniques de libération freudiennes. (On peut aussi partir de la critique de Sartre, qui serait ici judicieuse). La conscience de soi peut être conscience de l'illusion sur soi : ie, en prenant conscience que je ne suis pas ce que j'ai conscience d'être, je peux mieux me connaître (à une condition évidemment : que je ne sois pas fatalement détermién par mon inconscient, que celui-ci ne soit pas un "destin" -d'où, encore, l'intérêt de recourir à Sartre).



Alors cap ou pas cap :cool:

cest ton exposé ça??? :eek:
 
sens des termes.

"Je" : notion de sujet (pensant); désigne l'homme en tant que connaissant.

"Etre"; "suis" : exister (être en général : réalité)

"conscience" : esprit qui connaît par opposition aux choses à connaître; on peut définir les différents niveaux de la conscience : conscience immédiate; réfléchie (se saisir comme sujet pensant, comme conscience; cf; introspection, faculté de rentrer à l'intérieur de soi pour se connaître). Sorte de savoir immédiat. Mais ici, il s'agit de la conscience réfléchie.

Sens de la question (mise en rapport des termes).

Le sujet nous invite à réfléchir sur le problème du rapport entre la conscience et l'être (qui se manifeste dans l'epérience du "je suis") et sur les figures possibles de ce rapport :

suis-je tout ce que j'ai conscience d'être, ie, y a-t-il identité entre conscience et être? (Descartes)

Suis-je moins ou plus que ce que j'ai conscience d'être?
Ou même tout à fait autre? (Freud)

Présupposé.

La conscience pourrait être un obstacle à la connaissance moi-même, et serait même, en ce qui me concerne, une source d'illusions. Bref, la conscience me trompe. Nous sommes peut-être tout à fait autre que ce que nous avons conscience d'être -du moins, cela est ici présenté comme douteux

Enjeu :

a) si oui alors la conscience est un savoir, elle est toute-puissante

b) si non, alors, il existe autre chose qu'elle, il y a sans doute un inconscient

Problématique :

la conscience (réfléchie), qui depuis Descartes est censée avoir un privilège (cf. le cogito) concernant l'accès à nous-mêmes, ne serait-elle que la superficie de l'esprit? N'est-elle pas, plutôt que la connaissance de nous-mêmes, illusion sur nous-mêmes? Ne nous cache-t-elle pas tout de nous?




Plan.

I- La transparence à soi de la conscience ou le cogito cartésien :

Je suis tout ce que j'ai conscience d'être; comment en serait-il autrement, étant donné que la conscience, quand elle porte sur les contenus propres de l'esprit, de mon "moi", ne peut par définition me tromper?

A) Je pense donc je suis :

pas de différence entre être et penser être tel ou tel (ie, ce qui apparaît et ce qui est réellement). Avoir conscience de soi c'est se connaître avec certitude.

B) Développt :

le monde extérieur est douteux mais moi, je suis certain de me connaître tel que je suis grâce à ma conscience; cf. malin génie.
Transition : que présuppose la thèse selon laquelle je suis tout ce que j'ai conscience d'être? Que la conscience existe ou peut exister à part du monde extérieur. On va montrer que ce présupposé ne va en fait pas de soi.

II- Soit Hume, soit Kant :

ainsi, peut-être ne suis-je pas exactement tel que je m'apparais à moi-même à travers ma conscience?

Qui nous dit que la conscience bénéficie d'une telle immunité? Il faudrait alors que la conscience soit pure intériorité, ie, que je puisse discerner totalement "avoir conscience de soi" et "du monde". Or, ce n'est pas le cas. On aboutit ici à une nouvelle déf de la conscience: elle est toujours conscience de quelque chose. D'où : le postulat nécessaire au privilège de la conscience étant détruit, on ne peut être sûr d'être tel que ce que l'on a conscience d'être.

III-Ne suis-je pas même tout à fait autre que ce que j'ai conscience d'être?

L'inconscient freudien
Les sciences humaines (primat du social sur l'individuel)
La conscience perd tout privilège; elle n'est plus que la surface du psychisme. Son immédiateté est trompeuse (elle nous trompe sur nous-mêmes). Bref, il y a quelque chose de plus profond qu'elle, qui est mon être véritable, et à quoi je n'ai hélas pas accès directement.

IV - Mais finalement, ne puis-je pas partiellement prendre conscience de ce que je suis?

Je peux en effet prendre conscience de cette méconnaissance de moi-même, par les techniques de libération freudiennes. (On peut aussi partir de la critique de Sartre, qui serait ici judicieuse). La conscience de soi peut être conscience de l'illusion sur soi : ie, en prenant conscience que je ne suis pas ce que j'ai conscience d'être, je peux mieux me connaître (à une condition évidemment : que je ne sois pas fatalement détermién par mon inconscient, que celui-ci ne soit pas un "destin" -d'où, encore, l'intérêt de recourir à Sartre).



Alors cap ou pas cap :cool:


merci les filles.. mais j voulais des points de vue personnels, et non pas des copier/ coller de google.. ça je peux le faire tte seule ;)
 
tu me fais rire,dire *** c pas jugement?? moi je te juge pas ma soeur, je dis la realité, un laide reste un laide sauf si y a de miracles pour l esthetique mais dommage ca coute cher
sniif, t inquiete tu va te marier en avril hhhhhhhhhhh

C'était une question je t'es demandé si tu étais *** ou pas? Mais j'ai eu ma réponse :D
La beauté est une notion subjectif, sinon y'a longtemps qu'on t'aurais enfermé :rolleyes:
Si tu pouvais faire un effort pour te relire je sais pas faire quelque chose...
 
C'était une question je t'es demandé si tu étais *** ou pas? Mais j'ai eu ma réponse :D
La beauté est une notion subjectif, sinon y'a longtemps qu'on t'aurais enfermé :rolleyes:
Si tu pouvais faire un effort pour te relire je sais pas faire quelque chose...

si tu avais la réponse c 'est que t as depassé les limtes d etre une *****, car tu juge tt le monde vite,pour la beauté ne te desespere pas, tu peux bosser y en a pas mal d'estheticiens et parfois kaykone solde chez eux.
 
Comme on dit qui aime bien chatie bien

loll physiquement pourquoi ce cap ?

cap pas cap cap pas cap telle est la question : rolleyes:





je fuis =D


:eek:


Nan te défiles pas !!
Ce cap, comme sa aurais pu etre un autre :rolleyes:
Allez dis lui!! Sois sincère, jte demande pas de faire quelque chose de mal.
bah, sinon dis juste si c'est ton type ? oui, non, pourquoi?
 
loll jai lit votre altercation tu m'a fait dahak sur ces deux passages

just me a dit:
Lol, t'es vraiment *** : D

Un conseil: enlève ta photo de ton album :D

just me a dit:
Moi jdisais ça pour toi tu sais. Imagines tu sympatises avec quelqu'un (peu probable mais l'espoir fait vivre) si elle voit ton album et tombe sur ta photo elle va vite déchanter. :D

:eeek:


Nan te défiles pas !!
Ce cap, comme sa aurais pu etre un autre :roulleyes:
Allez dis lui!! Sois sincère, jte demande pas de faire quelque chose de mal.
bah, sinon dis juste si c'est ton type ? oui, non, pourquoi?

nan
 
Ok, si tu veux pas, c'est pas grave...
Jte demande pas pourquoi :D


Bah quoi, je lui ai rien dit de méchant nan? Si sa t'a fais rire, c'est que t'es d'accord avec moi :eek:

tu ose meme pas mettre ta foto ni toi ni ramzokita loool, on sais deja la réponse hhhhhhhhhh en tt cas je me sens à l'aise avec d'autres filles amicalement pas comme....MDR
 
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