A s -S o u d d y a dit: «P a rm i les pervers de M édine, il y avait des
hommes qui sortaient la nuit une fois l’obscurité enveloppant la ville,
pour se montrer devant les habitantes de Médine. Com m e les sentes
de cette ville sont étroites, les fem m es de M édine sortaient pour
satisfaire leur besoin, et étaient contraintes à le faire dans des lieux
proches. C es pervers les guettaient, et quand ils apercevaient des
femmes qui portaient des jilbabs, ils savaient qu’elles sont des femmes
libres de condition et les laissaient. Quant à l’esclave qui ne portait pas
le jilbab, ils l’attaquaient