AAbdoullah
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Un tribunal de Dubaï a condamné un Libanais et une Russe à une amende de 1.000 dirhams (272 dollars) chacun pour avoir bu une boisson en public durant le jeûne musulman du ramadan, a rapporté mercredi un journal émirati.
Le Libanais de 30 ans, qui travaille à Dubaï, et sa compagne russe, 28 ans, en visite dans l'émirat, ont été condamnés pour "avoir violé le code pénal fédéral" des Emirats arabes unis en ayant bu un jus de fruit dans une station-service avant l'iftar, le dîner marquant la rupture du jeûne, a ajouté le quotidien Gulf News.
Les deux prévenus, qui ne sont pas de confession musulmane, ont plaidé non coupables et demandé l'indulgence du tribunal, affirmant "ne pas savoir que leur acte était punissable par la loi locale", selon le journal. La loi s'applique également aux étrangers non-musulmans présents dans l'émirat.
Boire ou manger en public entre le lever et le coucher du soleil durant le ramadan est "un crime" dont l'auteur est passible d'une peine de prison d'"un mois au maximum ou d'une amende de 2.000 dirhams au maximum", a expliqué une source au parquet de Dubaï, citée par Gulf News.
Le couple peut faire appel du jugement.
Durant le ramadan, qui a commencé cette année le 1er septembre, les croyants sont appelés à s'abstenir de boire, de manger, de fumer et de tout rapport sexuel, du lever au coucher du soleil.
rtlinfo.be
Le Libanais de 30 ans, qui travaille à Dubaï, et sa compagne russe, 28 ans, en visite dans l'émirat, ont été condamnés pour "avoir violé le code pénal fédéral" des Emirats arabes unis en ayant bu un jus de fruit dans une station-service avant l'iftar, le dîner marquant la rupture du jeûne, a ajouté le quotidien Gulf News.
Les deux prévenus, qui ne sont pas de confession musulmane, ont plaidé non coupables et demandé l'indulgence du tribunal, affirmant "ne pas savoir que leur acte était punissable par la loi locale", selon le journal. La loi s'applique également aux étrangers non-musulmans présents dans l'émirat.
Boire ou manger en public entre le lever et le coucher du soleil durant le ramadan est "un crime" dont l'auteur est passible d'une peine de prison d'"un mois au maximum ou d'une amende de 2.000 dirhams au maximum", a expliqué une source au parquet de Dubaï, citée par Gulf News.
Le couple peut faire appel du jugement.
Durant le ramadan, qui a commencé cette année le 1er septembre, les croyants sont appelés à s'abstenir de boire, de manger, de fumer et de tout rapport sexuel, du lever au coucher du soleil.
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