oui justement c pour cela qu'il faudrai une veritable etude car le sujet est trop complexe
pour pouvoir daté les differentes strate des textes biblique
mais je ne voi pas le rapport avec ce que j'ai dit precedement
Tu ne vois pas le rapport avec ce qui précède...
Le récit d'Alexandre et ses versions : 1) le sermon de Jacob de Serugh (521), 2) version grecque (VIeS), syriaque (VIeS au XeS) montrent un éloignement progressif du récit primitif et un rapprochement avec le récit coranique. Les récits tenus pour contemporains ou antérieur au Coran sont fortement éloignés du récit de la sourate al Kahf ne présentant aucun point d'accroche pertinent a contrario des récits plus tardifs et de l'exégèse tardive du récit coranique. Tandis que l'exégèse du récit coranique se rapproche de son côté de variantes contemporaines du récit en question... Enfin, le récit de rabbi Yohannan ben Levy sur le voyage avec Elie est postérieur au Coran : si influence il y a ce ne peut être qu'une influence inverse du Coran vers le midrach.
Pour ce qui est de l'épreuve du feu d'Abraham, j'ai expliqué que nous avons une version grecque alexandrine reprise dans la version Massorétique plusieurs siècles après le Prophète Muhammad, et une version talmudique datant du IIIeS : j'ai souligné que le déchiffrement de
Ur Qasidim par "Ur de Chaldée" est clairement un anachronisme révélant que cette lecture là est anachronique et doit remonter à une erreur de lecture en Babylonie du temps de l'exil et du prophète Jérémie, car la Chaldée est inexistante avant le VIeS BC. J'ai appuyé que Ur se disait par ailleurs Urim en akkadien infirmant une seconde fois la lecture "Ur de Chaldée" de façon archéologique, et réappuyé qu'
Ur Qasdim signifie en hébreu "feu des démons", ce qui est chronologiquement plausible pour la région et l'époque concernées puisque l'ordalie est un jugement connu à l'époque en Assyrie comme vérifié dans les tablettes de Mari en cunéiforme.
J'ai souligné que Jérémie soulignait des manipulation au stylet des écrits de la Tora en son temps, que cela explique les anachronismes induits au VIeS trahis par les concordances toponymiques et des données de chronologie trahissant une relecture vers le VIeS BC.
>> Tu as joué ta dernière carte d'une datation possible du livre de Jérémie vers le IVeS BC, et j'ai souligné que son accusation sur l'usage de stylet pour taillader la Tora au VIeS BC est conforté par des écrits paléo-bibliques gravés au stylet à cette époque précise.
Chose oubliée dans l'Antiquité tardive, puisque nous croyions que la Tora serait rédigée sur un support papier et non gravé au stylet sur de la pierre à l'époque de Jérémie.
>> Soit tu fais semblant de ne pas suivre, soit tu te ridiculise car n'oublie pas que tous les internautes qui suivent le fil nous lisent tous les deux et voient comment tu fais la pirouette.