Des dizaines de civils, dont un enfant, exhumés dans les villes reconquises par l’armée ukrainienne

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Mojod
  • Date de début Date de début
ça change des méchants musulmans qu'on nous a servi pendant 30 ans ... c'est un cycle à chaque fois , les jaunes, les juifs, les nazis, les musulmans et les méchants noirs c'est open bar ...

Nouvelle réponse pleine d'intelligence d'Einstein.. Ouh comme ça sent la profonde réflexion introspective...:P
On est pantois...
 
Oui a la botte...

si on voulait envahir la Russie ( quelle idée !! ), on l'aurait fait soit en 45, comme le suggérait Patton ou en 91-93. Il ne s'est rien passé, tu vois.
Heureusement que tu n'a pas voulu alors... Moi aussi si je voulais j'aurais envahi la Suisse en 98, mais comme tu vois rien ne s'est passé... Je suis gentil comme toi...
 
on voit surtout que la majorité de ceux qui ont votés pour font partie des pib les plus insignifiants de la planète ...
La Chine, par habitant ? Fais le calcul. Faut pas se laisser couillonner par le PIB total, surtout quand tu vois qui détient les richesse de ces pays.
Le chinois per capita produit encore moins que le russe. Autant que l'Algerien ou le lybien.
Compare les pays de l'est hors Ukraine, et occident. Vous aurez un meilleur et bel avenir avec les russes. Fuyez l'occident pauvres fous.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_PIB_(PPA)_par_habitant
 
sont souvent des mises en scène US.
Bizarrement bizarre:
Il y aurait selon toi en Ukraine occupée des troupes US dont le job serait de mettre en scène de la boucherie ?

Comme si les russes ne savaient pas le faire.
 
La Chine, par habitant ? Fais le calcul. Faut pas se laisser couillonner par le PIB total, surtout quand tu vois qui détient les richesse de ces pays.
Le chinois per capita produit encore moins que le russe. Autant que l'Algerien ou le lybien.
Compare les pays de l'est hors Ukraine, et occident. Vous aurez un meilleur et bel avenir avec les russes. Fuyez l'occident pauvres fous.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_PIB_(PPA)_par_habitant
ben regarde la France alors , le rsa n'est pas à 3000 € monsieur !
 
En effet... la "bête immonde", comme tu dis, a mué de régime mais pas de fond: de la haine des juifs on est passé à la haine de la démocratie, mais la bestialité est restée.

Le propre des régimes totalitaires a toujouirs été de se trouver un bouc émissaire pour masquer leurs véritables desseins...
Les juifs ont servi à Hilter à justifier son fantasme de lebensraum, les méchants capitalistes occidentaux à Staline pour justifier son invasion des pays de l'Est et leur soumlission au joug communiste, tout comme l'Otan aujourd'hui sert au boucher du kremlin pour donner un autre nom à ses visées impérialistes....

Même régimre fasciste, mêmes fantasmes impérialistes, même haine de l'autre.
Comme c’est étonnant de voir que c’est presque exclusivement des anglo-saxons qui avaient déjà tout prévu dans les années 40, 50 et 60 du monde totalitaire en train de se mettre en place en occident aujourd’hui : Aldous Huxley avec Le Meilleur des Mondes, George Orwell avec 1984, Ray Bradbury avec Fahrenheit 451, et bien évidemment Patrick Mc Goohan avec sa série culte du Prisonnier… Liste non exhaustive.
On est en droit de se demander jusqu’à quel point ces oeuvres n’ont pas servi de scénario pour cette dictature mondialiste planifiée par la secte ploutocrate anglo-saxonne animée par le Forum de Davos dont les straussiens représentent l’incarnation du mal absolu.

 
pauvre Arménie, pourquoi elle n'est pas soutenu par l'Europe ?
L'arménie est abandonnée de tous,pauvre @Bjorn qui passait son temps à cirer les pompes du sionistan et sui continu avec les etats unis qui se sont rangés du coté des azeris mdrrr

Il est capable de se renier juste par haine des turcs et de s'asseoir sur son honneur pour continuer a cirer les pompes des sions, beau spectacle mdr
 
Bizarrement bizarre:
Il y aurait selon toi en Ukraine occupée des troupes US dont le job serait de mettre en scène de la boucherie ?

Comme si les russes ne savaient pas le faire.

Cela semble être la "presque" hypothèse de certains ici pour lesquels tout est préférable plutôt que d'acdmettre que les russo-nazis puissent être responsables de ces massacres....

Comme s'ils s'étaient déjà privés de le faire en Tchétchénie ou en Syrie... Mais il n'y a de pire ruSSophile qui ne veut rien admettre. Le communaurtarisme avant tout :)
 
Cela semble être la "presque" hypothèse de certains ici pour lesquels tout est préférable plutôt que d'acdmettre que les russo-nazis puissent être responsables de ces massacres....

Comme s'ils s'étaient déjà privés de le faire en Tchétchénie ou en Syrie... Mais il n'y a de pire ruSSophile qui ne veut rien admettre. Le communaurtarisme avant tout :)

Finalement un athé peut avoir des croyances, les medias sont ses dieux mdr
 
si les ukrainiens de l'ouest, on va les appeler comme ça, ne tuaient pas les ukrainiens pro est en les traitants de collabos ... mais visiblement on est à l'est et dans d'autres vidéos @3roubi se délecte de ces assassinats de vermine pro russes collabo etc ... de là à faire un lien ...

Voilà à quoi ressemblent les « victimes des atrocités russes » destinées à émouvoir les gogos et faire pleurer dans les chaumières. Un peu de confiture, quelques bandages, et le tour est joué.
997.png
 
Aussi longtemps que les européens (béni oui oui français en tête) continueront à avaler le cinéma servi par nos télévisions aux ordres, les mises en scènes hollywoodiennes continueront de leur faire prendre des vessies pour des lanternes. Ils ont avalé le faux terrorisme, le 11 septembre, l’assassinat de Kennedy, les armes de destruction massive de l’Irak, Armstrong et Cie sur la lune, et j’en passe… Pourquoi deviendraient ils lucides maintenant ? Un handicapé cérébral le reste généralement à vie…
image-187.png
 
ça change des méchants musulmans qu'on nous a servi pendant 30 ans ... c'est un cycle à chaque fois , les jaunes, les juifs, les nazis, les musulmans et les méchants noirs c'est open bar ...
Il a encore la mentalité des anciens dans les années 70 ,mais oui c’est vrai ma pauvre mojod c’est la tété qui le dit!, et hop plus besoin de réfléchir c’est tellement plus simple :D
 
Maquillage très réussi faut l'avouer, bravo l'artiste mdr
Des PsyOp’s mal ficelées car ils savent que le mouton avale tout. Ou peut-être ne le savent-ils pas car ils sont si nuls à la base.

Le peuple européen a été matraqué sur ce pauvre pays, d’une façon épouvantable et il restera dans la mémoire collective :
Assad tue son peuple. La manipulation a été tellement bien orchestrée que l’on ne réussira jamais à renverser la vapeur.

 
Un autre crime de guerre à Kherson, qui s'ajoute à la collection ruSSe, datant de Juin déjà...
Un autre encore que nos idiots-perroquets utiles du kremlin qualifieront de faux bien entendu :). Pas question d'assumer que leurs idoles puissent être des assassins ni des violeurs, voyons... Non non... Les méchants, c'est les autres, allons donc...


Assis sur un banc à l’ombre d’un noisetier, le capitaine de police Mykola Marinik prend l’air pour échapper à la chaleur étouffante du petit commissariat de fortune érigé à Sloboda, dans la région de Kherson. A l’intérieur, dans l’une des deux pièces de la bâtisse exiguë, une dizaine de ses collègues se reposent sur des lits de camp ou tapent à l’ordinateur.

Originaire d’un village aujourd’hui occupé, le capitaine Marinik en a été évacué avec tous ses collègues à l’approche de l’armée russe : le traitement réservé aux forces armées ukrainiennes par les troupes russes est fait, entre autres, de tortures. A présent, le quinquagénaire est chargé de recenser les crimes commis par l’armée russe dans la vingtaine de villages qui ont pu être libérés depuis le mois d’avril – cette collection de hameaux rassemble, en tout, environ 3.000 habitants.


« Elle a 83 ans »

« Nous avons documenté plus de 200 crimes commis à l’encontre des civils par les Russes », dit Mykola Marinik, avant d’énumérer : « Quarante voitures dérobées, 60 maisons réquisitionnées et pillées pendant l’occupation, deux meurtres et trois viols. Bien sûr, la réalité est probablement bien pire : de nombreuses personnes ne souhaitent pas porter plainte. » A Pregoria, par exemple, un homme s’était caché avec son épouse et leur fils dans un sous-sol, pour échapper aux frappes aériennes et éviter de croiser les Russes. Lorsqu’il a entrouvert la porte pour voir ce qu’il se passait dehors, le père de famille s’est retrouvé nez à nez avec des soldats.

« Ils lui ont tiré dessus à bout portant au niveau du ventre ; puis ont jeté deux grenades dans le sous-sol. Par miracle, la femme et le fils ont survécu. Après la libération, ils ont été transportés à l’hôpital de la ville de Krivyi Rih », décrit le policier. Les viols recensés concernent une jeune fille de seize ans, elle aussi acheminée d’urgence à l’hôpital dès que la route a été praticable, et deux femmes : « L’une d’elles a 62 ans, et l’autre est née en 1939 ! », ajoute-t-il, montrant le dossier de plainte. Il connaît le détail de tous les cas qui lui ont été rapportés, mais celui-ci lui semble si inimaginable qu’il veut prouver qu’il ne l’invente pas : « Elle a 83 ans. »

Dans le village voisin de Krasnivka, cette dernière habite avec son époux une coquette maison de plain-pied bordé d’un jardin fleuri. Dans la petite véranda, où sont entreposés des bocaux et des fleurs séchées, se tient Vera, une petite dame maigre au visage strié de rides cerné d’un foulard bleu. Le dos courbé, elle s’excuse de ne pouvoir discuter trop longuement ; elle est trop fatiguée et puis, avoue-t-elle, elle n’en a pas envie. « Je suis sincèrement navrée », répète-t-elle poliment d’une petite voix éraillée. « Ce n’est pas que je ne vous aime pas, je vous l’assure… Mais j’ai déjà tout raconté aux policiers. »


Simulations d’exécutions

Dans un bourg voisin, Tania et Galina discutent sur un petit banc entre leurs deux maisons. Les amies, sexagénaires, se connaissent depuis plus de quarante ans et chacune complète les phrases de l’autre : « A cause des combats, tous les habitants du village qui n’avaient pas fui s’étaient regroupés dans des maisons possédant des sous-sols, afin de s’abriter en cas de bombardements. Chez moi, nous étions une quinzaine », commence Galina. « Et puis, un jour, les Russes sont arrivés, et deux d’entre eux ont décidé de s’en prendre tout particulièrement à nous. Ils s’appelaient par leurs surnoms ; l’un d’eux était “Server”, ce qui signifie nord, et l’autre “Poltava”, qui est le nom d’une ville ukrainienne. »
(...)
 
(...)


Son amie continue : « Quand ils sont arrivés dans la rue qui mène à chez nous, avec leurs blindés et leurs armes, mon mari a couru dans la maison et a dit à tout le monde de s’allonger par terre et de ne pas faire de bruit, afin de ne pas être remarqués. Raté : quelques minutes plus tard, ils ont défoncé la porte. » Découvrant une quinzaine d’hommes, femmes et enfants par terre, raconte-t-elle, ils se sont exclamés : « Qu’est-ce que vous cachez ? » Et ont jeté l’époux de Galina dans le sous-sol. « Là, on a entendu tirer à l’arme automatique. J’ai cru qu’ils l’avaient assassiné… Mais c’était pour lui faire peur. Ils l’ont fait tellement de fois… C’était horrible », soupire la grand-mère. « Ils ont aussi tiré sur mon fils de 20 ans qui est arrivé ensuite : ils ne l’ont pas touché, mais ils ont visé tout autour de ses jambes pour l’effrayer », ajoute Tania.

Outre les simulations d’exécutions, les deux soldats ont, selon les deux voisines, volé un grand nombre d’objets. « Mais pas notre voiture », précise Galina, avec un sourire en coin : « On s’est débrouillés pour faire en sorte qu’elle ne marche pas. Ils l’ont traînée avec une remorque, mais, arrivés au centre du village, ils en ont eu assez. Ils ont abandonné la voiture et ont tiré dessus, détruisant toutes les fenêtres. Mais dès que les Russes ont quitté le village, mon mari l’a réparée ! » Plusieurs autres habitants ont décrit des faits similaires : les soldats russes et combattants prorusses originaires du Donbass occupé dérobaient les véhicules, des petites voitures soviétiques aux tracteurs, et même les autobus ; mais de nombreux riverains trafiquaient leurs véhicules pour qu’ils paraissent hors d’usage. « Une manière de résister, de nous venger un peu et de garder notre dignité », explique Tania.

Un peu plus loin, dans le même hameau, Vladimir et Ludmila n’acceptent de livrer leur histoire qu’autour d’une bouteille de cognac et d’une assiette de pâté. Sur la table de jardin en bois sèchent des feuilles de tilleul : « Pour faire du thé ! », explique Ludmila dans un large sourire. Ce couple jovial de grands-parents a lui aussi connu « Server », accompagné d’un autre homme surnommé « Tchétchène ». « Lorsqu’ils sont arrivés, on a juste eu le temps de se cacher dans le sous-sol avec notre chien Archie », continue Ludmila en désignant l’american-staff adoré qui remplace leurs deux filles, parties étudier et travailler en ville. « Mais ils nous ont trouvés. Ils ont menacé de jeter une grenade ; puis, ils ont pris Vladimir et l’ont traîné jusque devant le portail de la maison. Là, ils ont commencé à le frapper », raconte la grand-mère.

Pendant plusieurs minutes, dit-elle, ils ont tabassé le sexagénaire avec leurs pieds et la crosse de leurs fusils. « Lorsqu’il est réapparu, son visage était couvert de sang », se souvient-elle. Vladimir, lui, est encore trop choqué pour pouvoir en parler. Il se contente de faire remarquer comme ses mains se mettent à trembler rien qu’à l’évocation de la scène. « Ensuite, ils ont commencé à prendre plein de choses dans la maison. Ils étaient déjà ivres en arrivant, mais ils ont demandé à boire. On n’avait pas grand-chose, mais j’ai eu une idée : je leur ai donné de l’alcool d’entretien ménager, dans lequel j’ai glissé des somnifères ! », s’exclame l’infirmière à la retraite. L’anecdote suffit à faire rire, à son tour, Vladimir, visiblement fier de son épouse.


(....)​

 
(....)

« Peut-être pas tous des monstres »

Une fois « Server » et « Poltava » partis, le couple a décidé de s’enfuir : « Les soldats russes avaient posté des snipers sur la tour de téléphone. On avait peur de sortir dans notre jardin », décrit Vladimir. Alors, un soir, à 22 heures, Vladimir et Ludmila ont pris Archie, une bouteille d’eau, leurs documents d’identité, et ils ont commencé à marcher en direction de la zone libre, à huit kilomètres de là. « Mais quelques minutes seulement après avoir quitté le village, après avoir traversé deux champs, on a entendu des rafales d’armes automatiques au-dessus de nos têtes. On s’est plaqués au sol. On était en plein sur une position de l’armée russe ! », poursuit Ludmila.

Des soldats sont venus à eux, avant de les escorter quelques kilomètres plus loin. « J’avais caché mon portable dans l’une de mes bottes, et dès qu’on a eu du réseau, il s’est mis à vibrer… Alors que j’avais assuré aux Russes qu’on n’avait pas de téléphone ! », se rappelle Vladimir. « Heureusement, ils n’ont rien entendu… Autrement, je serais sûrement mort. » Tous les 300 ou 400 mètres, le couple de retraités est confié à de nouveaux soldats : « Je suppose qu’on passait de tranchée en tranchée, mais comme on avait les yeux bandés, je n’ai rien vu », précise Vladimir.

Finalement, ils sont arrivés sur un terrain qui leur semble plus plat, où on les a assis sur un banc. « J’ai reconnu le banc qui se trouve devant le conseil municipal », se félicite Ludmila : « On était de retour au village. » Ils ont été informés qu’ils allaient être interrogés par des combattants prorusses venus de la République autoproclamée de Donetsk, dans le Donbass. « Et là… On a à nouveau retrouvé “Tchétchène !” », s’exclame Vladimir, qui affirme l’avoir reconnu « à sa voix et à son accent ». « Ils voulaient qu’on leur dise qui, dans le village, s’était battu contre les séparatistes depuis 2014, ou avait collaboré avec les forces ukrainiennes. Ils ont aussi demandé où étaient les prostituées, mais il a utilisé un autre mot, et il voulait dire les femmes. J’ai dit qu’on était un petit village peuplé de vieux, et ça les a énervés », décrit Vladimir.

A plusieurs reprises, « Tchétchène » a ordonné qu’on traîne Vladimir hors de la pièce pour l’abattre, et un des soldats a placé son arme chargée sur la tempe de Vladimir, puis il lui disait de revenir. « Au bout de la quatrième fois, ils se sont lassés. Ils nous ont renvoyés chez nous ; mais les jours qui ont suivi, des combattants originaires du Donbass occupé, des Bouriates et un ou deux Tchétchènes n’ont pas arrêté de revenir chez nous. Ils nous forçaient à cuisiner pour eux et passaient leur temps à se saouler », raconte Vladimir. Le calvaire a pris fin avec le départ des soldats russes, lorsque les forces ukrainiennes ont repris le village. Ludmila tient à le souligner : « Certains des jeunes hommes originaires des Républiques autoproclamées qui venaient chez nous pour boire, n’étaient que de pauvres gens. Ils disaient avoir été forcés de venir ici par les Russes, et n’aimaient pas le comportement de certains autres soldats. L’un d’eux s’est effondré en racontant avoir été témoin d’un viol. Je choisis de voir dans tout ça un peu de beauté : ce n’était peut-être pas tous des monstres. »
 
Oui a la botte...


Heureusement que tu n'a pas voulu alors... Moi aussi si je voulais j'aurais envahi la Suisse en 98, mais comme tu vois rien ne s'est passé... Je suis gentil comme toi...
Et tu crois faire le malin. T'es en quelle classe déjà ?
On est un pronom indéfini neutre qui réfère à une ou plusieurs personnes, sujet de la phrase. ça sert d'aller à l'école tu sais. Tu peux rejoindre @mioulo au fond de ta classe, il a une bonne tête de vainqueur aussi.
 
Dernière édition:
Aussi longtemps que les européens (béni oui oui français en tête) continueront à avaler le cinéma servi par nos télévisions aux ordres, les mises en scènes hollywoodiennes continueront de leur faire prendre des vessies pour des lanternes. Ils ont avalé le faux terrorisme, le 11 septembre, l’assassinat de Kennedy, les armes de destruction massive de l’Irak, Armstrong et Cie sur la lune, et j’en passe… Pourquoi deviendraient ils lucides maintenant ? Un handicapé cérébral le reste généralement à vie…

Oyez, oyez, bonnes gens... le degré d'acancement des délires complotistes de notre bien-aimé russkoff-perroquet-idiot utile du kremlin, se confirme :). Il cite ici une liste d'évènements - probablement non-exhaustive vu son pédigrée - relevant d'un complot ou accomplis sous false flag selon lui. Nouvelle perle qui achève de classifier notre ami et permet de poser un diagnostic sur la défaillance de ses mécaniques intellectuelles...

Une fois encore, tous les biais cognifits typiques des complotistes sont palpables chez notre ami: biais d'intentionalité, biais communautariste, adbuction et assymétrie cognitive. Tous des termes qui signifient sans doute autant pour notre russkof que l'intrication quantique pour Mister bean.
Ce qui expique aussi à lmerveille pourquoi il s'enfonce dans le déni de principe s'agissant des crimes de guerre de ses amis ruSSo-nazis, qui doivent être faux vu qu'il n'est pas question pour lui de les intégrer dans son "raisonnement" communautaire et partisan, au risque d'un bouleversement cognitif qu'il serait inapte à assumer et qui lui ferait trop violence :)

Je connais des collègues psys qui adoreraient avoir le yancine en consultation ... il serait un cas d'étude quasi-académique de la pensée complotiste binaire et de ses effets sur l'intellect. Il ferait sacrément avancer la recherche en la matière, le coco. Involontairement, certes, mais bon...

Epargnons à notre ami russkof le soin de complèter la liste de ce qui relève du complot selon lui et faisons-le à sa place, pour ne pas le fatiguer. Bon alors il y aussi:

  • le sida en Afrique
  • le covid et ses vaccins
  • la mort d'Elvis
  • la défaite de la France en finale de la CM en 2006 (le coup de boule de Zizou, ouuuuh, ça sent le complot ça...)
  • la seconde guerre mondiale (la première aussi, mais bon ...)
  • la défaite de Trump face à Biden
  • la séparation des Beatles (Let it beeee...)
  • le réchauffement climatique (c'te blague !!)
  • la disparition des dinosaures (l'astéroide a été fabriqué par la Nasa)
  • le naufrage du titanic (l'iceberg était sioniste à tous les coups...)
  • le rotondité de la terre (ben oui, elle est plate, ben voyons)
  • la défaite des arabes face à Charles Martel à Poitiers (ça ne peut pas exister donc ...)
  • le monstre du Loch Ness (dont on nous cache l'existence)
  • les pyramides d'Egypte (on nous cache qu'elles ont été construites par des aliens)
  • la terre n'est pas creuse (elle l'est, même que des aliens vivent dedans !)
  • Hilter a survécu à la seconde guerre (même qu'il serait devenu PDG d'une fabrique de gaz)
  • la neige n'existe pas, c'est en fait du plastique qui tombe du ciel

Bon j'en ai sûrement oublié mais à complêter :)

 
Oyez, oyez, bonnes gens...

Bon j'en ai sûrement oublié mais à complêter

Parler beaucoup ne sert a rien : les Chiffres;
Armée Russe deployés: 140000-160000 hommes max
Armée Ukraine : debut OPS ; 250000-350000 deployés
plusieurs mobilisations: 500000-800000 hommes
Lieu de confrontation; Donbass ex Ukraine
Rapport de force: 1 pour 7+/-
Resultats; annexion de plusieurs territoires par la Russie.
Ukraine morcelée, Russie intacte


L’armée Russe avec 150000 hommes fait face a prés de 800000 soldats UKrainiens et mercenaire de l’Otan avec une alimentation en matériel militaire jamais vue avant dans l’histoire; tous les stocks de l’Otan ont été envoyé en ukraine.
 
"Maimunka News" :D la dernière source pro-kremlin de notre camarade russkof qui lui dit ce qu'il a envie d'entendre, et donc qu'il prend pour authentique :D. Chacun sait que la propagande et la désinformation ne sont pas du tout le motus operandi des russkofs, tout ce qui sort du ministère de la propagande respire l'authenticité, cela va de soi :)

Les biais cognitifs à l'oeuvre chez la camarade russskof sont un véritable bonheur académique :)

Tout comme l'est son déni embarassé des massacres de civils collectionnés par ses idoles en Syrie, Tchétchénie et aujourd'hui Ukraine, tous faux bien entendu car notre ami ne saurait concevoir l'idée que ses mi-compatriotes commettraient des crimes de guerre :P
 
Un autre crime de guerre à Kherson, qui s'ajoute à la collection ruSSe, datant de Juin déjà...
Un autre encore que nos idiots-perroquets utiles du kremlin qualifieront de faux bien entendu :). Pas question d'assumer que leurs idoles puissent être des assassins ni des violeurs, voyons... Non non... Les méchants, c'est les autres, allons donc...


Assis sur un banc à l’ombre d’un noisetier, le capitaine de police Mykola Marinik prend l’air pour échapper à la chaleur étouffante du petit commissariat de fortune érigé à Sloboda, dans la région de Kherson. A l’intérieur, dans l’une des deux pièces de la bâtisse exiguë, une dizaine de ses collègues se reposent sur des lits de camp ou tapent à l’ordinateur.

Originaire d’un village aujourd’hui occupé, le capitaine Marinik en a été évacué avec tous ses collègues à l’approche de l’armée russe : le traitement réservé aux forces armées ukrainiennes par les troupes russes est fait, entre autres, de tortures. A présent, le quinquagénaire est chargé de recenser les crimes commis par l’armée russe dans la vingtaine de villages qui ont pu être libérés depuis le mois d’avril – cette collection de hameaux rassemble, en tout, environ 3.000 habitants.


« Elle a 83 ans »

« Nous avons documenté plus de 200 crimes commis à l’encontre des civils par les Russes », dit Mykola Marinik, avant d’énumérer : « Quarante voitures dérobées, 60 maisons réquisitionnées et pillées pendant l’occupation, deux meurtres et trois viols. Bien sûr, la réalité est probablement bien pire : de nombreuses personnes ne souhaitent pas porter plainte. » A Pregoria, par exemple, un homme s’était caché avec son épouse et leur fils dans un sous-sol, pour échapper aux frappes aériennes et éviter de croiser les Russes. Lorsqu’il a entrouvert la porte pour voir ce qu’il se passait dehors, le père de famille s’est retrouvé nez à nez avec des soldats.

« Ils lui ont tiré dessus à bout portant au niveau du ventre ; puis ont jeté deux grenades dans le sous-sol. Par miracle, la femme et le fils ont survécu. Après la libération, ils ont été transportés à l’hôpital de la ville de Krivyi Rih », décrit le policier. Les viols recensés concernent une jeune fille de seize ans, elle aussi acheminée d’urgence à l’hôpital dès que la route a été praticable, et deux femmes : « L’une d’elles a 62 ans, et l’autre est née en 1939 ! », ajoute-t-il, montrant le dossier de plainte. Il connaît le détail de tous les cas qui lui ont été rapportés, mais celui-ci lui semble si inimaginable qu’il veut prouver qu’il ne l’invente pas : « Elle a 83 ans. »

Dans le village voisin de Krasnivka, cette dernière habite avec son époux une coquette maison de plain-pied bordé d’un jardin fleuri. Dans la petite véranda, où sont entreposés des bocaux et des fleurs séchées, se tient Vera, une petite dame maigre au visage strié de rides cerné d’un foulard bleu. Le dos courbé, elle s’excuse de ne pouvoir discuter trop longuement ; elle est trop fatiguée et puis, avoue-t-elle, elle n’en a pas envie. « Je suis sincèrement navrée », répète-t-elle poliment d’une petite voix éraillée. « Ce n’est pas que je ne vous aime pas, je vous l’assure… Mais j’ai déjà tout raconté aux policiers. »


Simulations d’exécutions

Dans un bourg voisin, Tania et Galina discutent sur un petit banc entre leurs deux maisons. Les amies, sexagénaires, se connaissent depuis plus de quarante ans et chacune complète les phrases de l’autre : « A cause des combats, tous les habitants du village qui n’avaient pas fui s’étaient regroupés dans des maisons possédant des sous-sols, afin de s’abriter en cas de bombardements. Chez moi, nous étions une quinzaine », commence Galina. « Et puis, un jour, les Russes sont arrivés, et deux d’entre eux ont décidé de s’en prendre tout particulièrement à nous. Ils s’appelaient par leurs surnoms ; l’un d’eux était “Server”, ce qui signifie nord, et l’autre “Poltava”, qui est le nom d’une ville ukrainienne. »
(...)
La technique de la déshumanisation de l’ennemi est classique en période de conflit – si votre ennemi n’est pas humain, vous pouvez le tuer, le détruire. Ce n’est plus un humain, donc c’est légitime.

 
Retour
Haut