Des Marocaines forcées à la prostitution en Belgique

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Des jeunes marocaines sans papiers ont été forcées à la prositution pendant des années dans une maison close d'Erpe-Mere, en Belgique. La patronne de la maison, Aicha M., 55 ans, ramenait des jeunes filles de son village natal au Maroc avec la promesse d'un emploi dans son restaurant. Une fois en Belgique, les victimes étaient forcées à la prostitution. Aicha M. aurait amassé plus de 2,5 millions d'euros en quelques années. Les victimes, contraintes aux relations sexuelles avec les clients sans (...)-Monde/ Immigration clandestine, Belgique, Droits et Justice, Procès, Prostitution Maroc

Des Marocaines forcées à la prostitution en Belgique ...
 
Des jeunes marocaines sans papiers ont été forcées à la prositution pendant des années dans une maison close d'Erpe-Mere, en Belgique. La patronne de la maison, Aicha M., 55 ans, ramenait des jeunes filles de son village natal au Maroc avec la promesse d'un emploi dans son restaurant. Une fois en Belgique, les victimes étaient forcées à la prostitution. Aicha M. aurait amassé plus de 2,5 millions d'euros en quelques années. Les victimes, contraintes aux relations sexuelles avec les clients sans (...)-Monde/ Immigration clandestine, Belgique, Droits et Justice, Procès, Prostitution Maroc

Des Marocaines forcées à la prostitution en Belgique ...


LA HONTE !!!!! A 55 ans pendant que certaines femmes maghrébines, musulmanes s'assagissent, gardents leurs petits enfants, pensent a aller au hajj. Des bent harams comme ca pensent à leur business en prostituants des gamines qui n'ont rien demandés.
Un homme agissant de la sorte c'est déja très grave mais une femme quand même je sais pas , en tant que femme elle devrait savoir que ce n'est pas plaisant de faire ca contre ce gré. RRRRRRRRRRRRRRRR Ca donne envie de la buter celle la! Pourvu qu'elle soit punit ici bas et dans l'au dela si tel est son destin!
 
Les illégaux, et surtout les illégales, se trouvent dans une situation très vulnérable: où loger? comment se procurer de la nourriture, comment se soigner....et comment éviter les contrôles.

C'est là qu'interviennent des margoulins....

Ces demoiselles vont-elles être renvoyées au pays?
 
maintenant c'est la maquerelle de se prostitué pour payé sa peine, le proxenetisme, ça gagne peu etre bien, mais sa ruine en cas de condamnation...
 
Des organisations soutiennent ces dames venues illégalement.

Généralement ces dames, d'où qu'elles viennent, ont "emprunté" l'argent de leur "passage" en France (ou en Belgique.....) à des magouilleurs ou carrément à des trafiquants qui les "placent" comme employées de maison (domestiques) ou comme "travailleuses du sexe" ou comme......

Ces dames doivent "rembourser" leur emprunt et sont donc soumises à ces malfaisants.

Souvent, elles envoient de l'argent au pays ou y achètent un commerce, ou.....Ne plus envoyer d'argent n'est pas une option.....

Elles finissent par préférer endurer cette vie hors norme et hors la loi (racolage, passif ou actif) plutôt que de rentrer au pays.

Trafics et migrations de femmes....

Triste!
 
qu'on arrête de faire une fixette comme le Fait Taghmaoui sur les marocaines...

LA preuve que les marocaines sont clean?

15.000 personnes se prostituent en Belgique

(29/02/2012)




© REPORTERS

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Les Bulgares et les Roumaines ont succédé aux Belges et aux Albanaises derrière les vitrines bruxelloises

BRUXELLES Il n’existe aucune statistique officielle sur le nombre de prostitués en Belgique et pour cause : celui qu’on qualifie toujours comme le plus vieux métier du monde n’en est pas un aux yeux de la loi.

Mais selon les spécialistes de l’Espace P, l’association active sur le terrain des filles (et garçons) de joie, on compterait chez nous 15.000 personnes exerçant la prostitution, dont 5.000 à Bruxelles. Ce qui représenterait environ une femme active (âgée de 20 à 50 ans) sur 100 !

Des marchands de services sexuels, issus de la gent féminine pour la plupart, proposant leurs services sur le trottoir, en vitrine, dans des bars ou encore à domicile.

Des travailleurs du sexe comme on les appelle à l’espace P, dont l’un des assistants sociaux, Fabian Drianne, nous dresse l’évolution du profil de celles qui pratiquent à Bruxelles.

Ainsi en douze ans, les prostituées de nationalité belge ont quasi déserté le terrain. En vitrine, ce sont désormais les Bulgares et les Roumaines qui dominent.

“En 2000, on comptait environ 70 % de travailleurs belges dans le quartier Nord en journée et 70 % d’Albanaises la nuit rue d’Aerschot et d’Africaines dans les rues avoisinantes. Désormais, on ne compte plus que deux Belges la nuit dans les rues avoisinantes et 90 % d’Africaines. Rue d’Aerschot, de jour comme de nuit, on retrouve 90 % de Bulgares et de Roumaines. Ces dernières ont remplacé les Russes et les Moldaves qui avaient succédé aux Albanaises en 2004-2005”, nous précise encore Fabian Drianne.

Au centre-ville, même constat : les Belges ont quitté les trottoirs du quartier Yser et alentour. Idem pour les Albanaises désormais toutes remplacées par des Bulgares et des Roumaines.

De jeunes femmes qui contrairement aux Albanaises sont généralement exploitées de manière consentie et non forcée. “La plupart ne subissent pas de violence des proxénètes car elles sont d’accord de venir exercer un tel travail tout simplement parce qu’elles gagnent ainsi dix à douze fois plus qu’un salaire bulgare ou roumain. Du coup, beaucoup nourrissent leur famille restée sur place ou investissent dans l’immobilier”, poursuit l’assistant social de l’Espace P.

À ces jeunes filles s’ajoutent désormais les prostituées occasionnelles. Des mères de famille pour la plupart, pas du tout du métier, mais qui trouvent plus lucratif de vendre leur corps de temps en temps, en dehors d’une profession à temps plein, parce qu’elles n’arrivent plus à joindre les deux bouts.

Mais la crise, les prostituées la ressentent aussi. Et certaines, comme nous l’explique ci-dessous l’assistant social de l’Espace P, n’hésitent pas à brader les prix.
 
Les illégaux, et surtout les illégales, se trouvent dans une situation très vulnérable: où loger? comment se procurer de la nourriture, comment se soigner....et comment éviter les contrôles.

C'est là qu'interviennent des margoulins....

Ces demoiselles vont-elles être renvoyées au pays?
Elle n'est pas belle l'immigration voulue et incontrôlée de tes "potes" ?
 
En fin d’entretien, Said Taghmaoui s’en prend à la prostitution au Maroc et explique avoir "un gros problème" avec l’émancipation de la femme marocaine, qui en oublie sa dignité.

"Bien sûr, la femme est un être humain comme les autres avec un rôle bien précis à jouer dans la société et l’humanité (...) Je n’ai pas de problème non plus avec le fait qu’elles aient droit à toutes les libertés... Mais sous prétexte d’émancipation, n’oublions pas la dignité ! Ce n’est pas possible de voir à quel point la prostitution des Marocaines est en recrudescence ! La plupart ne vendent pas leur corps pour manger (...) mais pour s’acheter de belles voitures, des Prada et des Gucci. (...) Malheureusement, le 2e produit d’exploitation du Maroc avec les oranges, ce sont les prostituées..."
 
c est un reseaux qui est controlé et gérés au Maroc & je suis sur que pour faire sortir
autant de jeunes filles cette madame claude a du poser des grosse liasses de billets
de 100 euros..

c est comme les tonnes de haschich qui sortent du bled...mais ca nous fout moins la honte
que toutes ces *****........lol

au moins on connais les deux produits d'exportation du maroc...
 
ben c'est un fait

dieu créa la marocaine, pleine de défauts puis dieu créa la femme
au moins on connais les deux produits d'exportation du maroc...
Ravalez votre haine des marocaines et instruisez vous un tant soit peu si vous en avez la faculté :

Les différentes branches industrielles existantes au Maroc :
L'industrie manufacturière : Le Maroc est un pays moyennement riche en matière de ressources énergétiques et minières, (surtout les phosphates). Donc dès son indépendance le gouvernement a veillé à mettre sur pied une industrie manufacturière pour la transformation des produits locaux qui vise à satisfaire le marché intérieur et à nourrir les exportations.



L'industrie textile : [18]L'industrie textile est un des secteurs clef de l'économie marocaine, il représente 42 % de l'emploi et 34 % du secteur manufacturier. Face à la concurrence asiatique, le Maroc veut profiter de sa proximité avec l'Europe et mise sur le Fast Fashion[19],[20].


L'industrie agroalimentaire : L'industrie agroalimentaire au Maroc est très performante, le Maroc exporte une bonne partie vers l'étranger il s'agit principalement de biscuits, de boissons, de conserves, de produits laitiers et ses dérivés, d'oléagineux, de poissons et produits de mer, de transformation de légumes et fruits.

L'industrie navale : Le Maroc produit des bateaux de pêche modernes principalement des chalutiers et des navires de transport…) la principale ville qui abrite cette industrie est Agadir. La société Chantier Naval Agadir Founty (CNAF) a vu le jour en 2002. Elle a pour activité la construction de bateaux de pêche : en 2007 un premier bateau de pêche marocain fut exporté vers l'Algérie.
L'industrie pharmaceutique : [21]L’industrie pharmaceutique marocaine est la troisième en termes de taille et de chiffre d’affaires au niveau du continent africain après l'Afrique du Sud et l'Algérie. Cette industrie génère un chiffre d’affaires de 900 000 000 €/an soit 9 milliard de Dhs/an. Le Maroc assure entre 80 % et 90 % de ses besoins en termes de médicaments. Le pays exporte notamment vers de nombreux pays européens et africains. Le reste des besoins sont importés depuis l’étranger et principalement depuis la France.
 
L'industrie aéronautique :
Cette industrie comporte deux branches : l'aviation civile et l'aviation militaire.
Le Maroc possède une certification ISO dans le domaine de l'entretien et de la réparation des engins d'avions notamment les réacteurs d'avions de tout type (Boeing, Airbus, Jets, avion à hélice).

En outre, la fabrication de composants spécifiques pour les avions tels que les câblages et autres… est destinée à l'export. Les partenaires sont Snecma, Boeing et d'autres firmes internationales. Le secteur aéronautique est un des secteurs ciblés par le plan émergence pour dynamiser l'économie du pays, les villes marocaines où l'industrie aéronautique est implantée sont par ordre d'importance sont Casablanca, Tanger et Rabat[24]. Ce secteur est en plein boom et une cinquantaine d'entreprises sont installées au Maroc[25].

Le salon AeroExpo Marrakech est un carrefour incontournable de cette activité.

L'industrie chimique : L'industrie chimique marocaine a vu sa production augmenter de 10 pour cent depuis 1997. Elle est restée dominée par la valorisation des phosphates. Les ports de Safi et de Jorf Lasfar ont une industrie pétrochimique extrêmement développée. Mais l'industrie chimique est également florissante à Tanger et à Nador (sidérurgie très développée). La production de ciment est également stimulée par la marché de la construction immobilière (en plein essor) et est très florissante grâce à l'implantation de sociétés de calibre international comme "Lafarge".
La raffinerie de pétrole de Sidi Kacem et surtout celle de Mohammedia sont parmi les plus grandes raffineries d'Afrique.

L'industrie électronique : Le Maroc dispose d'un certain nombre d'atouts pour développer le secteur de l'électronique : l’industrie électronique est née au Maroc dans le courant des années 1950-1960 avec l’implantation de « STMicroelectronics » en 1952, ex-Société de Fabrications Radioélectriques Marocaine. Aujourd’hui, le secteur connaît un véritable engouement pour les branches de montage de cartes électroniques, de circuits intégrés, de centraux téléphoniques et de fabrication de composants électroniques.
Le pays compte plus de 30 unités industrielles, génératrices de près de 7000 emplois. Elles réalisent des exportations pour un montant global de 940 millions de dirhams par an.

La fabrication des composants électroniques dépend, à elle seule, de plus de 11 sociétés et réalise un chiffre d’affaires de plus de 1,2 milliard de dirhams dont 98 % de la production est destinée à l’exportation principalement vers la France, aux États-Unis et au marché local.
 
L'industrie de l'automobile : Le Maroc produit et assemble depuis 1959 des voitures mais aussi des camions de transports à Casablanca où la société marocaine SOMACA produit les modèles automobiles "Dacia Logan", "Peugeot Partner", "Citroën Berlingo" et "Renault Kangoo". En février 2007 plus de 5000 voitures marocaines ont été exportées vers l'Espagne et la France [réf. nécessaire]. L'Égypte constitue un marché automobile potentiel important à la suite des accords commerciaux. Par ailleurs, le Maroc a un concessionnaire de voitures de luxe et de hautes performances, il s'agit de la marque Laraki créée en 2000 par le designer Abdeslam Laraki.
En 2007, Renault-Nissan a signé avec l'État marocain des contrats pour la construction d'une usine de production automobile près de Tanger pour une valeur d'un milliard d’euros et qui va assurer à terme l'exportation de 400 000 véhicules par an à l'horizon 2012, ce qui conduira à un total de 440 000 voitures exportés par an[22].

Début 2009 une levée d'emprunt bancaire d'un montant de 400 millions (sur un plan d'investissement de 500 millions) de dirhams a été réalisé par la SOMACA auprès de 3 banques marocaines. Ce qui permettra de porter la capacité annuelle de production de 45.000 à 90.000 à fin septembre[23].


Fabrication de la brique traditionnelle dans la région de Safi, au Maroc.L'industrie artisanale : Une bonne partie du produit de cette industrie est exportée vers l'Europe, les principales villes marocaines réputées pour leurs industries artisanales sont Marrakech, Fès, Essaouira, Safi et bien d'autres.la proximité géographique de l'Europe une disponibilité d'ingénieurs et de techniciens qualifiés des infrastructures suffisantes et de bonne qualité. ASEL (Association du Secteur de l'Électronique) regroupe les principales industries de l'électronique basées au Maroc.

Cinématographie : L'industrie du cinéma au Maroc, passant de quelques millions de chiffre d'affaires à un volume d'opérations qui dépasse deux cents millions de dollars par an. L'industrie du cinéma au Maroc est concentrée dans la ville de Ouarzazate (sud-est) où beaucoup de films ont été tournés.

Les nouvelles technologies de l'information : Classée cinquième mondial en termes de parts de marché, la technologie marocaine dispose de « compétences hautement spécialisées et de solutions performantes, reconnues au niveau international dans les secteurs de la banque, de la poste, des télécoms, de la grande distribution, de l’e-gov et de l’identité électronique, le Maroc est un acteur mondial leader dans la conception et le développement de solutions permettant de dématérialiser les flux d’information, d’effectuer tout type de transaction électronique et de sécuriser les échanges informatisés.
Cette industrie a été développée au Maroc fin des années 1990 elle concerne la technologie 3D. Le Maroc produit des cartes à puces, des cartes crédits…)

Les hautes technologies : Elles concernent principalement l'aéronautique, l'électronique, l'informatique, les technologies de communication militaire, spatiales, NTIC et offshoring. Les "H-T" sont situées dans la ville de Casablanca avec le TechnoPark située au Hay Hassani.
 
beaucoups de marocaines qui sortent des usines des capitalistes le soir vont tapiner car
le salaire qu elles recoivent est miserables au regard des heures de travail & de la cherté
de la vie

alors tes usines de textiles ou les femmes sont des exclaves payés au lance pierre
on s en passerai bien d ailleur ce genre d usines de capitaliste predateur ne tourne
que grace aux femmes car mal payés et avec une cadence infernale

si tu met des hommes la dedans on te declenche le jihad rapidement...
 
roquetteRPG

Ces dames sont venues grâce à la bonté d'âme d'une dame du même village.

C'est cette dame qui les a mises au boulot.....et quel boulot!!!!!
 
LA HONTE !!!!! A 55 ans pendant que certaines femmes maghrébines, musulmanes s'assagissent, gardents leurs petits enfants, pensent a aller au hajj. Des bent harams comme ca pensent à leur business en prostituants des gamines qui n'ont rien demandés.
Un homme agissant de la sorte c'est déja très grave mais une femme quand même je sais pas , en tant que femme elle devrait savoir que ce n'est pas plaisant de faire ca contre ce gré. RRRRRRRRRRRRRRRR Ca donne envie de la buter celle la! Pourvu qu'elle soit punit ici bas et dans l'au dela si tel est son destin!

Que Dieu fasse que les victimes soit prit entre de bonne mains, et qu'ils obtiennent une vie faite de paix et de sérénité.

Je trouve affligeant le comportement de cette femme honte sur elle ! tous ça pour de l'argent...
 
c est un reseaux qui est controlé et gérés au Maroc & je suis sur que pour faire sortir
autant de jeunes filles cette madame claude a du poser des grosse liasses de billets
de 100 euros..

c est comme les tonnes de haschich qui sortent du bled...mais ca nous fout moins la honte
que toutes ces *****........lol

Le shit ca te fout moins la honte pour toi, pour moi les deux sont de meme rang !!!
 
ben c'est un fait

dieu créa la marocaine, pleine de défauts puis dieu créa la femme


Dieu créa la femme et la vit belle,alors Il l'a faite marocaine.
Puis adieu se ravisa sept jour plus tard et créa une femme encore plus belle.
Devant sa beauté qui n'eut d'égale que sa puissance,il l'honora en la faisant algérienne. :langue:
 
Des jeunes marocaines sans papiers ont été forcées à la prositution pendant des années dans une maison close d'Erpe-Mere, en Belgique. La patronne de la maison, Aicha M., 55 ans, ramenait des jeunes filles de son village natal au Maroc avec la promesse d'un emploi dans son restaurant. Une fois en Belgique, les victimes étaient forcées à la prostitution. Aicha M. aurait amassé plus de 2,5 millions d'euros en quelques années. Les victimes, contraintes aux relations sexuelles avec les clients sans (...)-Monde/ Immigration clandestine, Belgique, Droits et Justice, Procès, Prostitution Maroc

Des Marocaines forcées à la prostitution en Belgique ...
forcer à la prostitution pour pouvoir rester en europe :rolleyes:
 
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