Ton ami n’a pas tout tort
Entendons-nous bien. Allah, comme son nom l’indique, « Al » est un ensemble (alentour, escalier,Général etc) constitué de « a » et de préciser qui ne se prononce pas pour le (h). Le « ha » ou « ah » dans le Coran en français n’est pas une expression et, tout est en français, hormis les titres. Le « a » est partout dans les textes et s’imbrique comme des poupées russes par le mot « Point » qui précise que le « p » p-rend, le « o » dans le « i ». Si ce n’était pas ainsi les pages du Coran couvriraient sur l’épaisseur de notre atmosphère sur la terre. « point » est une astuce liée à la réalité comme le serait un trou noir.
L’amalgame entre le fabricant et ses fabrications est fait et bien réel dans les textes du Coran, bien sûr en virtuel dans notre esprit.
Est-ce que Dieu existe ? Qui l’a créé alors ? Par « LES HOMMES » du dernier verset, « Allah » c’est par les « a » de « au » seul ou de tout mot le comportant (et fait des « o-m » bien sûr) dont « m » est une onde, c’est ce qui a fait le monde actuel. Faut du feu et aller en profondeur pour le connaître et dans le Coran c’est fait par les associations de lettres. Si vous ne connaissez pas la valeur de la lettre vous ne pouvez pas comprendre, il y aura toujours des litiges.
La vision est totale une fois les lettres comprises, mais l’ensemble c’est une autre chose. Cela pourrait être une particule ou de l’eau, n’est-il pas le plus menteur de la planète car nous en sommes constitué à 80%, l’eau prend des apparences insoupçonnées.
L’âme des textes est visible quand elle est arrêtée avec un ( ^ ). Dans tout le mot comportant (am) c’est déjà une âme, mais en mouvement, et invisible. Un peu comme l’électricité et les champs magnétiques.
Cette âme sera divisée de A « LES ANGES QUI ARRACHENT LES ÂMES » le « a » en particulier celui des « ans » celui de « arra » et les âmes en un, ne vous fiez pas à « les » il vient d’un « es » pris qui est le « L » et est dans le « L».
C’est comme nos ordinateurs, c’est fait de boucles qui font des chaînes, l’écriture biblique et coranique est mieux faite parce que son support, c’est elle même. Une seule lettre peut supporter tout le texte qui précède en partant de la fin du Coran, et suivant où se trouve le lecteur, pour une lecture normale de S 2 à S115, ce qui est devant, ce qu’il n’a pas été lu, c’est ce qui reste, dont les F (feu) et Û (brûle) reste encore latent, ce feu c’est la sépartion qui le fait.
« Dieu » c’est le D qui se trouve partout dans les textes, le d' présent Allah. Il « décide » avec le »d » tout simplement, tous ces « d » associés à d’autres lettres représentent « D » à gauche du « i » qui est un puits.
« Seigneur » il commence comme Serpent (serpente entre les o) dans la Bible, le Coran lui garde cette fonction profonde mais ne peut le dire puisque s’arrête avec « LES HOMMES ».
Reste « le Q », sa fonction est véritable, c’est le seul qui s’occupe des autres A D S, mais par les « u ». Le « Q » ne cotoie que les « u » personne d’autre. Quand il se pononce c’est l’annonce d’une transformation.
Dieu existe par les lettres « d » c’est eu-x une mémoire u et parfois fixé représenté par x
Allah existe par les lettres l, a, et h
Le Seigneur est l’intermédiaire entre A D O et U.
Peu importe d’où cela vient, je prends les textes comme des hiéroglyphes qu’il faut comprendre.
Pour y parvenir.
Faire abstraction de soi-même est une chose difficile.
Faire abstaction des choses déjà étudiées par d’autres est difficile.
En prenant les noms propres comme de la matière c’est très difficile.
Le vrai trompeur est le mot entier un fois décomposé, il dit autre chose, CELA SE VERIFIE FACILEMENT
Mes propos devraient plaire à ton ami pour le côté ***structif et destructif car c’est bien d’une structure qu’il s’agit. PAR LES LETTRES
Bien à toi
Tu ne peux faire l’amalgame entre le fabricant et ses fabrications et de ce point comparer ….
Entendons-nous bien. Allah, comme son nom l’indique, « Al » est un ensemble (alentour, escalier,Général etc) constitué de « a » et de préciser qui ne se prononce pas pour le (h). Le « ha » ou « ah » dans le Coran en français n’est pas une expression et, tout est en français, hormis les titres. Le « a » est partout dans les textes et s’imbrique comme des poupées russes par le mot « Point » qui précise que le « p » p-rend, le « o » dans le « i ». Si ce n’était pas ainsi les pages du Coran couvriraient sur l’épaisseur de notre atmosphère sur la terre. « point » est une astuce liée à la réalité comme le serait un trou noir.
L’amalgame entre le fabricant et ses fabrications est fait et bien réel dans les textes du Coran, bien sûr en virtuel dans notre esprit.
Est-ce que Dieu existe ? Qui l’a créé alors ? Par « LES HOMMES » du dernier verset, « Allah » c’est par les « a » de « au » seul ou de tout mot le comportant (et fait des « o-m » bien sûr) dont « m » est une onde, c’est ce qui a fait le monde actuel. Faut du feu et aller en profondeur pour le connaître et dans le Coran c’est fait par les associations de lettres. Si vous ne connaissez pas la valeur de la lettre vous ne pouvez pas comprendre, il y aura toujours des litiges.
Nous acceptons, par la science et par la force des choses, que l’intangibilité n’est pas synonyme d’inexistence, le fait…..
La vision est totale une fois les lettres comprises, mais l’ensemble c’est une autre chose. Cela pourrait être une particule ou de l’eau, n’est-il pas le plus menteur de la planète car nous en sommes constitué à 80%, l’eau prend des apparences insoupçonnées.
L’âme des textes est visible quand elle est arrêtée avec un ( ^ ). Dans tout le mot comportant (am) c’est déjà une âme, mais en mouvement, et invisible. Un peu comme l’électricité et les champs magnétiques.
Cette âme sera divisée de A « LES ANGES QUI ARRACHENT LES ÂMES » le « a » en particulier celui des « ans » celui de « arra » et les âmes en un, ne vous fiez pas à « les » il vient d’un « es » pris qui est le « L » et est dans le « L».
C’est comme nos ordinateurs, c’est fait de boucles qui font des chaînes, l’écriture biblique et coranique est mieux faite parce que son support, c’est elle même. Une seule lettre peut supporter tout le texte qui précède en partant de la fin du Coran, et suivant où se trouve le lecteur, pour une lecture normale de S 2 à S115, ce qui est devant, ce qu’il n’a pas été lu, c’est ce qui reste, dont les F (feu) et Û (brûle) reste encore latent, ce feu c’est la sépartion qui le fait.
« Allah » dans ces textes se met à nu, par son nom qui se décompose, déjà c’est certainement pas quelque chose d’invisible. Le plus puissant c’est « Al », ensemble grandALORS SOIS TU ME ….
« Dieu » c’est le D qui se trouve partout dans les textes, le d' présent Allah. Il « décide » avec le »d » tout simplement, tous ces « d » associés à d’autres lettres représentent « D » à gauche du « i » qui est un puits.
« Seigneur » il commence comme Serpent (serpente entre les o) dans la Bible, le Coran lui garde cette fonction profonde mais ne peut le dire puisque s’arrête avec « LES HOMMES ».
Reste « le Q », sa fonction est véritable, c’est le seul qui s’occupe des autres A D S, mais par les « u ». Le « Q » ne cotoie que les « u » personne d’autre. Quand il se pononce c’est l’annonce d’une transformation.
Dieu existe par les lettres « d » c’est eu-x une mémoire u et parfois fixé représenté par x
Allah existe par les lettres l, a, et h
Le Seigneur est l’intermédiaire entre A D O et U.
Peu importe d’où cela vient, je prends les textes comme des hiéroglyphes qu’il faut comprendre.
Pour y parvenir.
Faire abstraction de soi-même est une chose difficile.
Faire abstaction des choses déjà étudiées par d’autres est difficile.
En prenant les noms propres comme de la matière c’est très difficile.
Le vrai trompeur est le mot entier un fois décomposé, il dit autre chose, CELA SE VERIFIE FACILEMENT
Mes propos devraient plaire à ton ami pour le côté ***structif et destructif car c’est bien d’une structure qu’il s’agit. PAR LES LETTRES
Bien à toi