Disparition de Boualem Sansal : l'écrivain aurait été arrêté en Algérie, Emmanuel Macron "très préoccupé"

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drianke
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Tu es tellement prévisible le sionard....tu es bien dans ton rôle...des milliers d'enfants assassinés ne te font ni chaud ni froid.

Par contre un haineux contre les arabes et les musulmans qui va se soumettre chez les génocidaires d'enfants attire ton attention.

Le fait qu'ils soit soutenu par les racistes et les sionistes ne te fait pas réagir.

On a beaucoup de griefs justifiés contre la junte.

Mais là il s'agit d'un collabo qui pense qu'il est plus rentable pour sa carrière de taper sur les arabes et les musulmans et de s'allier

avec les identitaires qui agressent les marocains en France et qui les accusent de pogroms contre les soldats de Tssahal de Amsterdam.

Donc même le sort des marocains te laisse de marbre. Donc tu es peut être marocain mais un sioniste sympathisant des génocidaires

qui n'a aucune fibre d'un vrai marocain.

Quelle indignité.


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Le sujet c est pas la Palestine mais l arrestation de sansal et sur ce point tu ne peux pas me contredire ça fais des années qu on sait qu il est anti islam et pro Israël et pourtant il rentré en Algérie mais d est qu il a pris position pour le Maroc la on l arrête ça montre que le régime algérien s enfout de la Palestine comme de l islam
 
Le sujet c est pas la Palestine mais l arrestation de sansal et sur ce point tu ne peux pas me contredire ça fais des années qu on sait qu il est anti islam et pro Israël et pourtant il rentré en Algérie mais d est qu il a pris position pour le Maroc la on l arrête ça montre que le régime algérien s enfout de la Palestine comme de l islam
Elias d'Imzalène, qui a lui carrément appelé à l'intifada en France et à Paris et que le LFI Eric Coquerel juge "plus respectable" que le ministre de l'intérieur (c'est dire à quel niveau on en est :confused:), n'a pas fait un seul jour de prison et n'en fera pas.
Mais les mêmes qui, aujourd'hui trouvent que Sansal doit crever dans un cachot, hurlaient à l'injustice et à l'arbitraire dans son cas.

Etonnnant, non ? (pour parodier un autre gauchiste dévoyé).

Les mêmes trouvent aussi qu'il faudrait absoudre le délit d'apologie du terrorisme au nom de la liberté d'expression (sans doute pour dire que les victimes de Nice ou du Bataclan l'avaient bien cherché ?). Ils devraient donc s'insurger contre l'emprisonnement d'un écrivain qui a dit bien moindre, non ?
Eh bien non... Là, ils défendent une arrestation et un emprisonnement abusifs uniquement parce que le gars (qui n'a pas appelé à l'intifada à Alger, notez bien) n'a pas, selon eux, les bonnes opinions, c'est-à-dire les mêmes qu'eux.

Ce serait risible d'hypocrisie et double standard si cela ne montrait pas à quel point des idées aussi liberticides que dangereuses se développent, notamment en France.
 
sur les propos reprochés à Sansal

Marocanité du Sahara oriental: retour sur les négociations franco-marocaines (1956-1962)​


 
Les mêmes trouvent aussi qu'il faudrait absoudre le délit d'apologie du terrorisme au nom de la liberté d'expression (sans doute pour dire que les victimes de Nice ou du Bataclan l'avaient bien cherché ?). Ils devraient donc s'insurger contre l'emprisonnement d'un écrivain qui a dit bien moindre, non ?
Eh bien non... Là, ils défendent une arrestation et un emprisonnement abusifs uniquement parce que le gars (qui n'a pas appelé à l'intifada à Alger, notez bien) n'a pas, selon eux, les bonnes opinions, c'est-à-dire les mêmes qu'eux.

Ce serait risible d'hypocrisie et double standard si cela ne montrait pas à quel point des idées aussi liberticides que dangereuses se développent, notamment en France.

ce sont de sales petits hypocrites
 

@Drianke
ici, c'est le Maroc

Les frontières évoquées par Boualem Sansal, telles que documentées par les archives coloniales​


En tant qu’intellectuel, Boualem Sansal a été amené à explorer la littérature coloniale du 19ème siècle sur son pays, qui révèle la question des frontières maroco-algériennes dans des cartographies et des récits qui heurtent aujourd’hui le régime d’Alger. Son crime? Avoir évoqué en tant qu’écrivain des cartes et des livres historiques, dont nous présentons quelques exemples, qui parlent du passé où Oran, Tlemcen, Mascara étaient des villes marocaines. L’Histoire est l’Histoire, mais le régime d’Alger ne veut entendre que le récit national factice qu’il sert dans ses outils de propagande.​



ans doute, cet illustre écrivain a parcouru les méandres de la littérature coloniale du 19ème et du début du 20ème siècle, où s’entrelacent récits et cartographies de la frontière marocaine incluant Oran, Tlemcen, Mascara, Tindouf, etc. Boualem Sansal a trébuché sur ces ouvrages périlleux pour le régime d’Alger, qui brûlent encore à l’ombre des contrebandiers de l’Histoire, trop lourds de vérités, et a dû les ouvrir, les lire durant des mois, des années peut-être, déployer leurs cartes étonnantes où le Maroc s’en va «gros», enceint dans un Est gorgé de populations, jusqu’à Gourara ou Touat.

De Rarécourt, Marçais, Mercier sur Tlemcen marocaine
Sansal a probablement lu «Oran, Tlemcen, Sud-Oranais (1899-1900)» publié en 1903 par Claude de Rarécourt. Quelle histoire de Tlemcen et de Mascara! De Rarécourt parle de la région «après la conquête d’Alger par les Français», lorsque le «Sultan du Maroc jugea le moment favorable», à l’instar «de ses prédécesseurs», de démontrer que les terres faisaient partie de l’Empire chérifien. La population de la région de Tlemcen «se trouvait alors partagée en deux factions, avec d’un côté les Coulouglis, issus de Turcs et de femmes indigènes, et de l’autre les Maures ou Hadars paraissant représenter la descendance des anciens habitants du pays». Claude de Rarécourt précise que les «Maures sont les compatriotes des Marocains» et qu’ils «leur firent bon accueil» à Tlemcen. Il évoque une cité gouvernée le plus souvent par la coalition des Maures, ces derniers faisant allégeance au Sultan. Il ajoute aussi que «le Sultan, né de race chérifienne, jouissait d’un grand prestige religieux en Afrique occidentale». Sur les cartes de l’époque, comme celle du dictionnaire Larousse en 1866, les villes de Tlemcen et d’Oran font partie du Maroc:

Boualem Sansal a dû lire aussi «L’architecture musulmane d’Occident» (1954) de Georges Marçais, où Tlemcen, avant la colonisation française de l’Algérie, est un maillon essentiel des caravanes, sous l’autorité directe des souverains marocains: «Les marchands de Tlemcen commerçaient régulièrement avec Fès et Marrakech, et les oulémas de la ville reconnaissaient la légitimité des sultans marocains.»

Selon un autre livre d’Ernest Mercier, «Histoire de l’Afrique septentrionale (Berbérie) depuis les temps les plus reculés jusqu’à la conquête française» (1888), la grande région de Tlemcen était intégrée culturellement et administrativement depuis le moyen-âge au Maroc, «une plate-forme de premier ordre servant de point d’appui aux expéditions marocaines vers l’est», et de «marché caravanier sur la route de Tindouf et de Tombouctou».
 
Les impôts du Maroc sur la ville d’Oran

En 1900, René Basset, dans «Mission à Nedromah et chez les Traras», consacre plusieurs pages à la gouvernance d’Oran. L’épopée des Alaouites à Oran est ressuscitée, jetant une lumière crue sur les interactions complexes entre cette dynastie et la ville. Parmi les figures marquantes, il évoque «Mawlay Ismaïl» (1672-1727), ce sultan bâtisseur et redouté, «qui étendit son autorité jusqu’à Ayn-Madi en imposant un impôt symbolique», véritable affirmation de souveraineté sur la région. Quelques décennies plus tard, «Mawlay al-Yazid» (1790-92) intensifia cette dynamique «en introduisant un nouvel impôt frappant chaque maison d’Oran», affirmant la dimension fiscale dans les relations entre la ville et le pouvoir chérifien. Ces actes fiscaux, bien qu’ancrés dans la logique politique et administrative de l’époque, suscitent chez l’auteur une admiration palpable. Pour Arnaud, ils représentent une facette pragmatique du pouvoir alaouite, une affirmation d’autorité et un levier de contrôle. Pour autant, ces épisodes illustrent le rôle actif des Alaouites dans l’histoire d’Oran, témoignant de l’importance stratégique de la ville dans le projet politique du sultanat marocain.

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Carte de l’encyclopédie «Atlas universel» éditée en 1867, basée sur les frontières de Oujda (Maghnia, 1845), mais incluant la frontière historique du Sud-est comprenant la province de Touat, Gourara, Tidikelt, etc.
Bien qu’écrit par un colon convaincu, le texte de René Basset contient un aveu précieux sur les liens historiques entre Oran et le Maroc. Basset y confie, presque à contrecœur, les découvertes qu’il a faites en étudiant les archives locales. Ayant eu accès à la correspondance des cheikhs et des communautés maraboutiques de la région, il déclare: «J’ai trouvé dans la correspondance des cheikhs de cette zaouyah avec les chérifs du Maroc, la preuve des relations que ces princes entretenaient avec eux.» Cette révélation, issue des manuscrits précieusement préservés par les zaouias au fil des générations, met en lumière des liens profonds et complexes d’allégeance politique et religieuse qui unissaient Oran au sultanat chérifien.
 
Tindouf «grand marché du Sud marocain»

Est-il tombé, Boualem Sansal, sur les passages écrits sur Tindouf en 1895 par François Rebillet?

Dans «Les relations commerciales de la Tunisie avec le Sahara et le Soudan», cet auteur désigne sans détour Tindouf comme «grand marché du Sud marocain» qui relie le Royaume chérifien à Tombouctou. «Tindouf s’approvisionnait de marchandises à Mogador (Essaouira), du cap Juby (au nord de Tarfaya, face aux îles Canaries) et dans la ville de Ifni». Selon l’auteur, le «chiffre d’affaires que faisait Tindouf avec le Soudan était de 1.700. 000 francs anciens, avant notre occupation de Tombouctou».


Sur le territoire marocain, Tindouf apparait comme un carrefour commercial reliant le sud marocain, le Sahara, et le Soudan. «Tindouf, grand marché du Sud marocain» jouait un rôle central dans les échanges transsahariens, notamment grâce à son approvisionnement en marchandises européennes venant de ports clés tels que Mogador, Cap Juby et Ifni.

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«Carte de l’Empire du Maroc», dressée par A. Vuillemin en 1860, incluant Oran, Tlemcen, Mascara, Tindouf, Colomb-Béchar, ainsi que la province de Touat, Gourara, Tidikelt, etc.
D’autres auteurs considèrent également Tindouf comme une ville marocaine:

Maréchal Hubert Lyautey: il martelait dans ses écrits que Tindouf et Colomb-Béchar faisaient partie intégrante du territoire marocain. Il affirmait que l’administration marocaine s’exerçait sur la vallée de Tindouf, qui dépendait du khalifa du Tafilalet, et que ses caïds étaient nommés par dahir du Sultan du Maroc.


Oscar Lenz: cet intellectuel allemand, qui occupa la chaire de géographie de l’Université de Prague, a résidé pendant deux ans au Maroc et a séjourné à Tindouf et la région du Sud-est marocain, affirmant: «Ces oasis se divisent du nord au sud en cinq provinces (…) Tout le groupe des oasis appartient nominalement au sultanat du Maroc, aussi bien que le Touat (…) ils font avec Timbouctou et le Soudan un commerce qui n’est pas sans importance.»

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«Carte du Maroc», dressée en arabe par René Leclerc en1905, incluant Oran, Tlemcen, Mascara dans les frontières marocaines.
Défendre Boualem Sansal au nom de la vérité historique

Boualem Sansal a jeté un pavé dans la mare, en remuant le sujet qui fait le plus mal au régime d’Alger: l’absence d’une nation algérienne avant la colonisation française. Ce sujet est un enfer pour le régime qui s’attache à le maquiller par mille et un narratifs factices. Même le président Emmanuel Macron s’est interrogé sur l’existence d’une nation algérienne avant 1830. Puisque Boualem Sansal est embastillé par le régime d’Alger pour le motif de porter atteinte aux frontières, ce sujet devrait faire l’objet de l’intérêt des historiens, des intellectuels, des curieux, des avocats… En somme de toutes les personnes de bonne volonté qui veulent aider à soustraire un écrivain et un esprit libre à une junte sanguinaire et irrationnelle.


Boualem Sansal n’a jamais revendiqué l’annexion de ces frontières par le Maroc. Il s’est contenté de rappeler des faits historiques, mais qui continuent d’habiter la mémoire des livres, comme des ombres tenaces.

Boualem Sansal n’est ni un traître à l’Algérie ni un provocateur. Son parcours intellectuel l’a conduit à explorer la littérature coloniale, les récits enfouis et les vérités parfois dérangeantes.


Son seul tort est d’avoir évoqué des ouvrages que d’autres auraient préféré faire disparaître dans un autodafé.

Par Karim Serraj


 
Je ne suis pas sûr qu'être défendu/interviewé par Nassira El Moaddem, celle qui a dit sur X- Twitter (en réaction à un message de la Fédération française de football alertant sur le port de collants chez les hommes au motif qu'il faut que les hommes cachent leurs genoux sinon c'est haram) que la France est un "pays de racistes dégénérés" soit vraiment une caution de tolérance et de moralité.

Elle est totalement raciste. Anti-blanc et anti-français donc ça passe crème, avec approbation de toute la gauche suite à la "tempête de shit" qu'elle s'est prise, à juste titre, suite à cette sortie.

Donc, bon... Lisez les livres de Sansal pour vous faire une opinion au lieu de bêler comme des moutons.
 
C'est ce "système médiatique" qui cautionne l'embastillement d'un écrivain pour ses idées ?

Cela devrait faire hurler la gauche... Mais cela ne le fait pas.
Un écrivain qui n'a commis aucun crime ?!!! Comment la "gauche" peut-elle s'accommoder de cela et trouver cela juste ?
Hypocrites...
L'idéologie les a tellement bouffé qu'ils ont oublié le coeur de leur combat. On assiste au naufrage complet de la "gauche" façon LFI, c'est triste...
 
C'est ce "système médiatique" qui cautionne l'embastillement d'un écrivain pour ses idées ?

Cela devrait faire hurler la gauche... Mais cela ne le fait pas.
Un écrivain qui n'a commis aucun crime ?!!! Comment la "gauche" peut-elle s'accommoder de cela et trouver cela juste ?
Hypocrites...

Soit tu n' as pas regardé la video , soit tu es de mauvaise foi !
Et après cela accuse les autres de dogmatisme alors que cela réagit comme un chien le Pavlov
 
Soit tu n' as pas regardé la video , soit tu es de mauvaise foi !
Et après cela accuse les autres de dogmatisme alors que cela réagit comme un chien le Pavlov
Je n'ai pas regardé la vidéo, j'avoue...
Mais je n'ai pas trop entendu la gauche LFI défendre Sansal non plus. Je me trompe ?

D'ailleurs @Personne2 , le post de @remake montre bien la confusion intellectuelle de Panot et de la LFI qui a visiblement oublié que Sansal n'a jamais été à la tête d'émeutes violentes, ni en Algérie ni ailleurs.

Les mêmes LFI qui veulent l'abrogation du délit d'apologie du terrorisme au nom de la liberté d'expression et de potentielles dérives liberticides mais ne trouvent rien à dire sans un "mais" quand il s'agit d'un écrivain de 80 ans.
Bref...
Mauvaise foi, dis-tu ?
 

:D

L'avocat de Boualem Sansal, détenu en Algérie, envisage de saisir l'ONU​

France

Craignant que le procès de l'écrivain Boualem Sansal, détenu en Algérie pour atteinte à la sûreté de l'État, ne soit pas équitable, son avocat français François Zimeray n'exclut pas de saisir l'ONU ou d'autres organisations internationales dans "quelques jours". Il a dénoncé, mercredi, de multiples atteintes aux droits de la défense.

La justice algérienne a rejeté la demande de remise en liberté de Boualem Sansal, détenu en Algérie depuis mi-novembre pour atteinte à la sûreté de l'État. Lors d'une conférence de presse au siège des éditions Gallimard à Paris, l'avocat de l'écrivain franco-algérien, François Zimeray, a indiqué mercredi 11 décembre se donner "quelques jours" avant de saisir l'ONU pour dénoncer les entraves aux droits de la défense.

L'avocat a expliqué que les charges pesant sur l'écrivain n'avaient pas été détaillées par l'accusation, que lui-même n'avait pas eu de visa pour se rendre en Algérie, et que Boualem Sansal avait été transféré dans un autre lieu de détention sans que ses avocats ni sa famille ne soient prévenus au préalable.

"Nous appliquerons le droit algérien. Le droit algérien, c'est aussi les traités internationaux ratifiés par l'Algérie", a affirmé Me Zimeray. "Y compris le traité des droits civils et politiques, et l'ensemble des grands textes internationaux adoptés dans le cadre multilatéral et consacrés par le droit international."..................

 
Bref...
Mauvaise foi, dis-tu ?

Elle dit tous de même que c'est un prisonnier politique !
Combien ici soutiennent Sansal juste parce qu'il a dit du mal de l'Algérie et du bien du Maroc mais se moquent de la liberté d'expression!?
Si demain un écrivain pro polisario se trouvait en prison , ceux qui se mobilisent pour Sensal , se mobiliseraient-ils pour lui?
Des prisonniers politiques ou d'opinion , il y en a des milliers dans le monde , chacun se mobilise plus ou moins facilement en faveur de l'un ou de l'autre tout en accusant ses adversaires de ne pas en faire assez pour leur chouchou !

Libérez Paul Watson ! Pas un seul sujet ouvert sur ce Forum pour le défenseur des baleines il semblerait !

Des prisonniers politiques il y en a aussi au Maroc : https://www.amnesty.ch/fr/pays/moye...2/action-lettre-pour-un-journaliste-en-prison

Et en Algérie oui il y a aussi beaucoup trop de prisonniers d'opinion , ce pays est une catastrophe en matière de justice et ceux qui a droite le dénoncent est-ce par amour de la justice et pour défendre l'universalité de la liberté et des droits de l'homme , ou parce qu'il ont des problèmes à régler avec ce pays .

Bref...
Mauvaise foi, dis-tu ?
 
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