Partant des deux « règles du jeu », énoncées ci-dessus, passons en revue les deux cas de figure qui peuvent se poser afin de mettre en évidence le bien fondé de la mesure dinterdiction qui doit ressortir comme étant une bénédiction divine en faveur de la femme croyante, et non pas comme une injustice divine :
CAS A : UNE SUIVEUSE DU LIVRE PRECEDENT EPOUSE UN MUSULMAN :
A la première dispute hypothétique à propos de religion, la femme ici, sera super armée dun argument « MASSUE », à savoir quil lui suffira de rappeler à son très cher mari musulman que cest lui qui, en reprochant quoi que ce soit à la religion de sa femme, se met en parte-à-faux vis-à-vis de Dieu ; car il a momentanément oublié que sa religion à lui, lui impose de ne faire aucune distinction entre les différents Messagers de Dieu. En tant que croyant, il aura tout intérêt à se repentir immédiatement, ce qui le poussera à en être infiniment reconnaissant vis-à-vis de sa femme pour lui avoir rappelé limportantissime Pacte que tout musulman est présumé avoir fait avec Dieu, à savoir :
Le Messager a cru en ce qui a été descendu vers lui de la part de son Seigneur, ainsi que les croyants. Tous ont cru en ALLAH et en Ses anges et en Ses livres et en Ses messagers; (en disant): «Nous ne faisons aucune distinction parmi lun de Ses messagers». Et ils ont dit: «Nous avons entendu et nous obéissons. Seigneur, nous implorons Ton pardon. A Toi est lultime destinée».(2:285)*
Et rappelez-vous le bienfait dALLAH sur vous, ainsi que le Pacte quIl a conclu avec vous, quand vous aviez dit: «Nous avons entendu et nous obéissons» *. Et craignez ALLAH. ALLAH connaît parfaitement le contenu des curs(5:7).
*2:285 Un des commandements majeurs du Pacte des croyant est: «Vous ne devrez pas faire de distinction parmi les Messagers de Dieu» (2:136; 3:84; 4:150). Les croyants réagissent en disant, «Nous entendons et nous obéissons», tandis que les adorateurs didole argumentent à nouveau pour justifier leur insistance à faire fî du commandement 72:18 ainsi que de cet importissime Pacte, au sujet duquel, Dieu affirme en 7:102, que la plupart se présenteront à Lui, le jour de la résurrection en ignorant ce Pacte qui était sencé faire deux des croyants. En effet, ce verset représente en fait le Pacte pris par le prophète en 57:8 engageant tous les croyants, comme rapplé en 5:7, et dont la sanction est prévue au verset 2:27.
Nous avons trouvé que la plupart dentre eux ignorent leur Pacte, nous avons trouvé la plupart dentre eux malfaisants.*(7:102
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