Car, depuis la création du monde, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient dans ses oeuvres quand on y réfléchit.
Un Psaume magnifique qui parle de la connaaissance que Dieu a de nous:
Éternel, | tu me sondes | et tu me connais.2 Quand je suis assis | et quand je me lève, | tu le sais.
De loin, tu discernes | tout ce que je pense.3 Tu sais quand je marche | et quand je me couche,
et tous mes chemins | te sont familiers.4 Bien avant qu'un mot | vienne sur mes lèvres,
Éternel, | tu sais déjà tout | ce que je vais dire.5 Tu es devant moi | et derrière moi :
tu m'entoures ; | ta main est sur moi.6 Merveilleux savoir | hors de ma portée,
savoir trop sublime | pour que je l'atteigne.
7 Où pourrais-je aller | loin de ton Esprit ?
Où pourrais-je fuir | hors de ta présence ?8 Si je monte au ciel | tu es là,
et si je descends | au séjour des morts, | t'y voilà !9 Et si j'empruntais | les ailes de l'aube
pour me réfugier | aux confins des mers,10 là aussi ta main | me dirigerait,
ton bras droit | me tiendrait.11 Et si je me dis : | « Du moins les ténèbres | m'envelopperont »,
alors la nuit même | se change en lumière | tout autour de moi.12 Pour toi, les ténèbres | deviennent lumière
et la nuit est claire | comme le plein jour :
lumière ou ténèbres | pour toi sont pareilles.
13 Tu m'as fait ce que je suis,
et tu m'as tissé | dans le ventre de ma mère.14 Merci d'avoir fait de moi | une créature | aussi merveilleuse :
tu fais des merveilles,
et je le reconnais bien.15 Mon corps n'était pas caché | à tes yeux
quand, dans le secret, | je fus façonné
et tissé | comme dans les profondeurs | de la terre.16 Je n'étais encore | qu'une masse informe, | mais tu me voyais
et, dans ton registre, | se trouvaient déjà inscrits
tous les jours | que tu m'avais destinés
alors qu'aucun d'eux | n'existait encore.17 Combien tes desseins, ô Dieu, | sont, pour moi, impénétrables,
et comme ils sont innombrables !18 Si je les comptais,
ils seraient bien plus nombreux | que les grains de sable | sur les bords des mers.
Voici : je m'éveille, | je suis encore avec toi.
Un Psaume magnifique qui parle de la connaaissance que Dieu a de nous:
Éternel, | tu me sondes | et tu me connais.2 Quand je suis assis | et quand je me lève, | tu le sais.
De loin, tu discernes | tout ce que je pense.3 Tu sais quand je marche | et quand je me couche,
et tous mes chemins | te sont familiers.4 Bien avant qu'un mot | vienne sur mes lèvres,
Éternel, | tu sais déjà tout | ce que je vais dire.5 Tu es devant moi | et derrière moi :
tu m'entoures ; | ta main est sur moi.6 Merveilleux savoir | hors de ma portée,
savoir trop sublime | pour que je l'atteigne.
7 Où pourrais-je aller | loin de ton Esprit ?
Où pourrais-je fuir | hors de ta présence ?8 Si je monte au ciel | tu es là,
et si je descends | au séjour des morts, | t'y voilà !9 Et si j'empruntais | les ailes de l'aube
pour me réfugier | aux confins des mers,10 là aussi ta main | me dirigerait,
ton bras droit | me tiendrait.11 Et si je me dis : | « Du moins les ténèbres | m'envelopperont »,
alors la nuit même | se change en lumière | tout autour de moi.12 Pour toi, les ténèbres | deviennent lumière
et la nuit est claire | comme le plein jour :
lumière ou ténèbres | pour toi sont pareilles.
13 Tu m'as fait ce que je suis,
et tu m'as tissé | dans le ventre de ma mère.14 Merci d'avoir fait de moi | une créature | aussi merveilleuse :
tu fais des merveilles,
et je le reconnais bien.15 Mon corps n'était pas caché | à tes yeux
quand, dans le secret, | je fus façonné
et tissé | comme dans les profondeurs | de la terre.16 Je n'étais encore | qu'une masse informe, | mais tu me voyais
et, dans ton registre, | se trouvaient déjà inscrits
tous les jours | que tu m'avais destinés
alors qu'aucun d'eux | n'existait encore.17 Combien tes desseins, ô Dieu, | sont, pour moi, impénétrables,
et comme ils sont innombrables !18 Si je les comptais,
ils seraient bien plus nombreux | que les grains de sable | sur les bords des mers.
Voici : je m'éveille, | je suis encore avec toi.