Expositions et conférences;activités en Belgique

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Journée Internationale contre les Violences Policières

· Organisé par Coordination des sans-papiers de Belgique et 6 autres



jeudi 15 mars à 18:00 - 20:30

Place Anneessens, 1000 Bruxelles, Belgique



Détails


Depuis 7 ans déjà, la campagne Stop Répression et ses partenaires appellent à manifester le 15 mars à l’occasion de la Journée internationale contre les violences policières.

Lors de ce 15 mars 2018, nous dénoncerons, une fois de plus, la répression qui s’abat sur les classes populaires et sur les mouvements sociaux.


Tant qu’il le faudra, nous dénoncerons aussi le racisme d’État que subissent les personnes racisées, Noirs, Arabes, Musulmans et Sans-papiers, cibles prioritaires de ce système répressif.

La répression et le racisme sont aujourd’hui assumés sans complexe par les droites à la tête de l’État.


Celles-ci n’ont à offrir qu’une politique de plus en plus autoritaire qui stiLa répression et le racisme sont aujourd’hui assumés sans complexe par les droites à la tête de l’État.


Celles-ci n’ont à offrir qu’une politique de plus en plus autoritaire qui stigmatise, divise et contrôle la population afin de nous imposer leurs politiques d’austérités.



L’arsenal de mesures restrictives prises par le Gouvernement dans le cadre de l’antiterrorisme est plus qu’inquiétant :


• La déchéance de nationalité belge envers des binationaux ;

• Le déploiement de 1800 militaires dans les grandes villes du pays ;

• Le rallongement des détentions préventives de 24 à 48 h ;

• Plus de 100 000 contrôles de résidence, dans principalement 4 communes de Bruxelles et ce uniquement pour l’année 2016, dans le cadre du « plan canal » et la fermeture d’énormément d’associations musulmanes.


Stigmatisant toujours les racisés comme dangereux, le 29 avril 2017, la nouvelle loi dite «de déportation», permet d'expulser des « étrangers » vivant légalement en Belgique, même s'ils sont nés ici ou s'ils ont un enfant belge, par le vague motif de représenter une menace pour l'ordre public.

On constate aussi un renforcement des mesures prises contre les migrants sans-papiers, des chasses dans les transports, une hausse des arrestations et des expulsions.

Récemment, le harcèlement des personnes sans-papiers au parc Maximilien et le tir au flash-ball sur le groupe La Voix des Sans Papier de Bruxelles, ainsi que le projet de loi permettant les rafles à domicile, sont de criants exemples de la façon dont ce gouvernement agit.

Quand le Ministre Jan Jambon déclare vouloir « nettoyer Molenbeek » et Monsieur Francken « nettoyer le parc Maximilien », quand des lois visant spécifiquement des catégories de la population sont votées, quand les droits et libertés fondamentales se réduisent, comment ne pas se sentir dans un État d’exception permanent ?

Face à ces lois et agissements, ce sont les principes constituants de nos démocraties, auparavant chères à la famille libérale, qui sont remis en cause : l’égalité devant la loi, la séparation des pouvoirs, la présomption d’innocence, le respect de la constitution et des droits fondamentaux.
 
Ce 11 novembre 2017 lors de la victoire du Maroc en football, des supporters et des familles, pour la plupart des marocains d’origine, ont été repoussés de la Bourse à coup d’autopompes vers les quartiers desquels ils sont issus.

Comme d’habitude au contact des populations racisées, la police a usé de provocations afin d’échauffer une foule déjà usée par les actes de racisme et d’injustice quotidiens.


Ces événements, comme les autres soi-disant émeutes bruxelloises, sont utilisés par les autorités pour justifier toujours plus de polices et permettre l’acquisition de nouvelles armes (comme les flash-balls et les tasers pourtant extrêmement dangereux).



L’État saisit la moindre occasion de militariser sa police. Il utilise de nouveaux moyens répressifs d’abord envers des « étrangers » ne pouvant pas revendiquer leurs droits, ensuite envers les catégories les plus fragilisées de sa propre population. Nous revendiquons dès lors que cette manifestation ait lieu sans présence policière visible.

Face à l’État et à son racisme, face à l’instrumentalisation de la peur et à l’arbitraire, faisons bloc dans la rue ce 15 mars 2018 et organisons-nous pour la suite ! Contre la répression, revendiquons des réponses sociales aux problèmes socio-économiques !

La Campagne stop-répression

Organisateurs : Jeunes Organisés & Combatifs, MRAX, Coordination des Sans-papiers de Belgique, ESG Asbl, Bruxelles Panthères, Comité des Parents contre les Violences Policières à Molenbeek

Signataires: Change ASBL, VSP Verviers, ObsPol, KAJ, MOC, CNAPD, CADTM Belgique, Agir Pour La Paix, USE (Union Syndicale Etudiante), Jeunes FGTB, Jeunes CSC Bruxelles, Chez Zelle ASBL, Projeunes, CJC, Gauche anticapitaliste, JAC (Jeunes anticapitalistes), Antifascisti Bruxelles, Antifa Antwerpen, Ecolo J, EGA-ALS (Etudiants de Gauche Actifs)


Pour plus d’infos et signer l’appel :


www.stop-repression.be

MODALITES PRATIQUES LORS DE LA MANIFESTATION:

- la manifestation est AUTORISEE sur le territoire de 1000 Bruxelles (où a lieu le départ) et par les deux autres communes où le trajet se passe.

- Nous avons la confirmation des différentes zones de police qu'il n'y aura PAS DE PRESENCE POLICIERE visible afin de ne pas faire naître de tension

- Nous établissons comme suit l'ORDRE DES BLOCS parmi les participants, ceci afin de permettre aux premiers concernés d'être mis en avant et de porter cette manif, nous demandons donc à chacun de respecter cette modalité.

1. les organisateurs, familles des victimes, Sans-papiers, organisations antiracistes, associations et jeunes des quartiers

2. les organisations politiques et associatives diverses, syndicats, collectifs divers

3. les partis et jeunesses de partis


Organisé par

Coordination des sans-papiers de Belgique
Communauté
MRAX asbl
Organisation à but non lucratif
JOC Bruxelles
Organisation
ESG asbl
Organisation à but non lucratif
Bruxelles Panthères
Communauté
Campagne Stop Répression
Communauté
Comité des parents contre les violences policières à Molenbeek
 
Manifestation nationale contre le racisme
Samedi, Mars 24, 2018 - 14:00
Gare du Nord, Bruxelles



En tant que membre de la 'Plateforme 21 mars', Merhaba soutient le texte de la plate-forme 'Unis contre le racisme – Ensemble pour les droits sociaux!'

Avec de nombreuses autres organisations de la société civile, nous nous réunissons le 21 mars, Journée internationale contre le racisme et la discrimination, lors d'un événement national, le samedi 24 mars à Bruxelles.

Se battre pour l'égalité




Le 24 mars à Bruxelles, nous nous unissons contre le racisme et la discrimination et nous reclamons plus de justice sociale.


Nous combattons ensemble la haine et l'aggression, qui nous divisent, et continuons à se battre pour une société où nous sommes tous égaux.


Entre-temps, le racisme et la discrimination ont un impact destructif sur la vie d’un nombre croissant de personnes et dès lors sur la société dans son ensemble.


Les réfugiés ne sont pas bien accueillis et nous enfermons des enfants dans des centres fermés. 15% de l’ensemble de la population belge vivent en dessous du seuil de pauvreté.


Ce ne sont là que quelques exemples de la situation dans notre pays. En matière d’accès au marché du travail pour les minorités ethnoculturelles, la Belgique figure parmi les pays les plus inégalitaires de l’UE et de l’OCDE.


De tous les pays de l’UE, c’est notre système éducatif qui perpétue le plus les inégalités existantes.


La manifestation débutera à 14h00 à la Gare du Nord de Bruxelles, rue de Progrès 76, 1030 Bruxelles.


Dans ce texte de plate-forme, diverses exigences concrètes sont également proposées que nous, en tant qu'organisation, endossons.

http://www.merhaba.be/fr/activités/calendrier/events/manifestation-nationale-contre-le-racisme


185571
 

Pièces jointes

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Lisez le texte intégral ici et approuvez l'appel en faveur d'une société plus juste, contre le racisme et la discrimination.


Unis contre le racisme – Ensemble pour les droits sociaux !



Texte de la plateforme pour la manifestation du 24 mars 2018.


Le monde associatif se réunit à l’occasion du 21 mars, Journée internationale contre le racisme et la discrimination. Le 24 mars 2018, en organisant une manifestation nationale à Bruxelles, nous voulons montrer que nous ne nous laissons pas diviser par le racisme et les mesures discriminatoires et que nous continuons à nous battre pour une société où chacun compte et où l’égalité est la règle.


Nous commémorerons en même temps les victimes de la haine et de la terreur, à Bruxelles et ailleurs.

La terreur veut construire des murs, semer la division entre « nous » et « eux ».

Nous ne pouvons admettre cela. Ensemble, nous luttons contre la haine et l’agression, contre la discrimination, le racisme et les inégalités.



Le discours politique dominant tente de nous diviser et crée une opposition entre individus et entre communautés.


On veut nous faire croire que les minorités, les réfugiés et les immigrés sont responsables de l’appauvrissement général.


Plutôt que de garantir la répartition équitable du travail et de l’argent, les droits sociaux sont vidés et démantelés. Les responsables restent hors d’atteinte.


Entre-temps, le racisme et la discrimination ont un impact destructif sur la vie d’un nombre croissant de personnes et dès lors sur la société dans son ensemble.

Les réfugiés ne sont pas bien accueillis. Nous enfermons des enfants dans des centres fermés et renvoyons des personnes dans des pays où elles risquent d’être torturées.

De fortes inégalités subsistent même pour des personnes d’origine étrangère nées ou vivant en Belgique depuis longtemps.

Plus de 50% Belges d’origine marocaine vivent en dessous du seuil de pauvreté (contre 15% de l’ensemble de la population belge).

En matière d’accès au marché du travail pour les minorités ethnoculturelles, la Belgique figure parmi les pays les plus inégalitaires de l’UE et de l’OCDE. De tous les pays de l’UE, c’est notre système éducatif qui perpétue le plus les inégalités existantes.

Environ 55 % des demandeurs d’emploi belges issus de l’immigration ne trouvent pas d’emploi après un an, alors que 50% des Belges en trouve un après six mois.
 
Il existe également une discrimination structurelle sur le marché locatif, dans l’enseignement et dans les services publics. Travailler et étudier pour un meilleur avenir ?

Pas pour les personnes d’origine immigrée en Belgique.


Les autorités belges utilisent la stratégie du « diviser pour régner », afin de poursuivre tranquillement le démantèlement de nos droits sociaux.


C’est inacceptable.


Voilà pourquoi la plateforme met en avant cinq revendications concrètes, auxquelles chaque individu ou organisation le souhaitant peut souscrire :


1. Toute personne a droit à un emploi et à un logement décent. Attaquez la discrimination par des mesures concrètes plutôt que par des slogans creux. Introduisez des tests de situation proactifs assortis de sanctions sur le marché du travail et de la location.


2. Assurez un accueil chaleureux, humain et adéquat des réfugiés, dans le respect des droits humains. Ne concluez pas d’accords sur les réfugiés avec des régimes non démocratiques. L’État doit prévoir une offre professionnelle organisée et un plan éducatif responsable qui vise l’intégration et le traitement social égal de tous les nouveaux-arrivants et sans-papiers, conformément aux dispositions de la Déclaration universelle des droits de l’Homme et de la Convention de Genève.


3. L’interdiction des signes philosophiques empêche de nombreuses femmes d’accéder à l’emploi et à la formation. Nous nous opposons à l’interdiction du foulard sur le lieu de travail et dans l’enseignement secondaire et supérieur.


4. Plusieurs articles de la nouvelle loi sur les étrangers (‘loi déportation’) sont indignes de notre État de droit. Ainsi, l’article 21 de cette loi permet l’expulsion de personnes ayant un titre de séjour légal, même nées en Belgique sur base de présomptions (donc sans faute avérée, sans procès). Abolissez ce traitement inégal des citoyens.


5. Toute personne a droit à l’égalité de traitement et à la protection par la police. Il faut s’attaquer au profilage ethnique, à la violence excessive et aux comportements discriminatoires de la police au moyen d’une politique de tolérance zéro.


6. Depuis l’indépendance du Congo, la Belgique n’a pas fait son travail de conscience sur la colonisation, immense entreprise de pillage et de destruction. Cela s’observe dans l’espace public, qui est truffé de références à la période coloniale, comme dans les programmes scolaires d’histoire. Il faut mener une réflexion commune et des actions symboliques pour la décolonisation de l’espace public et intégrer une analyse critique de la colonisation dans les programmes scolaires.



Pour la Plateforme 21 Mars


Begijnhofparochie Brussel; Comac; CSM; ella vzw; FMV; Hand in Hand Tegen Racisme; Hard Boven Hard; Jong Groen; Jong Socialisten; Karamah EU; Kifkif; Koerdische Beweging; Liga voor de Mensenrechten; Ligue des Droits de l’Homme; Minderhedenforum; Motief; Movement X; MRAX; Praktijktesten Nu; Progress Laywers Network; Samenlevingsopbouw Antwerpen; Toute Autre Chose; Uit de Marge; Victoria Deluxe; Vrede vzw.


Ceux qui veulent souscrire à ce texte et mobiliser pour la manifestation sont invités à envoyer un e-mail à antiracisme2018@gmail.com

http://www.liguedh.be/unis-contre-racisme-ensemble-droits-sociaux/
 
PREMIERE: LES ROUTES DE L'ESCLAVAGE - DANIEL CATTIER, JUAN GELAS & FANNY GLISSANT
EN PRÉSENCE DE DANIEL CATTIER (RÉALISATEUR) ET ANNABELLA NEZRI (PRODUCTRICE)



18 AVRIL ’18 — 20:00




En présence de Daniel Cattier (réalisateur) et Annabella Nezri (productrice).



L’histoire de l’esclavage n’a pas commencé dans les champs de coton.


C’est une tragédie beaucoup plus ancienne qui se joue depuis l’aube de l’humanité.


À partir du VIIe siècle, et pendant plus de 1200 ans, l’Afrique a été l’épicentre d’un gigantesque commerce d’êtres humains parcourant l’ensemble du Globe.




Nubiens, Peuls, Mandingues, Songhaïs, Sosos, Akans, Yorubas, Ibos, Kongos, Yao, Somalis...



Au total, plus de 20 millions d’Africains ont été déportés, vendus et réduits en esclavage.



Ce système criminel a enrichi et posé les fondements des plus grands empires à travers le monde.


L’ampleur de ce trafic est telle qu’il a longtemps été impossible d’en expliquer tous les mécanismes.


Pourtant, son histoire pose une question fondamentale : comment l’Afrique s’est-elle retrouvée au cœur des routes de l’esclavage ?



Daniel Cattier – coréalisateur



Ayant poursuivi un parcours international, Daniel Cattier est cinéaste et conseiller médiatique, spécialisé dans la communication interculturelle.


Après des études d’histoire et de sciences politiques, il a débuté sa carrière comme chercheur pour Channel 4.


Il a des ancêtres sud-africains mais est né en Belgique et a étudié au Royaume-Uni. Il est le réalisateur de la série « Kongo – Les Grandes illusions », diffusée sur Arte, TV5 Monde, la RTBF, Histoire et Canvas.
Juan Gélas – coréalisateur



Juan Gélas est auteur et réalisateur de documentaires.


Depuis 25 ans, il réalise des films et des reportages pour les télévisions française et britannique (Arte, France Télévisions, BBC, Channel 4…).



Il a réalisé les séries télévisées « Noirs de France », diffusée sur France 5 et Al Jazeera English, « Lagos Airport », diffusée sur Channel 4, et « Painting the Weather », diffusée sur BBC 4.



DATE
Mer 18 avr 2018 20:00 → 22:30
LIEU
Studio
Rue Ravenstein 23
1000 BRUXELLES
Tickets
LANGUE
Anglais, Français
SOUS-TITRES
Français


https://www.bozar.be/fr/activities/...ge---daniel-cattier-juan-gelas-fanny-glissant 185793 185794 185795
 

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Conférence sur le contrôle au faciès en Belgique
Le mercredi 23 mai 2018 à Bruxelles

Qu'est-ce que le contrôle au faciès ou le profilage ethnique et que connaît-on du phénomène en Belgique?
Quels sont les outils du citoyen pour y remédier?
Quelle est la responsabilité des bourgmestres face au contrôle au faciès?
Existe-t-il des bonnes pratiques mise en oeuvre par les policiers à l'étranger afin de régler le problème? En matière de contrôle au faciès, quelles mesures peuvent contribuer à le détecter, le prévenir et le combattre?

Inscription en ligne : https://www.amnesty-international.b...gie-conference-controle-au-facies-en-belgique

Plus d'infos sur le profilage ethnique/ http://www.liguedh.be/controler-punir-etude-profilage-ethnique/

Informations pratiques
Mercredi 23 mai 2018 - De 9h30 à 17h30
Bibliothèque royale de Belgique
Boulevard de l'Empereur 4
1000 Bruxelles

Pour toute question veuillez contacter Elisabeth.Severino@amnesty-international.be
Plus d'infos : www.amnesty-international.be/agenda/conferentie-etnisch-profileren-in-belgie-conference-controle-...

https://pro.guidesocial.be/agenda/conference-controle-facies-belgique,20798.html
 
Le Refugee food festival s'invite dans sept restaurants bruxellois


Le Refugee food festival s'invite à Bruxelles pour la deuxième fois dès ce dimanche et jusqu'au 21 juin.

L'événement qui catapulte des chefs réfugiés dans les cuisines de restaurants de la capitale a été imaginé il y a trois ans à l'occasion de la Journée mondiale du réfugié.

A l'international, il en est donc à sa troisième édition.

Sept restaurants bruxellois confient ainsi leur cuisine à un chef réfugié le temps d'un ou plusieurs services, lors de déjeuners, brunchs, dîners ou soirées cocktails.

L'initiative imaginée par Food Sweet Food a pour vocation de mettre en valeur les cuisines venues d’ailleurs et de promouvoir l’intégration des réfugiés.

"L’objectif du festival est vraiment de contribuer à faire évoluer le regard sur les personnes réfugiées grâce à la cuisine car on pense que c’est la chose la plus universelle au monde, ce qui nous rassemble tous"
, pour Marine Mandrila, fondatrice de Food Sweet Food.

Valoriser les talents
Le Refugee food festival a la volonté de rassembler les citoyens autour d'une table et de valoriser les talents de ces cuisiniers pour faire évoluer les regards sur les migrants en provoquant des rencontres.

Le festival tente aussi d’accélérer l’insertion professionnelle de cuisiniers réfugiés en Belgique.

"Je suis heureux de participer à nouveau au festival, ce qui me donnera l'opportunité de me faire une réputation et de trouver un emploi sur le long terme", témoigne le Syrien Abdellbaset Alheeshan, qui officiera chez "Franz" lundi.

J’aime la façon dont on a partagé la culture de la nourriture

Abdulrahman Al-Jasem a quitté la Syrie en 2014. Pour lui, en Belgique "tout est nouveau". En Syrie, Abdulrahman était étudiant en médecine, mais il était aussi déjà passionné par la cuisine.

Aujourd’hui, en Belgique, il travaille dans un restaurant italien. "J’aime bien, c’est une nouvelle expérience pour moi, j’aime la façon dont on a partagé la culture de la nourriture".

Le chef syrien sera derrière les fourneaux du restaurant Racines le 20 juin.

L'événement invite également le couple syrien Omar et Shahla Alshawi au "Café Caberdouche", l'Iranien Majid Akbari au "Mess" et le Togolais Cyrille Sowanou Kodjo chez "Humus x Horthense". Le mixologue syrien Elias Eldbi préparera lui des cocktails chez "Richard", tandis que les chefs syriens Abdulrahman Al-Jasem et Munir Zaitouni seront chez "Racine" et au restaurant "Le local".

Le Refugee food festival est développé en collaboration avec le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés qui accompagne les organisateurs locaux, des citoyens issus de la société civile.

Le Refugee food festival a également lieu à Paris, Lyon, Marseille, Strasbourg, Bordeaux, Lille, Madrid, Bologne, Amsterdam, Athènes, Le Cap, New York et San Francisco.


https://www.rtbf.be/info/regions/de...e-dans-sept-restaurants-bruxellois?id=9947823
 
Bruxelles ensemble – Si on s’parlait ?

La notion du vivre ensemble s’impose de plus en plus dans les discours actuels. Mais comment appréhender ce terme à Bruxelles ?

Accompagné par les asbl Interpôle et La Rue, un groupe de jeunes et d’adultes de Molenbeek-Saint-Jean, d’Anneessens et de Watermael-Boitsfort s’est rassemblé pendant plusieurs mois pour débattre de cette thématique afin de créer collectivement un spectacle sur une vision commune de Bruxelles.


Ce condensé théâtral et musical présentait des témoignages de Bruxellois et de Bruxelloises d’horizons différents et traitait du harcèlement, des discriminations, des questions identitaires mais aussi de l’amour que les habitants portent à leur ville.

Tout au long de la réalisation de ce spectacle, Fionn Perry et Noureddine Zerrad dit Noon ont filmé les étapes qui ont permis au groupe de monter sur scène et ce, dès la première rencontre des participants à la tournée bruxelloise, au printemps 2018.


Le documentaire que Fionn et Noon ont réalisé retrace le parcours de ce projet interculturel, intergénérationnel et intercommunal.


21.09
Espace Magh Grande Salle



Informations Pratiques
20H00

GRATUIT – RÉSERVATION SOUHAITÉE



https://www.espacemagh.be/projects/...n-sparlait/?pr=2789&gr=1&post=projects&sa=309
 
BLED RUNNER

Ouverture de saison

Pour cette pièce, Fellag puise dans la matière de tous les spectacles qu’il a écrits depuis vingt ans : Djurdjurassique Bled, Un bateau pour l’Australie, Le dernier chameau, Tous les Algériens sont des mécaniciens, Petits chocs des civilisations

Un banal best of ?


Pas du tout ! Une pièce innovante, émouvante et un brin incisive dans laquelle Fellag convie le public à un voyage à travers ses œuvres pour en cueillir les sujets les plus marquants et les réinventer avec son regard d’aujourd’hui.

Dans Bled Runner, Fellag parle, sans complexe, des sujets sensibles qui nourrissent les relations entre les sociétés française et algérienne.


Ces rapports sont si tendus, si délicats que seul l’humour peut les caresser sans se brûler les doigts.

BLED RUNNER DANS LA PRESSE

“Fellag, c’est d’abord la qualité d’un regard, qui fait entrer le rire dans une catégorie autrement sophistiquée, où tout le monde en prend pour son grade, mais avec un humour plein de poésie, de sens de l’absurde et surtout de tendresse sur une humanité qui, qu’elle le veuille ou non, est condamnée au vivre-ensemble.” Fabienne Darge – Le Monde

“Tout est à l’avenant, irrésistible. Et beaucoup trop court tant c’est savoureux.” Sylvain Merle – Le Parisien

“Dans ce one-man-show, Fellag est parfois piquant mais jamais méchant.


Et c’est bien là toute la subtilité de “Bled Runner”.

Grâce à l’humour et au rire, Fellag parvient à réunir et à réconcilier.” Marion Gadea et MH. Bonnot – Franceinfo




https://www.espacemagh.be/projects/bled-runner/?pr=2668&gr=1&post=projects&sa=309
 
Bruxelles: inauguration du tapis de fleurs qui met à l'honneur le Mexique


Tous les deux ans, au mois d'août, le cœur de Bruxelles revête un énorme tapis de fleurs.


Depuis cinq heures ce jeudi matin, ils sont une centaine de courageux à placer une à une, les bégonias, cultivées à Gand, et dahlias qui orneront le tapis de fleurs de la Grand-Place.




Comme tous les deux ans, il va habiller la Grand place de Bruxelles durant trois jours du 16 au 19 août.

Pour cette édition, la région mexicaine de Guanajuato est mise à l'honneur.


Au total, ce sont 500.000 fleurs qui sont posées méticuleusement par une centaine de bénévoles qui s'activent pendant de longues heures pour constituer le motif de cette version 2018.

Le montage devrait être terminé vers midi et le tapis de fleurs sera alors inauguré dans la foulée par les autorités.

La vague de chaleur de ces dernières semaines n'aura pas épargné le tapis de fleurs destiné à orner la Grand-Place de Bruxelles du 16 au 19 août.

Certaines couleurs sont en effet introuvables à cause de la sécheresse et ont dû être remplacées par d'autres tonalités, d'après une information de la station flamande Radio 2, confirmée mardi par l'ASBL Tapis de Fleurs.



https://www.rtbf.be/info/regions/de...urs-qui-met-a-l-honneur-le-mexique?id=9996204
 
Bruxelles: inauguration du tapis de fleurs qui met à l'honneur le Mexique


Tous les deux ans, au mois d'août, le cœur de Bruxelles revête un énorme tapis de fleurs.


Depuis cinq heures ce jeudi matin, ils sont une centaine de courageux à placer une à une, les bégonias, cultivées à Gand, et dahlias qui orneront le tapis de fleurs de la Grand-Place.




Comme tous les deux ans, il va habiller la Grand place de Bruxelles durant trois jours du 16 au 19 août.

Pour cette édition, la région mexicaine de Guanajuato est mise à l'honneur.


Au total, ce sont 500.000 fleurs qui sont posées méticuleusement par une centaine de bénévoles qui s'activent pendant de longues heures pour constituer le motif de cette version 2018.

Le montage devrait être terminé vers midi et le tapis de fleurs sera alors inauguré dans la foulée par les autorités.

La vague de chaleur de ces dernières semaines n'aura pas épargné le tapis de fleurs destiné à orner la Grand-Place de Bruxelles du 16 au 19 août.

Certaines couleurs sont en effet introuvables à cause de la sécheresse et ont dû être remplacées par d'autres tonalités, d'après une information de la station flamande Radio 2, confirmée mardi par l'ASBL Tapis de Fleurs.



https://www.rtbf.be/info/regions/de...urs-qui-met-a-l-honneur-le-mexique?id=9996204
au lieu de mettre des fleurs qu ils nettoyent les rues de bruxelles tout est sale
 
je parle de toi
tu râles tu rouspètes
bah montre l'exemple dans ta ville :D
sois sérieux trois secondes sur ce forum:D


mais non belgica je vais nettoyer tout bruxelles il faut de l education
tu crois que tu peux eduquer tout bruxelles toi tout seule
sois serieuse 3 seconde
 
je parle de toi
tu râles tu rouspètes
bah montre l'exemple dans ta ville :D
sois sérieux trois secondes sur ce forum:D
je peux pas belgica j habite pas bruxelles
charleroi c est propre un peu on c est pire que bruxelles
non mais franchement en flandre c est propre je suis desolé il suffit
d aller simplement d aller a ninove tout est nickel
 
Il y a de beaux endroits bien propres en Belgique,on dit merci qui?

aux citoyens responsables qui nettoient et ne jettent rien sur la voie publique

il y a assez de poubelles partout à disposition


les autres ce sont de gros dégueulasses,qui n'ont aucune éducation et qui se fichent de tout :npq:


je peux pas belgica j habite pas bruxelles
charleroi c est propre un peu on c est pire que bruxelles
non mais franchement en flandre c est propre je suis desolé il suffit
d aller simplement d aller a ninove tout est nickel
 
Pour rester dans le sujet
:)


bruxelles manque plus les fleurs
j ai une cousine qui est venue du nord de l allemagne avec ses 2 enfants elle est descendue a la gare
du nord première vue les prostituées, ensuite quand je l ai redeposée pour son retour
a la gare du midi bein des clochards a l exterieure et ca sentait l urine et tout est sale
alors avant des faire semblant de mettre des fluers pour paraitre propre faudrait
commencer par les gares
 
Festival des Libertés
Jusqu'au 27 oct. 2018


Le Festival des Libertés propose une multitude de documentaires, de débats, de spectacles, d’expositions et de concerts.


Toutes formes d’expression en prise sur leur époque, engagées dans une démarche critique, inspirées par la promotion d’un monde plus juste et mélangées dans une ambiance conviviale et festive qui fait aussi la renommée du Festival.

Rendez-vous automnal des défenseurs des droits humains, des agitatrices de réflexion, des amateurs de subversion, des brasseuses de diversité et des inventeurs de possible, le Festival des Libertés propose une multitude de documentaires, de débats, de spectacles, d’expositions et de concerts.


Toutes formes d’expression en prise sur leur époque, engagées dans une démarche critique, inspirées par la promotion d’un monde plus juste et mélangées dans une ambiance conviviale et festive qui fait aussi la renommée du festival.


L’édition 2018 du Festival des libertés portera un regard critique sur l’évolution du monde à travers le prisme du pouvoir.


Le pouvoir existe.


Il faut le reconnaître, sans le diaboliser, sans l’idéaliser, sans le naturaliser. Il n’est ni possible ni souhaitable de s’en passer.


Il importe par contre de le répartir et de le cadrer afin qu’il œuvre à l’intérêt général et à l’épanouissement des libertés.


C’est en ce sens que se sont développés l’Etat de droit, la séparation des pouvoirs, la démocratie… Autant de principes sur lesquels semblent s’asseoir aujourd’hui des ministres ou des milliardaires, des militants ou des croyants radicaux qui affirment unilatéralement leur point de vue, sans se soucier des autres, des lois, des conventions collectives, de la concertation et des contre-pouvoirs.


Cet unilatéralisme exprime d’une part l’affirmation décomplexée de pouvoirs et de privilèges, d’autre part une lecture décomplexifiée de la réalité.


L’époque complexe et crispée que nous traversons appelle exactement l’inverse si elle souhaite construire un avenir vivable pour toute l’humanité.


https://agenda.brussels//fr/event/4...Tzj81blpnuiP0AW0bn0AUYk9lKEdAjFtuppFr58xIZzY8



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Pièces jointes

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Les cahiers marocains
Jusqu'au 8 déc. 2018



Jo Voets

Photographe autodidacte et passionné, Jo Voets n’est pas un adepte des clichés “ photoshopés ” et préfère de loin l’expérience du réel désordonné entre le photographe et l’observé.

Jo Voets entreprend plusieurs périples, notamment en Roumanie, à New York et en Afrique du Sud, au cours desquels il réalise des reportages photo.



En 2003, Jo Voets effectue deux courts voyages au Maroc et visite des villes telles que Casablanca, Marrakech et Essaouira.


L’effervescence et la richesse culturelle de Casablanca le marque particulièrement. Il y capture des instants de la vie quotidienne urbaine et des portraits.


À la manière d’un journal intime, ses cahiers visuels permettent d’arrêter le temps et de plonger dans les explorations de Jo.

Le noir et blanc est privilégié dans la majorité de ses clichés dans le but de réduire un maximum la réalité à son essence.



L’artiste est également photographe de plateau lors de nombreux tournages cinématographiques en Belgique.

www.jovoets.squarespace.com



Exposition / Musées et art centers
  • Vernissage le 18 oct. 2018
    • Début: 18:30
    • Fin: 22:00
  • Dates
    • du 18 oct. 2018 au 8 déc. 2018
    Horaires
    L Fermé
    M 11:00 - 19:00
    M 11:00 - 19:00
    J 11:00 - 19:00
    V 11:00 - 19:00
    S 11:00 - 15:30 16:30 - 19:00
    D Fermé
  • Centre culturel Espace Magh asbl
    Rue du Poinçon, 17
    1000 BruxellesPlus d'infos et plan d'accès
  • Tarifs
    • Gratuit

https://agenda.brussels//fr/event/4...diZ7c5t0YnhH29PeDQRiDiyRZneU4XiBt05ra_its_pJI





200000
 

Pièces jointes

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Les migrations au coeur de l'exposition BienvenUE au Musée L

https://www.tvcom.be/video/culture/...exposition-bienvenue-au-musee-l_22774_89.html



Une expérience et des installations troublantes, bouleversantes, pleine d’émotions et qui amènent à la réflexion.


L’exposition BienvenUE accueillie temporairement au Musée L de Louvain-la-Neuve présente les oeuvres de 47 artistes africains et européens dont le Belge Charley Case qui partagent un même état d’esprit et une même démarche : attirer l’attention sur le sort des migrants.

Uniquement des objets récupérés



L’une des grandes particularité de l’exposition, c’est que les installations présentées sont créées à partir d’objets récupérés au bord de la Méditerranée.


L’exposition BienvenUE se veut participative et évolutive. Les artistes modifieront certaines oeuvres au gré de leurs réflexions et le public lui-même est invité à participer à une fresque en y inscrivant les noms de migrants morts noyés en Méditerranée.



BienvenUE est à voir au Musée L jusqu’au 20 janvier 2019.



Les oeuvres prendront ensuite la route vers Madrid puis vers le Maroc.



https://www.tvcom.be/video/culture/...exposition-bienvenue-au-musee-l_22774_89.html




 
SAHARA BLUES
Terakaft + Doueh + afterparty by Afriquya



Le Sahara se trouve au croisement des cultures arabo-berbères et d’Afrique centrale, entre lesquelles se déplacent des groupes de populations nomades. Les échanges ancestraux ont donné naissance à un riche patrimoine musical de voix et rythmes communs. Cette soirée réunit deux groupes emblématiques du « blues du désert », qui comme Tinariwen mélangent rock, pop et musique traditionnelle.

Le groupe Terakaft (caravane), originaire du nord du Mali, transmet à merveille la dimension hypnotique, répétitive et rythmique du blues sahraoui. Diara, le chef du groupe, était guitariste et compositeur de la première heure de Tinariwen, et le deuxième homme, Sanou, représente la plus jeune génération de guitaristes touareg. Terakaft représente des sons du désert bruts et libres, où se retrouvent des influences de la trance, du rock et du psychédélisme. C’est en concert que le groupe est pleinement mis en valeur. Dans les textes militants, ils défendent les droits des nomades dans leur pays d’origine déchiré.
« Irrésistible ». The Guardian

Le Doueh légendaire, originaire de Dakhla, au sud du Maroc, existe depuis déjà 27 ans. Cette formation familiale à la solide réputation live possède un son puissant, mêlant répertoire traditionnel hassani, pop, folk et blues. Leur musique novatrice, ancrée dans la tradition, est produite par le prestigieux label Sublime Frequenties. Doueh a récemment sorti « Dakhla Sahara Session », un album enregistré avec le groupe Cheveu, trio de garage-rock français underground.

Ensuite, vous pouvez rejoindre la Sahara Blues afterparty avec Afriquya (asbl), LOWUP & Sonar. Afriquya est un endroit pour célébrer la diversité tout en soutenant les organisations caritatives et les communautés locales. La combinaison d'éléments traditionnels, de rythmes électroniques et de différentes formes d'art fait de chaque édition une occasion unique de découvrir la musique, la culture et de danser comme des fous !

Pour la première fois, Afriquya s'associe à deux organisations : LOW-UP (label de disques et émission de radio, Bruxelles) et Sonar (concept de fête par binair01, Gand) pour offrir une expérience très spéciale.

musique / invité
23/11/18 - 20:00
BOZAR - Rue Ravenstein 23, 1000 Bruxelles











https://www.moussem.be/fr/event/12180/sahara-blues







 
DES DROITS INALIÉNABLES: LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME 70 ANS APRÈS



La Déclaration universelle des Droits de l’Homme (DUDH) représente un tournant historique, établissant pour la première fois une base de normes commune applicable à tous les individus, tous les peuples et toutes les nations. 70 ans plus tard, les droits politiques et les libertés civiles sont mis à mal, 2018 marquant par exemple la 13ème année consécutive de déclin de la liberté de par le monde. Dans ce cadre, le 70e anniversaire de la signature de la DUDH nous donne l’occasion, en ce moment crucial, de relancer la réflexion autour des principes fondamentaux des droits de l’Homme (universalité, interdépendance et indivisibilité, égalité et non-discrimination), tout en tenant compte des nouveaux défis qu’ils impliquent dans un monde globalisé et numérique.

En partenariat avec le Parlement Européen, le Open Society European Policy Institute et le Human Rights and Democracy Network, BOZAR organise une table ronde pour explorer, 70 ans plus tard, les questionnements que soulèvent cette thématique : que représente la notion de droits humains pour les individus et les communautés, quel sens leur donnent-ils? Voter contre les libertés fondamentales est-il envisageable? Comment les artistes peuvent-ils contribuer à la lutte contre les menaces que ces libertés connaissent ?

Intervenants confirmés: Pedro Molina (Nicaragua, Cartooning for Peace), Pierre-Arnaud Perrouty (Directeur, la ligue des droits de l’homme), Marietje Schaake (Parlement européen, ALDE-NL), Alice Mogwe (The Botswana Centre for Human Rights), débat modéré par Brigitte Herremans (LIga voor de Mensenrechten, Flandre)

DATE
Lun 19 nov 2018 18:30 → 21:00
LIEU
Studio
Rue Ravenstein 23
1000 BRUXELLES

ENTRÉE LIBRE



https://www.bozar.be/fr/activities/...niverselle-des-droits-de-l-homme-70-ans-apres
 
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