Non mais non
ca touche pas au code génétique!!!
Il faut pas que tu relayes ce type de fausse information stp. C'est très grave et c'est faux.
Ça met le doigt sur une autre contradiction déjà mentionnée il y a plusieurs mois, que je re‑décris plus longuement.
Quand je parlais ailleurs des dogmes pseudo‑scientifiques de l’extrême‑Gauche, qui s’imposent à toute la société sans que personne n’ose les mettre en doute, en comparaisons de celui‑ci. Ce risque n’est effectivement pas confirmé, mais il est en théorie bien plus probable avec ces « vaccins » qu’il ne l’est avec les OGM, que le dogme de l’extrême‑gauche accuse de provoquer des mutations génétiques chez les humains, ce qui ne semble pas du tout crédible. Dans le cas de ce vaccin, c’est plus crédible en théorie, comme on a un ARN injecté directement dans le sang (*), qui en théorie s’il peut entrer dans des cellules, peut être codé en ADN, qui en théorie peut finir intégré à l’ADN de l’hôte. Mais il y a en effet, une différence entre un risque théorique et un risque confirmé. En résumé : on tient pour sérieux et indiscutable un risque qui n’est même pas crédible, et on moque une questionnement sur une crainte qui est bien plus justifiée. Je laisses imaginer les dégâts que ça peut faire en terme de perte de confiance … Surtout si on y ajoute cette contradiction : le premier dogme, largement cultivé et entretenu, par les politiques eux‑mêmes, serait en fait une justification de la seconde crainte ; inévitablement, tenir le premier pour indiscutable tout en ne prenant pas au sérieux le second, ça ressemble beaucoup à une auto‑contradiction qui ne peut que inspirer la méfiance.
(*) ingestion d’un mélange de grosses molécules diverses réduites en miettes par la digestion qui sont ensuite filtrées par l’intestin, vs injection de plus petites molécules bien précises, directement dans le sang.
Je trouve imprudent de ne pas prêter attention à des craintes scientifiquement fondées, même si ce n’est qu’en théorie. Mieux vaudrait faire une réponse sérieuse à une question sérieuse, en répondant par exemple à ces question intéressantes : cet ARN, après injection, est‑il présent dans des conditions permettant son recodage en ADN ? Dans le cas où la réponse à cette question serait « oui », cet ADN se trouverait‑il en condition de pouvoir être incorporé à l’ADN de l’hôte ? S’l ne le peut pas, expliquer pourquoi.