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@elyiam, @noussmary, ça va hein, y'a des gens qui ne parlent QUE le français et qui l'écrivent beaucoup moins bien que vous deux ![Sourire :) :)](data:image/gif;base64,R0lGODlhAQABAIAAAAAAAP///yH5BAEAAAAALAAAAAABAAEAAAIBRAA7)
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@elyiam, @noussmary, ça va hein, y'a des gens qui ne parlent QUE le français et qui l'écrivent beaucoup moins bien que vous deux![]()
@elyiam, Tu as le sharh de Bukhari par ibn Hajar ?
Baraka Lahu fik.
Oui, en arabe si tu veux en pdf.
J'aimerais bien que tu me trouve quelque chose et que tu me le traduise vraiment si ça ne te dérange pas.
Avec tout le respect que j'ai pour toi, j'aimerais que tu te tournes vers une autre personne. La traduction est une tache dangereuse et lourde à porter. Modifier un mot, reviendrais à changer le sens et à mentir sur l'auteur. Surtout qu'ibn hajar avait était connu pour son éloquence, certains mot n'ont aucun équivalent en français.
Allahi barik fik. Mais si c'est pour un sujet précis, je veux bien te faire des recherches.
Abou-'Amr-Ech-Chaïbâni rapporte que Zaïd-ben-Arqam lui dit : "Du temps du Prophète nous parlions durant la prière. Chacun de nous adressait la parole à son voisin et lui parlait de ses affaires. Cela dura jusqu'au jour où fut révélé ce verset : "Observez les prières ainsi que la prière du milieu (l'opinion générale est qu'il faut entendre par là la prière de l'asr. Cependant El-'Aïni cite vingt opinions différentes sur la prière que le Coran a voulu ainsi désigner.) et tenez-vous devant Dieu recueillis." (sourate II, verset 239). Dès lors nous eûmes ordre de garder le silence."
[Rapporté par Bukhari]
Le hadith en lui-même ne me pose aucun problème mais je voulais connaitre les 20 opinions rapportées par El-'Aïni. J'ai demandé à l'équipe bayt al hadith de Islam ibn Ahmad mais il m'ont dit de chercher (super réponse au passage). Ils m'ont dit que ibn Hajar parle de ça dans le sharh du hadith ci-dessus.
Le problème étant que je ne pourrais pas te donner la référence du hadith et je ne connais pas le chapitre non plus.
Surement dans le châpitre sur la prière. Je vais ouvrir boulough al maram d'ibn hajar ( traiter de fiqh) et je te tiens au courant en mp inchaa a Lah.
in sha Allah mais je le répète, ne fais rien que tu pourrais regretter tu n'as aucun compte à me rendre.
Merci de ton attention.
Salam. Lorsque nous voulons élaborer une jurisprudence sur base du Coran et des hadiths, il devient très vite impératif d’élaborer une méthode de travail rigoureuse. En effet, la carrière du Messager n’a duré qu’une vingtaine d’années, et seulement environs les 13 années de Médine ont conduit à des mesurestemporelles pratiques. Le mode de vie des premiers musulmans étant très simple et les conditions sociologiques plutôt archaïques…
Pour cette raison, les savants musulmans ont élaboré des méthodes pour tenter d’étendre des dispositions ponctuelles du Messager à des conditions devenant très vite changeantes. Quoi que de nombreuses écoles nacquirent rapidement, quatre seront sélectionnées officiellement sous le règne de Harun al-Rachid : le hanafisme, le malékisme, le chaféisme et le hanbalisme.
Les générations précédant la mise en place de ces écoles pratiquant à la façon de l’époque du Prophète, mais déjà les Sahabas avaient différentes approches. Nous pouvons simplifier comme la méthode des anciens et la méthode des plus jeunes… Les anciens se contentaient de pratiquer à la façon de l’époque du Prophète et ne s’encombraient presque pas de citer des hadiths. Tandis que les plus jeunes ayant vécu l’époque de la naissance des sectes jahmite, kharéjite etc., transmettaient des hadiths et les formulaient parfois bi’l ma’na pour montrer ce qu’il fallait selon eux en tirer comme leçon.
Une autre différence notable était l’approche concernant l’istishab. Tandis que des sahabas comme Umar ou Aicha n’hésitaient pas à tenir compte des changements de contexte, certains autres tel que Jaber ou ibn Umar s’en abstenaient strictement. Les ulemas puiseront principalement chez les jeunes sahabas, quoi que le Malékisme tenant la pratique des habitants de Médine comme référence restera généralement assez proche de l’islam primitif, du moins dans sa version la plus classiques (chaque école ayant des sous-branches).