Sahlia
Pass Pass Le Oinj
.K.
[Tu n’étais pas seulement beau
Et tu n’étais pas seulement intelligent.
Tu étais mon idéal]
Le cœur a ses raisons
Tandis que la vie nous impose ses saisons
Tu étais mon printemps quand je m’enivrais d’automne
Je respirais cette brise, cette pluie et ces feuilles jaunes
Je ne voyais ni la lumière du jour, ni ses éclats.
Tu n’étais ni un regret, ni un soupir
Tu étais mon idéal.
Celui auquel on ne croit pas
Qui reste -un peu- et qui s’en va -souvent-
Qui revient à chaque fois.
Comme la mer emporte nos traces au rivage.
Tu es revenu à chaque fois -
Emportant ma colère, mes rêves et mes émois.
Tu n’étais pas seulement beau
Et tu n’étais pas seulement intelligent
Toi, tu étais mon idéal.
Le cœur a ses raisons
Et nous nous y délaissions
Mais la vie a ses saisons
Et cela aussi, nous l’apprenions
Les choses simples se veulent évidentes et indomptables
Tu étais mon idéal, existant mais indécrochable
La vie reprend quelques droits
Les saisons se font plus revêches
Tu es loin
Et tu ne réponds plus.
Tu reviens
Mais je n’existe plus.
Comme deux aimants qui s’attirent
L’essence de nos souvenirs jaillit.
Et nous retombons ]…[
Jamais suffisamment pour faire face à la réalité de l’un
Jamais suffisamment pour honorer les engagements de l’autre
Nous estompons du bout des yeux cette réalité
Et nous fuyons - en nous enrôlant mutuellement.
Toi - Tu étais mon idéal.
Tout d’Illusion et d’Ambition
Ni celui d’avant, ni celui d’après.
Celui qui a rendu les évidences douces et dangereuses.
Réelles et Sans appel.
K.
[Tu n’étais pas seulement beau
Et tu n’étais pas seulement intelligent.
Tu étais mon idéal]
Le cœur a ses raisons
Tandis que la vie nous impose ses saisons
Tu étais mon printemps quand je m’enivrais d’automne
Je respirais cette brise, cette pluie et ces feuilles jaunes
Je ne voyais ni la lumière du jour, ni ses éclats.
Tu n’étais ni un regret, ni un soupir
Tu étais mon idéal.
Celui auquel on ne croit pas
Qui reste -un peu- et qui s’en va -souvent-
Qui revient à chaque fois.
Comme la mer emporte nos traces au rivage.
Tu es revenu à chaque fois -
Emportant ma colère, mes rêves et mes émois.
Tu n’étais pas seulement beau
Et tu n’étais pas seulement intelligent
Toi, tu étais mon idéal.
Le cœur a ses raisons
Et nous nous y délaissions
Mais la vie a ses saisons
Et cela aussi, nous l’apprenions
Les choses simples se veulent évidentes et indomptables
Tu étais mon idéal, existant mais indécrochable
La vie reprend quelques droits
Les saisons se font plus revêches
Tu es loin
Et tu ne réponds plus.
Tu reviens
Mais je n’existe plus.
Comme deux aimants qui s’attirent
L’essence de nos souvenirs jaillit.
Et nous retombons ]…[
Jamais suffisamment pour faire face à la réalité de l’un
Jamais suffisamment pour honorer les engagements de l’autre
Nous estompons du bout des yeux cette réalité
Et nous fuyons - en nous enrôlant mutuellement.
Toi - Tu étais mon idéal.
Tout d’Illusion et d’Ambition
Ni celui d’avant, ni celui d’après.
Celui qui a rendu les évidences douces et dangereuses.
Réelles et Sans appel.
K.