Histoires de coeurs maures

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion IbnouCid
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.K.

[Tu n’étais pas seulement beau
Et tu n’étais pas seulement intelligent.
Tu étais mon idéal]

Le cœur a ses raisons
Tandis que la vie nous impose ses saisons

Tu étais mon printemps quand je m’enivrais d’automne
Je respirais cette brise, cette pluie et ces feuilles jaunes
Je ne voyais ni la lumière du jour, ni ses éclats.

Tu n’étais ni un regret, ni un soupir
Tu étais mon idéal.

Celui auquel on ne croit pas
Qui reste -un peu- et qui s’en va -souvent-

Qui revient à chaque fois.
Comme la mer emporte nos traces au rivage.

Tu es revenu à chaque fois -
Emportant ma colère, mes rêves et mes émois.

Tu n’étais pas seulement beau
Et tu n’étais pas seulement intelligent
Toi, tu étais mon idéal.

Le cœur a ses raisons
Et nous nous y délaissions
Mais la vie a ses saisons
Et cela aussi, nous l’apprenions

Les choses simples se veulent évidentes et indomptables
Tu étais mon idéal, existant mais indécrochable

La vie reprend quelques droits
Les saisons se font plus revêches
Tu es loin
Et tu ne réponds plus.

Tu reviens
Mais je n’existe plus.
Comme deux aimants qui s’attirent
L’essence de nos souvenirs jaillit.
Et nous retombons ]…[

Jamais suffisamment pour faire face à la réalité de l’un
Jamais suffisamment pour honorer les engagements de l’autre
Nous estompons du bout des yeux cette réalité
Et nous fuyons - en nous enrôlant mutuellement.

Toi - Tu étais mon idéal.
Tout d’Illusion et d’Ambition

Ni celui d’avant, ni celui d’après.
Celui qui a rendu les évidences douces et dangereuses.
Réelles et Sans appel.


K.
 
Merci Sahlia pour ton texte....je te souhaite de décrocher cet idéal satellite, d'accrocher cet idéal horizon, à portée, rassurant et pourtant, fuyant...mais dans le coeur, surement.
 
J'apprécie tellement la douceur qui émane de ton post.. on s'y sentirait mieux qu'à la maison...

Merci Sahlia pour ton texte....je te souhaite de décrocher cet idéal satellite, d'accrocher cet idéal horizon, à portée, rassurant et pourtant, fuyant...mais dans le coeur, surement.
 
J'apprécie tellement la douceur qui émane de ton post.. on s'y sentirait mieux qu'à la maison...

Un texte que je reposte, il était dans un topic que j'ai du fermer....

"Le tumulte du Pardon - Quatrième

La sensation oppressante d'etre perdu et déboussolé me submerge...
Après une fuite éperdue vers l'horizon, après en être arrivé a ne plus croire pouvoir rendre mon radeau à terre ferme...entre deux vrombissements de vagues, qui me projetait tel une pâture de Charybde, en Scylla...et parmi les embruns aiguisés qui fouettaient mon visage à m'aveugler, un embrun de sa voix s'est immiscé et m'a soufflé cette mélopée fugace "Pardonne moi..."

Mes batons rompus, je me suis si loin aventuré dans la dérive de l'oubli, que je n'ai plus la force de retourner vers la plage de notre ile...épuisé par la marée, balloté par la houle, mais enfin apaisé de savoir pourquoi je fuyais, j'ai gardé mon dernier souffle pour lui confesser..."Je te pardonne..."

Et je me suis laissé couler.

Étrangement, le souffle ne me manque pas...d'abord ahuri, puis intrigué, tandis que force je reprends à mesure de mon déclin reposant vers la profondeur, je me suis mis à battre des jambes, d'abord d'une manière gauche et étourdie, puis avec une conviction fébrile mais neuve, et suis remonté vers le faible clair de la surface.
Le ciel avait retrouvé son calme, et la mer, aussi...et j'ai découvert qu'en leurs deux seins immenses, impressionnants, mais généreux, je pouvais vivre. Je pouvais aimer.
Comme retrouvant une mémoire oubliée, je me suis remis en quête de l'île...J'ai fermé mon regard à un horizon à nouveau serein, écoutant attentivement l'alizé, guettant d'instinct un clapotis distinct, un chant sourd et lointain, pour me guider..."
 
Ou comment la vie reprend ses droits.

J'ai un jour aussi pardonner, au milieu de tout ce que tu décris là, au milieu de toutes ces images, ces phrases qui nous griffent, celles qui nous éclaboussent et celles qui nous maintiennent la tête sous l'eau, l'esprit en marge de notre corps.

J'ai prononcé ces 3mots, avec l'envie de ne plus jamais y retourner, jusqu'à ce jour où la vie a repris ses droits.

Ceux qui veulent nous rester nous restent. Et ceux qui veulent s'en aller le font.
C'est sans doute aussi simple que cela...
Un texte que je reposte, il était dans un topic que j'ai du fermer....

"Le tumulte du Pardon - Quatrième

La sensation oppressante d'etre perdu et déboussolé me submerge...
Après une fuite éperdue vers l'horizon, après en être arrivé a ne plus croire pouvoir rendre mon radeau à terre ferme...entre deux vrombissements de vagues, qui me projetait tel une pâture de Charybde, en Scylla...et parmi les embruns aiguisés qui fouettaient mon visage à m'aveugler, un embrun de sa voix s'est immiscé et m'a soufflé cette mélopée fugace "Pardonne moi..."

Mes batons rompus, je me suis si loin aventuré dans la dérive de l'oubli, que je n'ai plus la force de retourner vers la plage de notre ile...épuisé par la marée, balloté par la houle, mais enfin apaisé de savoir pourquoi je fuyais, j'ai gardé mon dernier souffle pour lui confesser..."Je te pardonne..."

Et je me suis laissé couler.

Étrangement, le souffle ne me manque pas...d'abord ahuri, puis intrigué, tandis que force je reprends à mesure de mon déclin reposant vers la profondeur, je me suis mis à battre des jambes, d'abord d'une manière gauche et étourdie, puis avec une conviction fébrile mais neuve, et suis remonté vers le faible clair de la surface.
Le ciel avait retrouvé son calme, et la mer, aussi...et j'ai découvert qu'en leurs deux seins immenses, impressionnants, mais généreux, je pouvais vivre. Je pouvais aimer.
Comme retrouvant une mémoire oubliée, je me suis remis en quête de l'île...J'ai fermé mon regard à un horizon à nouveau serein, écoutant attentivement l'alizé, guettant d'instinct un clapotis distinct, un chant sourd et lointain, pour me guider..."
 
Ou comment la vie reprend ses droits.

J'ai un jour aussi pardonner, au milieu de tout ce que tu décris là, au milieu de toutes ces images, ces phrases qui nous griffent, celles qui nous éclaboussent et celles qui nous maintiennent la tête sous l'eau, l'esprit en marge de notre corps.

J'ai prononcé ces 3mots, avec l'envie de ne plus jamais y retourner, jusqu'à ce jour où la vie a repris ses droits.

Ceux qui veulent nous rester nous restent. Et ceux qui veulent s'en aller le font.
C'est sans doute aussi simple que cela...

Oui, je le pense aussi...ce qui n'est pas simple, c'est de faire le tour de ses émotions, et de l'accepter, comme l'on aimerait que l'autre accepte quand c'est nous qui nous dérobons, qui faiblissont.

Que reste t il des amours maures..?
tant qu'il ne reste pas de rancoeur, elles sont des réussites.
des réussites piégées dans des bulles, piégées dans un certain moment, un certain encroit du coeur.
 
ben...sac a dos et abri-bus...excuse moi j'ai lu en diagonale, c'est tout ce que j'ai pu capter dans ma lecture turbo :)
 
ben...sac a dos et abri-bus...excuse moi j'ai lu en diagonale, c'est tout ce que j'ai pu capter dans ma lecture turbo :-)

aah ouais ok, non pas du tout, il ne s'agit pas d'une écoliere, y'a des gens qui ont besoin de tout un arsenal pour leur boulot...pas comme moi qui y vait les mains dans les poches, c'est pratique :)

ben descend un peu de régime, tu vas trop vite, avion a émotions :langue:
 
"Le chemin de larmes - Deuxième

Elle est pale, abattue, et c'est le visage fermé qu'elle s'approche.
Dans mon baiser, je n'ose lui demander ce qui ne va pas.
Je la débarrasse de son sac a dos, ce fardeau et ce devoir qu'elle porte à chaque fois, et son corps alors légèrement arqué par le poids, se redresse.
Dans sa faiblesse, je distingue toujours sa dignité silencieuse, qui donne toujours a sa tenue une allure fière et naturellement droite...Dans sa faiblesse, je ne peux m'empêcher de la trouver belle.
Sous l'abri, je pose le sac, et du dos de mes doigts caresse son visage et replie ses mèches, afin de distinguer son front, et son regard...je n'ai le temps de sonder son chagrin, qu'elle niche son visage dans mon cou.
De tout son corps, elle se relâche et s'agrippe a moi, tandis que je la saisis par la taille.
Et elle pleure. C'est la première fois qu'elle me confie ses larmes, elle qui m'a toujours semblé taillée dans un courage somptueux, presque orgueilleux.
Je la porte ainsi, sanglotante, attentif à ménager son saoul de tristesse, guidant chacun de ses mouvements dans le crépuscule, jusqu'à rentrer.

Comme à l'habitude, nous ne daignons prendre la peine de nous débarrasser de nos vêtements, que l'effleurement de nos lèvres suffit à nous faire dériver du réel, pendant un long moment suspendu, comme portés par une lévitation ivre, et fuyant ensemble vers le mirage et sa promesse de félicité éternelle.
Ce mirage qui semblait lui même nous fuir.

Elle ne m'a toujours pas dit un mot."



Ceci n'est pas une histoire, mais des éclats d'histoires qui se suivront de manière morcelée, dont le liant sera délibérément caché et où les émotions seront privilégiées sur les situations et les identités.
Je n'attends pas forcement ni éloges, ni critiques, il s'agit simplement la d'un journal que je vous confie, et il s'agit la d'un besoin qui m'est propre et qui m'a souvent animé ici.
Le seul intérêt, loin d'être littéraire, que je trouve à ma démarche, c'est d'être inspiré - comme toujours - par et pour les bladinettes.
Aussi, aucun nom ou lieu ou autres précisions ne sera mentionné, sinon de manière symbolique.

Vous remerciant de votre lecture, je vous dis à de prochaines réminiscences.

Bon Dimanche à vous :)

PS : Je regrette la disparition des blogs :'(

bien que je ne sois pas une bladinette, permets moi de donner mon avis. je trouve que tu écris bien notamment lorsqu'il s'agit des descriptions. On ne les comprends pas par la lettre mais par l'intuition que les situations suggèrent.
Néammoins, stp, n'abuse pas des participe présent dans les description, ça donne une lourdeur inutile à ton phrasé.
 
bien que je ne sois pas une bladinette, permets moi de donner mon avis. je trouve que tu écris bien notamment lorsqu'il s'agit des descriptions. On ne les comprends pas par la lettre mais par l'intuition que les situations suggèrent.
Néammoins, stp, n'abuse pas des participe présent dans les description, ça donne une lourdeur inutile à ton phrasé.

Merci :)
les participes présent comme légèrement, naturellement..?
 
K..

[…[
L’Amour, qui d’un baiser
Marque notre front au plus profond
L’amour, qui s’il nous était conté
Nous ferait perdre la patience

A le vivre, il nous faut donner,
Passer à côté, Douter ou Continuer.
Et sombrer parfois pour l’apprécier
Avant de le voir révéler l’évidence, douce et captivante.

Mon amour me fera résoudre la douceur
Et résorber la rudesse
Celle là même qui me giflait le cœur,
Aimée en Absence
Tendrement - Le temps de perler un dessein

De ces étoiles, de cette vue, douce brise au cocktail de voie lactée
Le voyage lacéré au travers de mon âme m’a amenée.
 
Afin de compléter ma trilogie:

K.

De la douceur

La jolie perle a son secret
Vulnérable baiser
Devenu tendresse
Et le cœur, jadis paria, devint liesse

Le cœur compresse
Et le temps presse qui l’a fait mûrir
Se rendit passion le temps de deux caresses

Deux lèvres paraissent
Après attente et distance
Deux lèvres disparaissent
Se reviennent et s’achèvent en un silence

Son visage sur son épaule
Contemplant ce courant d’eau emboisé
Si l’amour lui était conté
Il serait une fable
Où la morale, sans coups de raison lui apprendrait
Qu’à deux cœurs identiques
Tous les chemins mènent à l’amour.
 
aah ouais ok, non pas du tout, il ne s'agit pas d'une écoliere, y'a des gens qui ont besoin de tout un arsenal pour leur boulot...pas comme moi qui y vait les mains dans les poches, c'est pratique

ben descend un peu de régime, tu vas trop vite, avion a émotions :langue:

Si tu me voyais aller au boulot...Tu penserais que je vais faire la guerre aux talibans!

Sinon...si je diminue ma vitesse je vais perdre en altitude et bientot me preparer a atterrir, ca ne me tente pas, aucune bonne piste en vue...Il m'en faut des loooongues pour pouvoir me poser, de tout mon poid, en toute securite :)
tant qu'on a du gaz, on vole...Si mes reserves s'epuisent, je me demerderai pour planer...
 
Si tu me voyais aller au boulot...Tu penserais que je vais faire la guerre aux talibans!

Sinon...si je diminue ma vitesse je vais perdre en altitude et bientot me preparer a atterrir, ca ne me tente pas, aucune bonne piste en vue...Il m'en faut des loooongues pour pouvoir me poser, de tout mon poid, en toute securite :-)
tant qu'on a du gaz, on vole...Si mes reserves s'epuisent, je me demerderai pour planer...

et quand il n'y aura plus de vent, plus d'air pour te soutenir dans ton vol lorsque ce dernier ne sera que plané....? tu risques d'atterrir un peu n'importe ou...nan ?

MDR :-D oui oui bien sûr prends moi pour un imbécile.
je ne fais pas de la prose mais je connais quand même ma grammaire

oups désolé, ce que je t'ai dit sont des adverbes c'est ca ? :rouge:
je vois deux participes présents : guidant, et fuyant...

wallah je fais de la prose sans trop faire gaffe a la grammaire, des fois "j'invente" des tournures qui n'existent meme pas :(
 
لو كنتي ياصديقتي بمستوى جنوني

رميتي ما عليكي من جواهر

وبعتي ما لديكي من اساور

ونمتي في عيوني

أنا لا أطمح أن أصبح قيصر ....

لا ولا أطمح أن استلم العرش

فعرش الشعر أكبر


كل ما أرجوه يا سيدتي أن تحبيني قليلاً ....

كل ما أرجوه يا سيدتي أن تحبيني قليلاً

لا لشيئ أنما كي أتحضر

Le pète: Nizar Kabbani
 
et quand il n'y aura plus de vent, plus d'air pour te soutenir dans ton vol lorsque ce dernier ne sera que plané....? tu risques d'atterrir un peu n'importe ou...nan ?



oups désolé, ce que je t'ai dit sont des adverbes c'est ca ? :rouge:
je vois deux participes présents : guidant, et fuyant...

wallah je fais de la prose sans trop faire gaffe a la grammaire, des fois "j'invente" des tournures qui n'existent meme pas :(

c'est ce que j'ai essayer de te dire dans mon 1er message. on comprends intuitivement même quand litteralement la tournure n'existe pas.
c'est un style qui s'adresse plus au ressenti qu'à la compréhension intelligible.
les femmes adorent ça, tu n'as qu'à demander à Marc Levy lol
 
tu risques d'atterrir un peu n'importe ou...nan ?
Des atterrissages en catastrophe, j'en ai connu cher Ibnou! Avec le temps on prevoit mieux, on a plus d'experience "technique", et on sait choisir le meilleur pour son "coucou".
Le risque existe partout ou tu regardes...Mais qui ne tente rien, n'as rien, au du moins pas grand chose :)
 
Quand le charme maure nous échappe
et que l'amour mort nous dévaste

L'on pose les mots
qui de trappe en reste
nous laissent seuls

Mort du charme qui demeure
L'amour, maure, se meurt

Enterre, Demeure, l'Incompris
Le temps de l'amour laisse place aux erreurs
nous rongeant, nus, seuls, et les montagnes jadis
Enrichissantes, se dressent entre nous

Le coeur nous rend marginal
et au fur et à mesure que l'on a mal
Le coeur anesthésié
nous fait oublier.

Belle des Monts
pour tant de démons en ivresse

L'amour livré en pâture
Et notre solitude torture

Ô Coeur rosé
_ ...
Notre accord aurait guéri les bleus

Mon âme, endolorie
Et ton absence.
 
c'est ce que j'ai essayer de te dire dans mon 1er message. on comprends intuitivement même quand litteralement la tournure n'existe pas.
c'est un style qui s'adresse plus au ressenti qu'à la compréhension intelligible.
les femmes adorent ça, tu n'as qu'à demander à Marc Levy lol

effectivement, je m'attarde plus sur l'émotion que je souhaite dégager, que sur la rhétorique en elle meme.
ca peut paraitre confus parfois.
mais les femmes comprennent bien les images que j'utilise, comme si j'écrivais dans leur lexique émotionnel.

un jour peut etre, j'essaierai d'en faire carriere, tant qu'a faire, autant ramasser des pépètes au passage :D

Des atterrissages en catastrophe, j'en ai connu cher Ibnou! Avec le temps on prevoit mieux, on a plus d'experience "technique", et on sait choisir le meilleur pour son "coucou".
Le risque existe partout ou tu regardes...Mais qui ne tente rien, n'as rien, au du moins pas grand chose :-)

je n'ai pas de doute vis a vis de tes capacités de pilotage...au pire, tu as toujours un parachute ;)
 
Quand le charme maure nous échappe
et que l'amour mort nous dévaste

L'on pose les mots
qui de trappe en reste
nous laissent seuls

Mort du charme qui demeure
L'amour, maure, se meurt

Enterre, Demeure, l'Incompris
Le temps de l'amour laisse place aux erreurs
nous rongeant, nus, seuls, et les montagnes jadis
Enrichissantes, se dressent entre nous

Le coeur nous rend marginal
et au fur et à mesure que l'on a mal
Le coeur anesthésié
nous fait oublier.

Belle des Monts
pour tant de démons en ivresse

L'amour livré en pâture
Et notre solitude torture

Ô Coeur rosé
_ ...
Notre accord aurait guéri les bleus

Mon âme, endolorie
Et ton absence.

Le charme est Maure...merci Sahlia...merci K.
 
effectivement, je m'attarde plus sur l'émotion que je souhaite dégager, que sur la rhétorique en elle meme.
ca peut paraitre confus parfois.
mais les femmes comprennent bien les images que j'utilise, comme si j'écrivais dans leur lexique émotionnel.

un jour peut etre, j'essaierai d'en faire carriere, tant qu'a faire, autant ramasser des pépètes au passage :D

je n'ai pas de doute vis a vis de tes capacités de pilotage...au pire, tu as toujours un parachute ;)

malheureusement le charme maure est rompu. te revoilà crapaud sarazin, qui barbote dans ta mare lexicale la plus sincère
 
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