il faut créer un Etat pour les Roms : le Romanestan

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Oui c'est vrai, un goulag, ce n'est pas l'oeuvre d'un dictateur pour adian-ramses... :rolleyes:


Pareil pour ce qui est d'avoir massacré les prisonniers, bon, c'est pas bien grave

La dictature se caractérise par l'absence de pluralisme politique et d'alternance au pouvoir : comme seul le Parti communiste est autorisé et que Tito en est le chef, il gouverne sans interruption de 1945 à sa mort en 1980, à 87 ans...

Mais bon à part ca, pas l'ombre dune trace d'un régime dictatorial ni sanguinaire :sournois:
propagande oustachi nazie croate et de la Cia
Tito ne traquait que les nazis croates oustachi massacreur de juifs de bosniaques musulmans et serbes et roms
 
Oui c'est vrai, un goulag, ce n'est pas l'oeuvre d'un dictateur pour adian-ramses... :rolleyes:


Pareil pour ce qui est d'avoir massacré les prisonniers, bon, c'est pas bien grave

La dictature se caractérise par l'absence de pluralisme politique et d'alternance au pouvoir : comme seul le Parti communiste est autorisé et que Tito en est le chef, il gouverne sans interruption de 1945 à sa mort en 1980, à 87 ans...

Mais bon à part ca, pas l'ombre dune trace d'un régime dictatorial ni sanguinaire :sournois:
de Gaulle qui a massacré 1million de malgaches en 1945, des algeriens (complicité de 45 a 54) , des camerounais de 48 a 69
et la France Ose appeler Tito dictateur et louer De Gaulle co»me un democrate
 
Quelques chiffres extrêmement tabous qui sont loin de tout expliquer, mais dont il serait bon de tenir compte :


Données générales sur le QI moyen des Roms

  • Estimations : Les études disponibles suggèrent un QI moyen inférieur à la moyenne nationale dans les pays où vivent les Roms (souvent entre 70 et 85 selon les tests et les échantillons).
  • Comparaison : La moyenne générale en Europe est d’environ 90–100 (selon les tests standardisés).

Exemples par pays :


Roumaine : 75 à 80 pour les roms 94 pour la moyenne de la population
Hongrie : 78 à 83 / 98
Slovquie : 70 à 80 /96


(Sources : études locales et rapports comme Lynn & Vanhanen, 2012, avec critiques méthodologiques)
 
Quelques chiffres extrêmement tabous qui sont loin de tout expliquer, mais dont il serait bon de tenir compte :


Données générales sur le QI moyen des Roms

  • Estimations : Les études disponibles suggèrent un QI moyen inférieur à la moyenne nationale dans les pays où vivent les Roms (souvent entre 70 et 85 selon les tests et les échantillons).
  • Comparaison : La moyenne générale en Europe est d’environ 90–100 (selon les tests standardisés).

Exemples par pays :


Roumaine : 75 à 80 pour les roms 94 pour la moyenne de la population
Hongrie : 78 à 83 / 98
Slovquie : 70 à 80 /96


(Sources : études locales et rapports comme Lynn & Vanhanen, 2012, avec critiques méthodologiques)
Le QI est finalement très lié à la culture générale et l'apprentissage contrairement à ce que certains ont voulu croire. Ainsi si les roms sont exclus du système éducatif, il est normal qu'ils ne soient pas dans la moyenne du reste de la population
 
Le QI est finalement très lié à la culture générale et l'apprentissage contrairement à ce que certains ont voulu croire. Ainsi si les roms sont exclus du système éducatif, il est normal qu'ils ne soient pas dans la moyenne du reste de la population
Le QI moyen d’une population dépend à la fois de la biologie et de l’environnement :
Acquis (50-70% en moyenne) : éducation, nutrition, stimulation cognitive, conditions socio-économiques.
Inné (30-50%) : génétique, héritabilité, variations interindividuelles.

Aucun facteur ne peut tout expliquer à lui seul :

  • Un enfant avec un haut potentiel génétique peut voir son QI plafonner dans un environnement pauvre.
  • À l’inverse, un environnement optimal ne "créera" pas un QI de 150 sans prédispositions.
Pour aller plus loin :

  • "Intelligence and How to Get It" (Nisbett, 2009) – plaidoyer pour l’importance de l’éducation.
  • "The Blank Slate" (Pinker, 2002) – analyse des interactions gènes-culture.
 
Quelques chiffres extrêmement tabous qui sont loin de tout expliquer, mais dont il serait bon de tenir compte :


Données générales sur le QI moyen des Roms

  • Estimations : Les études disponibles suggèrent un QI moyen inférieur à la moyenne nationale dans les pays où vivent les Roms (souvent entre 70 et 85 selon les tests et les échantillons).
  • Comparaison : La moyenne générale en Europe est d’environ 90–100 (selon les tests standardisés).

Exemples par pays :


Roumaine : 75 à 80 pour les roms 94 pour la moyenne de la population
Hongrie : 78 à 83 / 98
Slovquie : 70 à 80 /96


(Sources : études locales et rapports comme Lynn & Vanhanen, 2012, avec critiques méthodologiques)
Consanguinité élevée dans cette population
 
Quelques chiffres extrêmement tabous qui sont loin de tout expliquer, mais dont il serait bon de tenir compte :


Données générales sur le QI moyen des Roms

  • Estimations : Les études disponibles suggèrent un QI moyen inférieur à la moyenne nationale dans les pays où vivent les Roms (souvent entre 70 et 85 selon les tests et les échantillons).
  • Comparaison : La moyenne générale en Europe est d’environ 90–100 (selon les tests standardisés).

Exemples par pays :


Roumaine : 75 à 80 pour les roms 94 pour la moyenne de la population
Hongrie : 78 à 83 / 98
Slovquie : 70 à 80 /96


(Sources : études locales et rapports comme Lynn & Vanhanen, 2012, avec critiques méthodologiques)
le QI est un mensonge, il y a plusieurs formes d intelligence
 
Le QI moyen d’une population dépend à la fois de la biologie et de l’environnement :
Acquis (50-70% en moyenne) : éducation, nutrition, stimulation cognitive, conditions socio-économiques.
Inné (30-50%) : génétique, héritabilité, variations interindividuelles.

Aucun facteur ne peut tout expliquer à lui seul :

  • Un enfant avec un haut potentiel génétique peut voir son QI plafonner dans un environnement pauvre.
  • À l’inverse, un environnement optimal ne "créera" pas un QI de 150 sans prédispositions.
Pour aller plus loin :

  • "Intelligence and How to Get It" (Nisbett, 2009) – plaidoyer pour l’importance de l’éducation.
  • "The Blank Slate" (Pinker, 2002) – analyse des interactions gènes-culture.
mensonge
 
Et vu comment ils gèrent les environnements dans lesquels ils vivent, je n'ose imaginer un état tout entier géré de cette manière.
Enfin tu vas me dire, il y a quelques exemples avec des populations non-roms....
 
Ce sera le tiers-monde, la famine assurée pour un peuple n'ayant développé aucune compétence, ne sachant ni travailler la terre ni former des ingénieurs.
L'enfer sur terre, cela les poussera à immigrer inévitablement chez les autres.
 
les Roms sont persécutés en Europe
il leur faut un État pour desservir de base arrière en cas de pogroms, un État d ou ils pourront migrer dans toute l union européenne , un État qui sera a la fois membre de l union européenne et de la fédération indienne a titre symbolique
Tito de la Yougoslavie avait prévu un État Rom le Romanestan

ROMANESTAN ZINDABAD !!!!!
vive l État Rom

Ils sont persécutés et persécuteurs
Quelle drôle de mentalité ils ont !

Sinon quand ils auront un pays, je propose comme emblème le chou romanesco - voilà pour ma contribution 😅
 
Tu réponds à côté, parce que tu évites soigneusement d'admettre que les populations roms sont consanguines, ce qui pourrait expliquer certaines déficiences mentales.
non , les africaners sont aussi consanguins et leurs enfants ont des maladies de la peau: enfants de lune sensibles au soleil comme les albinos
 
Ce sera le tiers-monde, la famine assurée pour un peuple n'ayant développé aucune compétence, ne sachant ni travailler la terre ni former des ingénieurs.
L'enfer sur terre, cela les poussera à immigrer inévitablement chez les autres.
faux sous le communisme les Roms étaient bien intégrés, Tito le dirigeant yougoslave communiste voulait leur créer un État le Romanestan, ils auraient été riches et puissants, bien éduqués avec le communisme
tous les problèmes des Roms ont commencé avec la chute des pays dits communistes( les communistes du printemps de Pragues et de Budapest étaient plus communistes que ceux soutenus par les stalinistes )
Depuis c est le desordre
 
faux sous le communisme les Roms étaient bien intégrés, Tito le dirigeant yougoslave communiste voulait leur créer un État le Romanestan, ils auraient été riches et puissants, bien éduqués avec le communisme
tous les problèmes des Roms ont commencé avec la chute des pays dits communistes( les communistes du printemps de Pragues et de Budapest étaient plus communistes que ceux soutenus par les stalinistes )
Depuis c est le desordre

aie, tu ne vas pas aimer, Ramses :(

 
faux sous le communisme les Roms étaient bien intégrés, Tito le dirigeant yougoslave communiste voulait leur créer un État le Romanestan, ils auraient été riches et puissants, bien éduqués avec le communisme
tous les problèmes des Roms ont commencé avec la chute des pays dits communistes( les communistes du printemps de Pragues et de Budapest étaient plus communistes que ceux soutenus par les stalinistes )
Depuis c est le desordre
Le "Romanestan" serait sans doute rongé par la pauvreté et la corruption, il n'y a pas de raisons qu'il en soit autrement.
 
aie, tu ne vas pas aimer, Ramses :(

les pharaons se mariaient entre eux mais ils étaient brillants donc le QI c est du faux
les afrikaners se mariaient entre eux mais ils sont très intelligents
 

Le négationnisme du QI en Europe et les différences raciales

En Europe, on trouve principalement des négationnistes du QI. Cela s’explique par notre contexte historique, qui fait que toute donnée, même scientifique, mettant en lumière des différences raciales est perçue comme un risque d’eugénisme, voire de génocide.

Ailleurs dans le monde, notamment aux États-Unis, la situation est différente. Au moins trois prix Nobel ont souligné ce facteur, appuyé par des études de masse comparant les QI des Blancs, des Afro-Américains et des immigrés asiatiques. Le fait qu’ils vivent tous aux États-Unis – donc dans le même environnement – et que des politiques de discrimination positive atténuent les effets socio-économiques permet une analyse plus objective.

Que constate-t-on ?

Je parle bien de constat, et non d’idéologie :

  • Les Afro-Américains, dont le QI moyen était à l’origine de 70, sont passés à 85.
  • Les Blancs sont restés stables autour de 100.
  • Les Asiatiques se maintiennent à 105-106.
L’amélioration des conditions de vie (accès aux études, nutrition, etc.) a permis une nette progression du QI chez les Afro-Américains. Cependant, l’écart de 15 points avec les Blancs et de 20 points avec les Asiatiques ne peut s’expliquer uniquement par des facteurs externes.

La réalité des différences naturelles

On peut le regretter, mais la nature est ainsi faite :

  • Certains groupes sont mieux dotés dans tel ou tel domaine intellectuel.
  • D’autres présentent une supériorité physique dans certains aspects.
Je rappelle, si besoin est, qu’une moyenne ne préjuge pas des capacités d’un individu. Par exemple, si les Aborigènes d’Australie ont le QI moyen le plus bas connu, cela n’exclut pas qu’un d’entre eux puisse devenir prix Nobel de physique.

Pourquoi faut-il accepter cette réalité ?

Il est grand temps d’en tenir compte, même si elle est en partie déplaisante, sans tomber dans un sentiment idiot de supériorité. Ignorer ces différences nous empêcherait de résoudre certains problèmes, comme le sous-développement du continent africain.
 

Le négationnisme du QI en Europe et les différences raciales

En Europe, on trouve principalement des négationnistes du QI. Cela s’explique par notre contexte historique, qui fait que toute donnée, même scientifique, mettant en lumière des différences raciales est perçue comme un risque d’eugénisme, voire de génocide.

Ailleurs dans le monde, notamment aux États-Unis, la situation est différente. Au moins trois prix Nobel ont souligné ce facteur, appuyé par des études de masse comparant les QI des Blancs, des Afro-Américains et des immigrés asiatiques. Le fait qu’ils vivent tous aux États-Unis – donc dans le même environnement – et que des politiques de discrimination positive atténuent les effets socio-économiques permet une analyse plus objective.

Que constate-t-on ?

Je parle bien de constat, et non d’idéologie :

  • Les Afro-Américains, dont le QI moyen était à l’origine de 70, sont passés à 85.
  • Les Blancs sont restés stables autour de 100.
  • Les Asiatiques se maintiennent à 105-106.
L’amélioration des conditions de vie (accès aux études, nutrition, etc.) a permis une nette progression du QI chez les Afro-Américains. Cependant, l’écart de 15 points avec les Blancs et de 20 points avec les Asiatiques ne peut s’expliquer uniquement par des facteurs externes.

La réalité des différences naturelles

On peut le regretter, mais la nature est ainsi faite :

  • Certains groupes sont mieux dotés dans tel ou tel domaine intellectuel.
  • D’autres présentent une supériorité physique dans certains aspects.
Je rappelle, si besoin est, qu’une moyenne ne préjuge pas des capacités d’un individu. Par exemple, si les Aborigènes d’Australie ont le QI moyen le plus bas connu, cela n’exclut pas qu’un d’entre eux puisse devenir prix Nobel de physique.

Pourquoi faut-il accepter cette réalité ?

Il est grand temps d’en tenir compte, même si elle est en partie déplaisante, sans tomber dans un sentiment idiot de supériorité. Ignorer ces différences nous empêcherait de résoudre certains problèmes, comme le sous-développement du continent africain.

tu connais le Dalaï lama et Mathieu Ricard
 
Quelques données contre-intuitives sur le lien entre consanguinité et QI (ce n'est pas aussi évident) :

QI moyen des Juifs et consanguinité : comparaison avec la population européenne

1. QI moyen des Juifs vs population européenne

  • Juifs ashkénazes (origine européenne) : Leur QI moyen est estimé à 110, soit 11 points au-dessus de la moyenne européenne (environ 99) .
    • Ils représentent une part disproportionnée des lauréats de prix Nobel (30 %) et des champions d'échecs (50 %), malgré leur faible population (environ 10 millions) .
    • Les études génétiques (comme celles de Cochran et Harpending) suggèrent une sélection naturelle favorisant les traits cognitifs, liée à des mutations génétiques spécifiques .
  • Autres groupes juifs :
    • Séfarades (origine ibérique/balkans) : QI moyen de 98, proche de la moyenne européenne 7.
    • Juifs mizrahim (Orientaux) : QI moyen de 91 .
    • Juifs éthiopiens : QI moyen de 68, similaire aux populations d'Afrique subsaharienne .
  • Israël : QI moyen national de 95, inférieur à l'Europe en raison de la diversité des groupes (40 % ashkénazes, 40 % mizrahim, 20 % Arabes) .

2. Consanguinité chez les Juifs

  • Niveau élevé d'endogamie : Les Juifs, en particulier ashkénazes, ont historiquement pratiqué des mariages au sein de leur communauté, conduisant à une certaine consanguinité. Cela a pu favoriser la concentration de gènes liés à l'intelligence, mais aussi de maladies génétiques (comme la maladie de Tay-Sachs) .
  • Comparaison avec l'Europe : La consanguinité juive est généralement supérieure à celle des populations européennes modernes, où les mariages exogames sont plus courants. Cependant, elle reste inférieure à celle observée dans certaines populations isolées (comme les clans tribaux) .

3. Facteurs explicatifs

  • Génétique : Les ashkénazes présentent une fréquence accrue d'allèles associés à la cognition, comme le montre l'étude GWAS de Dunkel et Kirkegaard (2019) .
  • Culture et éducation : Tradition d'étude intensive (comme l'étude du Talmud) et valorisation de l'excellence académique .
  • Sélection historique : Théories évoquant une pression évolutive favorisant les individus capables de s'adapter à des métiers intellectuels (commerce, finance) en diaspora

Conclusion : Les Juifs ashkénazes ont un QI moyen significativement supérieur à celui des Européens, en partie à cause de facteurs génétiques et culturels. Leur consanguinité historique a pu jouer un rôle dans cette divergence, mais elle s'accompagne aussi de risques sanitaires. Les autres groupes juifs (séfarades, mizrahim) se rapprochent davantage de la moyenne européenne .

Pour des détails supplémentaires, voir les études de Richard Lynn "The Chosen People" ou les analyses génétiques de Cochran et Harpending .
 
Quelques données contre-intuitives sur le lien entre consanguinité et QI (ce n'est pas aussi évident) :

QI moyen des Juifs et consanguinité : comparaison avec la population européenne

1. QI moyen des Juifs vs population européenne

  • Juifs ashkénazes (origine européenne) : Leur QI moyen est estimé à 110, soit 11 points au-dessus de la moyenne européenne (environ 99) .
    • Ils représentent une part disproportionnée des lauréats de prix Nobel (30 %) et des champions d'échecs (50 %), malgré leur faible population (environ 10 millions) .
    • Les études génétiques (comme celles de Cochran et Harpending) suggèrent une sélection naturelle favorisant les traits cognitifs, liée à des mutations génétiques spécifiques .
  • Autres groupes juifs :
    • Séfarades (origine ibérique/balkans) : QI moyen de 98, proche de la moyenne européenne 7.
    • Juifs mizrahim (Orientaux) : QI moyen de 91 .
    • Juifs éthiopiens : QI moyen de 68, similaire aux populations d'Afrique subsaharienne .
  • Israël : QI moyen national de 95, inférieur à l'Europe en raison de la diversité des groupes (40 % ashkénazes, 40 % mizrahim, 20 % Arabes) .

2. Consanguinité chez les Juifs

  • Niveau élevé d'endogamie : Les Juifs, en particulier ashkénazes, ont historiquement pratiqué des mariages au sein de leur communauté, conduisant à une certaine consanguinité. Cela a pu favoriser la concentration de gènes liés à l'intelligence, mais aussi de maladies génétiques (comme la maladie de Tay-Sachs) .
  • Comparaison avec l'Europe : La consanguinité juive est généralement supérieure à celle des populations européennes modernes, où les mariages exogames sont plus courants. Cependant, elle reste inférieure à celle observée dans certaines populations isolées (comme les clans tribaux) .

3. Facteurs explicatifs

  • Génétique : Les ashkénazes présentent une fréquence accrue d'allèles associés à la cognition, comme le montre l'étude GWAS de Dunkel et Kirkegaard (2019) .
  • Culture et éducation : Tradition d'étude intensive (comme l'étude du Talmud) et valorisation de l'excellence académique .
  • Sélection historique : Théories évoquant une pression évolutive favorisant les individus capables de s'adapter à des métiers intellectuels (commerce, finance) en diaspora

Conclusion : Les Juifs ashkénazes ont un QI moyen significativement supérieur à celui des Européens, en partie à cause de facteurs génétiques et culturels. Leur consanguinité historique a pu jouer un rôle dans cette divergence, mais elle s'accompagne aussi de risques sanitaires. Les autres groupes juifs (séfarades, mizrahim) se rapprochent davantage de la moyenne européenne .

Pour des détails supplémentaires, voir les études de Richard Lynn "The Chosen People" ou les analyses génétiques de Cochran et Harpending .
mensonges des supremacistes juifs et européens (prétendument aryens mais qui ne respectent pas la doxa aryenne de Cyrus ,le Cylindre de Cyrus, et des hindous, l Ahimsa )
 

tu connais le Dalaï lama et Mathieu Ricard
Matthieu Ricard, moine bouddhiste et ancien scientifique, aborde la question du QI et de l'intelligence sous un angle holistique, intégrant des perspectives scientifiques, philosophiques et spirituelles. Voici ses conclusions clés en résumé :


1. L'intelligence dépasse le QI

Ricard souligne que le QI, bien qu'utile pour mesurer certaines capacités cognitives, ne capture pas l'ensemble de l'intelligence humaine. Il insiste sur l'importance de l'intelligence émotionnelle, de l'empathie et de la compassion, qu'il considère comme des formes supérieures de sagesse .

2. L'altruisme comme marqueur d'intelligence

Il défend l'idée que l'ouverture aux autres et la coopération sont des preuves d'intelligence, s'appuyant sur des études en neurosciences et en psychologie. Ces qualités favorisent le bien-être individuel et collectif, contrairement à l'égoïsme qui génère de la souffrance .

3. Plasticité cérébrale et entraînement de l'esprit

Ricard met en avant la neuroplasticité : l'intelligence peut être développée par des pratiques comme la méditation, qui modifie structurellement le cerveau. Il cite des études montrant que la méditation améliore l'attention, la régulation émotionnelle et même les compétences cognitives .

4. Critique des usages réducteurs du QI

Bien qu'il reconnaisse l'utilité des tests de QI pour identifier des troubles cognitifs, il critique leur utilisation pour hiérarchiser les individus ou les groupes. Il rappelle que des facteurs environnementaux (éducation, nutrition) influencent largement les résultats .

5. Synthèse entre science et spiritualité

Dans ses travaux avec des scientifiques (comme dans L'infini dans la paume de la main), Ricard explore comment science et bouddhisme peuvent se compléter pour comprendre la conscience et l'intelligence, sans réduire l'humain à des mesures quantitatives .


En bref : Pour Ricard, l'intelligence véritable inclut la compassion, la capacité à se relier aux autres et à cultiver son esprit. Le QI n'en est qu'un fragment, et sa valeur dépend de l'usage éthique qu'on en fait .

Pour approfondir : Ses livres Plaidoyer pour l'altruisme et L'Art de la méditation développent ces idées.

Tout ceci est très sympathique et je suis globalement en accord. Cela ne contredit néanmoins pas mes propos précédents. Le QI est juste une mesure des capacités cognitives d'abstraction (en très gros). Il ne s'agit pas de hiérarchiser les humains en fonction de ce seul élément. J'ai connu des trisomiques étant de bien meilleurs humains que moi.

Par contre, je ne confierais pas la gestion d'une centrale nucléaire à des trisomiques, même les plus merveilleux d'entre eux.
 
Quelques données contre-intuitives sur le lien entre consanguinité et QI (ce n'est pas aussi évident) :

QI moyen des Juifs et consanguinité : comparaison avec la population européenne

1. QI moyen des Juifs vs population européenne

  • Juifs ashkénazes (origine européenne) : Leur QI moyen est estimé à 110, soit 11 points au-dessus de la moyenne européenne (environ 99) .
    • Ils représentent une part disproportionnée des lauréats de prix Nobel (30 %) et des champions d'échecs (50 %), malgré leur faible population (environ 10 millions) .
    • Les études génétiques (comme celles de Cochran et Harpending) suggèrent une sélection naturelle favorisant les traits cognitifs, liée à des mutations génétiques spécifiques .
  • Autres groupes juifs :
    • Séfarades (origine ibérique/balkans) : QI moyen de 98, proche de la moyenne européenne 7.
    • Juifs mizrahim (Orientaux) : QI moyen de 91 .
    • Juifs éthiopiens : QI moyen de 68, similaire aux populations d'Afrique subsaharienne .
  • Israël : QI moyen national de 95, inférieur à l'Europe en raison de la diversité des groupes (40 % ashkénazes, 40 % mizrahim, 20 % Arabes) .

2. Consanguinité chez les Juifs

  • Niveau élevé d'endogamie : Les Juifs, en particulier ashkénazes, ont historiquement pratiqué des mariages au sein de leur communauté, conduisant à une certaine consanguinité. Cela a pu favoriser la concentration de gènes liés à l'intelligence, mais aussi de maladies génétiques (comme la maladie de Tay-Sachs) .
  • Comparaison avec l'Europe : La consanguinité juive est généralement supérieure à celle des populations européennes modernes, où les mariages exogames sont plus courants. Cependant, elle reste inférieure à celle observée dans certaines populations isolées (comme les clans tribaux) .

3. Facteurs explicatifs

  • Génétique : Les ashkénazes présentent une fréquence accrue d'allèles associés à la cognition, comme le montre l'étude GWAS de Dunkel et Kirkegaard (2019) .
  • Culture et éducation : Tradition d'étude intensive (comme l'étude du Talmud) et valorisation de l'excellence académique .
  • Sélection historique : Théories évoquant une pression évolutive favorisant les individus capables de s'adapter à des métiers intellectuels (commerce, finance) en diaspora

Conclusion : Les Juifs ashkénazes ont un QI moyen significativement supérieur à celui des Européens, en partie à cause de facteurs génétiques et culturels. Leur consanguinité historique a pu jouer un rôle dans cette divergence, mais elle s'accompagne aussi de risques sanitaires. Les autres groupes juifs (séfarades, mizrahim) se rapprochent davantage de la moyenne européenne .

Pour des détails supplémentaires, voir les études de Richard Lynn "The Chosen People" ou les analyses génétiques de Cochran et Harpending .
 

Les 9 types d'intelligence : validité scientifique et lien avec le QI

1. Origine de la théorie des 9 intelligences

Cette classification provient de la théorie des intelligences multiples proposée par Howard Gardner (1983), un psychologue de Harvard. Selon lui, l'intelligence n'est pas unidimensionnelle (comme le mesure le QI), mais se divise en plusieurs formes indépendantes.

Voici les 9 types (Gardner en a initialement défini 8, d'autres chercheurs ont ajouté des variantes) :

  1. Linguistique (maîtrise du langage)
  2. Logico-mathématique (raisonnement abstrait, maths)
  3. Spatiale (visualisation 3D, orientation)
  4. Musicale (rythme, mélodie)
  5. Corporelle-kinesthésique (coordination physique)
  6. Interpersonnelle (compréhension des autres)
  7. Intrapersonnelle (introspection, connaissance de soi)
  8. Naturaliste (sensibilité à la nature)
  9. Existentielle/spirituelle (réflexion sur le sens de la vie) (ajout ultérieur)

2. Validité scientifique

  • Reconnaissance académique :
    • La théorie est influente en éducation (pour adapter les méthodes d'enseignement), mais controversée en psychométrie.
    • Pas de validation empirique solide : Contrairement au QI (mesuré par des tests standardisés comme le WAIS), les "intelligences multiples" ne reposent pas sur des outils de mesure objectifs.
    • Critique majeure : Gardner n'a pas fourni de protocole expérimental rigoureux pour prouver que ces intelligences sont indépendantes (corrélations entre elles existent, comme entre logico-mathématique et spatiale).
  • Alternative dominante :
    • Le modèle psychométrique classique (celui du QI) privilégie l'idée d'une intelligence générale (facteur g) qui influence toutes les capacités cognitives.
    • Les tests de QI mesurent cette intelligence générale, ainsi que des sous-dimensions (mémoire, raisonnement, etc.).

3. Lien avec le QI

  • Compatibilité limitée :
    • Le QI évalue principalement l'intelligence logico-mathématique et linguistique, mais ignore d'autres formes (musicale, kinesthésique, etc.).
    • Une personne peut avoir un QI moyen mais exceller en intelligence interpersonnelle (ex.: un médiateur hors pair).
  • Points de convergence :
    • Les intelligences logico-mathématique et linguistique sont fortement corrélées au QI.
    • Les autres formes (comme musicale ou naturaliste) ne sont pas prédites par le QI, ce qui justifie l'idée de Gardner selon laquelle le QI est incomplet.
Conclusion :

  • Les "9 intelligences" sont un modèle utile pour penser la diversité des talents, mais pas une théorie scientifiquement établie comme le QI.
  • Le QI reste la mesure la plus fiable de l'intelligence cognitive générale, mais il ne rend pas compte de toutes les formes d'habiletés humaines.
Pour aller plus loin :

  • Les Intelligences multiples (Howard Gardner)
  • The g Factor (Arthur Jensen) sur l'intelligence générale.
Si tu cherche une approche scientifiquement robuste, privilégie le modèle du QI. Pour une vision holistique (éducation, coaching), la théorie de Gardner offre des pistes intéressantes, mais à prendre avec prudence.
 
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