ColonelStach
Amoureux de femmes slaves
« Ma décision est prise je te quitte. Je n’oublie pas ces années passées ensemble.»
Deux phrases et le sort en est scellé. Ma fiancée vient de me quitter sans préavis. Cette femme qui s’allonge à mes cotés toutes ces nuits, que je croyais connaitre jusqu’à ces moindres nuances vient de me briser. J’ai du mal à réaliser. Comment, elle, que j’ai récupéré au milieu des détritus, et dont j’ai fait une femme d’honneur, pouvait-elle me faire ca ? Comment cette prostituée qui écumait les trottoirs à la recherche de quoi manger et à qui j’ai offert une dignité peut s’arroger le droit de partir sans me laisser le choix? Comment cette ****** à qui j’ai installé de solides jarrets pour la faire tenir debout pouvait se révéler aussi ingrate ? Comment pouvait-elle pousser la laideur de son geste au point de ne laisser qu’un petit mot froid pour m’avertir de sa décision ? Oh Seigneur non ! Elle ne me quittera pas comme ca ! Je lui ferais regretter son geste toute sa vie, jusqu’au jugement dernier. Elle portera le poids de ma mort sur sa frêle conscience ! Seigneur je t’aimais ! Je t’aimais à m’en exploser la poitrine tellement mon cœur était boulimique de toi ! Oh Mon Dieu je ne peux pas vivre sans toi ma chérie. T’imaginer concevoir une vie sans ma présence me tue à petit feu. Je me vois doucement sombrer ! Je me mets à pleurer comme jamais j’ai pleuré. J’ai vu ma mère recouverte d’un linceul, et pas une larme je n’ai versé ! Comment tu peux partir sans t’enquérir de mon sort ? De ce que je vais devenir ? Dans ma main, ce révolver va me délivrer de ces souffrances atroces, et va t’enfermer dans le fardeau douloureux des scrupules ! Tu auras ma mort sur la conscience !
J’approche le canon de ma tempe, et dans une profonde inspiration je presse la gâchette … BOUM ! Je tombe à la renverse, mon crâne heurte le sol si fort que le sang gicle au point de maculé le plafond. Ah la délivrance, je vais reposer en paix, tout est si calme maintenant … Adieu
Pourquoi ? Pourquoi j’arrive encore à apercevoir le plafond ? Oh Seigneur Pourquoi j’ai si mal ? Oh Mon Dieu non … Seigneur non, je me suis raté … Je ne suis pas encore mort. Et cette douleur atroce qui vient prendre possession de moi, je me sens m’effilocher. Oh je veux crier mon désespoir ! Qu’est ce que j’ai fait ? J’ai si mal, mon Dieu. Je vous en supplie Seigneur, je me rends compte de la muflerie de mon geste ! Allah je me repens ! Je veux revivre. Argh … de ma bouche et de mes yeux s’échappent de larges trainées de sang, mes doigts tremblent à en briser mon poignée. Et cette douleur, vengeresse, haineuse, qui foudroie chaque parcelle de mon corps comme si elle voulait se faire l’échantillon de l’avant gout des tourments de l’Enfer. Aidez moi je vous en supplie. Sauvez-moi. Que ce plafond s’ouvre sur le salut. Oh Seigneur c’est trop pour un seul corps. J’ai si mal … Délivrez moi je vous en prie ….
A suivre ...
Deux phrases et le sort en est scellé. Ma fiancée vient de me quitter sans préavis. Cette femme qui s’allonge à mes cotés toutes ces nuits, que je croyais connaitre jusqu’à ces moindres nuances vient de me briser. J’ai du mal à réaliser. Comment, elle, que j’ai récupéré au milieu des détritus, et dont j’ai fait une femme d’honneur, pouvait-elle me faire ca ? Comment cette prostituée qui écumait les trottoirs à la recherche de quoi manger et à qui j’ai offert une dignité peut s’arroger le droit de partir sans me laisser le choix? Comment cette ****** à qui j’ai installé de solides jarrets pour la faire tenir debout pouvait se révéler aussi ingrate ? Comment pouvait-elle pousser la laideur de son geste au point de ne laisser qu’un petit mot froid pour m’avertir de sa décision ? Oh Seigneur non ! Elle ne me quittera pas comme ca ! Je lui ferais regretter son geste toute sa vie, jusqu’au jugement dernier. Elle portera le poids de ma mort sur sa frêle conscience ! Seigneur je t’aimais ! Je t’aimais à m’en exploser la poitrine tellement mon cœur était boulimique de toi ! Oh Mon Dieu je ne peux pas vivre sans toi ma chérie. T’imaginer concevoir une vie sans ma présence me tue à petit feu. Je me vois doucement sombrer ! Je me mets à pleurer comme jamais j’ai pleuré. J’ai vu ma mère recouverte d’un linceul, et pas une larme je n’ai versé ! Comment tu peux partir sans t’enquérir de mon sort ? De ce que je vais devenir ? Dans ma main, ce révolver va me délivrer de ces souffrances atroces, et va t’enfermer dans le fardeau douloureux des scrupules ! Tu auras ma mort sur la conscience !
J’approche le canon de ma tempe, et dans une profonde inspiration je presse la gâchette … BOUM ! Je tombe à la renverse, mon crâne heurte le sol si fort que le sang gicle au point de maculé le plafond. Ah la délivrance, je vais reposer en paix, tout est si calme maintenant … Adieu
Pourquoi ? Pourquoi j’arrive encore à apercevoir le plafond ? Oh Seigneur Pourquoi j’ai si mal ? Oh Mon Dieu non … Seigneur non, je me suis raté … Je ne suis pas encore mort. Et cette douleur atroce qui vient prendre possession de moi, je me sens m’effilocher. Oh je veux crier mon désespoir ! Qu’est ce que j’ai fait ? J’ai si mal, mon Dieu. Je vous en supplie Seigneur, je me rends compte de la muflerie de mon geste ! Allah je me repens ! Je veux revivre. Argh … de ma bouche et de mes yeux s’échappent de larges trainées de sang, mes doigts tremblent à en briser mon poignée. Et cette douleur, vengeresse, haineuse, qui foudroie chaque parcelle de mon corps comme si elle voulait se faire l’échantillon de l’avant gout des tourments de l’Enfer. Aidez moi je vous en supplie. Sauvez-moi. Que ce plafond s’ouvre sur le salut. Oh Seigneur c’est trop pour un seul corps. J’ai si mal … Délivrez moi je vous en prie ….
A suivre ...