« Ils plantaient les gens à l’aveugle »

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB

Meurtre de Thomas à Crépol : quand les assaillants deviennent les victimes​


La chronique dominicale de Fatiha Agag-Boudjahlat, enseignante et essayiste.

Un mort. Thomas. Il a été beaucoup question de prénom. Celui de la victime. Ceux du groupe ayant provoqué sa mort et les blessures d’autres participants et de vigiles. Car le bal était sécurisé. Parce qu’être dans la périphérie de villes et de quartiers oblige désormais à une sécurisation, même dans les vilages. Cette sécurisation n’a pas suffit. Les assaillants, venus armés, en découdre ont pris la fuite vers le Sud Ouest. Quasiment tous sont maghrébins, ce qu’il fallait taire, même de l’avis du Ministre de l’Intérieur. Et des analyses pour absoudre les fautifs s’accumulent. Ils ont été provoqués, rejetés, Thomas le rugbyman n’était pas blanc-bleu puisqu’il aimait le bleu-blanc-rouge. Il est intervenu, il a eu tort. Il s’en est mêlé, il a eu tort. Et les assaillants deviennent les victimes. Les analyses se sont multipliées.

Car il n’y avait pas de litige amoureux. Des prédateurs exigeaient de pénétrer dans un lieu de fête avec leurs codes de quartier, leurs vêtements, de quartier, leur violence de quartier. Alors leurs avocats ânonnent: ils ont été exclus. Ils sont stigmatisés. Ils poignardent. Réaction qui se comprend donc. Ils s’excluent eux mêmes par leurs violences. Ils se stigmatisent tout seuls par leur violence. Je me contenterai de poser une question: pourquoi n’y a t il pas de bal dans ces quartiers ? Parce que le lieu de la sociabilité des wesh wesh est le hall d’entrée ou le bar à chicha. Qu’on n’y danse pas. On y fait des rodéos, on y trafique, on n’y organise pas de bal. Parce que… et c’est l’élément que personne ne veut mettre en avant: il n’y a pas de mixité sexuelle, il n’y a pas de meuf. Ces délinquants endurcis n’étaient pas venus danser mais chercher de la meuf. Pas pour une histoire d’amour. Pour le sexe et la domination patriarcale.

Les meufs de quartiers rendent à la maison. On n’y danse pas. On ne se réunit entre femmes et hommes. On n’y apprend pas les codes de la séduction. On ne fréquente pas. On tourmente, on tournante. Mais la fille blanche est facile, elle. Et cela se passe en dehors du quartier. L’honneur des mâles est sauf. La virginité des femmes de quartier est sauve.

 

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Namaste et salam … both
VIB
Plusieurs fois des jeunes ont été tués à coups de couteaux dans les cités et rien dans les médias mainstream ..
Pourquoi ?
Des jeunes qui etudiaient sérieux, etc ..
 

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VIB

Meurtre de Thomas à Crépol : quand les assaillants deviennent les victimes​


La chronique dominicale de Fatiha Agag-Boudjahlat, enseignante et essayiste.

Un mort. Thomas. Il a été beaucoup question de prénom. Celui de la victime. Ceux du groupe ayant provoqué sa mort et les blessures d’autres participants et de vigiles. Car le bal était sécurisé. Parce qu’être dans la périphérie de villes et de quartiers oblige désormais à une sécurisation, même dans les vilages. Cette sécurisation n’a pas suffit. Les assaillants, venus armés, en découdre ont pris la fuite vers le Sud Ouest. Quasiment tous sont maghrébins, ce qu’il fallait taire, même de l’avis du Ministre de l’Intérieur. Et des analyses pour absoudre les fautifs s’accumulent. Ils ont été provoqués, rejetés, Thomas le rugbyman n’était pas blanc-bleu puisqu’il aimait le bleu-blanc-rouge. Il est intervenu, il a eu tort. Il s’en est mêlé, il a eu tort. Et les assaillants deviennent les victimes. Les analyses se sont multipliées.

Car il n’y avait pas de litige amoureux. Des prédateurs exigeaient de pénétrer dans un lieu de fête avec leurs codes de quartier, leurs vêtements, de quartier, leur violence de quartier. Alors leurs avocats ânonnent: ils ont été exclus. Ils sont stigmatisés. Ils poignardent. Réaction qui se comprend donc. Ils s’excluent eux mêmes par leurs violences. Ils se stigmatisent tout seuls par leur violence. Je me contenterai de poser une question: pourquoi n’y a t il pas de bal dans ces quartiers ? Parce que le lieu de la sociabilité des wesh wesh est le hall d’entrée ou le bar à chicha. Qu’on n’y danse pas. On y fait des rodéos, on y trafique, on n’y organise pas de bal. Parce que… et c’est l’élément que personne ne veut mettre en avant: il n’y a pas de mixité sexuelle, il n’y a pas de meuf. Ces délinquants endurcis n’étaient pas venus danser mais chercher de la meuf. Pas pour une histoire d’amour. Pour le sexe et la domination patriarcale.

Les meufs de quartiers rendent à la maison. On n’y danse pas. On ne se réunit entre femmes et hommes. On n’y apprend pas les codes de la séduction. On ne fréquente pas. On tourmente, on tournante. Mais la fille blanche est facile, elle. Et cela se passe en dehors du quartier. L’honneur des mâles est sauf. La virginité des femmes de quartier est sauve.

Fatiha ya fatiha ....Le jour où je daignerais lire ses articles ne sont pas encore venus ...
Elle et son frère...
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
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Le Parisien publie ce jour un long article consacré à la tragédie de Crépol, censé relativiser la position des victimes, et le rôle des agresseurs. A bien des égards, cet article est plus idéologique que ceux qu'il prétend dénoncer. Voici pourquoi. (Tweet long). - Commençons par le début, le chapô: "Les investigations des gendarmes (...) apportent de premières réponses sur l’origine du drame et révèlent des surprises sur les responsabilités. Loin des fantasmes." En évoquant des "fantasmes", on accrédite la thèse de gens qui se pourlèchent de cette tragédie. Personne ne fantasme: tout le monde pleure une société partie à vau-l'eau. A moins que certains fantasment le fait que d'autres fantasment... - Ensuite: "À l’extrême droite, on y voit un acte raciste « anti-Blancs » et le choc entre deux France." Comme d'habitude, quand le réel ne correspond pas à un prisme politiquement correct, il devient "d'extrême-droite". Quand des témoins eux-mêmes évoquent comme insultes "on est venus planter du blanc" ; quand la famille de Thomas elle-même, d'après la maire de Romans-sur-Isère, souhaite que le mobile raciste du meurtre de leur fils soit retenu, a-t-on encore le droit d'adjoindre aux commentaires sur le drame un débat sur le racisme anti-blanc ? - Vient quelques lignes plus bas un passage sur un aspect fondamental de l'affaire médiatique: "Alors qu’une polémique fait rage sur les prénoms des mis en examen, dont l’origine serait, pour certains, une clé de compréhension du drame, deux jeunes hommes sont désormais suspectés d’être le meurtrier. L’un s’appelle Ilyès Z., 22 ans, d’origine maghrébine. Le second est un adolescent de 17 ans qui porte un prénom et un nom historiquement français." Donc, quand on s'interroge sur des prénoms à consonance étrangère, arguant qu'ils signent là un échec absolu de notre modèle d'intégration, on se fourre le doigt dans l'oeil. Mais quand il s'agit d'un prénom issu du calendrier chrétien, au milieu de tous les autres mis en cause, subitement, il redevient "une clé de compréhension". Voilà ce qui rappelle la jurisprudence " des Kevin et des Mateo", lancé par Gérald Darmanin pour minorer la sur-représentation des jeunes issus de l'immigration lors des émeutes.
 

Chriski

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L'article déroule ensuite la soirée, en omettant de s'offusquer d'éléments pourtant révoltants. "Au moins neuf suspects (...) sont arrivés à Crépol au fil de la soirée à bord de cinq voitures entre 23h00 et 1h00 du matin (...) Certains disent avoir eu vent du bal par les réseaux sociaux et été attirés par la présence annoncée de nombreuses filles". D'accord... Et ça, on ne s'interroge pas ? Des jeunes hommes, qui invisibilisent les femmes dans l'espace public (y-a-t-il plus de filles ou de garçons qui traînent en bas des tours ?), qui se rendent à une soirée attirés par ce qui serait pour eux du gibier, cela ne révolte personne ? - La soirée avec ces voyous se passe tellement bien que l'un d'eux, Chaïd A., venu vêtu de son survêtement de l'Olympique Lyonnais, "a remis un couteau de chasse à l’un des quatre vigiles, qui l’a fouillé et autorisé à entrer dans la salle". Vous vous rendez compte à quel point absurde de rapport de force nous sommes rendus ? Quelqu'un arrive à une soirée de village avec un couteau de chasse, on le lui confisque poliment, et comme on ne veut pas plus d'embrouille, on le laisse ensuite rentrer pour qu'il aille s'amuser. Sommes-nous trop bons ? - La soirée continue, et l'on sent la tension poindre. "Entre les suspects et les autres fêtards, deux univers se toisent. Les Romanais apparaissent décalés avec leurs tenues de sport négligées (...) Si une cinquantaine de témoins n’ont rien relevé de problématique dans l’attitude des suspects durant la fête (...) d’autres disent à l’inverse avoir été troublés par quelques scènes. Ils décrivent de jeunes hommes assis dans leur coin, n’ayant pas l’air de s’amuser et jetant des regards malsains sur la foule. Certains évoquent même des « coups de coude » ou un épisode durant lequel un jeune de Romans aurait « obligé une fille à danser ». Voilà, on y est. Voilà ce que beaucoup font semblant de ne pas comprendre depuis le début. Personne ne discriminerait des jeunes de cités dans les soirées ou les boites de nuits si la scène décrite plus haut n'avait absolument jamais eu lieu. En revanche, un commentaire d'une victime auditionnée par les gendarmes, et citée par Le Parisien dans l'article, résume tout: « Ils savent bien que personne ne peut les voir quand ils viennent. Ils cherchent des problèmes ».
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Vers 2 heures du matin qu’une altercation futile fait basculer la soirée. Elle va entraîner un enchaînement de violence mortelle." Futile, oui, c'est bien le mot: un garçon tire les cheveux d'un jeune de Romans, un certains Yliès. D'autant plus futile que la personne mise en cause de le tirage de cheveux nie le geste. Va s'ensuivre une gigantesque bagarre, de nombreux blessés à l'arme blanche, et la mort de Thomas. Imaginons la scène inverse: des jeunes de Crépol font du forcing pour s'inviter dans une soirée au quartier de la Monnaie. Un jeune de Romans tire les cheveux d'un rugbyman en fin de soirée en l'appelant Chiquita, et s'ensuivrait une énorme bagarre, des jeunes de Crépol viendraient en renfort munis d'armes blanches, et un jeune de la Monnaie mourrait sous un coup de couteau. L'indignation serait évidemment gigantesque. - Elément nouveau publié par Le Parisien: « Au cours de la soirée, Thomas (L.) m’a dit J’ai envie de taper des bougnoules », a confié une amie du rugbyman aux enquêteurs." Thomas L. n'est donc pas Thomas Perotto, mais celui qui aurait tiré les cheveux. Et qui sera sérieusement blessé au cours de la bagarre, poignardé à deux reprises. Cette phrase est bien sûr à condamner. Et il faut s'en indigner pour les mêmes raisons que l'on s'indigne des témoignages d'autres participants, cités plus haut, évoquant du racisme anti-blancs. - "La bataille entre les deux camps s’avère déséquilibrée" souligne Le Parisien. "Côté Romans, plusieurs agresseurs sont armés de couteaux voire, selon certains témoignages, de « gants coqués ». Côté rugbymen, on n’a que les poings." Après le meurtre de Thomas, les Romanais quittent précipitamment les lieux. Non sans avoir tiré un coup de feu depuis l'une des voitures.
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
L'article se conclut par le témoignage de Fayçal R., 21 ans : "Je suis innocent, je ne supporte pas l’idée de ce qu’il s’est passé. Je partage la peine de la famille de Thomas. Paix à son âme." Les mots de ce participant romanais à la soirée sont bien le minimum. Et l'on aurait aimé qu'ils soient ceux de tous. Les quelques médias qui se sont aventurés à Romans-sur-Isère n'ont pas toujours eu le droit à la même compassion, dans la bouche de certains jeunes. Sans parler de ce que l'on a pu lire sur les réseaux sociaux. Pour conclure, à l'heure où cet article du Parisien sera utilisé par beaucoup pour relativiser ce drame, ses fondements, sa force symbolique, et ses enseignements, souvenons-nous des mots de la maire de Romans-sur-Isère, menacée de mort par décapitation, qui clame sur les plateaux et dans les journaux : "Il faut arrêter la culture de l'excuse". Souvenons-nous, enfin, des mots d'André, ce vaillant et touchant Crépolois, qui le jour de la visite d'Olivier Véran dans son village meurtri, a poussé un coup de gueule dans lequel tant de Français se sont reconnus, contre "tous ces gouvernements qui défendent la France des cités contre la France de Thomas. La France des gens qui élèvent leurs gosses comme il faut. Qui ne les élèvent pas dans la haine. La haine de la France et des Français." A André, aux amis de Thomas, comme à tant d'anonymes partout dans le pays, on ne pourra jamais retirer le fait d'avoir ressenti, au lendemain du bal de Crépol, la double tragédie de l'injustice et de l'abandon.
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.

Meurtre de Thomas à Crépol : quand les assaillants deviennent les victimes​


La chronique dominicale de Fatiha Agag-Boudjahlat, enseignante et essayiste.

Un mort. Thomas. Il a été beaucoup question de prénom. Celui de la victime. Ceux du groupe ayant provoqué sa mort et les blessures d’autres participants et de vigiles. Car le bal était sécurisé. Parce qu’être dans la périphérie de villes et de quartiers oblige désormais à une sécurisation, même dans les vilages. Cette sécurisation n’a pas suffit. Les assaillants, venus armés, en découdre ont pris la fuite vers le Sud Ouest. Quasiment tous sont maghrébins, ce qu’il fallait taire, même de l’avis du Ministre de l’Intérieur. Et des analyses pour absoudre les fautifs s’accumulent. Ils ont été provoqués, rejetés, Thomas le rugbyman n’était pas blanc-bleu puisqu’il aimait le bleu-blanc-rouge. Il est intervenu, il a eu tort. Il s’en est mêlé, il a eu tort. Et les assaillants deviennent les victimes. Les analyses se sont multipliées.

Car il n’y avait pas de litige amoureux. Des prédateurs exigeaient de pénétrer dans un lieu de fête avec leurs codes de quartier, leurs vêtements, de quartier, leur violence de quartier. Alors leurs avocats ânonnent: ils ont été exclus. Ils sont stigmatisés. Ils poignardent. Réaction qui se comprend donc. Ils s’excluent eux mêmes par leurs violences. Ils se stigmatisent tout seuls par leur violence. Je me contenterai de poser une question: pourquoi n’y a t il pas de bal dans ces quartiers ? Parce que le lieu de la sociabilité des wesh wesh est le hall d’entrée ou le bar à chicha. Qu’on n’y danse pas. On y fait des rodéos, on y trafique, on n’y organise pas de bal. Parce que… et c’est l’élément que personne ne veut mettre en avant: il n’y a pas de mixité sexuelle, il n’y a pas de meuf. Ces délinquants endurcis n’étaient pas venus danser mais chercher de la meuf. Pas pour une histoire d’amour. Pour le sexe et la domination patriarcale.

Les meufs de quartiers rendent à la maison. On n’y danse pas. On ne se réunit entre femmes et hommes. On n’y apprend pas les codes de la séduction. On ne fréquente pas. On tourmente, on tournante. Mais la fille blanche est facile, elle. Et cela se passe en dehors du quartier. L’honneur des mâles est sauf. La virginité des femmes de quartier est sauve.

Or cette femme d’origine algérienne et harkie, est libre, laïque, féministe, car elle connaît le sort des femmes obligées de porter le voile et soumises à un patriarcat autrement pesant que celui décrié par les féministes gauchistes.

Encensée par l'extrême droite et les sions.
Ce qu'en dit terre des juifs.
 

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Namaste et salam … both
VIB
Vous savez ce noir comme kendal qui décéde , quand vous vivez dans la même cité , quand vous connaissez les petites sœurs petits frères....que vous faites le chemin de l'école avec. Eux , que vous connaissez les parents ...
Vous arrivez à être émue...
Eh oui ....Le noir c'est comme le blanc
 

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VIB
Or cette femme d’origine algérienne et harkie, est libre, laïque, féministe, car elle connaît le sort des femmes obligées de porter le voile et soumises à un patriarcat autrement pesant que celui décrié par les féministes gauchistes.

Encensée par l'extrême droite et les sions.
Ce qu'en dit terre des juifs.
Ah nan mais elle et son frère....faut voir l'histoire
 
L'embrouille initiale (il n'y a visiblement pas de préméditation) a justement tourné en expédition punitive.
Sans quoi, les potes ne seraient pas venus en renfort avec des couteaux de cuisine pour en découdre.

Ce qui aurait dû se terminer en bagarre générale à coups de poings, s'est terminé en boucherie à coups de couteau.
Non, ils étaient dans la soirée depuis 2 heures avec un groupe à l'intérieur et un groupe resté à l'extérieur, c'est suite à une altercation entre un rugbyman et un jeune du quartier avec une provocation du rugbyman qu'ils sont sortis pour en découdre et tu connais la suite...
 
Une embrouille qui tourne mal avec une bande qui est venue armée de couteaux, ce qui induit une préméditation ?

Curieux autant qu'amusant toujours ce réflexe communautariste cherchant à minimiser les faits dès lors que ce sont des français d'origine maghrébine qui y sont impliqués...
Alors déjà je ne suis ni arabe ni noir et qu'ils soient déjà armés de couteaux ne rend pas d'emblée le caractère prémédité à l'acte mais reste grave puisque cela a entraîné la mort de quelqu'un.

Et je pourrais te retourner la remarque de tout ramener à l'origine dans la plupart de tes interventions, une petite obsession je pense !
 

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Namaste et salam … both
VIB
Non, ils étaient dans la soirée depuis 2 heures avec un groupe à l'intérieur et un groupe resté à l'extérieur, c'est suite à une altercation entre un rugbyman et un jeune du quartier avec une provocation du rugbyman qu'ils sont sortis pour en découdre et tu connais la suite...
D'après l'avocat , ce n'était pas une petite altercation ....mais il s'est fait tabassé par 4 mecs à l'extérieur...
Et d'après l'avocat , c'est confirmé par les agresseurs eux mêmes
 
Tu as raison pour les "codes".

J'ai l'impression justement qu'il n'y a plus de codes, plus de limites.

Regarde tous ces faits divers ces derniers mois, où des habitants meurent de balles perdues, parce que des gamins (souvent mineurs!!!) font les beaux avec des kalachnikov, en tirant par rafale au hasard !?!

Dans le fait divers que je cite, c'est comme à Crépol, il s'agit d'un déferlement de violence pour un motif initial complètement futile (une paire de chaussures...) .
La victime est noire et elle-même habitante d'une cité, on en parlera donc moins... mais la violence extrême, l'absence d'empathie, de codes et les carences éducatives de certains jeunes font froid dans le dos...



Pas pour des motifs aussi futiles qu'aujourd'hui.



Sur le caractère raciste, et sur la préméditation de cette expédition, c'est en effet de moins en moins probable.

Mais ça ne change pas les problèmes de fond, à savoir l'ultra-violence gratuite à la Orange Mécanique, qui gagne du terrain.
Dans les quartiers, 99% vivent à peu près normalement, travaillent, respectent leurs voisins, respectent les institutions, la police etc et pourtant ces 99% subissent la konnerie de ces 1% qui salissent l'image de ces gens vivant dans ces quartiers et pourtant les politiques, les médias, les racistes y compris certains Bladinautes se pavanent dans l'amalgame et les mettent dans le même sac que ces 1%, c'est facile, c'est petit mais c'est aussi une arme de faibles !
 
Dans les quartiers, 99% vivent à peu près normalement, travaillent, respectent leurs voisins, respectent les institutions, la police etc et pourtant ces 99% subissent la konnerie de ces 1% qui salissent l'image de ces gens vivant dans ces quartiers et pourtant les politiques, les médias, les racistes y compris certains Bladinautes se pavanent dans l'amalgame et les mettent dans le même sac que ces 1%, c'est facile, c'est petit mais c'est aussi une arme de faibles !

J'ai connu assez de personnes ayant vécu en cité pour savoir que ce que tu dis est vrai.
J'ai moi-même vécu à quelques hectomètres d'une cité très chaude de Nice, qui fait beaucoup parler d'elle ces temps-ci.

Si la justice s'était montrée intraitable avec ces personnes-là, on n'en serait pas où on en est aujourd'hui, avec l'extrême-droite à presque 40% (?!?)

Tiens, encore un fait divers dans ma ville impliquant des gamins de 12 ans (?!?), qui tirent au mortier (?!?) sur un flic en civil...

 
J'ai connu assez de personnes ayant vécu en cité pour savoir que ce que tu dis est vrai.
J'ai moi-même vécu à quelques hectomètres d'une cité très chaude de Nice, qui fait beaucoup parler d'elle ces temps-ci.

Si la justice s'était montrée intraitable avec ces personnes-là, on n'en serait pas où on en est aujourd'hui, avec l'extrême-droite à presque 40% (?!?)

Tiens, encore un fait divers dans ma ville impliquant des gamins de 12 ans (?!?), qui tirent au mortier (?!?) sur un flic en civil...

J'ai un passif dans la sécurité et j'ai fait des belles missions comme d'autres moins plaisantes mais j'avais une devise, ne jamais faire de missions dans la sécurité de magasin surtout si c'était dans ma région pour ne pas me retrouver dans une situation gênante.
Et puis un jour pour faire plaisir à un copain qui devait honorer son contrat m'a demandé de le dépanner quelques temps en magasin, j'ai accepté et ce qui devait arriver arriva !


3 jeunes avaient réussi à voler une bouteille de whisky et je ne les avaient pas vu faire car ils s'étaient séparés pour me balader mais c'est en partant manger à la maison dans la foulée que je les ai vus dans la rue sortir la bouteille.

Je suis parti les voir pour les embrouiller et j'ai été étonné de voir que l'un des trois était prêt à se taper avec moi et était déterminé.
Et tout d'un coup, un des trois à dit : non, je le connais, c'est le cousin de untel et tu nous reconnais pas mais moi c'est untel !
Tout en me donnant l'identité des autres !
C'était en fait 3 mioches que j'ai vu grandir, j'étais choqué !
J'ai même fait la morale à un des trois dont je connaissais très bien son père et qui était très apprécié de tous et décédée récemment !

Bref, sans raconter la suite, la situation était gênante autant qu'elle était dégoûtante et je n'ai plus jamais remis les pieds dans un magasin comme vigile.

Cette histoire, c'est ce qui pèse sur les consciences et qui rend parfois la vie en banlieue compliquée avec cette délinquance qui ne respectent aucun code...
 

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Namaste et salam … both
VIB
Ils ont envoyé un missile au nom de Thomas...
Franchement on arrive à un.point ou cette situation bouffe la santé ...
Faudra pas venir se plaindre quand il yaura des conséquences..
Au lieu de chercher des histoires la ou il n'y en a pas ....je crains qu'il n'est bientôt de vraies histoires
 
Ils ont envoyé un missile au nom de Thomas...

C'est un fake, un montage mal fait

Franchement on arrive à un.point ou cette situation bouffe la santé ...
Faudra pas venir se plaindre quand il yaura des conséquences..
Au lieu de chercher des histoires la ou il n'y en a pas ....je crains qu'il n'est bientôt de vraies histoires

Si on dénonce la propagande d'un côté, il ne faut pas avaler d'un trait celle qui vient de l'autre côté
 
J'ai un passif dans la sécurité et j'ai fait des belles missions comme d'autres moins plaisantes mais j'avais une devise, ne jamais faire de missions dans la sécurité de magasin surtout si c'était dans ma région pour ne pas me retrouver dans une situation gênante.
Et puis un jour pour faire plaisir à un copain qui devait honorer son contrat m'a demandé de le dépanner quelques temps en magasin, j'ai accepté et ce qui devait arriver arriva !


3 jeunes avaient réussi à voler une bouteille de whisky et je ne les avaient pas vu faire car ils s'étaient séparés pour me balader mais c'est en partant manger à la maison dans la foulée que je les ai vus dans la rue sortir la bouteille.

Je suis parti les voir pour les embrouiller et j'ai été étonné de voir que l'un des trois était prêt à se taper avec moi et était déterminé.
Et tout d'un coup, un des trois à dit : non, je le connais, c'est le cousin de untel et tu nous reconnais pas mais moi c'est untel !
Tout en me donnant l'identité des autres !
C'était en fait 3 mioches que j'ai vu grandir, j'étais choqué !
J'ai même fait la morale à un des trois dont je connaissais très bien son père et qui était très apprécié de tous et décédée récemment !

Bref, sans raconter la suite, la situation était gênante autant qu'elle était dégoûtante et je n'ai plus jamais remis les pieds dans un magasin comme vigile.

Cette histoire, c'est ce qui pèse sur les consciences et qui rend parfois la vie en banlieue compliquée avec cette délinquance qui ne respectent aucun code...

On en revient toujours aux problèmes d'éducation (démission des parents, école défaillante), de laxisme de la justice, en particulier pour les mineurs.

Les cités, c'est un peu comme le tonneau des Danaïdes : ceux qui y ont grandi et qui y ont réussi se cassent dès qu'ils le peuvent, et ils sont souvent remplacés par des personnes à problème. Des sortes de ghettos qui se régénèrent automatiquement, en quelque sorte...
 

Izaia

Heal the World.....
VIB
Quoi qu'il en soit il n'est pas normal de se rendre à une fête avec des couteaux...car en cas de rixe, alcool, défonce..on voit le résultat
Une vie enlevée, des vies gâchées à cause de conséquences judiciaires ( je les plains pas mais triste pour leur famille)

Il faut apprendre aux jeunes à se défendre autrement contre le racisme, on peut pas se balader avecdes armes comme ça
 
Il n'est pas normal que des extrémistes massacrent aujourd'hui les palestiniens et des extrémistes sionistes français mènent une guerre de désinformation pour déshumaniser les musulmans et nous faire oublier que les bourreauxse font passer pour des victimes.

Ce images ne vous rappeles pas une triste page de l'histoire occidentale?

IMG_20231208_092426.jpg
 

Tancredi

Moramora
VIB
Il n'est pas normal que des extrémistes massacrent aujourd'hui les palestiniens et des extrémistes sionistes français mènent une guerre de désinformation pour déshumaniser les musulmans et nous faire oublier que les bourreauxse font passer pour des victimes.

Ce images ne vous rappeles pas une triste page de l'histoire occidentale?

Regarde la pièce jointe 374749
Toujours hors sujet ! on dirait que tu le fait exprès, ma fois !! :prudent:
 

Chalou

🦟
VIB
On en revient toujours aux problèmes d'éducation (démission des parents, école défaillante), de laxisme de la justice, en particulier pour les mineurs.

Les cités, c'est un peu comme le tonneau des Danaïdes : ceux qui y ont grandi et qui y ont réussi se cassent dès qu'ils le peuvent, et ils sont souvent remplacés par des personnes à problème. Des sortes de ghettos qui se régénèrent automatiquement, en quelque sorte...

 
Toujours hors sujet ! on dirait que tu le fait exprès, ma fois !! :prudent:

Il n'y a évidemment aucun rapport entre la guerre en Palestine et la France...

Mais @NowHereMan se sert de l'agression de Gaza par Tsahal pour dérouler sa logique de victimisation et son manichéisme affligeant (les méchants sionistes/occidentaux qui sont partout Vs les gentils musulmans)

Tant pis si ça n'a pas de rapport avec le sujet ;)
 
Quoi qu'il en soit il n'est pas normal de se rendre à une fête avec des couteaux...car en cas de rixe, alcool, défonce..on voit le résultat
Une vie enlevée, des vies gâchées à cause de conséquences judiciaires ( je les plains pas mais triste pour leur famille)

Il faut apprendre aux jeunes à se défendre autrement contre le racisme, on peut pas se balader avecdes armes comme ça
Le problème est que le port de couteaux chez les jeunes est devenu une banalité et en cas de bagarre, n'hésitent pas de planter et ça donne des drames, des familles dévastées et après ces jeunes une fois au fond du trou, se mettent à chialer se rendant compte bien trop tard de la tragédie.

Et puis même dans une embrouille sans couteau, sur un coup de sang et en colère, on dérape mais une fois que ça redescend, tout s'arrête.

C'est comme ça que j'ai déjoué une bagarre une fois en isolant un des protagonistes jusqu'à ce que ses nerfs redescendent tout en demandant qu'on maîtrise l'autre.

Par contre je me suis pris un coup ce jour là en séparant la bagarre...
 
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