Salam 3aleikoum à tous
Voici un post sur les incohérences et contradictions actuelle et passée en islam (selon moi) .
Les incohérences que vous citez sont les vôtres, et peuvent êtres réfutées par des raisonnements plus ou moins rigoureux, ou contextuels.
On pourrait dire sur l'exemple
"-l'homme musulman peut épouser une femme pratiquant le judaïsme ou le christianisme.
La femme musulmane ne peut pas épouser un homme pratiquant le judaïsme ou le christianisme "
que c'est très logique : la femme chrétienne a autant de "valeur" que la musulmane, alors que l'homme chrétien a moins de valeur que le musulman".
Vous y voyez une contradiction parce que vous acceptez ce que dit Saint Paul "il n'y aura plus ni homme ni femme, ni juif ni grec, ni maître ni esclave" qui établit l'égalité entre tous les membres de la race humaine.
Dans la plupart des civilisations, cette inégalité est normale, et l'égalité est considérée comme absurde.
En pratique , cette autorisation de prendre une femme chrétienne ou juive était indispensable dans un contexte de guerre, où les guerriers mâles vainqueurs ont droit à des "récompenses....".
Pour juger de la cohérence (ou non) d'une doctrine, on peut le faire de deux manières :
- en identifiant les incohérences internes à la doctrine
- ou en identifiant des incohérences scientifiques :
Par exemple : l'Islam se veut universel, et demande de faire le ramadan : mais c'est impossible au delà des cercles polaires...
Or le Coran étant incréé, il ne peut pas se permettre de présenter la moindre contradiction. Donc les oulémas trouveront une réponse à cette apparente contradiction.
Et ce type de raisonnement ne convaincra personne, car un des principes de la preuve scientifique qui fait qu'il suffit d'une observation négative pour rendre fausse une théorie, même s'il y a par ailleurs des milliards d'observations positives de celles-ci n'est pas applicable dans le domaine de la religion : comme "LaGalère" le dit très bien : on a pas trouvé l'explication, mais Dieu la connaît, donc il n'y a plus d'incohérence.