Israël a perdu une fois de plus


Haniyeh: "Notre victoire à Gaza est historique et stratégique "

Gaza- CPI



Le premier ministre du gouvernement d'entente, Ismail Haniyeh a annoncé que le peuple palestinien a remporté la victoire face à la guerre de l'occupation sioniste, tout en la qualifiant "une victoire historique et stratégique qui va pousser vers la grande victoire de la récupération de tous les droits du peuple palestinien confisqués par l'occupation".

Lors d'un discours télévisé, dimanche, le 18/1, Haniyeh a affirmé la nécessité du retrait total et décisif de toutes les forces armées sionistes du sol de la bande de Gaza, l'ouverture de tous les passages, la levée durable du blocus et de n'accepter jamais que notre peuple vivra encore sous le blocus, après qu'il a présenté des milliers de martyrs, de blessés et beaucoup de souffrance.

"On va accéder lors de cette victoire historique et stratégique à une réconciliation nationale pour unifier tous les efforts, pour surmonter les désaccords, de parvenir au succès d'un consensus palestinien", a ajouté Haniyeh.

Haniyeh a appelé à une enquête internationale pour condamner les coupables sionistes qui ont commis des crimes de guerre, sans précédent, au sein des enfants, femmes et hommes âgés, par leurs armes interdites au niveau international qui ont causé beaucoup de victimes et d'énormes souffrances aux blessés survivants.

Il est à noter que plusieurs observateurs internationaux ont confirmé que l'armée de l'occupation a utilisé des bombes de grandes qualités d'explosives, chargées du phosphore blanc, ainsi que d'autres armes provoquant des maladies très dangereuses comme le cancer.

Haniyeh a salué fortement les peuples et gouverneurs, arabes, régionaux et internationaux, les activistes, institutions et organisations qui continuent à soutenir le peuple palestinien et sa question légitime, en évaluant rigoureusement leurs appels à condamner les dirigeants de l'entité sioniste qui ont commis des crimes de guerre, sans précédent, et de leurs emmener à la cour pénale internationale
 
Israel a perdu une fois de plus certes mais l'etat hebreu ne se lassera jamais dans son genocide contre le peuple palestinien afin d'assouvir son caprice de vengeance sur une frange quasi-desarmee de l'humanite, pour pouvoir oublier les affres endurees par les juifs de la part des nazis............
Hamas a consenti davantage de sacrifices et plusieurs chouhadas.......mais l'adage dit "dans la guerre il n'y a ni vainqueur ni vaincu...et celui qui veut gagner la guerre l'evite..............
 
La guerre de Gaza s’est terminée sur un échec cuisant pour Israël
vendredi 23 janvier 2009 - 07h:50

Gideon Levy - Ha’aretz

Au lendemain du retour du dernier soldat israélien de Gaza, nous pouvons déterminer avec certitude qu’ils y sont tous allés pour rien. Cette guerre se termine sur un échec cuisant pour Israël.

Cela va plus loin qu’un échec moral profond, question déjà grave en soi, cela touche à l’incapacité d’atteindre les objectifs affichés. Autrement dit, l’épreuve n’est pas complétée par un échec. Nous n’avons rien gagné dans cette guerre sauf des centaines de tombes, certaines très petites, des milliers de personnes mutilées, beaucoup de destructions et la détérioration de l’image d’Israël.

Ce qui semblait n’être des dégâts prédestinés qu’à une poignée d’individus au début de la guerre est progressivement apparu comme des dommages pour beaucoup d’autres, une fois les barrissements de la victoire calmés.

L’objectif premier de la guerre était de mettre fin aux tirs de roquettes Qassam. Ils n’ont pas cessé jusqu’au dernier jour de la guerre, seulement après qu’un cessez-le-feu ait été déclaré. Les officiels de la Défense estiment que le Hamas détient toujours un millier de roquettes.

Le second objectif, la prévention de la contrebande, n’a pas été atteint. Le chef du service de sécurité du Shin Bet a estimé que la contrebande reprendra dans les deux mois.

La plus grande partie de la contrebande est destinée à ravitailler en nourriture une population assiégée, pas à récupérer des armes. Mais même si nous admettons la campagne de peur à propos de la contrebande, avec ses exagérations, cette guerre a servi à prouver que seules, des armes de mauvaise qualité, rudimentaires, passaient par les tunnels de contrebande entre la bande de Gaza et l’Egypte.

La capacité d’Israël à atteindre son troisième objectif est également douteuse. Dissuasion ? mon œil ! La dissuasion que nous étions censés acquérir avec la Seconde Guerre du Liban n’a eu aucun effet sur le Hamas, et celle prétendument atteinte aujourd’hui ne marche pas mieux : les tirs sporadiques de roquettes depuis la bande de Gaza se sont poursuivis au cours des derniers jours.

Le quatrième objectif, resté inavoué, n’a pas été rempli. Les Forces de défense israéliennes n’ont pas retrouvé leur capacité. Elles ne pouvaient pas, pas dans une quasi guerre contre une malheureuse organisation pauvrement équipée qui s’appuie sur des armes improvisées, avec des combattants qui arrivent à peine à se battre.

Les récits héroïques et les poèmes de victoire conjugués au « triomphe militaire » ne permettront pas de changer la réalité. Les pilotes ont volé en missions de formation et les forces terrestres ont été engagées dans des exercices qui impliquaient coordination et usage des armes.

Présenter l’opération comme une « réussite militaire », comme l’ont fait différents généraux et analystes qui voulaient donner leur avis sur l’opération, est tout simplement ridicule.

Nous n’avons pas affaibli le Hamas. La grande majorité de ses combattants n’ont pas été blessés et le soutien populaire à l’organisation s’est en fait renforcé. Leur guerre a intensifié leur esprit de résistance et affermi leur endurance. Un pays comme le nôtre qui a nourri une génération entière dans l’esprit de se battre seuls contre tous devrait savoir apprécier cela aujourd’hui. Il ne fait aucun doute pour savoir qui était David et qui était Goliath dans cette guerre.:D

La population de Gaza, avec ce coup si dur qu’elle a encaissé, ne va pas devenir plus modérée maintenant. Au contraire, le sentiment national va se tourner plus que jamais contre la partie qui a porté ce coup, l’Etat d’Israël. Tout comme l’opinion publique en Israël vire à droite après chaque agression contre nous, il en ira de même à Gaza après l’attaque géante que nous avons lancée contre eux.

Si quelqu’un a été affaibli avec cette guerre, c’est le Fatah, dont la fuite et l’abandon de Gaza prennent aujourd’hui une importance particulière. Dans la série d’échecs de cette guerre, il faut inclure évidemment l’échec de la politique du siège. Un moment, nous avions déjà compris qu’elle était inefficace. Le monde a boycotté, Israël a assiégé, et le Hamas a gouverné (et il est toujours au pouvoir).

Mais le bilan de cette guerre, autant qu’Israël soit concerné, ne s’arrête pas à l’absence de toute réussite. La guerre nous a affligés d’un lourd handicap, qui continuera à peser sur nous quelques temps. Quand viendra le moment d’évaluer la situation internationale d’Israël, nous ne devrons pas nous laisser abuser par la parade de soutiens des dirigeants d’Europe, venus le temps d’une séance de photos avec le Premier ministre Ehud Olmert.

Les actions d’Israël ont porté un coup sérieux à l’appui de l’opinion à l’Etat. Bien que cela ne se traduise pas toujours dans la situation diplomatique immédiate, l’onde de choc va nous arriver un jour. Le monde entier a vu les images. Elles ont choqué tous les êtres humains qui les ont regardées, même si elles ont laissé froids la plupart des Israéliens.:D

Ce qu’ils en concluent, c’est qu’Israël est un pays violent et dangereux, dépourvu de toute modération et faisant fi ouvertement des résolutions du Conseil de Sécurité des Nations unies, tout en se fichant du droit international. Les enquêtes sont en cours.

Plus grave encore est le dommage que cela infligera à notre moral. Il y aura des questions difficiles sur ce que les FDI ont fait à Gaza, qui se poseront malgré les effets de flou des médias engagés.

Alors, qu’a-t-on obtenu finalement ? En tant que guerre engagée pour satisfaire à des considérations de politique intérieure, l’opération a réussi au-delà de toute attente. Le président du Likoud, Benjamin Netanyahu, domine les sondages. Et pourquoi ? Parce que nous ne pouvions pas obtenir suffisamment de la guerre.
 
Le Hamas renforcé à Gaza
vendredi 30 janvier 2009 - 06h:15

Juan Miguel Muñoz
El Païs

La guerre d’Israël contre Gaza et le Hamas a provoqué une secousse dans l’échiquier politique palestinien. Plus rien ne sera jamais pareil entre les rivaux acharnés.

Convaincus que le Fatah a conspiré avec Israël et l’Egypte afin de lancer l’attaque contre la bande et que l’objectif était d’entraîner la chute du gouvernement islamiste, les dirigeants du Hamas se sentent forts au moment de négocier un Gouvernement de coalition après avoir résisté à la brutale attaque. Dans les rues de Gaza, de nouvelles sympathies voient le jour, tandis qu’en Cisjordanie, le fait de parler de la popularité du Président, Mahmoud Abbas suscite l’hilarité.

Le soutien populaire au mouvement fondamentaliste ne fait que croître. Cela ne fait aucun doute dans les territoires palestiniens.

“Je ne soutiens pas les gens du Hamas. Pourvu qu’ils meurent avant. Et je ne vais pas commencer à dire des insanités car je vais prier. Mais le Hamas sortira renforcé de cette guerre”, dit Mounir, patron d’une pêcherie, levant les bras au ciel.

Même opinion pour Rafik, chef d’entreprise, pas plus admirateur des islamistes qui abandonnent l’idée de la résistance, enracinée plus que toute autre chose dans l’esprit des Palestinens.

“Abbas a mis la pression sur Israël afin qu’il attaque Gaza. Mais le Hamas et son gouvernement s’en retrouvent aujourd’hui plus puissants. Tout est plus clair. L’Egypte, la Jordanie, Israël, y compris l’Union européenne, savent que nous n’allons pas nous écrouler”, affirme Ehab El Gosein, porte-parole du Ministère de l’Intérieur de la bande de Gaza.

Hier, les sempiternelles négociations se sont poursuivies au Caire afin d’établir un pacte pour une trève stable, former un gouvernement palestinien de coalition et afin qu’on ouvre à nouveau les frontières de Gaza, devenu un ghetto chaque jour plus déprimant. Trois objectifs difficiles à atteindre et encore plus compliqués à faire perdurer.

Le blocus économique de ce territoire de 367 kilomètres carrés dure depuis exactement trois ans.

Le 25 Janvier 2006, le Hamas remporta les éléctions législatives et le monde occidental en bloc, comme la majorité des pays arabes, considéra le résultat des urnes avec beaucoup de mépris. Bien qu’hier encore les avions de chasse israéliens survolaient Gaza, réveillant à nouveau la crainte d’une autre vague d’attaques parmi son million et demi d’habitants, le cessez-le-feu semble plus plausible que les deux autres éléments de la négociation.

Indirectement, Israël et le Hamas négocient déjà. Hier, au Caire, le représentant du gouvernement d’Ehud Olmert, Amos Gilad, a proposé une trève de 18 mois. Le Hamas a répondu que la durée de la trève ne devrait pas dépasser un an.

Le Gouvernement de coalition, qui permettrait la reconstruction de tout ce qui a été devasté et l’ouverture des passages frontaliers, est une autre affaire. “Nous n’accepterons pas la paix en échange de la paix. On doit ouvrir les frontières et nous pouvons régler ce problème avec Abbas et l’ Egypte. Mais comment le faire si l’Autorité palestinienne continue à emprisonner les nôtres en Cisjordanie ?” se demande le député du Hamas Mohamed Shihab.

Les dirigeants islamistes rencontrés quelques jours plus tôt pestent contre un président dont ils se moquent. Le député Youssef Shirafi précise : “ex président”. Le mandat d’Abbas a pris fin le 9 Janvier et le Hamas ne le reconnaît plus.

“Aujourd’hui, il est impossible de parvenir à un accord avec l’Autorité palestinienne. Ils ne sont pas disposés à libérer les centaines de prisonniers du Hamas en Cisjordanie ni à réformer les corps de sécurité qu’ils ont entraînés en Jordanie sous les ordres d’un général américain”, affirme Maslé Reqab, professeur d’économie de l’Université de Khan Younes, qui dit en plaisantant : “Abbas exigeait qu’on lui remette les quartiers de la police à Gaza. Mais le Hamas ne peut pas s’exécuter, les quartiers n’existent plus.”

Les négociations s’annoncent difficiles car le Hamas réclame également qu’Abbas mette un terme à un processus de paix avec Israël qu’ils considèrent comme une plaisanterie.

Le défi que doit surmonter le gouvernement d’Ismael Haniya est de faire face à la situation calamiteuse de Gaza après les massacres israéliens. Maintenant que la livraison du combustible a repris et que l’unique centrale électrique peut fonctionner à nouveau, des centaines de poteaux électriques sont démolis. Idem pour le réseau téléphonique.

Seize bâtiments ministériels sont réduits en décombres. Il faudra démolir le Parlement, 5 000 maisons ont été détruites par l’armée israélienne, 35 écoles sont inutilisables, les hôpitaux brûlés...

Combien de temps la population pourra-t-elle supporter une telle situation ? La reconstruction est essentielle. Mais sans gouvernement de coalition, l’arrivée à Gaza de l’énorme quantité de matières premières nécessaires afin de réparer ce qui a été détruit prendra du temps.

Les jeux politiques feront partie de ce jeu macabre. Car le Hamas ne compte pas baisser les bras. “Abbas n’a pas pu retourner à Gaza sur les tanks israéliens, et il n’y retournera pas par les marches de la reconstruction”, a écrit le professeur de sciences politiques de l’Université de Naplouse Satar Kassem.
 
le seul perdant dans cette guerre est le peuple palestinien avec ses milliers de morts

je mets dos à dos les deux criminels, le Hamas et les sionistes responsables selon moi de ce massacre

à noter qu'un rapport de la DGCE confirme l'information selon la quelle, le Hamas a été créer par le mossad pour contrer l'OLP, sauf qu'il a dégénérer et sortie du ventre de sa mére

donc pour moi l'un sert l'autre et vis versa et la victime c'est toujours les civils

Allah yan3al bo zmane
 
je me demande si la justice existe en dehors du dico, je doute ....

Israel a gagné sur terrain mais vis a vis du monde elle a perdu c est clair
lantisémitisme grimpe comme pas possible

la haine des citoyens quelque soit leur repere dans le globe s intensifie de jour en jour

meme les chaines qui passaient a coté des infos dans la region commencent a apporter les faits parcequ'ils savent par avance que ca ne ferai que chuter le taux d audience

enfin bref ,le monde semble soutenir Gaza hormis quelques malades psycho aveugles qui osent mettrent sur lameme longueur d onde le Hamas et le Tsahal

et ca m horripile

elle na gagné ni sur le terrain, ni ailleur , sauf si tu prend l'assasinas des enfants pour une victoir
 
Israël a-t-il perdu la guerre ?
samedi 31 janvier 2009 - 06h:03

Shlomo Sand
Télérama

Shlomo Sand, historien renommé, est l’un des rares intellectuels israéliens - y compris à gauche - à condamner le pilonnage de Gaza. Il rêve d’une république israélienne ouverte sur le monde arabe.

Il est une des figures intellectuelles les plus brillantes d’Israël. Historien, ancien étudiant de l’Ecole des hautes études en sciences sociales à Paris, professeur à l’université de Tel-Aviv, Shlomo Sand, 62 ans, a lâché l’an dernier une bombe culturelle, avec un livre au titre provocateur : Comment le peuple juif fut inventé. Plongée à travers l’histoire juive, remise en cause des mythes fondateurs d’Israël, ce livre a suscité des débats passionnés dans le pays... et un relatif silence médiatique en France. Avec le romancier David Grossman et l’historien Tom Segev, Shlomo Sand est un des rares intellectuels israéliens à crier aujourd’hui sa révolte contre les bombardements de Gaza. Au-delà, il nous livre sa vision d’une « République israélienne », enfin ouverte sur le monde arabe, et qui serait l’Etat de tous ses citoyens...

Quel bilan tirez-vous de l’offensive israélienne sur Gaza ?

Le timing électoral était parfait ! Avant les élections israéliennes et en prenant soin de retirer les chars à la veille de l’investiture d’Obama, Ehud Barak a planifié ce Blitz, un déluge de bombes qui ne mettait pas en danger la vie des soldats israéliens. Nous avons semé la désolation, tué 1 300 Palestiniens, en avons blessé plus de 5 000, les deux tiers sont des femmes et des enfants, presque tous victimes de notre aviation. Le Hamas est-il éliminé ? Avons-nous renforcé le camp de la paix chez les Palestiniens ?

http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=6015
 
En dehors du fait que tu milites chez Shalom ahshav,quel besoin as-tu de copier tous les articles qui sont produits par des juifs corrompus,intellectuellement par leur self-hatred,financièrement par les soutiens qu'ils reçoivent de la part des anti-juifs professionnels,arabes et occidentaux.Les intervenants de Bladi sont déjà super convaincus qu'Israel doit disparaitre.Et si un jour les Israeliens perdaient la guerre,le massacre qui en résulterait n'épargnerait pas ces idiots,comme de 1934 à 1945.
 
En dehors du fait que tu milites chez Shalom ahshav,quel besoin as-tu de copier tous les articles qui sont produits par des juifs corrompus,intellectuellement par leur self-hatred,financièrement par les soutiens qu'ils reçoivent de la part des anti-juifs professionnels,arabes et occidentaux.Les intervenants de Bladi sont déjà super convaincus qu'Israel doit disparaitre.Et si un jour les Israeliens perdaient la guerre,le massacre qui en résulterait n'épargnerait pas ces idiots,comme de 1934 à 1945.


Mdrrrrrr
Tu nous imposes Adler et BHL comme reference?
 
En dehors du fait que tu milites chez Shalom ahshav,quel besoin as-tu de copier tous les articles qui sont produits par des juifs corrompus,intellectuellement par leur self-hatred,financièrement par les soutiens qu'ils reçoivent de la part des anti-juifs professionnels,arabes et occidentaux.Les intervenants de Bladi sont déjà super convaincus qu'Israel doit disparaitre.Et si un jour les Israeliens perdaient la guerre,le massacre qui en résulterait n'épargnerait pas ces idiots,comme de 1934 à 1945.
parce que tu ne ve pe etre pas la paix toi dans cette partie du monde à en croire tes écrits :rolleyes:
 
Moi je n'ai rien à craindre,mais pour vous la seule paix que les voisins d'Israel lui offrent
c'est ou la paix des cimetières au pire,ou la paix des mellahs ( quartiers imposés aux Juifs) au mieux.
 
tu pe reprendre ce que tu viens de dire en langue plus accessible à tous stp :D

merci

La charte du Hamas ne prévoit que l'élimination physique des Juifs,dons en cas de victoire la paix des cimetières.

Le Fatah reste intraitable sur le" retour " de quelques millions d'Arabes dans le territoire Israelien,ce qui mathématiquement et démocratiquement leur donnerait la majorité de gouvernement et la définition du caractère national arabo-musulman.Ce qui redonnerait aux Juifs avec la vie sauve le seul statut qu'ils ont connu en terre d'Islam,la dhimmitude et son corollaire,la résidence surveillée dans les "mellahs"
 
La charte du Hamas ne prévoit que l'élimination physique des Juifs,dons en cas de victoire la paix des cimetières.

Le Fatah reste intraitable sur le" retour " de quelques millions d'Arabes dans le territoire Israelien,ce qui mathématiquement et démocratiquement leur donnerait la majorité de gouvernement et la définition du caractère national arabo-musulman.Ce qui redonnerait aux Juifs avec la vie sauve le seul statut qu'ils ont connu en terre d'Islam,la dhimmitude et son corollaire,la résidence surveillée dans les "mellahs"
parrait que leur discours a changé depuis quelques mois déjà, ils sont même prêts à reconnaitre Israel..tu ne suis pas l'actualité ou t'es de ceux qui sont assez sélectifs et ne gardent que ce qui les arrangent :rolleyes:
 
La « guerre de Gaza » : victoire ou pogrom ?
mercredi 4 février 2009 - 16h:54

Maxime Dublanc

Manifestement désireux de se surpasser, l’Etat d’Israël, avec la « guerre de Gaza », a accompli le grand chelem. On sait, dorénavant, qu’il ne voit aucun inconvénient à larguer des bombes au phosphore blanc sur les écoliers palestiniens.


Et qu’il le fait, en outre, avec une prédilection significative pour les établissements administrés par l’ONU. Comme s’il voulait, en somme, adresser un double message subliminal : un, il n’y a aucun tabou susceptible d’assigner des limites à la répression israélienne ; deux, l’organisation internationale, tolérée en temps de paix, fait partie des cibles de Tsahal en temps de guerre.

C’est tout dire : malgré son indulgence envers un Etat qui lui taille des croupières depuis quarante ans, l’ONU a été obligée de protester avec une vigueur inaccoutumée, plusieurs de ses responsables accusant Israël de « crimes de guerre ». Peu coutumier d’une telle fermeté à l’égard d’Israël, Ban Ki Moon a exigé que les responsables de ces exactions soient jugés et punis. Il faut vraiment croire que Tsahal a franchi la ligne rouge. Et il y aurait beaucoup à dire, enfin, sur cette sinistre symbolique du phosphore blanc tombé du ciel qui vient ignifier le corps des gosses palestiniens, forcément coupables puisqu’appartenant à la race impure qui génère le « terrorisme » du Hamas.

http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=6038


Révélatrice, à cet égard, fut la façon dont les médias français firent le tri des victimes. Les policiers palestiniens rangés en dépit du bon sens dans la catégorie des « combattants », dont le massacre par surprise (ils étaient rassemblés pour une remise de diplômes) fut ainsi banalisé, le message implicite selon lequel tout habitant de Gaza, dès lors qu’il appartenait au Hamas, pouvait légitimement être abattu comme « activiste » : cette grille de lecture invitait au carnage purificateur, assumé sans complexes par un Etat assuré de son impunité.

Quant à la France, son obstination à s’agiter sur le plan diplomatique est d’autant plus pathétique qu’elle a renoncé à faire réellement quoi que ce soit. A quoi bon se rendre au Proche-Orient en prétendant favoriser des pourparlers, si c’est pour incriminer celle des parties en présence qui se trouve à l’évidence sur la défensive ? Accuser « l’irresponsabilité du Hamas » au moment où la machine de guerre israélienne dévastait la bande de Gaza valait quitus à Israël de la part de la France. Cette partialité manifeste, hélas coutumière depuis 2007, contribua à tuer dans l’œuf le processus de « sortie de crise » sur fond de « médiation égyptienne » que l’on se targuait de vendre aux protagonistes.
 
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