C'est vrai que le travail de femme au foyer est mal considérée socialement, et pas que par les féministes mais par toute la société.
Les feministes de la 1ère vague considéraient que l'accès à l'éducation et à l'ndépendance financière, grâce au travail, était une protection pour les femmes de la précarité (les veuves, les célibataires, les divorcées).
Tous les hommes n'avaient pas forcément les moyens de payer une pension alimentaire correcte. Et comment elles faisaient pour s'en sortir : la prostitution.
Même si tu fais pas le meilleure boulot, ça te permet de faire de vrais choix dans la vie. Tu ne te maries plus par besoin, très jeunes, comme nos grands-mère parce que t'es une bouche en trop à nourrir. On ne se rend pas compte de ce qu'on doit au féminisme. Il y a de plus en plus de femmes éduquées grâce à ça et on peut vraiment vivre qu'on se choisit, on choisit nos maris, on peut divorcer si ça ne va plus szns devoir dépendre économiquement.
Maintenant, il y a femmes qui préfèrent travailler pour leur famille uniquement, c'est leur choix mais c'est un choix dangereux. Il vaut mieux tomber sur un bon mari et comme on ne connaît jamais vraiment bien les gens, c'est un risque que je ne prendrais pas.
Il y a aussi des feministes qui réclament qur le travail dans la sphère privée soit considéré comme un vrai travail ( je pense que ça l'est vraiment), soit socialement (principalement des épouses d'hommes aisés), soit par une rémunération car elles participent à élever et éduquer la société de demain (demande de femmes de niveau modeste ou classe populaire).
C'est en discussion en suisse par exemple.
Une grève des femmes est annoncée en Suisse vendredi, 14 juin. Elles vont manifester contre les inégalités. Parmi les revendications, de plus en plus de femmes évoquent l’idée d’un salaire pour celles qui restent au foyer à s’occuper des enfants et du ménage.
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Un an après la grève des femmes, la crise sanitaire expose l’urgence d’une meilleure reconnaissance du travail invisible à la maison
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