je pleure tout les jours, au travail, obligé de me cacher. je pense a elle, je pleure comme un enfant.
quand je sort ou me promene, dans les magazin, dans les rayons je pense a elle, et d un coup je pleure comme si a l interieur on m enfoncer un couteau tellement grand qu il na pas de fin, je suis obligé de me cacher dans les rayons vide, j arrive pas a cesser.
presqu un an que c est fini, je l ai dans les veines, comme si infiniment elle coulait en moi, j ai l impression qu il n y aura jamais de fin.
je pense a elle, la nuit j ai concience de mon sommeil et je sens sa vie sa présence dans mon interieur, je reve d elle, le matin je me reveille, elle est encore la, en moi, comme emprisoné dans des larmes qui me séche, et toute la journée, et je vais travailler, le regard fier pendant qu a l interieur je me décompose. je fais semblant d etre. dés que j y arrive plu je craque je me met a pleureur d une intensité comme si j étai entrain de fondre.
je n en peux plu...
j ai les yeux rivés vers la fenetre, comme une air de sorti a ce labyrinthe infernal, et mes larmes coules d elles memes, je pense a elle, je n en peux plu...
comme si pleurer n était que moi meme, et que tout le reste était faux.....
quand je sort ou me promene, dans les magazin, dans les rayons je pense a elle, et d un coup je pleure comme si a l interieur on m enfoncer un couteau tellement grand qu il na pas de fin, je suis obligé de me cacher dans les rayons vide, j arrive pas a cesser.
presqu un an que c est fini, je l ai dans les veines, comme si infiniment elle coulait en moi, j ai l impression qu il n y aura jamais de fin.
je pense a elle, la nuit j ai concience de mon sommeil et je sens sa vie sa présence dans mon interieur, je reve d elle, le matin je me reveille, elle est encore la, en moi, comme emprisoné dans des larmes qui me séche, et toute la journée, et je vais travailler, le regard fier pendant qu a l interieur je me décompose. je fais semblant d etre. dés que j y arrive plu je craque je me met a pleureur d une intensité comme si j étai entrain de fondre.
je n en peux plu...
j ai les yeux rivés vers la fenetre, comme une air de sorti a ce labyrinthe infernal, et mes larmes coules d elles memes, je pense a elle, je n en peux plu...
comme si pleurer n était que moi meme, et que tout le reste était faux.....