et le chanteur de rai ? hhhhhhhhhhhhhhالفقيه ليوم خاصو ملي يكون كايدعي مع الأسرة العلوية يقول باستثناء الأمير المنبوذ. إذا لم يقل ذلك فقد لغا ههههه
#أمر_عائلي
!
w al ousra al 3alawiya hhhhhhhhhhhhhhh
"journal d'un prince banni", de moulay hicham, sera distribué au maroc
- Initiateur de la discussion ould khadija
- Date de début
w al ousra al 3alawiya hhhhhhhhhhhhhhh
Tu as lu ça ou Ould khadija?
Pour ce qui est du livre sinon, je l'ai sous la main, je suis à la page 50.
J'envisage de le commander sur Amazon, qu'est-ce que ça donne au niveau des révélations ?
Je suis en voyage, j'ai pas encore repris la lecture.J'envisage de le commander sur Amazon, qu'est-ce que ça donne au niveau des révélations ?
Je pense que c'est le cas de tous pro-makhzen.
loooooooooooooool!!!
Pièces jointes
insatis
insatise
pour ceux qui parlent de la vente d'Alcool au Maroc ! où le mal d'en vendre ? et pourquoi cette question? dans l'Atlas il y des gens qui transpirent pour faire du bon vin de qualité inégalable , c'est leur produit de terroirs d'une qualité rare
et comme , dans toutes les grandes surfaces du monde , on y trouver de tout , y compris l'Alcool pour les goûts des autres !! mais ce lui qui ne boit pas , qu'il ne l'achète pas
et si on fait allusion ; que le maroc est un pays Musulman? dans ce cas, nous devrions , refouler tous les touristes et les chrétiens et les juifs et les athées Marocains
si c'est le cas , alors je pose la question qui vent la viande HALAL et les produits sans porc en occident? et pour qui?
bon sang il faut laisser les gens vivre leur vie , au Maroc, il y a des chrétiens Marocains des juifs Marocains , des Touristes,, Anglo-saxons, et des athées etc..... ne buvez pas ; mais laissez les autres boire , comme ils se conduisent eux, ils vous laissent manger (soit disant) le Halal
et comme , dans toutes les grandes surfaces du monde , on y trouver de tout , y compris l'Alcool pour les goûts des autres !! mais ce lui qui ne boit pas , qu'il ne l'achète pas
et si on fait allusion ; que le maroc est un pays Musulman? dans ce cas, nous devrions , refouler tous les touristes et les chrétiens et les juifs et les athées Marocains
si c'est le cas , alors je pose la question qui vent la viande HALAL et les produits sans porc en occident? et pour qui?
bon sang il faut laisser les gens vivre leur vie , au Maroc, il y a des chrétiens Marocains des juifs Marocains , des Touristes,, Anglo-saxons, et des athées etc..... ne buvez pas ; mais laissez les autres boire , comme ils se conduisent eux, ils vous laissent manger (soit disant) le Halal
Ils font ca dans le but de m'avoir comme voisin de palier au paradis arabe.
Si ce n'était pas trop tôt, j'aurais bu un verre de bon vin marocain à la santé de leurs barbes.
Long vie pour l'islamiste L'Hadj Brahim Zniber et Compagnie! Et vive "Les celliers de Meknes" wa law kari8a l'mounafiqoune!
insatis
insatise
MDR MDR Plié wallah
c'est vrai ces malades faux musulmans intolérants hypocrites
imposent
et le mode des vies des autres, et imposent leur façon de vivre, e leur façon de raisonner, de travailler , ils veulent dominer le monde , sachant que nous les Arabo Musulmans nous sommes les derniers de tous , sur la Planète terre , nous sommes les derniers dans tous les domaines , et je pense que personne ne me dira le contraire
Ah si seulement ils travaillaient...!
Rien que L'Hadj B. Zniber (Allah ikhlef 3lih) emploie plus de six milles personnes. Avec leurs familles ca fait beaucoup de monde qui vit de ce délicieux fruit créé par Allah.
Le vin du paradis est halal, mais pas celui de L'hadj Brahim? Pfff!
Son livre est de la pure provoc. C'etait justement la raison pour laquelle il a ecrit le livre ...juste pour ensuite dire" Oh tiens ca n'a as ete publie au Maroc"
Moulay Hicham restera Persona Non Grata au Maroc. Qu'il continue a se bronzer les fes... en Californie pendant que sido est sur le terrain a s'occuper des problemes journaliers des Marocains.
Et de toute facon c'est son probleme s'il a toujours ete jaloux de son cousin depuis son plus jeune age.
Face your own demons ! Not our problem!
Moulay Hicham restera Persona Non Grata au Maroc. Qu'il continue a se bronzer les fes... en Californie pendant que sido est sur le terrain a s'occuper des problemes journaliers des Marocains.
Et de toute facon c'est son probleme s'il a toujours ete jaloux de son cousin depuis son plus jeune age.
Face your own demons ! Not our problem!
insatis
insatise
bonsoir Miss c'est très bien dit
Moulay Hicham s'invente une scolarité au Collège royal
Alors qu’il affirme dans plusieurs pages de son livre avoir poursuivi une partie de sa scolarité au Collège royal à Rabat, le prince Moulay Hicham n’a jamais été admis dans cet établissement. Contacté par Le360 au sujet de la scolarité de Moulay Hicham, un professeur, qui a officié au Collège royal pendant la période citée par le prince dans son livre, est catégorique : "Le prince Moulay Hicham n’a jamais été inscrit au Collège royal et n’a jamais suivi un seul cours au sein de cet établissement. Il a fait l’école américaine". Pour s’en persuader, il suffit de se référer à la décoration de Abdelhamid Benzouina, professeur d’arabe au Collège royal, à l’occasion de la fête du trône le 30 juillet 2012. A cette occasion, le directeur du protocole royal et de la chancellerie, Abdeljawad Belhaj, a cité tous les membres de la famille royale à qui ce professeur a dispensé des cours au Collège royal : Mohammed VI, roi du Maroc, Moulay El Hassan, prince héritier du Maroc, Moulay Rachid, Lalla Meryem, Lalla Asma, Lalla Hasna, Moulay Ismael, Moulay Idriss Filali, Moulay El Yazid Bouchentouf et Moulay Youssef El Alaoui. Il manque à l’appel celui qui affirme avoir usé ses fonds de culottes sur les bancs du Collège royal.
Une autre source familière du Collège royal précise à Le360 que "Moulay Hicham était incapable de suivre la cadence du Collège royal et n’avait pas le niveau requis pour y être accepté". Pourtant Moulay Hicham affabule toute une histoire sur sa scolarité pendant deux ans au Collège royal dans un livre où il jure ses grands dieux de dire la vérité et rien que la vérité.
Moulay Hicham écrit dans son livre intitulé Journal d’un prince banni : "En septembre 1970, à six ans, j’intègre le Collège royal, un établissement logé dans un bâtiment sobre dans l’enceinte du Palais, le méchouar". Ensuite, le prince décrit longuement ce "lieu d’excellence" où il n’a jamais suivi un seul cours. Il faut bien considérer la chose : le prince ne parle pas de quelques jours ou quelques mois passés au collège royal (ce qui serait déjà en soi un mensonge éhonté), mais parle de deux années ! Il se dit "très content d’aller en classe avec son cousin Sidi Mohammed". Quel aplomb ! Et de poursuivre : "Il faut lever la main pour obtenir la parole, se mettre debout pour répondre au professeur qui, au-delà de son autorité pédagogique, est encouragé à nous "corriger" physiquement". Quelle imagination ! Et puis il parle du classement des élèves, des matchs de football qui l’opposaient à l’équipe du prince héritier et où il était contraint de le laisser à chaque fois gagner pour ne pas commettre d'affront vis-à-vis de l’ordre établi par le makhzen. Il parle de "triche érigée en système dans nos compétitions pour assurer la victoire du prince héritier". Or, s’il y a un tricheur dans cette histoire, c’est bien celui qui s’invite dans une école où il n’a pas été admis. Soit Moulay Hicham prend les Marocains pour des idiots, soit il se moque d’eux.
A quelles fins Moulay Hicham affabule-t-il ?
Moulay Hicham ne se contente pas seulement de s’inventer une scolarité au Collège royal. Il y invite aussi d’illustres hôtes qui ne lui ont pas demandé d’en faire tant. Il affirme à ce sujet, à propos du Cheikh Mohammed Bin Zayed al-Nahyan: Il "avait été au Collège royal avec Sidi Mohammed et moi jusqu’à l’âge de dix ans". Le Cheikh Mohammed Bin Zayed al-Nahyan, qui est l’actuel prince héritier et ministre de la défense d’Abu Dhabi, n’a jamais été scolarisé au Collège royal. On ne sait plus s’il faut en rire ou en pleurer. Mais le fait est que cet épisode de la scolarité fictive de Moulay Hicham au Collège royal discrédite très sévèrement la véracité des faits rapportés par le prince dans son livre. D’ailleurs, il est impossible de trouver une image du prince dans les reportages filmés lors des cérémonies de fin d’année au Collège royal ou même une photo orpheline. La seule activité à laquelle Moulay Hicham a pris part en compagnie des élèves du Collège royal est une activité parascolaire dans le cadre d’une excursion liée à des activités de scoutisme à Ifrane. "Etant d’une nature très peu sociable et n’ayant aucun sens du collectif, Moulay Hicham n’a pas réussi à marcher jusqu’au bout lors de cette excursion et a rebroussé chemin", ajoute notre source.
A quelles fins Moulay Hicham affabule-t-il ? L’épisode fictif du Collège royal revêt une importance considérable dans le conflit que va créer dans son livre Moulay Hicham avec son cousin le roi Mohammed VI. C’est à partir de là qu’il se donne un rôle de protagoniste, d’un acteur important et assoit les fondations d’une tension avec son cousin, destiné à être roi du Maroc. Quand on se rend compte que toute cette partie sort littéralement de la tête du prince et qu’elle n’a aucun ancrage dans le réel, on se dit : soit Moulay Hicham est un menteur, soit il est fou.
http://le360.ma/fr/societe/moulay-hicham-sinvente-une-scolarite-au-college-royal-13073
Alors qu’il affirme dans plusieurs pages de son livre avoir poursuivi une partie de sa scolarité au Collège royal à Rabat, le prince Moulay Hicham n’a jamais été admis dans cet établissement. Contacté par Le360 au sujet de la scolarité de Moulay Hicham, un professeur, qui a officié au Collège royal pendant la période citée par le prince dans son livre, est catégorique : "Le prince Moulay Hicham n’a jamais été inscrit au Collège royal et n’a jamais suivi un seul cours au sein de cet établissement. Il a fait l’école américaine". Pour s’en persuader, il suffit de se référer à la décoration de Abdelhamid Benzouina, professeur d’arabe au Collège royal, à l’occasion de la fête du trône le 30 juillet 2012. A cette occasion, le directeur du protocole royal et de la chancellerie, Abdeljawad Belhaj, a cité tous les membres de la famille royale à qui ce professeur a dispensé des cours au Collège royal : Mohammed VI, roi du Maroc, Moulay El Hassan, prince héritier du Maroc, Moulay Rachid, Lalla Meryem, Lalla Asma, Lalla Hasna, Moulay Ismael, Moulay Idriss Filali, Moulay El Yazid Bouchentouf et Moulay Youssef El Alaoui. Il manque à l’appel celui qui affirme avoir usé ses fonds de culottes sur les bancs du Collège royal.
Une autre source familière du Collège royal précise à Le360 que "Moulay Hicham était incapable de suivre la cadence du Collège royal et n’avait pas le niveau requis pour y être accepté". Pourtant Moulay Hicham affabule toute une histoire sur sa scolarité pendant deux ans au Collège royal dans un livre où il jure ses grands dieux de dire la vérité et rien que la vérité.
Moulay Hicham écrit dans son livre intitulé Journal d’un prince banni : "En septembre 1970, à six ans, j’intègre le Collège royal, un établissement logé dans un bâtiment sobre dans l’enceinte du Palais, le méchouar". Ensuite, le prince décrit longuement ce "lieu d’excellence" où il n’a jamais suivi un seul cours. Il faut bien considérer la chose : le prince ne parle pas de quelques jours ou quelques mois passés au collège royal (ce qui serait déjà en soi un mensonge éhonté), mais parle de deux années ! Il se dit "très content d’aller en classe avec son cousin Sidi Mohammed". Quel aplomb ! Et de poursuivre : "Il faut lever la main pour obtenir la parole, se mettre debout pour répondre au professeur qui, au-delà de son autorité pédagogique, est encouragé à nous "corriger" physiquement". Quelle imagination ! Et puis il parle du classement des élèves, des matchs de football qui l’opposaient à l’équipe du prince héritier et où il était contraint de le laisser à chaque fois gagner pour ne pas commettre d'affront vis-à-vis de l’ordre établi par le makhzen. Il parle de "triche érigée en système dans nos compétitions pour assurer la victoire du prince héritier". Or, s’il y a un tricheur dans cette histoire, c’est bien celui qui s’invite dans une école où il n’a pas été admis. Soit Moulay Hicham prend les Marocains pour des idiots, soit il se moque d’eux.
A quelles fins Moulay Hicham affabule-t-il ?
Moulay Hicham ne se contente pas seulement de s’inventer une scolarité au Collège royal. Il y invite aussi d’illustres hôtes qui ne lui ont pas demandé d’en faire tant. Il affirme à ce sujet, à propos du Cheikh Mohammed Bin Zayed al-Nahyan: Il "avait été au Collège royal avec Sidi Mohammed et moi jusqu’à l’âge de dix ans". Le Cheikh Mohammed Bin Zayed al-Nahyan, qui est l’actuel prince héritier et ministre de la défense d’Abu Dhabi, n’a jamais été scolarisé au Collège royal. On ne sait plus s’il faut en rire ou en pleurer. Mais le fait est que cet épisode de la scolarité fictive de Moulay Hicham au Collège royal discrédite très sévèrement la véracité des faits rapportés par le prince dans son livre. D’ailleurs, il est impossible de trouver une image du prince dans les reportages filmés lors des cérémonies de fin d’année au Collège royal ou même une photo orpheline. La seule activité à laquelle Moulay Hicham a pris part en compagnie des élèves du Collège royal est une activité parascolaire dans le cadre d’une excursion liée à des activités de scoutisme à Ifrane. "Etant d’une nature très peu sociable et n’ayant aucun sens du collectif, Moulay Hicham n’a pas réussi à marcher jusqu’au bout lors de cette excursion et a rebroussé chemin", ajoute notre source.
A quelles fins Moulay Hicham affabule-t-il ? L’épisode fictif du Collège royal revêt une importance considérable dans le conflit que va créer dans son livre Moulay Hicham avec son cousin le roi Mohammed VI. C’est à partir de là qu’il se donne un rôle de protagoniste, d’un acteur important et assoit les fondations d’une tension avec son cousin, destiné à être roi du Maroc. Quand on se rend compte que toute cette partie sort littéralement de la tête du prince et qu’elle n’a aucun ancrage dans le réel, on se dit : soit Moulay Hicham est un menteur, soit il est fou.
http://le360.ma/fr/societe/moulay-hicham-sinvente-une-scolarite-au-college-royal-13073
çà me parait trop gros comme "affabulation" de la part du Prince .
Suis curieux d'entendre "la réponse" du Prince aux propos du "professeur qui a officié au Collége Royal ....
A supposer que le Prince use de....son droit de réponse
GENERALDINGO
L AMIRAL pour les intimes ...
.
bon alors lui il est ridicule
touma hya malha malha ? mefgou3a ou ma sakhyach ... ?
bon alors lui il est ridicule
touma hya malha malha ? mefgou3a ou ma sakhyach ...
?
elma3ti
VIB
Je trouve cet article d'une inutilité flagrante, Qu'Est ce qu'on a se foutre de la scolarité au collège Royal ?
Je me rappelle j'ai déjà vu une petite vidéo ou Hicham et M6 jouaient au Foot a ce collège, et Hicham ne peut pas inventer cette scolarité. l'homme est connu fréquenter des univesités prestieuges, d'après la lecture de son livre on palpe sa fierté d'être Princetonien comme des émirs de Dubai ou d'Arabie Saudite.
Ce que la presse marocaine chercher ce sont des futilités, il ferait mieux d'attaquer les vraies affaires. Tel que l'organisation du Makhzen, les avantages octroyés au cerle du palais.
Qu'on soit un peu impartial, le livre révèle des secrets graves concerant la classe politique marocaine.
Si c vrai qu'un ténor de l'USFP rapporte tout sur ce parti au Palais, ils doivent donner des comptes et ca doit émerger à l'interne de ces partis qui se disent de gauche.
À suivre
amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
"Journal d’un prince banni": des histoires à mourir de rire
Riche en petites histoires sur la vie à l’intérieur des murs du Palais, le livre de Moulay Hicham ne manque pas d’anecdotes savoureuses. Florilège.
Le "Journal d’un prince banni" de Moulay Hicham El Alaoui n’est pas seulement le récit d’une série de malentendus entre le fils de Moulay Abdellah et le Palais, encore moins celui de "coups fourrés". C’est aussi celui des arcanes d’une cour royale haute en couleurs et d’anecdotes… à vous faire plier de rires.
Bon nombre de celles-ci sont à mettre à l’actif de Ba Jelloul, un des conteurs, et "érudits pleins d’humour, qui avaient leur franc-parler", de feu Moulay Abdellah.
Ba Jeloul, de Jemaa el-Fna au Palais
Ba Jeloul est "H’layki" à Jemaa el-Fna quand il est repéré et recruté par feu Moulay Abdellah. Il devient une institution. Son atour majeur: l’audace. "Ainsi, un jour que mon père n’arrivait pas à s’endormir pour la sieste, Ba Jeloul s’énerve, allume la lumière, lui donne un coup de pied et lui dit: Écoute, tu nous pourris la vie! Tu n’arrives pas à dormir et tu nous fais tous souffrir".
Si Ba Jeloul pouvait se permettre une telle transgression, c’est qu’il n’a jamais rien demandé. Un jour, alors que l'occasion lui est donnée de demander ce qu’il veut, on s’empresse de lui souffler les meilleures réponses -une ferme, par exemple... "Mais lui s’est retourné, il a baissé son pantalon et s’est écrié: "Sidi, j’ai un problème d’hémorroïdes. Si tu trouvais une solution, ce serait parfait", relate le prince.
Des étrangers 100% Makhzen
D'autres anecdotes décalées concernent ces étrangers qui côtoient le Palais et qui sont finalement devenus plus makhzéniens que le makhzen lui-même. Comme le docteur Lee, un médecin coréen devenu showman "qui se plantait une aiguille dans le biceps et la faisait ressortir de l’autre côté pour épater nos invités. Il se faisait aussi poser des planches sur le corps puis demandait qu’une voiture lui roule dessus".
Ou un de ces 3 lieutenants pakistanais recrutés par Moulay Abdellah pour devenir majordomes et qui a finalement abandonné l’uniforme pour la djellaba marocaine et ne voulait plus retourner dans son pays.
Même certains Américains n’ont pas échappé à l’attrait du makhzen. "Alors que nous effectuions un voyage dans le Michigan sous la protection du FBI, deux chaouchs de mon père demandent à utiliser une ligne téléphonique spéciale installée par les agents américains, avec cet écriteau en guise d’avertissement: FBI. For official use only. Je les traite de fous, leur garantissant qu’on leur passerait les menottes dans les dix minutes s’ils utilisaient cette ligne", prévient Moulay Hicham.
Le lendemain il est surpris de découvrir un agent américain se régalant d’une pastilla à côté du téléphone, son arme sur la table, tout sourire. Les chaouchs de la veille sont pendus au téléphone avec Marrakech. "Take your time!" dit le gars du FBI.
L’épreuve du feu… "au ***"
On retient du livre qu’avec Hassan II, la vie était un éternel test de loyauté mais aussi de sincérité. Hassan II vient de réceptionner une nouvelle Mercedes, avec sièges chauffants individuels. A Ifrane, le roi s’amuse à chauffer le siège des passagers à fond pour tester leur réaction. "Certains ne bougent pas, stoïques, d’autres s’accrochent aux poignées pour se rehausser un peu, d’autres encore replient et entassent leurs vêtements sous leur postérieur pour mieux supporter la chaleur", raconte Moulay Hicham.
"À la fin de chaque trajet, complices, mon cousin et moi demandons au passager comment il a trouvé la nouvelle voiture. Tous nient leur inconfort et se répandent en dithyrambes sur le véhicule". Il n’y a qu’un "fou" du roi, Abdelkrim Lahlou, pour réagir. À peine installé dans la voiture, il se tourne vers Hassan II et s’écrie: "Mais Sidna, tu me brûles le ***!"
Autre coup de maître d’Abdelkrim Lahlou, lors d’une partie de chasse: Hassan II tire des perdreaux et n’en manque aucun. Sa cour s’extasie. À un moment donné, le roi rate sa cible. Tous ont le souffle coupé. Sauf Lahlou, qui s’écrie: "Bravo, Sidna a épargné une vie! Quelle sagesse!"
Amimi: "grima" à tout prix
L’un des récits les plus hilarants reste celui d’un certain Amimi, un bidaoui qui cherchait un agrément de "grand taxi" à tout prix. Pour cela il "manque de rendre le roi chèvre". Cela se passe dans les années 1980. Chaque fois que Hassan II est à Casablanca, Amimi se glisse dans la foule et lui remet personnellement une nouvelle lettre pour obtenir sa licence.
Le roi finit par le reconnaître et s’énerve. Mais Amimi ne cède pas et continue à remettre des lettres. Une fois, dans un stade de football, "Amimi réussit, vêtu du survêtement de l’une des deux équipes, à sortir de la foule, à se frayer un chemin jusqu’à la tribune officielle et à remettre une nouvelle missive au roi". Hassan II convoque alors sa sécurité et leur explique que, si ce type parvient encore une fois jusqu’à lui, il mettra à pied tout le monde.
Autre épisode savoureux, Hassan II, le prince héritier et Moulay Hicham sont à la plage. "Nous sommes dans l’eau, en maillot de bain, quand surgit des vagues Amimi sortant de son short une enveloppe scellée dans un sachet en plastique! Non sans panache, il baise la main du roi, lui remet le billet et s’en va!"
Le roi convoque alors les responsables de sa sécurité et leur passe un savon: "La prochaine fois, je dégrade les militaires, je mets les policiers à la retraite et, s’il le faut, je mute le gouverneur!". Mais rien ne devait arriver à Amimi…
La seule trouvaille des sécuritaires de l’époque est de… lui louer une cellule en prison. Quand le roi passe à Casablanca, Amimi doit se présenter à la prison centrale. Ce que Amimi fera. Et il finira par avoir son agrément.
Source : h24info.ma
Riche en petites histoires sur la vie à l’intérieur des murs du Palais, le livre de Moulay Hicham ne manque pas d’anecdotes savoureuses. Florilège.
Le "Journal d’un prince banni" de Moulay Hicham El Alaoui n’est pas seulement le récit d’une série de malentendus entre le fils de Moulay Abdellah et le Palais, encore moins celui de "coups fourrés". C’est aussi celui des arcanes d’une cour royale haute en couleurs et d’anecdotes… à vous faire plier de rires.
Bon nombre de celles-ci sont à mettre à l’actif de Ba Jelloul, un des conteurs, et "érudits pleins d’humour, qui avaient leur franc-parler", de feu Moulay Abdellah.
Ba Jeloul, de Jemaa el-Fna au Palais
Ba Jeloul est "H’layki" à Jemaa el-Fna quand il est repéré et recruté par feu Moulay Abdellah. Il devient une institution. Son atour majeur: l’audace. "Ainsi, un jour que mon père n’arrivait pas à s’endormir pour la sieste, Ba Jeloul s’énerve, allume la lumière, lui donne un coup de pied et lui dit: Écoute, tu nous pourris la vie! Tu n’arrives pas à dormir et tu nous fais tous souffrir".
Si Ba Jeloul pouvait se permettre une telle transgression, c’est qu’il n’a jamais rien demandé. Un jour, alors que l'occasion lui est donnée de demander ce qu’il veut, on s’empresse de lui souffler les meilleures réponses -une ferme, par exemple... "Mais lui s’est retourné, il a baissé son pantalon et s’est écrié: "Sidi, j’ai un problème d’hémorroïdes. Si tu trouvais une solution, ce serait parfait", relate le prince.
Des étrangers 100% Makhzen
D'autres anecdotes décalées concernent ces étrangers qui côtoient le Palais et qui sont finalement devenus plus makhzéniens que le makhzen lui-même. Comme le docteur Lee, un médecin coréen devenu showman "qui se plantait une aiguille dans le biceps et la faisait ressortir de l’autre côté pour épater nos invités. Il se faisait aussi poser des planches sur le corps puis demandait qu’une voiture lui roule dessus".
Ou un de ces 3 lieutenants pakistanais recrutés par Moulay Abdellah pour devenir majordomes et qui a finalement abandonné l’uniforme pour la djellaba marocaine et ne voulait plus retourner dans son pays.
Même certains Américains n’ont pas échappé à l’attrait du makhzen. "Alors que nous effectuions un voyage dans le Michigan sous la protection du FBI, deux chaouchs de mon père demandent à utiliser une ligne téléphonique spéciale installée par les agents américains, avec cet écriteau en guise d’avertissement: FBI. For official use only. Je les traite de fous, leur garantissant qu’on leur passerait les menottes dans les dix minutes s’ils utilisaient cette ligne", prévient Moulay Hicham.
Le lendemain il est surpris de découvrir un agent américain se régalant d’une pastilla à côté du téléphone, son arme sur la table, tout sourire. Les chaouchs de la veille sont pendus au téléphone avec Marrakech. "Take your time!" dit le gars du FBI.
L’épreuve du feu… "au ***"
On retient du livre qu’avec Hassan II, la vie était un éternel test de loyauté mais aussi de sincérité. Hassan II vient de réceptionner une nouvelle Mercedes, avec sièges chauffants individuels. A Ifrane, le roi s’amuse à chauffer le siège des passagers à fond pour tester leur réaction. "Certains ne bougent pas, stoïques, d’autres s’accrochent aux poignées pour se rehausser un peu, d’autres encore replient et entassent leurs vêtements sous leur postérieur pour mieux supporter la chaleur", raconte Moulay Hicham.
"À la fin de chaque trajet, complices, mon cousin et moi demandons au passager comment il a trouvé la nouvelle voiture. Tous nient leur inconfort et se répandent en dithyrambes sur le véhicule". Il n’y a qu’un "fou" du roi, Abdelkrim Lahlou, pour réagir. À peine installé dans la voiture, il se tourne vers Hassan II et s’écrie: "Mais Sidna, tu me brûles le ***!"
Autre coup de maître d’Abdelkrim Lahlou, lors d’une partie de chasse: Hassan II tire des perdreaux et n’en manque aucun. Sa cour s’extasie. À un moment donné, le roi rate sa cible. Tous ont le souffle coupé. Sauf Lahlou, qui s’écrie: "Bravo, Sidna a épargné une vie! Quelle sagesse!"
Amimi: "grima" à tout prix
L’un des récits les plus hilarants reste celui d’un certain Amimi, un bidaoui qui cherchait un agrément de "grand taxi" à tout prix. Pour cela il "manque de rendre le roi chèvre". Cela se passe dans les années 1980. Chaque fois que Hassan II est à Casablanca, Amimi se glisse dans la foule et lui remet personnellement une nouvelle lettre pour obtenir sa licence.
Le roi finit par le reconnaître et s’énerve. Mais Amimi ne cède pas et continue à remettre des lettres. Une fois, dans un stade de football, "Amimi réussit, vêtu du survêtement de l’une des deux équipes, à sortir de la foule, à se frayer un chemin jusqu’à la tribune officielle et à remettre une nouvelle missive au roi". Hassan II convoque alors sa sécurité et leur explique que, si ce type parvient encore une fois jusqu’à lui, il mettra à pied tout le monde.
Autre épisode savoureux, Hassan II, le prince héritier et Moulay Hicham sont à la plage. "Nous sommes dans l’eau, en maillot de bain, quand surgit des vagues Amimi sortant de son short une enveloppe scellée dans un sachet en plastique! Non sans panache, il baise la main du roi, lui remet le billet et s’en va!"
Le roi convoque alors les responsables de sa sécurité et leur passe un savon: "La prochaine fois, je dégrade les militaires, je mets les policiers à la retraite et, s’il le faut, je mute le gouverneur!". Mais rien ne devait arriver à Amimi…
La seule trouvaille des sécuritaires de l’époque est de… lui louer une cellule en prison. Quand le roi passe à Casablanca, Amimi doit se présenter à la prison centrale. Ce que Amimi fera. Et il finira par avoir son agrément.
Source : h24info.ma
Dernière modification par un modérateur:
Je suis à la moitié du livre que Hicham BenAbdallah AlAlaoui a écrit.
Personnellement, je le trouve intéressant. Nous ne sommes pas là face à la soit disant "bombe" de Gilles Perrault. Ce dernier avait ouvert les yeux au monde occidental vis à vis un pays qu'on considère encore aujourd'hui une exception, un exemple par rapport les autres pays dits musulmans.
Les médias ont voulu faire du livre de Moulay Hicham une "bombe" aussi. Or, jusqu'à présent je n'y ai rien trouvé de choquant.
Je ne suis pas fixée concernant Moulay Hicham. Je ne vois pas encore les résultats de ses intentions, s'il est entier, s'il est tout à fait "clean". Il faut dire que je me montre toujours méfiante envers les personnalités à un certain statut. Une déformation professionnelle venant de quelqu'un qui a subi directement le poids de la main de fer de feu Hassan II, certainement. Du coup, j'ai presque inconsciemment développé un scepticisme envers les personnes au pouvoir.: d'abord au Maroc, ensuite en Espagne, aujourd'hui en France. Aucun ne sait ou ne peut répondre aux besoins de leurs pays.
Tout en me gardant d’émettre un avis sur la personne de Moulay Hicham (non parce qu'il soit issu d'une lignée royale, mais parce que je veux être sûre de mon jugement sur la personne), je trouve son livre pas seulement intéressant pour la Marocaine que je suis ayant senti lourdement les années de plomb, mais également parce que je le trouve utile.
Je ne peux pas m'empêcher de sourire quand je vois ici des gens qui s'acharnent à défendre feu Hassan II contre toute critique. Hassan II était un personnage exceptionnel. Même-moi je dois le reconnaître. Même ses adversaires le plus hostiles l'ont reconnu. Mais il faut savoir être objectif. Il suffisait de prononcer ces deux mots: "Hassan II" pour que tout le monde mesure le fond et la forme de ses propos. Il n'y avait pas que du respect. Il y avait de la peur. Et tous ceux qui ont vécu sous son règne savent de quoi je parle. Surtout ceux qui, comme ma propre famille et moi-même, ont subi ses prises de position drastiques -et c'est un euphémisme. Vous voyez? Même aujourd'hui, je fais attention à ce que je dis sur lui. C'est un réflexe. C'est un point sur lequel je suis d'accord avec Moulay Hicham: il nous a appris à ne pas broncher, à avoir peur.
Que reproche-t-on au livre de Moulay Hicham? De critiquer la système monarchique du Maroc? Je n'y trouve rien de choquant. Dérangeant pour le pouvoir en place, je le comprends, mais est-ce qu'il nous apprend quelque chose de nouveau? Ce qui est intéressant dans son livre est que quelqu'un qui a fait partie du système nous parle du système. Laissons de côté le sentimentalisme.
Je n'ai pas pleuré la mort de Hassan II, non. Mais je ne l'ai pas sous-estimé entant que personne non plus. Je n'ai pas eu besoin du livre de Moulay Hicham pour savoir que Hassan n'était pas qu'un despote (mais il l'était quand même). Malgré le bannissement, la peur, les arrestations des proches, les interrogatoires, il faut un minimum de recul pour comprendre le pourquoi de ses décisions. Mais jamais je ne justifierai une injustice surtout si elle est faite par quelqu'un dont le rôle est d'assurer mes droits et mes libertés. Et cela Hassan II ne l'a pas fait. Et pourtant nous n'avions qu'un seul souhait faire partie et servir la terre à laquelle nous appartenons.
Personnellement, je le trouve intéressant. Nous ne sommes pas là face à la soit disant "bombe" de Gilles Perrault. Ce dernier avait ouvert les yeux au monde occidental vis à vis un pays qu'on considère encore aujourd'hui une exception, un exemple par rapport les autres pays dits musulmans.
Les médias ont voulu faire du livre de Moulay Hicham une "bombe" aussi. Or, jusqu'à présent je n'y ai rien trouvé de choquant.
Je ne suis pas fixée concernant Moulay Hicham. Je ne vois pas encore les résultats de ses intentions, s'il est entier, s'il est tout à fait "clean". Il faut dire que je me montre toujours méfiante envers les personnalités à un certain statut. Une déformation professionnelle venant de quelqu'un qui a subi directement le poids de la main de fer de feu Hassan II, certainement. Du coup, j'ai presque inconsciemment développé un scepticisme envers les personnes au pouvoir.: d'abord au Maroc, ensuite en Espagne, aujourd'hui en France. Aucun ne sait ou ne peut répondre aux besoins de leurs pays.
Tout en me gardant d’émettre un avis sur la personne de Moulay Hicham (non parce qu'il soit issu d'une lignée royale, mais parce que je veux être sûre de mon jugement sur la personne), je trouve son livre pas seulement intéressant pour la Marocaine que je suis ayant senti lourdement les années de plomb, mais également parce que je le trouve utile.
Je ne peux pas m'empêcher de sourire quand je vois ici des gens qui s'acharnent à défendre feu Hassan II contre toute critique. Hassan II était un personnage exceptionnel. Même-moi je dois le reconnaître. Même ses adversaires le plus hostiles l'ont reconnu. Mais il faut savoir être objectif. Il suffisait de prononcer ces deux mots: "Hassan II" pour que tout le monde mesure le fond et la forme de ses propos. Il n'y avait pas que du respect. Il y avait de la peur. Et tous ceux qui ont vécu sous son règne savent de quoi je parle. Surtout ceux qui, comme ma propre famille et moi-même, ont subi ses prises de position drastiques -et c'est un euphémisme. Vous voyez? Même aujourd'hui, je fais attention à ce que je dis sur lui. C'est un réflexe. C'est un point sur lequel je suis d'accord avec Moulay Hicham: il nous a appris à ne pas broncher, à avoir peur.
Que reproche-t-on au livre de Moulay Hicham? De critiquer la système monarchique du Maroc? Je n'y trouve rien de choquant. Dérangeant pour le pouvoir en place, je le comprends, mais est-ce qu'il nous apprend quelque chose de nouveau? Ce qui est intéressant dans son livre est que quelqu'un qui a fait partie du système nous parle du système. Laissons de côté le sentimentalisme.
Je n'ai pas pleuré la mort de Hassan II, non. Mais je ne l'ai pas sous-estimé entant que personne non plus. Je n'ai pas eu besoin du livre de Moulay Hicham pour savoir que Hassan n'était pas qu'un despote (mais il l'était quand même). Malgré le bannissement, la peur, les arrestations des proches, les interrogatoires, il faut un minimum de recul pour comprendre le pourquoi de ses décisions. Mais jamais je ne justifierai une injustice surtout si elle est faite par quelqu'un dont le rôle est d'assurer mes droits et mes libertés. Et cela Hassan II ne l'a pas fait. Et pourtant nous n'avions qu'un seul souhait faire partie et servir la terre à laquelle nous appartenons.
Dernière édition:
il est evident que chaque article est le fruit d'une reaction à un chapitre ou un autre .ce qui est sûr ,c'est que c'est vrai que le prince a fait sa scolarité dans l'ecole americaine de Rabat .ses condisciples peuvent l'affirmer.
sinon pour ce qui y est des partis ,tout le monde sait de part les ecrits des uns et des autres leur parcours et leurs degâts.
Mehdi Al Qotbi vient de reagir aussi sur une histoire fausse dans le livre .
Euh là franchement le 360.ma aurait pu s'abstenir de faire un article là dessus, sérieux
Plusieurs pages ... oué 3 pages et demie et encore vu la police d'écriture ... Et ensuite, bababababa je m'attendais à du waouuuuu .. c'est bon, il écrit qu'il est rentré à 6 ans et en est ressorti 2 ans après avec une "scolarité qui se révèle catastrophique"
Bon hadi, les journalistes ghir zadou fiha !
A
AncienMembre
Non connecté
Sudda l3aliya!
BBWWAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA! Ach galess kayfertet hada.... bnadem 3ando des phrases ghir kaylo78oum à droite et à gauche!
!!Sudda l3aliya!
Ach galess kayfertet hada.... bnadem 3ando des phrases ghir kaylo78oum à droite et à gauche!
Pièces jointes
Franchement les media et surement que lui aussi pour vendre son livre, ont vraiment surjoués ! (bon j'en suis qu'aux 3/4 du livre)
Hormis le passage concernant la vie de famille et la façon dont Hassan 2 aurait régenté leur vie jusque dans leur cuisine au lendemain de la mort de son père ... il y a vraiment des passages drôles et émouvants aussi entre l'oncle et le neveu.
Les media ne retiennent pas cela c'est bien dommage.
Cela serait n'importe quelle famille, on parlerait juste d'une histoire transgénérationnelle. Car dans le fond c'est un peu ça si vous enlevez le nom !
J'adore ce passage :"le 2 aout 1990, Saddam Hussein envahit le Koweït. Chez nous, la première conséquence en est que ...Hassan 2 découvre CNN. Il me convoque pour savoir qui est Ted Turner ! () Je lui explique. Il se fait installer des paraboles, un téléviseur au cabinet royal et un autre dans sa chambre a coucher. Il me dit qu'il trouve "ça" plus fiable que ce que lui raconte son État-major !"
Abdelkrim Lahlou est juste un personnage excellent sinon
Hormis le passage concernant la vie de famille et la façon dont Hassan 2 aurait régenté leur vie jusque dans leur cuisine au lendemain de la mort de son père ... il y a vraiment des passages drôles et émouvants aussi entre l'oncle et le neveu.
Les media ne retiennent pas cela c'est bien dommage.
Cela serait n'importe quelle famille, on parlerait juste d'une histoire transgénérationnelle. Car dans le fond c'est un peu ça si vous enlevez le nom !
J'adore ce passage :"le 2 aout 1990, Saddam Hussein envahit le Koweït. Chez nous, la première conséquence en est que ...Hassan 2 découvre CNN. Il me convoque pour savoir qui est Ted Turner ! (
) Je lui explique. Il se fait installer des paraboles, un téléviseur au cabinet royal et un autre dans sa chambre a coucher. Il me dit qu'il trouve "ça" plus fiable que ce que lui raconte son État-major !"Abdelkrim Lahlou est juste un personnage excellent sinon
Dernière édition:
Est-ce que tu as lu son livre avant de critiquer pour rien ?
Ca me fait marrer c'est comme ceux qui critiquent un film sans l'avoir vu...
Moulay Hicham accompagnait Hassan II, Sidi Mohammed et Moulay Rachid à tous les grands événements, jusqu'à bien entrée son adolescence. Ce qui serait fou serait que le le 3ème dans la succession n'ait pas suivi la même scolarité que le prince héritier.
A mon avis, 360.ma veut ridiculiser Moulay Hicham a tout prix, sauf que le site d'"information" se ridiculise lui-même...
Que Moulay Hicham soit persona non grata, ça c'est logique. C'est pas tous les jours qu'on entend un membre issu du Palais Royal critiquer sa propre famille!
Après, qu'il ait écrit son livre par un enfantillage de jalousie, j'en doute fort. Il est possible que Moulay Hicham ne soit pas blanc comme neige (mais qui l'est, finalement?), mais ce qu'il raconte dans son livre est loin d'être juste un règlement de comptes.
Ses démons font partie de nos problèmes
Je ne vois pas ce qu'il y a d'étonnant, j'ai déjà vu en librairie "notre ami le roi" et j'ai pu acheté au Maroc le livre suivant : http://www.bladi.net/heros-sans-gloire.html
Hassan 2 y ait traîné dans la boue.
Hassan 2 y ait traîné dans la boue.
Sûrement que les makhzenistes veulent être plus royalistes que le roi!
Alors que probablement M6 ne veut pas qu'on l'embrasse sur la main les makhzenistes voudraient continuer à lui baiser
le dos de la main
Sinon tu m'étonnes "notre ami le roi" du vivant de hassan 2 je ne l'ai jamais vu en librairie à sa mort si mais comme on dit le roi est mort vive le roi...sûrement qu'on trouvera en vente libre "le roi prédateur" à la mort de M6
Ba Jelloul aussi, des personnages pour amuser la galerie, tous les sultans et monarques avaient ce genre de personnages dans leur Balate.Abdelkrim Lahlou est juste un personnage excellent sinon
Ali Mrabet, Qotbi et d'autres suivront, même la presse ridiculise le prince rouge, sans jamais s'attaquer aux vrais problèmes. Hicham propose que les finances du palais s'assainissent, et révèle les tractations et relations entre le Palais et les partis et même des figures nationales et interantionales, Ils démentiront un après l'autre vu que c'est une première au MAroc, un prince de l'intérieur du Balate, qui a passé une partie de sa vie dedans et fait partie de la famille. Il lave le linge au public. Puisqu'il est banni, le palais ne vas pas réagir, mais des pions plus royaux se chargeront de discréditer le personnage. La questions: Pourquoi il mentirait sachant que ces gens ou des témoins sont encore vivants ??
Je ne défendpas ses écrits, car lui même fait partie du traffic princier qu'il a décrit, et je suis persuadé qu'il a raconté le peu qu'il pouvait.
Bref on verra jamais des personnalité confirmer ses dires ou la presse aborder les grandes questions.
Ce que je trouve aussi domage c'Est qu'il n'a pas essayé de ternir l'image des princes du Golf, il les peint comme des gens qui donnent de la charité pour le Maroc, ce qui est FAUX, ils ont toujours des avantages et tirent aussi bénéfice du système, Hicham aussi était dedans mais il n'a rien dit à propos de ces princes de Golf et leur manigances peu connue au Maroc.
S'il était vraiment Persona non Grata, quand il avait donné son passeport diplomatique, pourquoi le lui avoir rendu ? (selon ses écrits bien entendu)
Et d'ailleurs je trouve que le titre "Journal d'un Prince banni" est un peu mensonger pour le coup
Bon gré, mal gré, il est toujours là. Dans toutes les étapes de sa vie, soit il fait les choses mais attend quand mm toujours une réaction du Palais, soit il fait les choses avec l'accord du Palais (bon après avoir jouer au chat et à la souris avec son Oncle
)Il n'est pas blanc comme neige, il le dit lui même les magouilles de faites pour se faire de l'argent en utilisant le système marocain (cf quand son oncle leur donne peu d'argent de poche ou les zones grises concernant la légalité des choses au Moyen-Orient )
Par contre, je te rejoins, selon ce qu'il écrit toujours bien sur, ce n'est pas de la jalousie proprement dite, mais quand même une soif de revanche. A qui la faute ? A Hassan2 ou à son père au final ?
Il n'est pas tendre avec son père, sauf vers la fin de sa vie où justement celui ci a été totalement un père.
Son père, selon ce qu'il dit, au final n'a jamais pu couper le cordon avec Hassan (ce dernier ne lui laissait pas trop le loisir de le faire non plus, visiblement) ... mais s'il l'avait franchement coupé ? Peut être que Moulay Hicham n'en serait pas là ?
Bon par contre il est inconscient parfois comme faire sortir sa femme de l’hôpital pour absolument la faire accoucher au Maroc
Encore une fois, comme si le fait que sa fille naisse à l'étranger, la rendrait moins marocaine ... ses démons, oui, là, prennent carrément le dessus et tout un sens aussi
J'avoue que ma lecture du livre est plus psychologique que politique cela dit ^^
Dernière édition:
Complétement dépassé tout ça (voir impensable vu de mon petit monde), j'en conviens.
Mais qqle part, ces personnages là, les humanise un peu.
Le coup du Tajine à l'aubergine où l'un dit "mais Sire, doit on vénérer votre Altesse ou l'aubergine ?" alors que tous les béni-oui-oui allaient que dans le sens du Roi, de l'extérieur et au vu de la réputation de Hassan2, on ne s'imagine pas qq'un pouvoir lui parler comme ça, mm pour amuser la galerie
Donc, c'est bien aussi, qu'il ai donné vie (enfin donner vie, d'ailleurs je dirais) à ses personnages dans son livre.
Faut voir ça d'un autre côté, personne ne les oblige à se rendre au palais, Dès qu'on le fait la 1ere fois, et on goutte à la royauté, on ne peut refuser ou décliner une invitation, Si le Roi le veut tu dois être présent. Un employé de l'état, et mon Dieu des milliers sont payés au contribuable.
Même le prince rouge profotait de la présence de ces clowns qui l'amusaient au début, il raconte mais ne condamne pas.
Le livre de Moulay Hicham se vend bien....en France :
http://www.h24info.ma/maroc/le-livre-de-moulay-hicham-se-vend-bien/22036
http://www.h24info.ma/maroc/le-livre-de-moulay-hicham-se-vend-bien/22036
S'il était vraiment Persona non Grata, quand il avait donné son passeport diplomatique, pourquoi le lui avoir rendu ? (selon ses écrits bien entendu)
Et d'ailleurs je trouve que le titre "Journal d'un Prince banni" est un peu mensonger pour le coup
Bon gré, mal gré, il est toujours là. Dans toutes les étapes de sa vie, soit il fait les choses mais attend quand mm toujours une réaction du Palais, soit il fait les choses avec l'accord du Palais (bon après avoir jouer au chat et à la souris avec son Oncle
Il ne sera jamais vraiment banni tant qu'il aura le titre de "Moulay". Il reste un prince alaouite. La famille Royale l'a chassé, elle ne l'a pas (encore) répudié.