Jugement selon le sexe/genre

Une drôle …

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C'est pourtant simple, des pays comme le Canada ou les É-U ont un avantage comparatif, car le sport féminin y est beaucoup plus valorisé et soutenu que dans d'autres pays où les rôles sont traditionnels. Donc les femmes nord-américaines font bonne figure dans les épreuves féminines. ;)
 
Tiens, c’était la journée internationale des hommes aujourd’hui ? Comment se fait‑il qu’on en parle pas autant que de la journée internationale de la femme ?

Intéressant aussi d’utiliser le pluriel pour un cas et le singulier pour l’autre …
 
http://gender-egalitarian.tumblr.com/post/153369353251/when-youre-so-used-to-privilege-equality-feels , 18 Novembre 2016.

Billet de blog a dit:
When you’re so used to privilege, equality feels like oppression

What I think of feminism every year on International Men’s Day, when feminists inevitably get upset and complain because how dare we have even a single day where we acknowledge that men have issues too.
 
Tiens, c’était la journée internationale des hommes aujourd’hui ? Comment se fait‑il qu’on en parle pas autant que de la journée internationale de la femme ?

Intéressant aussi d’utiliser le pluriel pour un cas et le singulier pour l’autre …

Ridicule de faire une journée des hommes... dans notre société patriarcale, tous les jours sauf un sont des journées des hommes. :(

La journée de "la" femme = manière de réduire la diversité des femmes à une essence supposée universelle et invariable, d'où l'attribution aux femmes de rôles stéréotypés et habituellement peu valorisés socialement!! César va conquérir le monde, et la femme de César, dont on ne retient aucune parole, reste à la maison pour laver ses sous-vêtements!!

Alors qu'on parle de la journée "des" hommes en reconnaissant leur diversité.
 
On International Men's Day :
http://afpe.tumblr.com/post/153396568984/dear-men-and-boys
http://www.telegraph.co.uk/men/thinking-man/10-reasons-we-should-be-celebrating-international-mens-day/
 


Peut-être, mais la grande majorité des professeurs et chercheurs sont encore des MECS.

Donc l'université est encore largement un univers masculin...

Je suis toutefois d'accord qu'il faut s'occuper des problèmes des garçons à l'école. Ces problèmes sont causés par leur brokenité, par le fait que leurs pulsions bestiales et sauvages ne trouvent pas dans l'école un cadre approprié où se déchaîner! :fou:
 
Une perle au milieux de la politique française gangrenée par le féminisme : Nathalie Kosciusko-Morizet est égalitarienne anti‑sexiste ! :wazaa:

Nathalie Kosciusko‑Morizet, plus féministe que féministe (europe1.fr), Mars 2013.

L’article a dit:
Nathalie Kosciusko-Morizet a dû lutter … pour les hommes :

« J'ai dû faire, entendez bien, de la discrimination positive en faveur des hommes, dans certains cas, pour avoir autant d'hommes que de femmes dans mon cabinet. »

Quatre jours après la journée de la « femme » version 2012, NKM ose aller à contre courant de l’opinion populiste, et annonce au micro d’Europe 1 qu’elle a défendu des hommes contre la misandrie !

Chapeau, on en a pas beaucoup des comme ça  :cool:.

Je savais déjà qu’elle n’aime pas le féminisme victimiste et déresponsabilisant de gauche, mais là elle n’est pas que dans les mots, elle est dans au moins un acte fort.
 
Peut-être, mais la grande majorité des professeurs et chercheurs sont encore des MECS. […]
Tout comme ce sont eux qu’on trouve majoritairement dans les métiers d’extérieur, salissant ou dangereux, ou tout à la fois.

Les féministes ne réclament pas des quotas de grutières, d’éboueuse, de mineuses, etc, elle ne réclame des quotas que dans les poste assis sur une chaise, bien payé au chaud dans un bureau. J’ai posté précédemment quelque chose sur le gender gap de la mortalité par accident de travail.

Moins d’obligation, moins de droit. Veulent des privilèges les hypocrites féministes ? Alors qu’elles prennent les obligations et les contraintes subies par les hommes en général avec.
 
Dernière édition:
@Hibou57

Pour revenir à la première vidéo du post d'ouverture, la fille qui met une substance dans le verre du mec : on peut soupçonner dans ce cas que la fille est complice d'un autre mec, ou même d'un gang composé de mecs, qui va ensuite tabasser et dépouiller le mec que rencontre la fille du bar. Chose certaine, elle n'agit pas seule, et ses complices ne sont pas des femmes!!
 
Tout comme ce sont eux qu’on trouve majoritairement dans les métiers d’extérieur, salissant ou dangereux, ou tout à la fois.

Les féministes ne réclament pas des quotas de grutières, d’éboueuse, de mineuses, etc, elle ne réclame des quotas que dans les poste assis sur une chaise, bien payé au chaud dans un bureau. J’ai posté précédemment quelque chose sur le gender gap de la mortalité par accident de travail.

Moins d’obligation, moins de droit. Veulent des privilèges les hypocrites féministes ? Alors qu’elles prennent les obligations et les contraintes subies par les hommes en général avec.

En parlant de métier salissant : qui s'occupe presque totalement de torcher des bébés, des handicapés ou des personnes âgées en déclin? Et ce genre de métier est peu valorisé socialement, nouvelle preuve de la tyrannie masculine!!
 
Avait été précédemment abordé dans ce sujet, l’impunité des femmes dans la violence conjugale et les peines moindres des femmes à délits égaux des hommes. Ce biais d’appréciation des responsabilités féminines se pose jusque dans le terrorisme, où la responsabilité des femmes est systématiquement amoindrie dans la perception qu’en ont les gens, où même coupables elles sont encore présentées d’abord comme victimes des hommes. Ce n’est pas la première fois que la question est soulevée, mais la mystification de la femme douce, non‑violente, contre la guerre, pour la paix, etc, est tellement enracinée, qu’il faudra le rappeler encore souvent : les femmes radicales existent et elle ne sont pas moins impliquées dans le terrorisme que leurs maris radicaux. Elles peuvent même être à l’origine de la radicalisation du mari ; et même si les hommes se salissent les mains typiquement en premier, elles prennent le relais quand ils ne peuvent plus le faire ou meurent (comme on le constate aux États‑Unis avec les trafiques dont les femmes reprennent le contrôle quand les hommes sont en prison ou sont tués).

Djihadisme : « Les revenants, en grande majorité, ne sont pas des repentis»  (marianne.net), Janvier 2017.
Le journal Marianne a dit:
Longtemps les femmes gravitant autour de la mouvance djihadiste ont été considérées comme soumises. Aujourd’hui, leurs actions trouvent régulièrement écho dans l’actualité. Qu’est-ce-qui a changé ?

David Thomson : Les autorités ont eu une prise de conscience tardive de la menace. Aujourd’hui encore les femmes bénéficient d’une plus grande clémence alors que les hommes sont systématiquement incarcérés à leur retour. Comme si ces femmes n’étaient pas actrices de leur choix, comme si elles étaient victimes d’une instabilité psychologique liée à leur féminité. Pourtant il est apparu dès le départ qu’elles étaient tout aussi responsables que leurs maris. Dans le couple, elles apparaissent parfois même comme le moteur de la radicalité. Sonia. B par exemple, qui a perdu son mari mort lors de la bataille de Kobané, me disait en entretien : "j’espère que les sœurs vont commettre des attentats."
 
Je ne parle pas pour moi, je n’ai jamais été battu par une « amie/copine ». Pas besoin de l’être pour s’intéresser à la question, comme pas besoin d’être homo ou lesbienne pour s’intéresser au droit des homos.
Salam Hibou,
Vu que je ne sais même pas si t'es un(e) H/F, Il y a une autre possibilité.
Est ce que t'es d'accord sur le fait que les hommes en gnrl sont plus forts (physiquement) que les femmes?
Dans l'affirmative, je ne comprend pas pourquoi ça te surprend que l'on soit plus choqué qu'un homme s'en prenne à une femme que du contraire. Le 'plus' a son importance. Je veux comprendre ta démarche qui me parait être plus une croisade contre les femmes que contre le féminisme.
 
Salam Hibou,
Vu que je ne sais même pas si t'es un(e) H/F, Il y a une autre possibilité.
Est ce que t'es d'accord sur le fait que les hommes en gnrl sont plus forts (physiquement) que les femmes?
Avec les armes (ou même de simples objets), la différence de force physique s’efface.

Dans l'affirmative, je ne comprend pas pourquoi ça te surprend que l'on soit plus choqué qu'un homme s'en prenne à une femme que du contraire. Le 'plus' a son importance. Je veux comprendre ta démarche qui me parait être plus une croisade contre les femmes que contre le féminisme.
Je ne comprends pas pourquoi ça te surprends que l’on soit choqué(e) par l’iniquité.
 
[…] Je veux comprendre ta démarche qui me parait être plus une croisade contre les femmes que contre le féminisme.
En fait le féminisme, c’est le dogme de tous les travers généralement féminins (j’inclue les traitement différenciés). Le but du féminisme c’est de les enraciner dans la loi (qui ne les incluaient initialement pas) en plus de s’assurer qu’il n’y a aucun espoir qu’ils disparaissent de la culture (pour ça, il n’y avait pas trop à forcer).

Je parle de féminin, mais pour les féministes, le traitement différencié est conditionné au fait d’avoir un vagin ou pas, alors c’est même plus lié au sexe qu’au genre, dont les féministes ne supportent pas de voir la frontière brouillée, pour cette raison (ce qui est la cause de leur transophobie par exemple).

Oui, en pratique, il n’y a pas beaucoup de différence entre les deux. D’ailleurs peu de femmes s’opposent au féminisme, la quasi‑totalité des autres s’y reconnaissent, alors femme et féministe sont quasiment synonymes en pratique. Le féminisme est une expression de leurs travers.
 
Dernière édition:
En fait le féminisme, c’est le dogme de tous les travers généralement féminins (j’inclue les traitement différenciés). Le but du féminisme c’est de les enraciner dans la loi (qui ne les incluaient initialement pas) en plus de s’assurer qu’il n’y a aucun espoir qu’ils disparaissent de la culture (pour ça, il n’y avait pas trop à forcer).
Je parle de féminin, mais pour les féministes, le traitement différencié est conditionné au fait d’avoir un vagin ou pas, alors c’est même plus lié au sexe qu’au genre, dont les féministes ne supportent pas de voir la frontière brouillée, pour cette raison (ce qui est la cause de leur transophobie par exemple).
Oui, en pratique, il n’y a pas beaucoup de différence entre les deux. D’ailleurs peu de femmes s’opposent au féminisme, la quasi‑totalité des autres s’y reconnaissent, alors femme et féministe sont quasiment synonymes en pratique. Le féminisme est une expression de leurs travers.
ça ne m'avance pas, mais merci quand même
 
En fait le féminisme, c’est le dogme de tous les travers généralement féminins (j’inclue les traitement différenciés). Le but du féminisme c’est de les enraciner dans la loi (qui ne les incluaient initialement pas) en plus de s’assurer qu’il n’y a aucun espoir qu’ils disparaissent de la culture (pour ça, il n’y avait pas trop à forcer).

Je parle de féminin, mais pour les féministes, le traitement différencié est conditionné au fait d’avoir un vagin ou pas, alors c’est même plus lié au sexe qu’au genre, dont les féministes ne supportent pas de voir la frontière brouillée, pour cette raison (ce qui est la cause de leur transophobie par exemple).

Oui, en pratique, il n’y a pas beaucoup de différence entre les deux. D’ailleurs peu de femmes s’opposent au féminisme, la quasi‑totalité des autres s’y reconnaissent, alors femme et féministe sont quasiment synonymes en pratique. Le féminisme est une expression de leurs travers.

T'inquiète, il y a des tas de femmes qui ont intériorisé l'ordre patriarcal et leur soumission aux mecs (du moins, aux dominants), qui jouent un rôle qu'elles n'ont pas choisi et qui rejettent avec mépris les féministes, parce que les féministes leur paraissent des hystériques aigries et râleuses... :(
 
Ces Femmes Amazones au secours des hommes broyés ! (affairesfamiliales.wordpress.com), Octobre 2011.
L’article a dit:
On assiste à l’émergence des Nouvelles Femmes qui prennent le taureau par les cornes et viennent au secours des hommes broyés par la machine matrimoniale
La majuscule n’est même pas de moi cette‑fois, elle est de l’auteur de l’article :ange:

Voilà des Femmes, des vraies :cool:

Dommage que la vidéo dans l’article ne soit plus disponible, je suis trop curieux de savoir ce qu’elle racontait.
 
Ridicule de faire une journée des hommes... dans notre société patriarcale, tous les jours sauf un sont des journées des hommes. :(

La journée de "la" femme = manière de réduire la diversité des femmes à une essence supposée universelle et invariable, d'où l'attribution aux femmes de rôles stéréotypés et habituellement peu valorisés socialement!! César va conquérir le monde, et la femme de César, dont on ne retient aucune parole, reste à la maison pour laver ses sous-vêtements!!

Alors qu'on parle de la journée "des" hommes en reconnaissant leur diversité.
Caius Julius César, empereur de Rome ?
Mauvais exemple, sa femme c'était la Reine Cléopâtre, je doute qu'elle ait lavé des sous-vêtements pas même les siens.
En plus on dit qu'elle aimait se balader incognito en ville comme danseuse.
On est loin de la femme au foyer qui fait le ménage.
 
Caius Julius César, empereur de Rome ?
Mauvais exemple, sa femme c'était la Reine Cléopâtre, je doute qu'elle ait lavé des sous-vêtements pas même les siens.
En plus on dit qu'elle aimait se balader incognito en ville comme danseuse.
On est loin de la femme au foyer qui fait le ménage.
C’est elle qui avait le nez, mais c’est lui qui se faisait mener par le bout du nez :ange:
 
Cassie Jaye était féministe, et c’est en temps que féministe qu’elle a voulu un jour réaliser un film documentaire sur le mouvement des MRA, “Men’s Rigts Activist”. Un film qu’elle pensait être à charge, jusqu’à ce que progressivement elle commence à s’interroger sur ce que les féministes mettent sous le tapis. Son film a finalement pris la tournure d’un documentaire déconstruisant les clichés sur les mouvements d’opposition au féminisme, plus égalitaires et dégoutés que « machistes ».

Ce film s’appel “The Red Pill”, il est sorti courant 2016.

Ça n’a pas plus aux féministe qui ont fait censuré son film autant que possible, par l’intérmédiaire de pétitions pour empêcher son financement d’abord, puis sa diffusion ensuite. Plusieurs salles de cinéma, dont Canadiennes / Québécoises, ont cédé à la pression, jugeant le film « machiste ». Elle a finalement fait financer le film par des dons et l’a fait diffuser sur le web. Il ne semble malheureusement pas possible de le voir en france, sa page VOD sur YouTube indiquant que le film n’est pas disponible pour ce pays. Je ne sais pas depuis quels pays il est visionnable. Cassie Jaye a également essuyé des menaces plus directes de la part de féministes (pour ne pas changer).

Une anglophone critique du féminisme, et qui a put voir le film, en a fait sa petite revue. C’est en Anglais avec une vitesse d’élocution pas toujours facile à suivre, mais l’essentiel est compréhensible. Elle parle entre autre, du conditionnement des femmes à diaboliser les hommes et à faire peu de cas des préoccupations qui leur sont propres.

Celle qui parle dans cette vidéo, n’est pas Cassie Jaye (au cas où il y aurait une confusion).

 
Précédemment a été mentionné le “gender empathy gap”, dont l’ampleur était illustrée par la différence de traitement par les médias et la population, de l’enlèvement de deux ou trois centaines de jeunes filles par Boko Haram d’un côté — largement couvert, et de l’enlèvement de plusieurs milliers de jeunes garçons par le même Boko Haram — peu ou pas couvert.

Précédemment a été mentionné la censure dont a été victime le film documentaire The Red Pill.

Voici un article faisant un lien entre les deux : The Illustrated Empathy Gap (mra-uk.co.uk), 2016.

Début de l’article a dit:
A number of people have asked me to expand upon what is meant by the “empathy gap”. So here I give my take on the subject. The empathy gap refers to the fact that male disadvantages tend to go unrecognised. Many people, when they first encounter the red pill world are inclined to believe that all that is necessary is to point out the litany of male disadvantages and all will be rectified. A year or two down the road they find out the other half of the truth – that no one cares. This is the empathy gap.

[…]

La suite au lien plus haut.
 
Perso, je pense que tous les clichés et préjugés liés au sexe d'une personne (mais aussi sa couleur de peau, sa religion, son mode de vie, son âge, etc...) sont à combattre car ils sont insensés (dans le sens littéral) et stigmatisants : homme ou femme, on te renvoie à une "case", un rôle dans lequel tu devrais te tenir uniquement parce que tu es homme, ou femme, ou noir, ou blanc, etc... et ne pas en changer.

Je pense aussi que, pour ne rester que sur le débat homme-femme, les évolutions des perception des rôles consignés selon le genre sont interdépendantes : la vision du rôle des hommes évoluent aussi en fonction de l'évolution de celle du rôle des femmes.
Idéalement, là-aussi, on ne devrait pas avoir une lecture "homme contre femme" mais d'œuvrer intelligemment de concert entre homme et femme.

ça fait 20 ans que je bosse dans la com-marketing (milieu a priori plutôt "cool"). Et pourtant...
- pendant mon premier stage à Paris (1996, ce qui ne me rajeunit pas), la boîte a été rachetée (par Vivendi à l'époque). Du coup, plan de réduction de la masse salariale. Le chef du service marketing est venu voir sa seule collaboratrice de l'équipe qui revenait de congé mat en lui disant : "si tu étais une bonne mère, tu prendrais un mi-temps". Sympa...
(bon, au final, c'est lui qui a été mis dans la charrette quelques mois plus tard)

- dans mon premier poste en CDI (vers les années 2000-2005), j'ai fais remarquer à mon boss qu'on était une cinquantaine de salariés, moitié homme moitié femme, mais que tous les chefs était des mecs.
Sa réponse : "ah mais non, il y a une femme chef à l'iconographie. Mais bon, c'est normal, c'est un métier de femme ou de p.d.". Texto :confused:
A cette époque, l'un de mes collègues a osé prendre son congé paternité de 15 jours. Il n'a plus été augmenté pendant des années et a servi de punching-ball aux chefs jusqu'à ce qu'il se barre dans une boîte concurrente.

- dans mon taf actuel, il y a 5 ans, une de mes collègues revient de congés mat. Mon chef (viré depuis, bien fait) vient la voir en lui disant qu'on l'a changé d'affectation durant son congé mat (sans le lui dire, toujours sympa) et qu'on lui attribue tels dossiers sur la puériculture, parce que "comme t'es jeune maman, ça t'intéresse". Elle lui a répondu : "t'aurais refourgué de la puériculture à un jeune papa aussi, parce que comme il est jeune papa, ça l'intéresse ?"
Mais ça évolue : cette année, pour la première fois, l'une de mes collègues rentrant de congé mat a eu droit à une augmentation (d'habitude, toutes les jeunes mamans savent quelles vont "payer leur bébé" en n'étant pas augmentées pendant quelques années). Commentaire de son chef direct : "j'étais pas pour car tu viens juste de revenir". o_O

En parallèle, la situation des hommes évoluent. Maintenant, ça ne choque plus mes chefs quand un collègue prend son congé paternité + vacances derrière pour pouponner, quand un autre prend un jour de maladie enfant pour garder son petit malade, ou demande une journée de télétravail le mercredi (il y a encore 5 ans, mon chef interdisait le mercredi en télétravail mais seulement pour les femmes car il avait peur qu'elles en profitent pour pas bosser et s'occuper de leurs enfants).

En fait, il faudrait qu'hommes et femmes, nous soyons davantage solidaires.
 
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