Jugement selon le sexe/genre

Cassie Jaye était féministe, et c’est en temps que féministe qu’elle a voulu un jour réaliser un film documentaire sur le mouvement des MRA, “Men’s Rigts Activist”. Un film qu’elle pensait être à charge, jusqu’à ce que progressivement elle commence à s’interroger sur ce que les féministes mettent sous le tapis. Son film a finalement pris la tournure d’un documentaire déconstruisant les clichés sur les mouvements d’opposition au féminisme, plus égalitaires et dégoutés que « machistes ».

Ce film s’appel “The Red Pill”, il est sorti courant 2016.

Ça n’a pas plus aux féministe qui ont fait censuré son film autant que possible, par l’intérmédiaire de pétitions pour empêcher son financement d’abord, puis sa diffusion ensuite. Plusieurs salles de cinéma, dont Canadiennes / Québécoises, ont cédé à la pression, jugeant le film « machiste ». Elle a finalement fait financer le film par des dons et l’a fait diffuser sur le web. Il ne semble malheureusement pas possible de le voir en france, sa page VOD sur YouTube indiquant que le film n’est pas disponible pour ce pays. Je ne sais pas depuis quels pays il est visionnable. Cassie Jaye a également essuyé des menaces plus directes de la part de féministes (pour ne pas changer).

Une anglophone critique du féminisme, et qui a put voir le film, en a fait sa petite revue. C’est en Anglais avec une vitesse d’élocution pas toujours facile à suivre, mais l’essentiel est compréhensible. Elle parle entre autre, du conditionnement des femmes à diaboliser les hommes et à faire peu de cas des préoccupations qui leur sont propres.

Celle qui parle dans cette vidéo, n’est pas Cassie Jaye (au cas où il y aurait une confusion).


 
Vous avez raison, j'aurais du le signaler, désolé.
En plus ce documentaire est obsolète, il doit dater du siècle dernier. Le taux de chômage est plus élevé chez les hommes que chez les femmes, contrairement à ce qui est dit. Je ne vais pas tout relever, mais ce n’est pas la seule erreur et le seul biais idéologique dans les 22 premières minutes. Je ne regarde même pas la suite, ce n’est pas fiable.
 
Karen Strauhan, sur le statut des hommes dans la société depuis la nuit des temps, un statut qui n’est pas un privilège, plutôt celui vers lequel on se tourne quand quelqu’un doit se sacrifier, et le dernier à qui on pense quand on accorde des attentions. Un statut illustré par les classiques « les femmes et les enfants d’abord » ou « l’homme propose, la femme dispose », repris et renforcés par les féministes.

Feminism and the disposable male
— Karen Straughan — 2011

 
Dernière édition:
En plus ce documentaire est obsolète, il doit dater du siècle dernier. Le taux de chômage est plus élevé chez les hommes que chez les femmes, contrairement à ce qui est dit. Je ne vais pas tout relever, mais ce n’est pas la seule erreur et le seul biais idéologique dans les 22 premières minutes. Je ne regarde même pas la suite, ce n’est pas fiable.

C'est parce que les mecs sont plus déséquilibrés que les femmes : il y a plus de gagnants hommes que femmes, mais aussi beaucoup plus de perdants!
 
Celle qui parlait dans cette vidéo, Janice Fiamengo, professeuse, a été censurée par sa propre université.

L’usage de la censure par les féministes, est tellement systématique, que la comparaison parfois faite entre le féminisme et le communisme, est bien justifiée, rien que pour ça au moins.
 
Give me a break. C’est le jour des mecs 364 jours par an et ça ne proteste pas trop, alors que les femmes n’ont droit qu’à un seul jour. :(
C’est trop demandé à la psychologie animale de voir la réalité en face, surtout celle là, mais un rappel de quelques fondamentaux quand‑même (et cette image ne rapporte encore pas tout) :
 

Pièces jointes

  • men-treatments.png
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En plus ce documentaire est obsolète, il doit dater du siècle dernier. Le taux de chômage est plus élevé chez les hommes que chez les femmes, contrairement à ce qui est dit. Je ne vais pas tout relever, mais ce n’est pas la seule erreur et le seul biais idéologique dans les 22 premières minutes. Je ne regarde même pas la suite, ce n’est pas fiable.
Tu me fais rire. On te prouverai que les femmes bossent moins que tu ricanerai sur leur vénalité et leur propension à se faire entretenir.

En attendant, en bénéficiaire du RSA, elles sont 55% contre 45%.
 
Tu me fais rire. On te prouverai que les femmes bossent moins que tu ricanerai sur leur vénalité et leur propension à se faire entretenir.

En attendant, en bénéficiaire du RSA, elles sont 55% contre 45%.
Évidemment, puisque ceux qui y ont droit ne font pas tous la demande. Il ne faut pas oublier non‑plus que les services qui gèrent les demandes de RSA, sont féministes, le sexe étant le critère d’admission essentiel à ces postes, et que ce n’est pas sans conséquence sur l’accueil réservé à certains (quand ce ne sont pas des nuisances graves). Et évidemment, on entendra jamais parler de parité (qui est un concept à sens unique) … :rolleyes:
 
Le mouvement MGTOW (le sigle se prononce “ mègtauw ”), pourtant originaire de pays anglophones, a un site francophone. Pour le découvrir, voici par exemple leur page d’index des articles sur le gynocentrisme : gynocentrisme (mgtow-france.com).

Ne pas s’étonner si des bouts de phrases ici‑et‑là sont écrites en Anglais, c’est parce qu’ils ont repris la présentation de leur site d’origine anglophone.
 
En attendant, en bénéficiaire du RSA, elles sont 55% contre 45%.
Peut-être aussi parce que les conditions d'attribution diffèrent. Ainsi, un jeune de moins de 25 ans n'a généralement pas le droit au RSA sauf s'il a un enfant à charge. Or, il y a de nombreuses jeunes femmes de moins de 25 ans qui se retrouvent avec des enfants à charge, contrairement aux hommes et qui ont donc le droit au RSA.
 
Peut‑être que des gens connaissent les social experiments où on compare les réactions de passant(e)s face à un garçon frappant versus face à fille frappant un garçons, et où l’on constate que le premier cas est considéré intolérable et que le second cas ne fait pas réagir, voir fait rire (posté ici plus bas, pour les gens qui ne l’ont jamais vu). Voici une variante, avec le test de la drogue versée dans un verre à l’insu de l’autre. Dans le social experiment ci‑dessous dont je viens de prendre connaissance, un homme et une femme se donnent rendez‑vous dans un café. Les acteurs jouent la scène dans les deux sens, l’homme versant quelque chose dans le verre de la femme en son absence, et dans l’autre sens, la femme versant quelque chose dans le verre de l’homme en son absence. Les réactions des gens sont comparées (et elles sont malheureusement prévisibles).


Les précédentes expérimentations dont je parle au début, pour le contexte :


Un homme a naturellement plus de force qune femme , on dit que si tu es un homme , il faut t'attaquer a quelqun comme toi.S inon ca s'appel etre un lache.
Cest comme un.homme qui taperait une personne agée= un lache et un enc....lé
 
Un homme a naturellement plus de force qune femme , on dit que si tu es un homme , il faut t'attaquer a quelqun comme toi.S inon ca s'appel etre un lache.
Cest comme un.homme qui taperait une personne agée= un lache et un enc....lé

Bonjour électrique misspopotte! :sournois:

Même si une femme attaque un mec, il est interdit au mec de riposter. Tout au plus, il peut parer les coups et appeler la police!
 
Empecher les coups ....cest possible , mais sans en donner
Ça s’applique aussi aux femmes qui tapent sur leur mari et chez qui la société cautionnent le geste même quand elles initient l’agression (sept fois sur dix) ?

Prendre les coups sans les rendre, c’est ce que beaucoup d’hommes font (même si la majorité répond), d’autant plus que s’ils y répondent pour se défendre, ils sont en tord.
 
Ça s’applique aussi aux femmes qui tapent sur leur mari et chez qui la société cautionnent le geste même quand elles initient l’agression (sept fois sur dix) ?

Prendre les coups sans les rendre, c’est ce que beaucoup d’hommes font (même si la majorité répond), d’autant plus que s’ils y répondent pour se défendre, ils sont en tord.

Un mec n’a pas le droit de donner des coups à une femme, point. :fou:
 
Un mec n’a pas le droit de donner des coups à une femme, point. :fou:
Et elle a le droit de taper comme elle veut, en toute impunité. Il faut être taré pour trouver ce genre de relation normale. Pas étonnent que les « femmes » fassent fuir ceux qui cherchent une relation normale mais qu’elles plaisent aux « animaux », incluant ceux qui pensent comme toi (ou approuvent) qu’elles sont un élément dont la possession établi la position dans la hiérarchie sociale et que les hommes ont donc un obligation d’accepter cette médiocrité pour montrer leur valeur à tes yeux (ou de ceux/celles qui approuvent).

 
Elle a vu le film “ The Red Pill ” (*) dont j’ai parlé précédemment.

(*) Dont la sortie qui était prévue en salles dans plusieurs pays, a été censurée sous les menaces de la gauche et de l’extrême‑gauche.

 
« Au Canada, tous les indices de la délinquance sont en baisse, sauf chez les filles » — Pied‑de‑Biche, documentaire de Rachel Verdon, 2001.

Dans cet extrait de son documentaire, on voit un micro‑trottoir ou les passant sont interrogé sur la violence des « femmes ». Les réactions des automates programmés, sont prévisibles. L’extrait expose plus largement, la manipulation de la perception de la violence conjugale par le féminisme.

 
Dernière édition:
Je dis parfois que pour comprendre d’une manière simplifiée le statut des « femmes » dans la société, il faut penser à une classe sociale innée. Un article de sciences humaines raconte comment depuis toujours, les restrictions et libertés vestimentaires, ont été l’affichage des classes sociales, comment les classes sociales privilégiées se sont donné des libertés tandis qu’elles limitaient sévèrement les libertés vestimentaires des classes sociales « inférieures » à leur service, pour leur rappeler leur position. Le parallèle avec les libertés que se donnent les « femmes » et les restrictions qu’elles imposent aux hommes, me semble évident.

L’article, qui est long : Pratiques politiques et culturelles du vêtement (cairn.info).
 
J'ai vue le même genre de video avec un enfant qui paraît être issu d'une famille aisée et l'autre d'une famille pauvre genre Roumaine, Sdf etc ... Pour le premier cas les gens s'arrêtent et lui demande où est sa maman, s'il est perdu etc ... Pour le deuxième cas c'est l'ignorance totale .

C'est malheureux à voir :(
Ce que pensent les passants c'est que le premier est perdu dans la rue et que le second est chez lui dans la rue...

En quoi c'est malheureux, c'est dans les moeurs des roms de faire les miséreux qui ont besoins d'aide...ces gens la ne souhaitent pas devenir citoyens, mais vivre sur le dos de la société...
 
La « Marche pour les hommes », “ March for men ”, organisée par une anti‑féministe nommée Sydney Watson. Je ne sais pas quoi en penser, je viens à moitié par hasard d’en apprendre l’existence. Après une brève recherche, le mouvement MGTOW s’en méfie autant que de Lauren Southern et quelques autres, suspectées de plus exploiter la question du gynocentrisme et de l’hypocrisie féministe, que de vraiment vouloir y changer quelques chose.

Quoiqu’il en soit, c’est un fait, une marche de ce nom a été organisée en Australie en Juin et Août 2018 (je trouve deux dates différentes), et une autre en Angleterre en Juin 2018, en profitant de l’occasion pour récolter des fonds pour la recherche sur le traitement du cancer de la prostate. Une autre semble prévue en 2019, en Angleterre.

En Australie au moins, la marche semble s’être déroulé sous les huées de l’extrême‑gauche, au cri de « fachistes, nazis », etc, on connait la chanson, la même chanson que quand aux États‑Unis, MGTOW avait tenté d’alerter l’opinion sur des questions comme le fait que la quasi‑totalité des SDF sont des hommes, une mini manifestation qui s’était déjà déroulé sous les hurlements de l’extrême‑gauche.

Comme je disais plus haut, je ne sais pas quoi en penser, mais je donne quand‑même le lien de la page Facebook du mouvement d’origine en Australie : March for men (facebook.com).
 
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