donc on est bien dans la comparaison et le concours de qui aura le plus d'articles et de télés, pas dans la compassion aux victimes, tu te contredis tout seul.
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Ils venaient de passer une soirée tranquille chez l'un d'entre eux, rue du Colonel-Bougault. Et vers 23 h 15, ils avaient pris le tram pour se rendre au centre-ville de Grenoble et boire un dernier verre. Mais le destin a voulu qu'ils croisent le chemin d'une bande de jeunes ultra-violents, guidés par la haine, visiblement animés par la seule volonté de lyncher quelqu'un. Sans aucune raison, alors que les quatre jeunes gens avaient refusé de répondre à leurs provocations, les agresseurs se sont acharnés sur l'un d'entre eux, place Grenette, le frappant à grands coups de pied alors qu'il était à terre avant de tenter de le tuer en lui donnant deux coups de couteau (notre édition d'hier). L'un de ces coups a perforé un poumon, plongeant rapidement Martin, un cartographe de 24 ans, dans l'inconscience. Selon nos informations, le jeune homme est resté toute la nuit entre la vie et la mort : une importante hémorragie s'est produite au niveau pulmonaire et il a dû être opéré de toute urgence. Les informations qui ont filtré hier faisaient état, dans l'après-midi, d'une amélioration de son état de santé, qui demeurait toutefois très préoccupant.
Par quelle effroyable pulsion meurtrière cette bande de malfrats a-t-elle été gagnée lorsqu'elle a décidé de s'attaquer (à 15 ou 20 contre quatre !) à de paisibles jeunes gens qui n'avaient rien demandé à personne ?
L'ensemble des éléments de l'enquête semblent montrer que cette affaire n'a rien de commun avec les classiques rixes de fin de soirées chargées en alcool, mais à une attaque délibérée sur un petit groupe de personnes qui avaient pourtant tenté d'éviter la confrontation.
Vers 23 h 30, la bande d'agresseurs, montée à bord du tramway au niveau des quartiers sud de l'agglo, venait de se faire expulser de la rame par des agents de la Semitag à l'arrêt Hubert-Dubedout, station la plus proche de la place Grenette. Le hasard a voulu que les quatre jeunes gens descendent également de la rame à cet endroit. L'un des agresseurs a demandé une cigarette à la jeune femme, qui a répondu simplement qu'elle n'en avait plus. Martin, son ami, s'est alors fait insulter sans aucune raison. Cherchant à fuir, les quatre victimes ont commencé à presser le pas en direction de la place Grenette mais, à cet endroit, Martin a subitement été frappé et mis au sol. Ses amis ont tenté de lui venir en aide, mais selon leurs témoignages, les agresseurs étaient une quinzaine à cet instant. Dans un invraisemblable déchaînement de violence, les malfrats lui ont décoché de grands coups de pied en pleine tête alors qu'il était à terre. L'un d'entre eux a même pris son élan pour, lancé à pleine vitesse, venir s'écraser contre sa colonne vertébrale. Et puis, en plein lynchage, les agresseurs se sont soudainement écartés de leur victime et ont pris la fuite en direction du jardin de ville. Lorsque les témoins et les amis de Martin se sont approchés de lui, ils ont compris qu'il était gravement blessé : il venait d'être atteint de deux coups de couteau au dos et à un bras et il saignait abondamment...
Dans la nuit, les policiers du service de quart ont débuté les constatations sur place pendant que leurs collègues tentaient de retrouver les agresseurs, tous âgés d'environ 18 ou 20 ans. Et alors que Martin était entre la vie et la mort au CHU, les fonctionnaires de la Sûreté départementale ont été saisis de l'enquête sur cette affaire de cauchemar.
http://www.ledauphine.com/agression...son-par-une-bande-@/index.jspz?article=287823
montrés a toute la france et que leur punition soit exemplaire
Lauteur de coups de couteau portés à un jeune homme agressé le 9 avril par une bande de jeunes en état divresse à Grenoble était toujours recherché mardi, tandis quau total sept personnes, dont cinq mineurs, se trouvaient en garde à vue dans le cadre de laffaire.
Mardi, sept nouvelles personnes dont cinq mineurs, ont été interpellées, a précisé lors dun point de presse le procureur de la République de Grenoble, Jean Philippe.
Sur les neuf personnes interpellées depuis lagression, sept restent en garde à vue. Entre «trois et cinq» personnes pourraient être déférées mercredi matin, a précisé M. Philippe, qui a décidé de louverture dune information judiciaire.
Le parquet va requérir leur mise en examen pour coups et blessures aggravées et «participation à un groupe violent», réprimée par la nouvelle loi sur les bandes votée le 2 mars.
En revanche, lauteur des coups de couteau, déjà condamné et identifié sur la base «déléments techniques et de témoignages», est toujours «recherché» de même que deux autres membres de la bande, a annoncé le chef de la sûreté départementale, Jean-Claude Dunand.
Il encourt pour tentative dhomicide la réclusion criminelle à perpétuité.
Parmi les personnes gardées à vue, seules deux reconnaissent «avoir porté» des coups à la victime sans plus de «justification» de leur geste tandis que les autres nient les faits, a précisé M. Dunand.
«Il ne sagit pas dune bande de jeunes comme on en trouve dans lagglomération parisienne mais plutôt une bande de circonstance», constituée de «jeunes désoeuvrés» qui se sont fédérés sous les effets de lalcool, a dit M. Dunand.
La sauvage agression, dont a été victime Martin, un jeune géographe de 23 ans, est partie du «simple prétexte» dune demande de cigarette à la petite amie de Martin.
Les suspects ont été identifiés grâce à lexploitation de lenregistrement dune bande de vidéo-protection du tramway, emprunté par la victime et ses agresseurs.
Certains ont ensuite été reconnus par les amis qui accompagnaient Martin ainsi que dautres témoignages et d«éléments» que la police na pas précisés.
Les enquêteurs, qui doivent tenter de déterminer le rôle précis de chacun, ont également réquisitionné dautres enregistrements vidéo détablissements se trouvant sur la place où a eu lieu lagression.
Totalement hors de danger, le jeune Martin a pu être brièvement entendu par les enquêteurs à lhôpital mais il «na pas de souvenirs précis» sur lagression, a précisé M. Dunand.
(Source AFP)
La justice ne se rend pas mécaniquement. On juge la personne en fonction des faits.
Par exemple
- pour Said il faudra établir s'il a été jeté à l'eau, s'il y a une relation entre sa chute (forcée?) et sa noyade....C'est très technique.
- pour Martin il n'y a, heureusement, pas eu mort d'homme mais ça aurait pu.
Je sais que certains bladinautes vont encore penser que je prends position en fonction de l'origine de l'une et de l'autre victime. Si c'est le cas demandez à un de vos amis policier ou avocat.
@ boombastic : faut arreter de tout ramener au racisme, dans un cas (celui de Martin) les agresseurs ont pu etre facilement identifiés PAR DES CAMERAS DE SURVEILLANCE.
des temoins ont de plus pu les decrire. etait ce le cas pour said ? du coup c'est normal que l'affaire prenne plus de temps
Je parle des médias et de leur orientation!!! A mes yeux, il y a un racisme latent dans le traitement de l'information. C'est fatiguant ces gens qui lisent entre les lignes.
Concernant la justice, elle prendra le temps qu'il faudra, nous verrons, et je comprend qu'il faille un certain temps pour déterminer les circonstances exacte de sa mort...
on a eu chaud. un peu plus et Martin lynchait ces pauvres victimesFlorent Girault, avocat de l’un des auteurs présumés, affirme pour sa part que les procès-verbaux d’audition de plusieurs témoins nuancent l’éclairage. L’altercation verbale aurait surtout eu lieu entre Martin et un garçon du groupe. Ses amis auraient retenu Martin, puis des coups ont effectivement été échangés, les amis de l’étudiant essayant alors de séparer les deux jeunes. «Cela ne ressemblait absolument pas à un lynchage, insiste l’avocat. Ensuite seulement, il y a eu un effet de groupe.»