Ka'aba pourquoi un tel nom ?
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deja il faut savoir que la kaaba a connu plusieur evolution qui a transformé sa forme d'origine ...
aprés je n'ai pas creusé plus que cela ce sujet car l'on entre rapidement dans des idée new age où il est difficile de faire la part des choses :
au sujet du cube comme symbole de la matiere matrice c en general le sens qu'on lui donne voir l'exemple de saturne = chronos :
Ka'aba pourquoi un tel nom ?
salam que signifie les rite du pelerinage et pourquoi avoir donné ce nom à la maison du createur ? quand je regarde ce mot la premier sens qu'il me donne c : sein rempli et bien arrondie aprés mon dico donne aussi dans un moindre mesure cube mais aussi vierge etc ... le K 77.29. Allez...
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mais le cube renferme aussi dans la geometrie sacré d'autre dimension voir le cube de metatron et le rapport avec la fleur de vie l'etoile de david etc ...
Femme est la terre fertile puis le temples
je trouve interessant la comparaison que fait le coran des femmes qui reflete une ancienne tradition voir de la tradition dite pimordiale de faire des femmes le symbole de la terre qui donne la vie et par la suite quand les hommes se sont separé de la terre pour vivre dans les ville elle ont...
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Pour moi il ne faut pas chercher si Loin. La signification de Ka3aBa me suffit, si on l'a prise comme référence pour désigner le volume, ou l'inverse, tout est dit... Même s'il y a pu y avoirs d'autres significations, mais rien n'est moins sûr, et cela ne nous éclairerait pas forcément sur la symbolique du pèlerinage.
perso je trouve la kaaba et sa symbolique très decevante comparé à celle du temple de jerusalem qui est beaucoup plus elaboré et mieu expliqué ...
contrairement a la kaaba le temple de jerusalem resume a elle seule le message biblique ...
une base militaire pour les expéditions ...
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course de char
saturnal (serpentaire) noel samedi dimanche
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C'est Pas Sourcé
Une émission consacrée à l'étude et à l'histoire des religions, tentant d'éclairer un peu les sources qui nous permettent de les connaître, et qui tente de rendre ces sources accessibles à tout un chacun. Présentée par Lays, Antoine et Camille.
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tizniti
Soyons sérieux .
Amen mon frère Tajine du Maroc.
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c'est littéralement la "base" une base militaire ...
Origines de l’islam : ses racines païennes matriarcales – les 3 déesses de la Kaaba
source : Dr.Jawad Ali dans son livre «L’histoire des arabes avant l’Islam»
La Kaaba, temple de la déesse Allat
Ka’aba signifierait cube en arabe, mais la Ka’aba elle-même serait l’ancienne « Kaabou », du mot grec qui signifie ‘jeune fille’, et désigne la déesse Astarté, c’est-à-dire Aphrodite dans la mythologie grecque qui correspond à la Vénus Romaine et l’al-‘Uzza (العزى) des Arabes considérée comme la déesse de la fertilité. Les anciens chroniqueurs rapportent qu’avant l’avènement de l’islam (jahilya, l’ère de l’ignorance), il y avait 24 ka’bas dans la péninsule arabique, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus. Selon des recherches saoudiennes, il existait dans la région de nombreuses Ka’bas (tawaghit) consacrées chacune à une divinité, auxquelles les fidèles se rendaient certains jours déterminés pour procéder à des rites comprenant entre autres une déambulation circulaire et des sacrifices. Les plus importants semblent avoir été les ka’abas des déesses Allat à Taif, d’Uzza à Nakhlah et de Manat près de Qudayd.
Les prêtresses d’Allat
Elle fut célébrée par sept prêtresses nues qui gravitaient sept fois autour de cette pierre, une fois pour chaque planète (soleil / lune / mars / mercure/ vénus/ Jupiter / saturne). A ce jour, les hommes qui gardent la Kaaba sont encore appelés »fils de l’Ancienne Femme », »fils de Saba », en arabe »Beni Shaybah ». La déesse Allat avait un surnom, ou un titre supplémentaire, Saba prononcé Shaybah, signifiant sage-femme, ou, « Celle de l’ancienne sagesse ». Avant l’Islam, les gardiens du Sanctuaire étaient des prêtresses appelées »Bathi-Sheba », »filles de l’Ancienne Sage Femme ». Bethsabée, »fille de Saba » signifie, ‘‘prêtresse de la maison de Saba ». Les musulmans ont gardé ce sanctuaire cubique, et marchent encore autour, tout comme on le faisait à l’époque où on vénérait la Déesse.
Le culte des pierres
Vénérer une pierre est typiquement païen. On appelle ces pierres divines béthyle (de l’hébreu béthel »pierre sacrée »), et est une pratique polythéiste classique de l’antiquité. La pierre de la Kaaba n’échappe pas à cette règle. Cette pierre faisait en effet l’objet de vénération pré-islamique. Le culte pré-islamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité. En effet ce culte rendu à une pierre n’est pas isolé dans l’Antiquité : on peut citer la pierre noire d’Émèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de Dusares à Petra, et c’est sous la forme d’un bétyle qu’en 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome. Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées sont l’objet de la vénération des fidèles, telles l’Artémis de Sardes ou l’Astarté de Paphos. En Arabie ce n’était pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société pré-islamiques. Par exemple la « pierre rouge » était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman, ou la « pierre blanche » dans la Kaaba d’al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).
La pierre noire, vulve d’Allat ?
source : Dr.Jawad Ali dans son livre «L’histoire des arabes avant l’Islam»
La Kaaba, temple de la déesse Allat
Ka’aba signifierait cube en arabe, mais la Ka’aba elle-même serait l’ancienne « Kaabou », du mot grec qui signifie ‘jeune fille’, et désigne la déesse Astarté, c’est-à-dire Aphrodite dans la mythologie grecque qui correspond à la Vénus Romaine et l’al-‘Uzza (العزى) des Arabes considérée comme la déesse de la fertilité. Les anciens chroniqueurs rapportent qu’avant l’avènement de l’islam (jahilya, l’ère de l’ignorance), il y avait 24 ka’bas dans la péninsule arabique, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus. Selon des recherches saoudiennes, il existait dans la région de nombreuses Ka’bas (tawaghit) consacrées chacune à une divinité, auxquelles les fidèles se rendaient certains jours déterminés pour procéder à des rites comprenant entre autres une déambulation circulaire et des sacrifices. Les plus importants semblent avoir été les ka’abas des déesses Allat à Taif, d’Uzza à Nakhlah et de Manat près de Qudayd.
Les prêtresses d’Allat
Elle fut célébrée par sept prêtresses nues qui gravitaient sept fois autour de cette pierre, une fois pour chaque planète (soleil / lune / mars / mercure/ vénus/ Jupiter / saturne). A ce jour, les hommes qui gardent la Kaaba sont encore appelés »fils de l’Ancienne Femme », »fils de Saba », en arabe »Beni Shaybah ». La déesse Allat avait un surnom, ou un titre supplémentaire, Saba prononcé Shaybah, signifiant sage-femme, ou, « Celle de l’ancienne sagesse ». Avant l’Islam, les gardiens du Sanctuaire étaient des prêtresses appelées »Bathi-Sheba », »filles de l’Ancienne Sage Femme ». Bethsabée, »fille de Saba » signifie, ‘‘prêtresse de la maison de Saba ». Les musulmans ont gardé ce sanctuaire cubique, et marchent encore autour, tout comme on le faisait à l’époque où on vénérait la Déesse.
Le culte des pierres
Vénérer une pierre est typiquement païen. On appelle ces pierres divines béthyle (de l’hébreu béthel »pierre sacrée »), et est une pratique polythéiste classique de l’antiquité. La pierre de la Kaaba n’échappe pas à cette règle. Cette pierre faisait en effet l’objet de vénération pré-islamique. Le culte pré-islamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité. En effet ce culte rendu à une pierre n’est pas isolé dans l’Antiquité : on peut citer la pierre noire d’Émèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de Dusares à Petra, et c’est sous la forme d’un bétyle qu’en 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome. Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées sont l’objet de la vénération des fidèles, telles l’Artémis de Sardes ou l’Astarté de Paphos. En Arabie ce n’était pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société pré-islamiques. Par exemple la « pierre rouge » était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman, ou la « pierre blanche » dans la Kaaba d’al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).
La pierre noire, vulve d’Allat ?
d'ailleur l'on pourrai se demandai pourquoi le nom divin rahman qui est de la meme racine que uterus (voir lien avec le christianisme du yemen)
de meme la kaaba a la base est lié a un culte de la fertilité
dans le coran le parallele entre la kaaba et marie est evident notament de la facon dont elle fut consacré au temple sacré saint des saint et comment son saint fut aussi consacré
lien avec la hierogamie "prostitution" ou mariage sacré
fr.wikipedia.org
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de meme la kaaba a la base est lié a un culte de la fertilité
dans le coran le parallele entre la kaaba et marie est evident notament de la facon dont elle fut consacré au temple sacré saint des saint et comment son saint fut aussi consacré
lien avec la hierogamie "prostitution" ou mariage sacré
Vierge à l'Enfant de la Kaaba — Wikipédia
Héritage païen... On embrasse une pierre ( pierre noire ) on jette des pierres sur des pierres ( lapidation de satan ) et on tourne autour d une pierre ( Kaaba ) ... Pour une religion censée avoir aboli l idolâtrie de la pierre ( statues ) c'est assez cocasse !