Dabord, il doit les inviter à lislam. Il doit faire de son mieux pour leur prêcher lislam et leur expliquer clairement en quoi il consiste, sil possède les connaissances requises, bien entendu. Cest là la plus grande et la meilleure de toutes les bonnes actions quil puisse accomplir envers les gens qui lentourent, quils soient chrétiens, juifs, ou dautres types de mécréants.
À ce sujet, le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) a dit :
« Celui qui guide une personne vers le bien recevra la même récompense que cette personne [pour le bien qui sera fait]. » (Mouslim).
Il a également dit à Ali, lorsquil la envoyé à Khaibar pour y rencontrer des juifs et les inviter à lislam :
« Par Allah ! Si Allah guide une seule personne par ton intermédiaire, cela est meilleur pour toi que les meilleures races de chameaux. » (Boukhari, Mouslim).
Ensuite, le musulman ne doit jamais léser un non-musulman et porter atteinte à sa vie, à ses biens ou à son honneur, surtout si le non-musulman est citoyen dun pays musulman ou sil a conclu un traité de paix quelconque. Il doit toujours respecter ses droits. Il ne doit jamais le voler, le tromper ou lescroquer. Il ne doit jamais lui porter atteinte physiquement, cest-à-dire le battre ou le tuer. La protection que le non-musulman vivant en pays islamique reçoit de lÉtat lui garantit une sécurité contre ce genre de choses.
Troisièmement, rien ninterdit la vente, lachat, la location ou tout autre genre de transactions commerciales avec eux. Il a été rapporté, dans une narration authentique, que le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) achetait certaines choses chez les mécréants polythéistes. Il achetait également chez les juifs. En fait, au moment où le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) a rendu lâme, son bouclier était toujours chez un juif où il lavait déposé en garantie en échange de nourriture pour sa famille.
Quatrièmement, le musulman ne doit pas saluer le mécréant le premier avec la salutation de paix. Cependant, il doit répondre à ses salutations. Le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) a dit :
« Ne saluez pas les juifs et les chrétiens les premiers avec le salam. » (Mouslim).
Il a également dit :
« Si les Gens du Livre vous saluent avec la salutation de paix, alors répondez « wa alaikoum » (vous de même). » (Boukhari).
Un musulman, donc, ne salue pas un non-musulman le premier. Mais lorsquun juif, un chrétien ou un autre type de mécréant le salue, il répond « Vous de même », comme le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) le lui a ordonné.
Le musulman doit également être amical avec ses voisins non-musulmans. Si son voisin est bon avec lui, il ne lui cause aucun tort et il peut même faire preuve de charité à son égard sil est pauvre, ou lui offrir de petits cadeaux sil est riche.
Tout cela peut amener le voisin à vouloir en savoir plus sur lislam ou même à devenir lui-même musulman. Les voisins ont des droits très importants sur nous.
Le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) a dit :
« LAnge Gabriel ma tant prévenu concernant le voisin que jai cru quil finirait par linclure dans lhéritage. » (Boukhari, Mouslim).
Et Allah dit, dans le Coran :
« Allah ne vous défend pas dêtre bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Allah aime les gens équitables. » (Coran, 60:8)
Dans un hadith authentique, Asma bint Abou Bakr rapporte que sa mère, qui était polythéiste, vint lui rendre visite et lui demanda son aide pour une affaire (cela se passait à lépoque du traité de paix entre le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) et les mécréants). Alors elle alla voir le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) pour le consulter à ce sujet et il lui dit de ne point rompre les liens de parenté avec sa mère et dêtre bonne envers elle.
Enfin, le musulman ne doit en aucun cas participer aux fêtes et festivals des mécréants, ni même les féliciter en ces occasions. Cependant, il est bien quil offre ses condoléances lors du décès de lun dentre eux sil juge bon de le faire. Il peut leur dire, par exemple, « je vous offre mes sympathies» ou une autre phrase similaire. Il na pas le droit de dire, en parlant du défunt, « QuAllah lui pardonne » ou « QuAllah lui fasse miséricorde », si le défunt en question était un mécréant, car il nest pas permis de prier pour un mécréant mort. Il peut, cependant, prier pour ceux qui sont vivants et demander à Allah de les guider sur le droit chemin.
À ce sujet, le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) a dit :
« Celui qui guide une personne vers le bien recevra la même récompense que cette personne [pour le bien qui sera fait]. » (Mouslim).
Il a également dit à Ali, lorsquil la envoyé à Khaibar pour y rencontrer des juifs et les inviter à lislam :
« Par Allah ! Si Allah guide une seule personne par ton intermédiaire, cela est meilleur pour toi que les meilleures races de chameaux. » (Boukhari, Mouslim).
Ensuite, le musulman ne doit jamais léser un non-musulman et porter atteinte à sa vie, à ses biens ou à son honneur, surtout si le non-musulman est citoyen dun pays musulman ou sil a conclu un traité de paix quelconque. Il doit toujours respecter ses droits. Il ne doit jamais le voler, le tromper ou lescroquer. Il ne doit jamais lui porter atteinte physiquement, cest-à-dire le battre ou le tuer. La protection que le non-musulman vivant en pays islamique reçoit de lÉtat lui garantit une sécurité contre ce genre de choses.
Troisièmement, rien ninterdit la vente, lachat, la location ou tout autre genre de transactions commerciales avec eux. Il a été rapporté, dans une narration authentique, que le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) achetait certaines choses chez les mécréants polythéistes. Il achetait également chez les juifs. En fait, au moment où le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) a rendu lâme, son bouclier était toujours chez un juif où il lavait déposé en garantie en échange de nourriture pour sa famille.
Quatrièmement, le musulman ne doit pas saluer le mécréant le premier avec la salutation de paix. Cependant, il doit répondre à ses salutations. Le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) a dit :
« Ne saluez pas les juifs et les chrétiens les premiers avec le salam. » (Mouslim).
Il a également dit :
« Si les Gens du Livre vous saluent avec la salutation de paix, alors répondez « wa alaikoum » (vous de même). » (Boukhari).
Un musulman, donc, ne salue pas un non-musulman le premier. Mais lorsquun juif, un chrétien ou un autre type de mécréant le salue, il répond « Vous de même », comme le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) le lui a ordonné.
Le musulman doit également être amical avec ses voisins non-musulmans. Si son voisin est bon avec lui, il ne lui cause aucun tort et il peut même faire preuve de charité à son égard sil est pauvre, ou lui offrir de petits cadeaux sil est riche.
Tout cela peut amener le voisin à vouloir en savoir plus sur lislam ou même à devenir lui-même musulman. Les voisins ont des droits très importants sur nous.
Le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) a dit :
« LAnge Gabriel ma tant prévenu concernant le voisin que jai cru quil finirait par linclure dans lhéritage. » (Boukhari, Mouslim).
Et Allah dit, dans le Coran :
« Allah ne vous défend pas dêtre bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Allah aime les gens équitables. » (Coran, 60:8)
Dans un hadith authentique, Asma bint Abou Bakr rapporte que sa mère, qui était polythéiste, vint lui rendre visite et lui demanda son aide pour une affaire (cela se passait à lépoque du traité de paix entre le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) et les mécréants). Alors elle alla voir le Prophète (paix et bénédictions dAllah soient sur lui) pour le consulter à ce sujet et il lui dit de ne point rompre les liens de parenté avec sa mère et dêtre bonne envers elle.
Enfin, le musulman ne doit en aucun cas participer aux fêtes et festivals des mécréants, ni même les féliciter en ces occasions. Cependant, il est bien quil offre ses condoléances lors du décès de lun dentre eux sil juge bon de le faire. Il peut leur dire, par exemple, « je vous offre mes sympathies» ou une autre phrase similaire. Il na pas le droit de dire, en parlant du défunt, « QuAllah lui pardonne » ou « QuAllah lui fasse miséricorde », si le défunt en question était un mécréant, car il nest pas permis de prier pour un mécréant mort. Il peut, cependant, prier pour ceux qui sont vivants et demander à Allah de les guider sur le droit chemin.