L’opposition égyptienne riposte à la campagne de haine menée contre le Hezbollah

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le hezbollah et le hammas sont des parti terroristes , une menace a la paix et a la la stabilité du Moyen-Orient.

Pourquoi, tu veux être ridicule... ?

Tu t'intéresses à la stabilité du Moyen Orient maintenant.

Le seul obstacle à la stabilité est Israël et les gouvernement occidentaux qui ne cessent de voler les méchants arabes.
 
Le gouvernement égyptien contre le Hezbollah
vendredi 17 avril 2009 - 06h:08

Alain Gresh - Le Monde Diplomatique


Sur le site du Monde (« L’armée israélienne sur ses gardes à la frontière égyptienne », 14 avril) : « L’armée israélienne a été placée en état d’alerte élevé le long de la frontière avec l’Egypte, a annoncé mardi 14 avril un haut responsable de l’Etat hébreu. Les forces de sécurité égyptiennes sont à la recherche de treize hommes soupçonnés d’appartenir au Hezbollah et de préparer des attentats contre les ressortissants israéliens dans le Sinaï. »

Le quotidien revient sur les origines de la crise :

« Les autorités égyptiennes avaient annoncé, mercredi 8 avril, l’arrestation de quarante-neuf personnes liées au Hezbollah et accusées de préparer des attentats en Egypte. Le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah a reconnu que le leader présumé des personnes arrêtées, un Libanais identifié comme Sami Chehab, était bien membre de son mouvement et qu’il se trouvait en “mission logistique” en Egypte afin de faire parvenir du matériel militaire aux Palestiniens de Gaza. »

Dans son discours, dont on trouvera le texte intégral en anglais ci-joint, Hassan Nasrallah rappelle la chronologie des événements :


http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=6469


« Oui, Sami Chehab est un membre du Hezbollah, oui il a participé à une action pour transférer des équipements et aider la résistance à Gaza. Or cette accusation n’est pas reprise par les autorités égyptiennes, qui inventent des mensonges selon lesquels nous viserions des objectifs en Egypte, et même certaines hautes personnalités. Quant au nombre de personnes, pas plus de dix (et non cinquante, comme le dit Le Caire) étaient liées à Sami. »
 
Vu le nombre de morts des deux côtés ,les israéliens n'ont pas perdu la guerre.

On juge le succès ou la défaite d'un conflit à la réalisation des objectifs et non au nombre de victimes.

Si on devait uniquement se baser sur le nombre de victimes alors les USA ont gagné la guerre au Vietnam et l'Union Soviétique a remporté le conflit qui l'opposait aux afghans.

L'Etat major israélien reconnait qu'aucun des objectifs (dont le principal était le désarmement du hezbollah) n'a été atteint. La plupart des analystes militaires reconnaissent qu'israel a subi une débâcle au Liban sud et que cette guerre a été mal menée et mal préparée.

L'échec est donc bel et bien patent
 
de maturité ou de peur des etrangers ?
choisi ton explication.

Impossible de répondre à une réponse aussi absurde...

Moi qui était content de te voir citer Sun Tzu et Clauzewitz croyant que tu savais de quoi tu parlais, je tombe de haut.

En fait tu voulais simplement donner l'impression de savoir de quoi tu parlais histoire d'impressionner petitbijou :D
 
Impossible de répondre à une réponse aussi absurde...

Moi qui était content de te voir citer Sun Tzu et Clauzewitz croyant que tu savais de quoi tu parlais, je tombe de haut.

En fait tu voulais simplement donner l'impression de savoir de quoi tu parlais histoire d'impressionner petitbijou : D

il a encore du fil à retordre, surtout que toutes ses réponses sont ultra super prévisibles ;)
 
Honte à l'Egypte et aux medias Egyptiens pro-gouvernementaux!

HONTE HONTE HONTE!

Comment peuvent-ils appeler à "traduire le secrétaire général du Hezbollah devant la justice internationale, en tant que criminel de guerre" alors qu'ils coopèrent eux même avec des criminels de guerres! (-> Israel)

Un coup d'Etat en Egypte s'impose! Il faut se débarasser du régime corrompu d'Egypte!

mour mener à quoi???
 
L’Egypte et le Hezbollah : des gesticulations sans grand lendemain ?
jeudi 23 avril 2009 - 05h:56

Barah Mikaïl - Confluences
Depuis quelques jours, le torchon brûle entre le président égyptien, Hosni Moubarak, et le Hezbollah libanais. Officiellement, tout serait parti de l’annonce par le procureur de l’Etat égyptien du démantèlement d’une cellule du mouvement en activité dans le pays. Annonce qui ferait elle-même suite à un ensemble d’arrestations intervenues sur le territoire égyptien à partir de décembre 2008 déjà.

Depuis, bien des arrestations sont intervenues à l’encontre de personnes, hommes comme femmes, de nationalités diverses (Egyptiens, Iraniens, Libanais, Palestiniens, Soudanais) soupçonnées d’appartenance au parti libanais. Le tout sur fond de découverte par les autorités d’armes et explosifs divers. Mais dans les faits, il faut bien convenir de ce que ce ne sont là que tentatives de justification de la part du pouvoir, qui dissimulent mal cette envie pressante qu’a Le Caire de court-circuiter le Hezbollah, ses alliés, et leur réintégration politique annoncée.

Evidemment, les explications égyptiennes officielles sont loin de répondre à un mensonge plein et entier. Le Hezbollah dispose effectivement de relais dans la péninsule du Sinaï, chose que son Secrétaire général a lui-même reconnu lors d’un discours en date du 10 avril. Ces mêmes éléments répondent d’ailleurs à une activité réelle, fait tout aussi bien assumé par le mouvement libanais. Mais pour ce qui relève de la suite de l’histoire, il paraît difficile de suivre le raisonnement du pouvoir égyptien.

Le souci du président Hosni Moubarak de ne pas se laisser déborder, ni même parasiter par l’action de formations extra-étatiques et/ou étrangères, est en effet tout ce qu’il y a de plus légitime. Mais cela ne signifie pas pour autant que l’attachement affiché du pouvoir à des motifs d’ordre légaliste et souverain soit le prisme de lecture idoine pour la situation présente. Plus que tout en effet, c’est, une fois encore, la phobie anti-iranienne du président égyptien qui semble motiver ces violentes sorties d’une grande partie des classes politique et médiatique égyptiennes à l’encontre du Hezbollah.

Il y a quatre ans déjà, l’Egypte n’avait pas hésité à joindre sa voix à celles de l’Arabie Saoudite et de la Jordanie afin de faire valoir ses craintes devant la constitution - hypothétique - d’un « croissant chiite » régional au départ de l’Irak, et qui aurait l’Iran pour chef de file. Qui plus est, depuis, on ne compte plus le nombre de déclarations proférées par Le Caire afin de dénoncer ce qui était présenté comme une vague significative de conversions au chiisme de la part de certains citoyens égyptiens. Le tout, sans oublier que l’Egypte n’aurait pas vu d’un mauvais œil une défaite du Hezbollah face à Israël lors de la guerre israélo-libanaise de l’été 2006, ni même un affaissement du Hamas suite à l’offensive israélienne à l’encontre de la bande de Gaza, en décembre et janvier derniers.

De son point de vue en effet, ces deux formations, ainsi que la Syrie, sont pleinement soumises aux desiderata de l’Iran. Il conviendrait, dès lors, de mettre fin à leurs capacités d’action dans la région. C’est d’ailleurs cette même situation qui explique probablement, en partie à tout le moins, pourquoi le président Hosni Moubarak n’a pas daigné participer au 21ème sommet de la Ligue arabe à Doha, en mars dernier.

http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=6492 .
 
Les accusés de la "cellule du Hezbollah" plaident non coupable

Vingt-deux hommes accusés d'avoir projeté des attentats en Egypte pour le compte du Hezbollah libanais ont plaidé non coupable dimanche, à l'ouverture de leur procès devant la cour de sûreté de l'Etat, certains accusant la police d'actes de torture.

Les inculpés, en tenue blanche, debout dans une cage, ont récusé les accusations selon lesquelles ils ont fomenté des assassinats, projeté des attentats contre des sites touristiques et des navires empruntant le Canal de Suez, espionné au profit d'une organisation terroriste et détenu des armes.

Certains ont affirmé lors de l'audience publique avoir été torturés en détention, l'un des inculpés lançant au juge: "Si vous ne nous croyez pas, vous n'avez qu'à regarder nos corps".

"Nous sommes à tes ordres, Nasrallah"

Un accusé a également lancé: "Nous sommes à tes ordres, Nasrallah", en se référant manifestement à Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah libanais. Hassan Nasrallah avait admis en avril que Mohammed Youssef Mansour, l'un des inculpés, était un agent du Hezbollah qui avait pour mission d'introduire des armes à Gaza.

Les audiences doivent reprendre le 24 octobre.

Vingt-six personnes au total -deux Libanais, cinq Palestiniens et 19 Egyptiens- sont inculpées pour leur participation à cette "cellule du Hezbollah". Quatre sont en fuite, dont le cerveau présumé du groupe, le Libanais Mohammed Qoublan.

Impossibilité de faire appel

Les suspects jugés par les cours de sûreté de l'Etat, créés par la loi sur l'Etat d'urgence promulgué en 1981, ne peuvent pas faire appel.

Leur arrestation en avril avait crispé les relations entre l'Egypte, à majorité sunnite, et l'Iran, soutien du Hezbollah chiite, le Caire accusant Téhéran d'utiliser ce mouvement pour prendre pied en Egypte.

Jeune Afrique
 
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