Une analyse d'un frère musulman qui mérite d'être posté ici...
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I. A. Nul n'est censé ignorer que la société occidentale a suivi un processus complexe au niveau de son développement dès lors qu'elle a aboli l'ordre religieux. La question de la femme est centrale dans ce processus. Il est aussi inutile de rappeler que la composante fondamentale de la société est la cellule familiale. Cette cellule pose la base de la relation entre l'homme et la femme. Or les grands récits idéologiques marxistes et féministes anglo-saxons ont oeuvré à détruire cette composante. Engels considère dans L'origine de la famille, que la première relation d'esclavage s'est établie dans la relation conjugale, pour démontrer, d'après lui, que c'est une lutte d'ordre naturel. Quant aux courants féministes, ils considèrent que les différences biologiques et physiologiques entre l'homme et la femme ne doivent avoir aucune considération. Les rôles de l'homme et de la femme dans la société doivent être les mêmes. Les médias aidant, ces idéologies ont été portées à leur paroxysme dans le cadre de vie occidental jusqu'à devenir des vérités irréfutables. Il reste à justifier pourquoi ces sociétés sont devenues hybrides, il faut comprendre ici "hybride" dans le sens d'anormalement constitué. L'abolition de la famille est un processus en cours de réalisation. Malgré les tentatives de recompositions jusqu'à étendre sa portée aux couples homosexuels, la famille vit un cuisant échec . Il suffit de se référer à ce qu'ont écrit D. Lensel et J. Lafond dans La famille à venir, une réalité menacée mais nécessaire, pour constater les dégâts produits par ce système de valeur.
I. B. En faisant fi des différences qui existent entre l'homme et la femme, que ce soit au niveau physique ou psychique, la mentalité de l'occidental moyen a été gavée par cette contrevérité. Il suffit de lire, Brain Sex, un ouvrage de référence dans ce domaine, pour se rendre compte de l'aberration de cette idéologie. Car il s'agit bien d'une idéologie, c'est pour cette raison que je parle d'égalitarisme et non d'égalité. Il faut se rendre à l'évidence l'homme et la femme ne sont pas constitués de la même manière ce qui a pour conséquence qu'ils ne doivent pas forcément avoir les mêmes rôles dans la société. Il y a des spécificités propres à l'homme et dautres propres à la femme dont ils ne peuvent se dégager. Le fait de tenter de faire d'une femme un homme ou inversement ne peut que donner des résultats catastrophiques. Le cas de "la femme émancipée" est devenu l'arme fatale pour asservir la femme, non pas à l'homme comme le croient certains, mais au système matérialiste.
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I. A. Nul n'est censé ignorer que la société occidentale a suivi un processus complexe au niveau de son développement dès lors qu'elle a aboli l'ordre religieux. La question de la femme est centrale dans ce processus. Il est aussi inutile de rappeler que la composante fondamentale de la société est la cellule familiale. Cette cellule pose la base de la relation entre l'homme et la femme. Or les grands récits idéologiques marxistes et féministes anglo-saxons ont oeuvré à détruire cette composante. Engels considère dans L'origine de la famille, que la première relation d'esclavage s'est établie dans la relation conjugale, pour démontrer, d'après lui, que c'est une lutte d'ordre naturel. Quant aux courants féministes, ils considèrent que les différences biologiques et physiologiques entre l'homme et la femme ne doivent avoir aucune considération. Les rôles de l'homme et de la femme dans la société doivent être les mêmes. Les médias aidant, ces idéologies ont été portées à leur paroxysme dans le cadre de vie occidental jusqu'à devenir des vérités irréfutables. Il reste à justifier pourquoi ces sociétés sont devenues hybrides, il faut comprendre ici "hybride" dans le sens d'anormalement constitué. L'abolition de la famille est un processus en cours de réalisation. Malgré les tentatives de recompositions jusqu'à étendre sa portée aux couples homosexuels, la famille vit un cuisant échec . Il suffit de se référer à ce qu'ont écrit D. Lensel et J. Lafond dans La famille à venir, une réalité menacée mais nécessaire, pour constater les dégâts produits par ce système de valeur.
I. B. En faisant fi des différences qui existent entre l'homme et la femme, que ce soit au niveau physique ou psychique, la mentalité de l'occidental moyen a été gavée par cette contrevérité. Il suffit de lire, Brain Sex, un ouvrage de référence dans ce domaine, pour se rendre compte de l'aberration de cette idéologie. Car il s'agit bien d'une idéologie, c'est pour cette raison que je parle d'égalitarisme et non d'égalité. Il faut se rendre à l'évidence l'homme et la femme ne sont pas constitués de la même manière ce qui a pour conséquence qu'ils ne doivent pas forcément avoir les mêmes rôles dans la société. Il y a des spécificités propres à l'homme et dautres propres à la femme dont ils ne peuvent se dégager. Le fait de tenter de faire d'une femme un homme ou inversement ne peut que donner des résultats catastrophiques. Le cas de "la femme émancipée" est devenu l'arme fatale pour asservir la femme, non pas à l'homme comme le croient certains, mais au système matérialiste.
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