Bonjour
Scandale à Ni ***** Ni Soumises
Un mystérieux mail dénonce les abus de Sihem Habchi, présidente du mouvement.
Huit salariés sont en grève et toute une gestion est mise en cause.
Des militantes témoignent
Cest la grève à Ni ***** Ni Soumises (NPNS).
Mais personne ne doit le savoir, ni les militants, et encore moins les journalistes.
Alors
non rien à dire
"on ne communique pas".
Trois cents mètres carrés de locaux au milieu du 20ème arrondissement de la capitale
et rien que huit grévistes attablés au milieu dune salle quasi-déserte, saffolent
à lidée que laffaire sébruite. Derrière eux, comme tenues à lécart du secret,
des jeunes filles en service civil planchent dans des salles aux portes closes
Les salariés, Gabrielle Apfelbaum, directrice de la communication,
Fanny Derenne, coordinatrice du mouvement, Jean-François Laloué,
responsable des comités, sorganisent des assemblées générales chaque jour,
qui se tiennent depuis vendredi dernier entre les murs blancs et rose fushia
de lassociation. Le bureau de la comptabilité est fermé à clef.
Celui de la présidente aussi. Sihem Habchi se terre quelque part.
Lassociation de défense des femmes violentées, aussi puissante
que controversée, est aujourdhui en roue libre. Que se passe-t-il ?
"Nous sommes grévistes, mais cette situation se gère avec les instances dirigeantes", assène-t-on en chur. Et circulez, ya rien à voir :
"Cest la fin de notre entretien. On vous raccompagne ?".
Pas un mot donc sur le mystérieux "corbeau", un certain "Harry Potter", auteur dun mail incendiaire sur la gestion de lassociation.
Des frais de bouche "scandaleux"
Scandale à Ni ***** Ni Soumises
Un mystérieux mail dénonce les abus de Sihem Habchi, présidente du mouvement.
Huit salariés sont en grève et toute une gestion est mise en cause.
Des militantes témoignent
Cest la grève à Ni ***** Ni Soumises (NPNS).
Mais personne ne doit le savoir, ni les militants, et encore moins les journalistes.
Alors
non rien à dire
"on ne communique pas".
Trois cents mètres carrés de locaux au milieu du 20ème arrondissement de la capitale
et rien que huit grévistes attablés au milieu dune salle quasi-déserte, saffolent
à lidée que laffaire sébruite. Derrière eux, comme tenues à lécart du secret,
des jeunes filles en service civil planchent dans des salles aux portes closes
Les salariés, Gabrielle Apfelbaum, directrice de la communication,
Fanny Derenne, coordinatrice du mouvement, Jean-François Laloué,
responsable des comités, sorganisent des assemblées générales chaque jour,
qui se tiennent depuis vendredi dernier entre les murs blancs et rose fushia
de lassociation. Le bureau de la comptabilité est fermé à clef.
Celui de la présidente aussi. Sihem Habchi se terre quelque part.
Lassociation de défense des femmes violentées, aussi puissante
que controversée, est aujourdhui en roue libre. Que se passe-t-il ?
"Nous sommes grévistes, mais cette situation se gère avec les instances dirigeantes", assène-t-on en chur. Et circulez, ya rien à voir :
"Cest la fin de notre entretien. On vous raccompagne ?".
Pas un mot donc sur le mystérieux "corbeau", un certain "Harry Potter", auteur dun mail incendiaire sur la gestion de lassociation.
Des frais de bouche "scandaleux"