On découvre aussi que ces recherches extrêmement dangereuses visaient à améliorer les propriétés pathogènes de la peste, de l’anthrax, de la tularémie, du choléra et d’autres maladies mortelles. Parmi les priorités identifiées figure aussi l’étude des pathogènes bactériens et viraux pouvant être transmis des chauves-souris à l’homme, tels que les pathogènes de la peste, de la leptospirose, de la brucellose, ainsi que des coronavirus… Des coronavirus de chauve-souris ? Cela ne nous rappelle rien ? Ajoutons qu’
un programme militaire intitulé « Covid-19 » fut financé en novembre 2019, soit trois mois avant que l’OMS donne ce nom à une pandémie mondiale qui n’a pas fini de faire parler d’elle. Simple coïncidence ?
Quoi qu’il en soit, il ne fait aucun doute que la population civile et les soldats ukrainiens servent de cobayes depuis des années aux militaires américains, avec la complicité de Kiev. De plus, ces armes biologiques nous menacent directement, car qui peut garantir que ces virus mortels s’arrêteront à nos frontières ? Que font la Commission européenne et nos gouvernements pour nous protéger de cette menace ?
Le pays des néonazis
L’agence Reuters évalue à plus de 100 000 ce que certains appellent les « nationalistes intégraux » ou
néonazis. Qu’ils se regroupent sous les noms d’Azov, Aïdar, C14, etc., ils empoisonnent la vie des Ukrainiens depuis 2014, et pas seulement des minorités russophones, magyares, juives, roms, LGBT… Ils ont notamment participé aux plus de 14 000 tués du Donbass, situation qui revêt les caractéristiques du génocide au sens de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948. Des témoignages révèlent, d’ailleurs, que ces bataillons de la mort percevaient jusqu’à 10 000 $ pour le meurtre ou la capture de tout séparatiste. Un bon business dans un pays dont on ne cesse de nous vendre les valeurs… démocratiques et progressistes.
Ils n’hésitent pas non plus à entrer armés dans les tribunaux pour menacer les juges, dans les administrations pour contraindre les maires et les gouverneurs. Ils obligent même certaines municipalités à les payer comme miliciens pour assurer la… sécurité des citoyens. Puisque l’Ukraine est aussi le pays sans justice, comme nous le verrons ci-dessous, ils ont tous les droits, dont le meurtre, le viol, la torture, le braquage, le racket, etc. Bien sûr, avec la complicité de la police.
Et lorsque le bataillon Aïdar est dissous par les autorités en 2016, ses membres bloquent une artère de Kiev et tentent de prendre d’assaut le ministère de l’Intérieur. Après un tel acte, on imagine que les peines de prison furent sévères… Que nenni ! L’ordre de dissolution est annulé et ils sont intégrés aux forces armées ukrainiennes, comme les autres bataillons néonazis après les accords de Minsk, puis envoyés commettre leurs crimes dans le Donbass.
De ce fait, ils deviennent nos alliés, puisque l’Occident s’est allié à l’Ukraine à la vie à la mort (surtout celle des Ukrainiens, en tout cas pour commencer…).