j'aime pas mettre les versets en français mais comme vous ne comprenez pas l'arabe ...
Sourate Al-baqara :
2.228. Les femmes divorcées sont tenues dobserver un délai dattente de trois périodes menstruelles. Il leur est interdit de dissimuler les germes de maternité que Dieu a pu déposer en leur sein, pour peu quelles croient en Dieu et au Jour dernier. Durant cette attente, les maris ont un droit prioritaire à reprendre leurs épouses, sils désirent se réconcilier. Les épouses ont autant de droits que de devoirs quil faut respecter suivant le bon usage, bien quune certaine préséance reste acquise aux maris. Dieu est Puissant et Sage.
2.229. La répudiation ne peut être prononcée que deux fois. En cas de reprise : ou on garde sa femme et on la traite avec égards, ou on lui rend sa liberté sans lui causer aucun préjudice. Il nest pas permis au mari de reprendre quoi que ce soit de la dot quil lui avait donnée, à moins que les deux conjoints ne craignent doutrepasser les limites que Dieu a fixées en continuant à vivre ensemble. Si pareilles craintes existent, il ny aura aucun inconvénient à ce que la femme rachète sa liberté au mari. Telles sont les limites établies par Dieu. Ne les transgressez pas, car cest faire preuve dinjustice que de les transgresser.
2.230. Si le mari répudie une troisième fois sa femme, il ne lui est plus permis de la reprendre que lorsquelle aura épousé un autre homme, et que ce dernier laura, à son tour, répudiée. Cest à cette condition que les anciens époux pourront, sans tomber dans le péché, se remarier, sils pensent pouvoir respecter les prescriptions divines
2.231. Lorsque la femme répudiée arrive au terme de sa retraite légale (Idda), le mari devra soit la reprendre dune manière convenable, soit la libérer décemment. Il lui est interdit de la retenir contre son gré avec lintention de lui nuire. Agir ainsi, cest se faire du tort à soi-même. Ne prenez pas à la légère les enseignements de Dieu, mais rappelez-vous plutôt les bienfaits dont Il vous a comblés, ainsi que le Livre et la Sagesse quIl vous a révélés pour vous exhorter. Craignez Dieu ! Sachez quIl connaît tout !
2.232. Lorsque la femme que vous avez répudiée a accompli sa retraite, ne lempêchez pas de revenir à son ex-mari, si tous les deux lont honnêtement décidé. Ce conseil sadresse à ceux dentre vous qui croient en Dieu et au Jour dernier. Cela est plus sain et plus honnête pour vous, car seul Dieu sait ce qui vous convient, et vous, vous ne le savez pas.
2.236. Aucun grief ne vous sera fait si vous répudiez une femme avec laquelle vous naurez pas cohabité, et à laquelle vous naurez pas fixé de dot . Faites-lui cependant, à titre de consolation, et de la manière la plus convenable, un présent dont limportance variera selon que vous serez riche ou pauvre. Cest là une obligation pour les gens disposés à faire le bien.
2.237. Si vous répudiez une femme sans avoir consommé le mariage, mais après avoir fixé sa dot, la moitié de celle-ci devra lui être versée, à moins quelle nen fasse remise elle-même ou son représentant. Mais il est méritoire de se montrer conciliant de part et dautre. Noubliez pas duser de bonté et de générosité les uns envers les autres, car rien de ce que vous faites néchappe au Seigneur.
2.241. Les femmes répudiées ont droit à un pécule convenable. Le leur assurer est un devoir pour ceux qui craignent le Seigneur.
Sourate Al-baqara :
2.228. Les femmes divorcées sont tenues dobserver un délai dattente de trois périodes menstruelles. Il leur est interdit de dissimuler les germes de maternité que Dieu a pu déposer en leur sein, pour peu quelles croient en Dieu et au Jour dernier. Durant cette attente, les maris ont un droit prioritaire à reprendre leurs épouses, sils désirent se réconcilier. Les épouses ont autant de droits que de devoirs quil faut respecter suivant le bon usage, bien quune certaine préséance reste acquise aux maris. Dieu est Puissant et Sage.
2.229. La répudiation ne peut être prononcée que deux fois. En cas de reprise : ou on garde sa femme et on la traite avec égards, ou on lui rend sa liberté sans lui causer aucun préjudice. Il nest pas permis au mari de reprendre quoi que ce soit de la dot quil lui avait donnée, à moins que les deux conjoints ne craignent doutrepasser les limites que Dieu a fixées en continuant à vivre ensemble. Si pareilles craintes existent, il ny aura aucun inconvénient à ce que la femme rachète sa liberté au mari. Telles sont les limites établies par Dieu. Ne les transgressez pas, car cest faire preuve dinjustice que de les transgresser.
2.230. Si le mari répudie une troisième fois sa femme, il ne lui est plus permis de la reprendre que lorsquelle aura épousé un autre homme, et que ce dernier laura, à son tour, répudiée. Cest à cette condition que les anciens époux pourront, sans tomber dans le péché, se remarier, sils pensent pouvoir respecter les prescriptions divines
2.231. Lorsque la femme répudiée arrive au terme de sa retraite légale (Idda), le mari devra soit la reprendre dune manière convenable, soit la libérer décemment. Il lui est interdit de la retenir contre son gré avec lintention de lui nuire. Agir ainsi, cest se faire du tort à soi-même. Ne prenez pas à la légère les enseignements de Dieu, mais rappelez-vous plutôt les bienfaits dont Il vous a comblés, ainsi que le Livre et la Sagesse quIl vous a révélés pour vous exhorter. Craignez Dieu ! Sachez quIl connaît tout !
2.232. Lorsque la femme que vous avez répudiée a accompli sa retraite, ne lempêchez pas de revenir à son ex-mari, si tous les deux lont honnêtement décidé. Ce conseil sadresse à ceux dentre vous qui croient en Dieu et au Jour dernier. Cela est plus sain et plus honnête pour vous, car seul Dieu sait ce qui vous convient, et vous, vous ne le savez pas.
2.236. Aucun grief ne vous sera fait si vous répudiez une femme avec laquelle vous naurez pas cohabité, et à laquelle vous naurez pas fixé de dot . Faites-lui cependant, à titre de consolation, et de la manière la plus convenable, un présent dont limportance variera selon que vous serez riche ou pauvre. Cest là une obligation pour les gens disposés à faire le bien.
2.237. Si vous répudiez une femme sans avoir consommé le mariage, mais après avoir fixé sa dot, la moitié de celle-ci devra lui être versée, à moins quelle nen fasse remise elle-même ou son représentant. Mais il est méritoire de se montrer conciliant de part et dautre. Noubliez pas duser de bonté et de générosité les uns envers les autres, car rien de ce que vous faites néchappe au Seigneur.
2.241. Les femmes répudiées ont droit à un pécule convenable. Le leur assurer est un devoir pour ceux qui craignent le Seigneur.