La star du raï Cheb Mami, accusé de violences, arrêté à Orly

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion FPP75
  • Date de début Date de début
Pourquoi ?

C'est comme les violeurs, en général ils ne sont pas mélangé avec d'autres prisonniers...

oui mais là tu compares deux choses différentes
on ne mélange pas les gens c normal quand les faits sont différents (plus graves ou moins graves)
mais là on parle de VIP

c koi la différence entre un "vip" violeur et un violeur lambda? tu peux m 'éclairer:rolleyes:
 
A son procès, Cheb Mami craque et reconnaît "sa faute" mais se dit "piégé"

La star franco-algérienne du raï Cheb Mami, 42 ans, accusé de tentative d'avortement forcé sur son ex-compagne, a reconnu sa responsabilité, avouant dans des sanglots "sa faute grave", mais dit avoir été "piégé", jeudi lors de son procès devant le tribunal correctionnel de Bobigny.


Cheb Mami, chemisette blanche, a fait son entrée le visage fermé, jeudi matin dans la salle d'audience du tribunal correctionnel de Bobigny, en banlieue parisienne. Le chanteur a conversé avec ses conseils, lançant des regards aux nombreux journalistes assis au fond de la salle.

Ecroué à la prison de la Santé à Paris depuis lundi après deux années de fuite en Algérie, Cheb Mami, Mohamed Khelifati à l'état civil, encourt dix ans de prison et 150.000 euros d'amende.

Il lui est notamment reproché des "violences" avec des circonstances aggravantes en 2005 sur une photographe de presse de 43 ans, avec laquelle il entretenait une liaison.

Jugé à Bobigny, Cheb Mami dit s'être senti "piégé" par son entourage
Procès de Cheb Mami: la star du raï dit s'être senti "piégé" par son entourage
Le chanteur Cheb Mami jugé à Bobigny pour tentative d'avortement
lire la suite En août 2005, Camille -le prénom a été changé à la demande de la victime - affirme avoir été amenée de force dans une villa à Alger après qu'elle eut annoncé sa grossesse au chanteur. Elle dit y avoir été droguée et séquestrée, affirmant que deux femmes et un homme ont tenté de lui faire un curetage. Elle a finalement donné naissance à une fillette aujourd'hui âgée de trois ans.

"J'ai été insultée +sale chienne ******, t'as fauté+. Ils m'ont balancée sur le matelas et m'ont arraché le pantalon. Il y avait deux femmes à califourchon. On m'a fait trois piqûres, une (femme) appuyait sur mon ventre et l'autre me mettait la main dans le vagin et grattait", raconte Camille à la barre.

Quand le président du tribunal, Jean-Dominique Launay, relit au chanteur une conversation entre lui et la victime, enregistrée par la police en novembre 2005 et où il reconnaissait avoir assisté à la scène d'avortement forcé, celui-ci craque.

"J'étais dépassé", dit-il en sanglots. "C'est contraire à mes principes, à ma religion. Je n'arrive pas à l'expliquer. J'ai fait une faute, c'est grave, le cauchemar. Je n'étais pas dans la villa mais je savais ce qui se passait", déclare Mami.

- Pourquoi le reconnaissez-vous aujourd'hui après l'avoir nié ? lui demande M. Launay.

- C'était un secret, c'était mon secret jusqu'à maintenant", dit-il, en pleurant toujours.

Malgré un flot d'incohérences et de contradictions, Cheb Mami va s'en tenir à sa ligne de défense. "J'ai été piégé", répète-t-il

"Le fait que vous soyez au courant montre que vous êtes partie prenante dans cette affaire", lui rétorque M. Launay.

"C'était l'idée de Michel" Lecorre (Maurice Lévy, son ex-manager et co-accusé), se défend Cheb Mami. "J'ai accepté dans la panique. S'il n'avait pas proposé cette possibilité je n'aurais jamais pensé à ça. Mais je n'ai rien fait pour l'arrêter", poursuit-il.

"C'était la honte pour moi d'avoir un fils ou une fille illégitime, un enfant ça se fait à deux. Je ne voulais pas de cet enfant", tente d'expliquer le chanteur.

Dans la matinée, le tribunal avait procédé à l'examen de la personnalité de celui qui fut le premier et seul chanteur de raï à remplir Bercy. D'après le rapport d'expertise, Cheb Mami "ne présente aucun trouble de personnalité".

Incarcéré pendant trois mois à Paris, le chanteur avait été libéré après le versement d'une caution de 200.000 euros, avant de s'enfuir ensuite en Algérie en mai 2007.

Les réquisitions sont prévues en fin de journée. Le jugement peut être rendu immédiatement ou mis en délibéré.
 
Sept ans de prison ont été requis jeudi soir contre le chanteur de raï qui a reconnu pour la première fois, jeudi, devant le tribunal correctionnel de Bobigny, avoir été au courant que son entourage organisait l'avortement forcé de son ex-compagne.

Cheb Mami, c'est l'homme qui se cache. Derrière sa main, le buste secoué de hoquets qui voudraient ressembler à de brefs sanglots. Derrière ses trois coprévenus, Michel Lévy, son manager, Hicham Lazaar, collaborateur de celui-ci, Abdelkader Lallali, son homme de main en Algérie. Les deux derniers ne sont pas venus affronter le tribunal correctionnel de Bobigny, où la star déchue du raï revenu d'Algérie lundi pour se constituer prisonnier et celui qui gérait sa carrière répondent d'une tentative d'avortement clandestin sur Camille*, enceinte du chanteur.

Elle, elle ne se défile pas. Droite au micro, trench gris et longue écharpe anis, cette photographe raconte bravement la nuit du 28 au 29 août 2005. Elle vient d'arriver à Alger avec sa première fille, âgée de 3 ans, qu'elle confie à une amie. M. Lazaar l'a accueillie à l'aéroport. Puis, étourdie par un jus d'orange drogué, elle est convoyée par M. Lallali dans une villa appartenant à Cheb Mami. Insultée par la brute, elle est livrée à deux avorteuses qui, toute la nuit, s'acharnent sur elle.

De retour à Paris, elle raconte dès le 1er septembre à plusieurs amis ce qu'elle a subi. Un examen gynécologique accrédite son récit mais, à sa grande surprise, une échographie révèle que le bébé est bien vivant. Un «miracle» qui ne s'explique que par une particularité morphologique de la victime. Dans un premier temps, elle refuse de porter plainte : «J'avais peur, explique-t-elle, j'imaginais le pire pour moi et ma fille. Et puis je ne voulais pas que le bébé sache comment il avait commencé sa vie…» Camille affirme avoir été menacée à plusieurs reprises par Cheb Mami et son entourage de voir sa fille kidnappée si elle ne se pliait pas au diktat du chanteur qui ne voulait pas de l'enfant qu'elle portait.

Défense abracadabrante

Dans le box, l'artiste est pathétique : «J'ai été piégé, ressasse-t-il, par Camille, par Michel, par Kader…» Défense abracadabrante, tant le dossier l'accable, tout comme d'ailleurs il confond son manager. Le président Jean-Dominique Launay, doté d'un tact implacable, mène l'audience avec efficacité, rappelant les déclarations des deux hommes. Il lit ainsi la transcription d'une écoute téléphonique entre Camille et Cheb Mami. Alors que la jeune femme dépose au commissariat, le chanteur l'appelle, refusant d'admettre que la boucherie d'Alger n'a pas mis fin à la grossesse. Les policiers l'entendent : «Le sang, je l'ai vu, chez moi, ils t'ont grattée avec les doigts, on a rentré les cinq mains, euh, les cinq doigts, on a apporté un truc qui ressemble à un foie. T'es une malade, y'a plus de bébé !»

Cheb Mami : «J'ai fait une faute».

Le président : «Ce n'est plus une faute, à ce niveau-là…»

Cheb Mami, la main sur le front comme, autrefois, les acteurs mimant, au boulevard, l'évanouissement : «Qu'est-ce que j'ai fait ? Qu'est-ce qui s'est passé ?»

Il reprend ses esprits et charge à nouveau M. Lévy. Le président lit la cinquième déposition de celui-ci, lors de la garde à vue : «On a pensé profiter d'un reportage pour pratiquer un avortement. Cheb Mami a trouvé l'idée intéressante. Mon rôle était d'organiser le voyage, de faire en sorte que Camille n'ait aucun soupçon. Je maintiens que Cheb Mami est l'instigateur des faits. Je ne voulais pas envoyer Camille vers ses tortionnaires (sic).» Aujourd'hui, arrogant, il déclare au président : «Je ne savais pas qu'elle était enceinte.» Le magistrat, navré : «Ce n'est guère que votre neuvième version.»

Le jugement pourrait être rendu vendredi.
 
Sept ans de prison ont été requis jeudi par le procureur du tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) contre la star franco-algérienne du raï Cheb Mami, 42 ans, accusé de tentative d'avortement forcé de son ex-compagne. Son maintien en détention a également été demandé.

Le procureur Ophélie Champeaux a par ailleurs requis six ans de prison et un mandat de dépôt contre Michel Lecorre (Maurice Lévy, l'ex-manager de Cheb Mami). Au cours de son réquisitoire, Mme Champeaux a qualifié le chanteur et son ex-impresario de "co-organisateurs" de "violences d'un autre âge".

Ecroué à la prison de la Santé à Paris depuis lundi après deux années de fuite en Algérie, Cheb Mami, Mohamed Khelifati à l'état-civil, encourt dix ans de prison et 150.000 euros d'amende. Il lui est notamment reproché des "violences" avec des circonstances aggravantes en 2005 à l'encontre d'une photographe de presse de 43 ans avec laquelle il entretenait une liaison.

Durant l'audience de jeudi, Cheb Mami a reconnu sa responsabilité, avouant en sanglots "sa faute grave", mais avait dit avoir été "piégé". "J'étais dépassé", a-t-il dit en sanglots. "C'est contraire à mes principes, à ma religion. Je n'arrive pas à l'expliquer. J'ai fait une faute, c'est grave, le cauchemar. Je n'étais pas dans la villa mais je savais ce qui se passait", a-t-il déclaré. "C'était l'idée de Michel" Lecorre, s'est défendu Cheb Mami. "J'ai accepté dans la panique. S'il n'avait pas proposé cette possibilité je n'aurais jamais pensé à ça. Mais je n'ai rien fait pour l'arrêter", a-t-il poursuivi. (afp)
02/07/09 21h38
 
Sept ans de prison ont été requis jeudi soir contre le chanteur de raï qui a reconnu pour la première fois, jeudi, devant le tribunal correctionnel de Bobigny, avoir été au courant que son entourage organisait l'avortement forcé de son ex-compagne.

Cheb Mami, c'est l'homme qui se cache. Derrière sa main, le buste secoué de hoquets qui voudraient ressembler à de brefs sanglots. Derrière ses trois coprévenus, Michel Lévy, son manager, Hicham Lazaar, collaborateur de celui-ci, Abdelkader Lallali, son homme de main en Algérie. Les deux derniers ne sont pas venus affronter le tribunal correctionnel de Bobigny, où la star déchue du raï revenu d'Algérie lundi pour se constituer prisonnier et celui qui gérait sa carrière répondent d'une tentative d'avortement clandestin sur Camille*, enceinte du chanteur.

Elle, elle ne se défile pas. Droite au micro, trench gris et longue écharpe anis, cette photographe raconte bravement la nuit du 28 au 29 août 2005. Elle vient d'arriver à Alger avec sa première fille, âgée de 3 ans, qu'elle confie à une amie. M. Lazaar l'a accueillie à l'aéroport. Puis, étourdie par un jus d'orange drogué, elle est convoyée par M. Lallali dans une villa appartenant à Cheb Mami. Insultée par la brute, elle est livrée à deux avorteuses qui, toute la nuit, s'acharnent sur elle.

De retour à Paris, elle raconte dès le 1er septembre à plusieurs amis ce qu'elle a subi. Un examen gynécologique accrédite son récit mais, à sa grande surprise, une échographie révèle que le bébé est bien vivant. Un «miracle» qui ne s'explique que par une particularité morphologique de la victime. Dans un premier temps, elle refuse de porter plainte : «J'avais peur, explique-t-elle, j'imaginais le pire pour moi et ma fille. Et puis je ne voulais pas que le bébé sache comment il avait commencé sa vie…» Camille affirme avoir été menacée à plusieurs reprises par Cheb Mami et son entourage de voir sa fille kidnappée si elle ne se pliait pas au diktat du chanteur qui ne voulait pas de l'enfant qu'elle portait.

Défense abracadabrante

Dans le box, l'artiste est pathétique : «J'ai été piégé, ressasse-t-il, par Camille, par Michel, par Kader…» Défense abracadabrante, tant le dossier l'accable, tout comme d'ailleurs il confond son manager. Le président Jean-Dominique Launay, doté d'un tact implacable, mène l'audience avec efficacité, rappelant les déclarations des deux hommes. Il lit ainsi la transcription d'une écoute téléphonique entre Camille et Cheb Mami. Alors que la jeune femme dépose au commissariat, le chanteur l'appelle, refusant d'admettre que la boucherie d'Alger n'a pas mis fin à la grossesse. Les policiers l'entendent : «Le sang, je l'ai vu, chez moi, ils t'ont grattée avec les doigts, on a rentré les cinq mains, euh, les cinq doigts, on a apporté un truc qui ressemble à un foie. T'es une malade, y'a plus de bébé !»

Cheb Mami : «J'ai fait une faute».

Le président : «Ce n'est plus une faute, à ce niveau-là…»

Cheb Mami, la main sur le front comme, autrefois, les acteurs mimant, au boulevard, l'évanouissement : «Qu'est-ce que j'ai fait ? Qu'est-ce qui s'est passé ?»

Il reprend ses esprits et charge à nouveau M. Lévy. Le président lit la cinquième déposition de celui-ci, lors de la garde à vue : «On a pensé profiter d'un reportage pour pratiquer un avortement. Cheb Mami a trouvé l'idée intéressante. Mon rôle était d'organiser le voyage, de faire en sorte que Camille n'ait aucun soupçon. Je maintiens que Cheb Mami est l'instigateur des faits. Je ne voulais pas envoyer Camille vers ses tortionnaires (sic).» Aujourd'hui, arrogant, il déclare au président : «Je ne savais pas qu'elle était enceinte.» Le magistrat, navré : «Ce n'est guère que votre neuvième version.»

Le jugement pourrait être rendu vendredi.
 
c'est pas grave il aura assez temps pour preparer des nouvels albums (ala alala, alala , j'ai pas le temps mon esprite et ailleur, alal alala a lala a lalala labnae hajou o sabou la liberté hay wa3di hasbou kolchi salhal mabkachi la3kel hay wadi...)

Une pensée à mister Cheb mami mon chanteur preféré entre 1999 et 2003
 
c'est pas grave il aura assez temps pour preparer des nouvels albums (ala alala, alala , j'ai pas le temps mon esprite et ailleur, alal alala a lala a lalala labnae hajou o sabou la liberté hay wa3di hasbou kolchi salhal mabkachi la3kel hay wadi...)

Une pensée à mister Cheb mami mon chanteur preféré entre 1999 et 2003

wé et l(histoire des 5 doigts et du sang ca fait oublier les chansonnette
 
Une star d’une nation comme l’Algérie pays riche laisser à l’abondant
C’est triste l’ambassade d’Algérie il aurait du négocier
Voir mettre des avocats de marque pour le défendre par principe
y pas crime, mais matraquage d’un arabe simplement.
 
Une star d’une nation comme l’Algérie pays riche laisser à l’abondant
C’est triste l’ambassade d’Algérie il aurait du négocier
Voir mettre des avocats de marque pour le défendre par principe
y pas crime, mais matraquage d’un arabe simplement.

S'il y a pas de crime, il sera libéré.
Et pourquoi devrait-il se faire offrir un avocat alors qu'il est riche à souhait ?

Perso je préférerais que l'ambassade algérienne s'offre les services d'un avocat pour attaquer la police française qui a tué au début de ce mois un pauvre retraité algérien.

Mami peut se défendre tout seul

yom wara yom
 
Nawal Zoghbi tu connais????

celle qui se dehanchais pour Wael Kafouri

Labass 3la 9albek

gallik lli dar8a b yeddi8 yefk8a b'senni8

ah oui oui wili hetta ana ma zala maklouba,

oui je connais dik l poupéa, elle était belle avant de gonfler ses lèvres :D

j'aime son duo avec samira bensaid dialna, je n'étais trés fan de mami, mais j'aime bien ses chansons.

Mais wallah, je suis quand même triste pr ce qui lui arrive.
 
ah oui oui wili hetta ana ma zala maklouba,

oui je connais dik l poupéa, elle était belle avant de gonfler ses lèvres :D

j'aime son duo avec samira bensaid dialna, je n'étais trés fan de mami, mais j'aime bien ses chansons.

Mais wallah, je suis quand même triste pr ce qui lui arrive.

Entre nous j'aime tt ce qui est naturelle sans la sillicon valley comme dirait une collègue au bureau :D

regarde un modèle de naturalisme maghrébin

YouTube - Chaba Zahouania ( El Kite H'bibi) Live
 
Entre nous j'aime tt ce qui est naturelle sans la sillicon valley comme dirait une collègue au bureau

regarde un modèle de naturalisme maghrébin]

Je ne la connais pas bc cette chanteuse mais apparemment elle n'a rien changé dans son look, quoi que elle aurait du troquer ses lunettes pour des lentilles :D

nawal zoghbi aurait bien dû se passer de gonfler ses lévres, elle est bizarre quand on la voit, surtout qu'elle est déja à l'origine trés belle.
 
Si tu connais pas Zahouania c'est que t'es pas trop RAI et pas du tout le RAI Grand Cru AOC contollée

:D

C'est son look, déjà elle a fait des efforts,

Pour revenie à Mami, moi je crois qu'il est revenu dans le cadre d'un accord préalable avec les autorités française, il se la coulait bien en Algérie et la il voit que se carrière est foutu donc il fait de la taule et reprends sa vie d'artiste comme Cantat
 
7 ans de prison ont été demandés !

Une peine de sept ans de prison a été requise jeudi par le procureur du tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) contre la star franco-algérienne du raï, Cheb Mami, accusé de tentative d'avortement forcé de son ex-compagne. Le procureur Ophélie Chambeaux a aussi demandé une peine de six ans de prison contre Michel Le Corre, l'agent du chanteur.
 
Galik anna namchi ba nya wa lgalb safi, ou nass tgata3 fya bal mouss al7afi.

7 ans de prison pour enlèvement, séquestration, coup et blessure, tentative de meurtre, c' est pas beaucoup.
 
Retour
Haut