Je sais pas qui est ton dieu ou tes dieux ou autres dont tu parles (ça ne m'interesse pas)
Tu seras peut-être intéressé de savoir que je parle du tien. Oui, le dieu qui seul est censé lire dans les coeurs, le seul qui est censé pouvoir juger... Sauf si "ton" dieu ne correspond pas à ce que j'en dis là? Sauf si "ton" dieu a besoin de "ton" avis pour juger...
Piyale a dit:
mais le suicide est un ignoble crime, certes qui ne touche plus son égoïste auteur, mais fait énormément de mal à ceux qui restent et à la société de manière générale...
Ca, c'est pour le principe général...
C'est pour cela que j'ai dit que tu raisonnes comme une recette de cuisine. C'est écrit 200 g de ceci, 50 g de cela, 5 cuillèrées de bidule, etc... Alors c'est comme ça et pas autrement, et puis c'est tout!
Or, et je le répète, je ne sais peut-être pas garnd chose, mais je sais néanmoins que "ton" dieu (puisque tu attribuent des dieux aux gens, j'essaye de suivre ton exemple...) n'est pas "soumis" à une recette toute faite, car si pour nous les choses peuvent n'être qu'apparence, lui il est censé en connaître le fond, il est censé lire dans les coeurs, il est censé voir ce que toi ou moi ne voyons pas... En d'autres termes, lui seul peut vraiment "peser" les raisons qui ont conduit un individu à l'irréparable.
Bien trop facile d'attribuer des noms d'oiseaux à une personne, tout simplement parce qu'engoncé dans une certitude ne s'appuyant que sur une généralité, avec son petit "comment juger en 10 leçons", passant toute la palette de ce qui peut échapper à la perception d'un humain (car non divin) par pertes et profits... C'est faire tellement peu preuve d'humilité vis-à-vis de dieu que le fait ensuite d'affirmer qu'il n'est fait référence qu'à lui paraît quelque peu incongrue...
Mais bon, comme c'est un "minable" comme moi qui t'en fait la remarque, il ne faut surtout pas perdre la face en accordant le moindre crédit à ce qu'il dit, n'est-ce pas...?

(Même si je ne vois pas en quoi l'on perd la face en reconnaissant parfois ses erreurs ou en reconnaissant qu'on s'est peut-être parfois avancé un peu trop vite...)