Mise à part ta naïveté flagrante qui démontre la faiblesse de ton esprit, quand je songe à tout ce que Poutine doit faire pour rattraper la traîtrise de Gorky, je me dis que c’était au mieux un tocard de première.
Certes , l’URSS connaissait certaines difficultés inhérentes à la course aux armements , à la guerre en Afghanistan (dans la quelle elle se fit piéger par les USA ), un déclin des élans patriotiques et idéologiques , mais elle pouvait tenir encore très longtemps car sa capacité autarcique était énorme .
La fin de l’URSS est en fait une organisation préméditée dans laquelle Gorbatchev joua son rôle en permettant le phagocytage du PCUS par les jeunes juifs sionistes (qui deviendront les oligarques qui s’enrichiront démesurément en quelques jours ) , à Eltsine de construire le projet administratif du dépeçage qui consista à vendre à ces futurs oligarques tous les fleurons industriels de l’URSS au dixième de leur valeur et aux banques occidentales qui prêtèrent aux oligarques en question d’avoir les sommes nécessaires , car personne compte tenu du cadre de la propriété financière de l’URSS ne possédait, et même au dixième de leur valeur, le début de la somme nécessaire . Ces oligarques une fois le prêt remboursé devenait propriétaire de 90% de la capitalisation de sociétés au potentiel énorme (chantiers navals , cimenteries , aciéries , industrie chimiques , agro alimentaire , aéronautique …..)
Cet aspect est soigneusement évacué de tous les récits occidentaux et Gorbatchev y aura tenu toute sa place. Le mot traître le concernant n’est pas trop fort à mon sens , mais l’opération a mis en jeu bien d’autres personnes .
Je rappelle et ça c’est extrêmement important, que le référendum de mars 1991 pour le maintient de l’URSS est gagné a 77% (20% contre). Peu après, dans une réunion clandestine les présidents de L’Ukraine, de la Biélorussie et de la Russie en la personne de Elstine signe l’indépendance de leurs pays…et Gorbatchev laisse faire…
Et lorsqu’on me dit qu’en URSS le peuple n’était jamais consulté eh bien pour une fois il l’avait été et de manière tragiquement « moqué » .