Le ramadan entraîne-t-il une baisse de la productivité ?

Petite_Mina

Inclassable
VIB
"Le ramadan n'inspire pas les jeûneurs dans les pays arabes. Ou alors il les inspire mal, très mal même", juge le quotidien algérien Liberté, qui fait référence à une étude publiée par l'Institut du monde arabe des études sociales du Caire sur les comportements sociaux des fidèles pendant le ramadan. Les résultats de l'enquête confirment que l'on travaille beaucoup moins pendant cette période dans les pays concernés. La productivité y enregistre une baisse de 73,3 %. "Normal", estime le quotidien, "les horaires de travail sont revus à la baisse, l'absentéisme et les congés de maladie atteignent des pics jamais égalés." L'enquête révèle également que, pendant le ramadan, le nombre des accidents de la route est multiplié par trois et "la pratique de la prostitution enregistre une augmentation à peine croyable de 216,40 % !"

Courrier International
 
"Le ramadan n'inspire pas les jeûneurs dans les pays arabes. Ou alors il les inspire mal, très mal même", juge le quotidien algérien Liberté, qui fait référence à une étude publiée par l'Institut du monde arabe des études sociales du Caire sur les comportements sociaux des fidèles pendant le ramadan. Les résultats de l'enquête confirment que l'on travaille beaucoup moins pendant cette période dans les pays concernés. La productivité y enregistre une baisse de 73,3 %. "Normal", estime le quotidien, "les horaires de travail sont revus à la baisse, l'absentéisme et les congés de maladie atteignent des pics jamais égalés." L'enquête révèle également que, pendant le ramadan, le nombre des accidents de la route est multiplié par trois et "la pratique de la prostitution enregistre une augmentation à peine croyable de 216,40 % !"

Courrier Internationa

:eek: la pratique de la prostitution augmente durant le mois sacré :eek: !!!!!!!!!!!!!
 
J'suis bien curieuse de savoir ou ils ont pioché les chiffres. Résultat à la centimal pres, en plus. Que de précision !! :fou:

ça confirme ça !

Pour des raisons qui demeurent ignorées, le mois du Ramadan constitue, par excellence, une période propice à la prostitution. Reportage.

Les ardeurs des joyeux lurons ne disparaissent pas pendant les autres mois de l’année. Mais pendant le mois de Ramadan, elles augmentent tant et si bien que l’on pourrait, sans trop exagérer, qualifier cette période de saison des rencontres sexuellement intensives.
La ville de Casablanca en un l’échantillon des plus significatifs. Et c’est l’incontournable boulevard Mohamed V qui est au cœur de l’événement, notamment le tronçon entre le rond-point Shell et le Marché central. Idem au croisement rue Mustapha Lemâani et boulevard 11 janvier. Dès les environs de vingt heures, les deux rives du boulevard sont envahies par des prostituées. Elles disparaissent et réapparaissent à une vitesse extraordinaire, jouant au cache-cache avec les éventuelles rafles de police et de la brigade des mœurs. Connaissant toutes les ruelles, les recoins et les détours du secteur, elles poursuivent leur activité sur ce rythme, ne se faisant prendre que très rarement. La scène du contact et les palabres entre la femme de joie et son client sont repérables à vue d’œil, même s’ils sont attablés dans un café. Il n’en faut pas plus de quelques minutes pour que le marché soit conclu ou, dans le cas contraire, le présumé client s’en va poursuivre sa chasse ailleurs. Si l’entente s’effectue, la prostituée prend la direction du lieu prévu, donnant des coups d’œil furtifs à gauche et à droite. La vigilance demeure de mise même après que le filet est plein. Elle part la première talonnée par le client, qui aura assez de temps pour mieux contempler sa prise avant d’arriver à l’hôtel de passe qui se trouve également dans les parages. Ils ne marchent jamais côte à côte, c’est la règle absolue. Le prix varie entre 100 et 150 dh la passe, selon les circonstances « sécuritaires » et la dimension de l’offre. Les clients de ce genre de contact sont la plupart du temps des « étrangers » par rapport à la ville de Casablanca. On trouve parmi eux, des maçons qui vivent dans leur chantier de travail, loin de leurs familles, des quinquagénaires, des marchands ambulants et quelques amateurs de l’acte rapide. Tout cela est classique. Paradoxalement, ce genre d’activité décuple d’ampleur pendant le mois de Ramadan.
L’activité est intense. Devant un tel spectacle, penser que c’est une soirée du mois sacré semble irréel. L’autre revers concerne la prostitution moderne. Après le Ftour, des voitures commencent à sillonner les rues de la ville, aux quartiers populaires comme au centre ville et jusqu’à la corniche. Pour cette catégorie, la prise est quasi assurée. A moins que la voiture soit du genre repoussant, on ne met généralement pas plus d’un quart d’heure pour trouver l’âme sœur. Pour ce genre de dragueurs, les prostituées professionnelles, celles qui font ça toute l’année, sont à éviter. La préférence va vers des amatrices occasionnelles, qui pratiquent durant Ramadan.
Pratiquement toutes les ruelles mal éclairées, les zones périphériques et sombres, sont privilégiées par les chasseurs automobilistes de plaisir.. Ce n’est que vers minuit que l’intensité est réduite et que tout redevient normal. L’aspect le plus révélateur de la ruée ramadanienne vers le plaisir est l’acharnement sur les douches publiques dans les quartiers populaires, qui connaissent une prospérité sans égal par rapport à tout le reste de l’année. Après le plaisir, c’est le retour vers la vertu et la purification en attendant que la nature humaine reprenne le dessus.

Par : Mohamed BENKHALLOUK
 
le nombre des accidents de la route est multiplié par trois et "la pratique de la prostitution enregistre une augmentation à peine croyable de 216,40 % !"

Courrier International

je suis d'accord , moi meme je suis zéro productive pdt le ramadan

mais la prostitution qui ateint des pics ça c'est pas vrai :rolleyes:

tu as le lien de tout l'article mina ??
 
"Le ramadan n'inspire pas les jeûneurs dans les pays arabes. Ou alors il les inspire mal, très mal même", juge le quotidien algérien Liberté, qui fait référence à une étude publiée par l'Institut du monde arabe des études sociales du Caire sur les comportements sociaux des fidèles pendant le ramadan. Les résultats de l'enquête confirment que l'on travaille beaucoup moins pendant cette période dans les pays concernés. La productivité y enregistre une baisse de 73,3 %. "Normal", estime le quotidien, "les horaires de travail sont revus à la baisse, l'absentéisme et les congés de maladie atteignent des pics jamais égalés." L'enquête révèle également que, pendant le ramadan, le nombre des accidents de la route est multiplié par trois et "la pratique de la prostitution enregistre une augmentation à peine croyable de 216,40 % !"

Courrier International

Comment ils font? moi avant lftour je suis KO et apres lftour je suis morte :eek:
 
ça confirme ça !

Pour des raisons qui demeurent ignorées, le mois du Ramadan constitue, par excellence, une période propice à la prostitution. Reportage.

Les ardeurs des joyeux lurons ne disparaissent pas pendant les autres mois de l’année. Mais pendant le mois de Ramadan, elles augmentent tant et si bien que l’on pourrait, sans trop exagérer, qualifier cette période de saison des rencontres sexuellement intensives.
La ville de Casablanca en un l’échantillon des plus significatifs. Et c’est l’incontournable boulevard Mohamed V qui est au cœur de l’événement, notamment le tronçon entre le rond-point Shell et le Marché central. Idem au croisement rue Mustapha Lemâani et boulevard 11 janvier. Dès les environs de vingt heures, les deux rives du boulevard sont envahies par des prostituées. Elles disparaissent et réapparaissent à une vitesse extraordinaire, jouant au cache-cache avec les éventuelles rafles de police et de la brigade des mœurs. Connaissant toutes les ruelles, les recoins et les détours du secteur, elles poursuivent leur activité sur ce rythme, ne se faisant prendre que très rarement. La scène du contact et les palabres entre la femme de joie et son client sont repérables à vue d’œil, même s’ils sont attablés dans un café. Il n’en faut pas plus de quelques minutes pour que le marché soit conclu ou, dans le cas contraire, le présumé client s’en va poursuivre sa chasse ailleurs. Si l’entente s’effectue, la prostituée prend la direction du lieu prévu, donnant des coups d’œil furtifs à gauche et à droite. La vigilance demeure de mise même après que le filet est plein. Elle part la première talonnée par le client, qui aura assez de temps pour mieux contempler sa prise avant d’arriver à l’hôtel de passe qui se trouve également dans les parages. Ils ne marchent jamais côte à côte, c’est la règle absolue. Le prix varie entre 100 et 150 dh la passe, selon les circonstances « sécuritaires » et la dimension de l’offre. Les clients de ce genre de contact sont la plupart du temps des « étrangers » par rapport à la ville de Casablanca. On trouve parmi eux, des maçons qui vivent dans leur chantier de travail, loin de leurs familles, des quinquagénaires, des marchands ambulants et quelques amateurs de l’acte rapide. Tout cela est classique. Paradoxalement, ce genre d’activité décuple d’ampleur pendant le mois de Ramadan.
L’activité est intense. Devant un tel spectacle, penser que c’est une soirée du mois sacré semble irréel. L’autre revers concerne la prostitution moderne. Après le Ftour, des voitures commencent à sillonner les rues de la ville, aux quartiers populaires comme au centre ville et jusqu’à la corniche. Pour cette catégorie, la prise est quasi assurée. A moins que la voiture soit du genre repoussant, on ne met généralement pas plus d’un quart d’heure pour trouver l’âme sœur. Pour ce genre de dragueurs, les prostituées professionnelles, celles qui font ça toute l’année, sont à éviter. La préférence va vers des amatrices occasionnelles, qui pratiquent durant Ramadan.
Pratiquement toutes les ruelles mal éclairées, les zones périphériques et sombres, sont privilégiées par les chasseurs automobilistes de plaisir.. Ce n’est que vers minuit que l’intensité est réduite et que tout redevient normal. L’aspect le plus révélateur de la ruée ramadanienne vers le plaisir est l’acharnement sur les douches publiques dans les quartiers populaires, qui connaissent une prospérité sans égal par rapport à tout le reste de l’année. Après le plaisir, c’est le retour vers la vertu et la purification en attendant que la nature humaine reprenne le dessus.

Par : Mohamed BENKHALLOUK


J'avais pas conscience de ce phénomene !! :eek:
 
moi non plus je viens de decouvrir ça sur le net !

mais ce qui me choque c'est quand on parle des prostituées amatrices qui ne font ça que pendant le ramadan :eek:

Ca fait peur !!

J'espere seulement que c'est juste un article qui tend a l'exageration.
Ou que c'est un point de vu qui n'est pas revelateur.

Ramadan ou pas, ca fait de la peine pour ses filles !! Mais s'il existe bel et bien des personnes qui se prostituent pdt le ramadan, j'suis :eek: !!
 
Pour la baisse de la productivité, je peux comprendre, mais pour le reste, je comprends pas :D
Coucou Mina,

Le Ramadan dans les pays arabo-musulmans est le mois des soirées musicales et ses accessoires (précisément les prostituées) par excellence. On assiste à une soirée musicale animée par Hajib ou quelqu’un d’autre, et on finit la nuit dans les bras d’une prostituée fréquentée dans les parages de Club Yasmine ou un autre espace.
 
Ca fait peur !!

J'espere seulement que c'est juste un article qui tend a l'exageration.
Ou que c'est un point de vu qui n'est pas revelateur.

Ramadan ou pas, ca fait de la peine pour ses filles !! Mais s'il existe bel et bien des personnes qui se prostituent pdt le ramadan, j'suis :eek: !!

Je n'arrive pas a y croire surtout quand on voit des gens prier dans la rue tellement les mosquees sont pleines :rolleyes:
 
Ca fait peur !!

J'espere seulement que c'est juste un article qui tend a l'exageration.
Ou que c'est un point de vu qui n'est pas revelateur.

Ramadan ou pas, ca fait de la peine pour ses filles !! Mais s'il existe bel et bien des personnes qui se prostituent pdt le ramadan, j'suis :eek: !!

je compte sortir dans les lieux citées pour vérifier !! je suis curieuse
 
L’aspect le plus révélateur de la ruée ramadanienne vers le plaisir est l’acharnement sur les douches publiques dans les quartiers populaires, qui connaissent une prospérité sans égal par rapport à tout le reste de l’année. Après le plaisir, c’est le retour vers la vertu et la purification en attendant que la nature humaine reprenne le dessus.


mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr :D:D

merci pour l'article,
hallucinant!!
j'etais loin d'imaginer l'ampleur de ce phenomene pdt le ramadan
(hamdoulah a rabat on n'assiste pas vraiment à cela)
 
Je n'arrive pas a y croire surtout quand on voit des gens prier dans la rue tellement les mosquees sont pleines :rolleyes:

J'dois avouer que j'suis perplexe !!
La prostitution existe, c'est un fait... Mais de la a ce qu'elle prenne des proportions pareils et d'autant plus pdt cette periode sacrée !! :eek:


je compte sortir dans les lieux citées pour vérifier !! je suis curieuse

:eeeeeeek:
Fais surtout attention a toi. N'y va pas seule !!
 
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr :D:D

merci pour l'article,
hallucinant!!
j'etais loin d'imaginer l'ampleur de ce phenomene pdt le ramadan
(hamdoulah a rabat on n'assiste pas vraiment à cela)

d'habitude la nuit a agdal je les vois bel3llali , mais je n'ai jamais vérifié pendant le ramadan !! je compte faire + attention
 
Coucou Mina,

Le Ramadan dans les pays arabo-musulmans est le mois des soirées musicales et ses accessoires (précisément les prostituées) par excellence. On assiste à une soirée musicale animée par Hajib ou quelqu’un d’autre, et on finit la nuit dans les bras d’une prostituée fréquentée dans les parages de Club Yasmine ou un autre espace.

Salam à toi Marx ;)

moi je connais pas tout ça. Ici le ramadan c'est la rupture du jeune en famille ou entre amis, pour certains la mosquée.. mais je reste surprise.. mais je te crois, je crois que ce faste et que ce mode de vie existe, révélateur de la schyzophrenie ambiante parfois..
 
"Le ramadan n'inspire pas les jeûneurs dans les pays arabes. Ou alors il les inspire mal, très mal même", juge le quotidien algérien Liberté, qui fait référence à une étude publiée par l'Institut du monde arabe des études sociales du Caire sur les comportements sociaux des fidèles pendant le ramadan. Les résultats de l'enquête confirment que l'on travaille beaucoup moins pendant cette période dans les pays concernés. La productivité y enregistre une baisse de 73,3 %. "Normal", estime le quotidien, "les horaires de travail sont revus à la baisse, l'absentéisme et les congés de maladie atteignent des pics jamais égalés." L'enquête révèle également que, pendant le ramadan, le nombre des accidents de la route est multiplié par trois et "la pratique de la prostitution enregistre une augmentation à peine croyable de 216,40 % !"

Courrier International

Pour la baisse de la productivité, je peux comprendre, mais pour le reste, je comprends pas :D

Pour les accidents,ok

Mais pourles chiffres de la prostitution,je doute fort

Wa Alla8o a3elam
 
ça confirme ça !

Pour des raisons qui demeurent ignorées, le mois du Ramadan constitue, par excellence, une période propice à la prostitution. Reportage.

Les ardeurs des joyeux lurons ne disparaissent pas pendant les autres mois de l’année. Mais pendant le mois de Ramadan, elles augmentent tant et si bien que l’on pourrait, sans trop exagérer, qualifier cette période de saison des rencontres sexuellement intensives.
La ville de Casablanca en un l’échantillon des plus significatifs. Et c’est l’incontournable boulevard Mohamed V qui est au cœur de l’événement, notamment le tronçon entre le rond-point Shell et le Marché central. Idem au croisement rue Mustapha Lemâani et boulevard 11 janvier. Dès les environs de vingt heures, les deux rives du boulevard sont envahies par des prostituées. Elles disparaissent et réapparaissent à une vitesse extraordinaire, jouant au cache-cache avec les éventuelles rafles de police et de la brigade des mœurs. Connaissant toutes les ruelles, les recoins et les détours du secteur, elles poursuivent leur activité sur ce rythme, ne se faisant prendre que très rarement. La scène du contact et les palabres entre la femme de joie et son client sont repérables à vue d’œil, même s’ils sont attablés dans un café. Il n’en faut pas plus de quelques minutes pour que le marché soit conclu ou, dans le cas contraire, le présumé client s’en va poursuivre sa chasse ailleurs. Si l’entente s’effectue, la prostituée prend la direction du lieu prévu, donnant des coups d’œil furtifs à gauche et à droite. La vigilance demeure de mise même après que le filet est plein. Elle part la première talonnée par le client, qui aura assez de temps pour mieux contempler sa prise avant d’arriver à l’hôtel de passe qui se trouve également dans les parages. Ils ne marchent jamais côte à côte, c’est la règle absolue. Le prix varie entre 100 et 150 dh la passe, selon les circonstances « sécuritaires » et la dimension de l’offre. Les clients de ce genre de contact sont la plupart du temps des « étrangers » par rapport à la ville de Casablanca. On trouve parmi eux, des maçons qui vivent dans leur chantier de travail, loin de leurs familles, des quinquagénaires, des marchands ambulants et quelques amateurs de l’acte rapide. Tout cela est classique. Paradoxalement, ce genre d’activité décuple d’ampleur pendant le mois de Ramadan.
L’activité est intense. Devant un tel spectacle, penser que c’est une soirée du mois sacré semble irréel. L’autre revers concerne la prostitution moderne. Après le Ftour, des voitures commencent à sillonner les rues de la ville, aux quartiers populaires comme au centre ville et jusqu’à la corniche. Pour cette catégorie, la prise est quasi assurée. A moins que la voiture soit du genre repoussant, on ne met généralement pas plus d’un quart d’heure pour trouver l’âme sœur. Pour ce genre de dragueurs, les prostituées professionnelles, celles qui font ça toute l’année, sont à éviter. La préférence va vers des amatrices occasionnelles, qui pratiquent durant Ramadan.
Pratiquement toutes les ruelles mal éclairées, les zones périphériques et sombres, sont privilégiées par les chasseurs automobilistes de plaisir.. Ce n’est que vers minuit que l’intensité est réduite et que tout redevient normal. L’aspect le plus révélateur de la ruée ramadanienne vers le plaisir est l’acharnement sur les douches publiques dans les quartiers populaires, qui connaissent une prospérité sans égal par rapport à tout le reste de l’année. Après le plaisir, c’est le retour vers la vertu et la purification en attendant que la nature humaine reprenne le dessus.

Par : Mohamed BENKHALLOUK

Allah yé ster.........
 
je n'ai rien crée du tout, bizarre comme le doute peut exister parfois.. menfin.. voici le lien zaza ;)

http://www.courrierinternational.co...n-entraine-t-il-une-baisse-de-la-productivite

bizarre comme syame rend les gens susceptibles surtout

je n'ai absolument pas douté de toi, je pensais que tu as donné juste une partie de l'article, et je voulais lire tout l'article, car curieuse et etonnée de ce phenomene, mais j'etais bete j'aurai pu chercher directement (ce que j'ai fait apres) au lieu de te demander (par pure fénéantise)

enfin
sahha ftourkoum
 
bizarre comme syame rend les gens susceptibles surtout

je n'ai absolument pas douté de toi, je pensais que tu as donné juste une partie de l'article, et je voulais lire tout l'article, car curieuse et etonnée de ce phenomene, mais j'etais bete j'aurai pu chercher directement (ce que j'ai fait apres) au lieu de te demander (par pure fénéantise)

enfin
sahha ftourkoum

ce n'est pas une question de susceptibilité, mon jeune ne me met ni dans un état de susceptibilité, ni de suspicion, mais quand je t'ai lu, je me suis dit waw.. peu importe, on va mettre ça sur le choc crée par cet article :D

bon ftour à toi zaza ;)
 
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr : D : D

merci pour l'article,
hallucinant!!
j'etais loin d'imaginer l'ampleur de ce phenomene pdt le ramadan
(hamdoulah a rabat on n'assiste pas vraiment à cela)

âlach ?? ma ândkoumch hammam felhouma ??? :D

tu trouves les femmes changent de chemin pour échapper au regard des voisins et des jeunes du quartier pour aller au hamma et ça avant Dhor sinon c'est foutu :D
 
âlach ?? ma ândkoumch hammam felhouma ??? :

tu trouves les femmes changent de chemin pour échapper au regard des voisins et des jeunes du quartier pour aller au hamma et ça avant Dhor sinon c'est foutu :D

mdrrrrrrrrrrrrrrr maskhota nti
non walah je fais pas attention, le hammam n'est pas sur mon chemin
mais pourquoi ils ne se lavent pas ça chez eux , bla frachi :D
 
salam

l'article de Mina et ceux qui suivent c vrai, d'ailleur celà on appels "les adorateur de Ramadan" ou ( عبادات رمضان) y a pas plus pire qu'eux le jour c des pieux la nuit y a que du bonheur dieu nous en garde ...
celui de prostitution aussi il en a qui en font un ftour royale a leur honneur ... et bien d'autres choses que vous pouvez pas imaginé c pas seulement au bled mais aussi dans plusieurs etats musulman jugé conservateur ...

le Ramadan pour eux le jour la nuit c une heur de détente et des "legs up" ( selon un amateur )

allah ya7fadna wa ya7fadkom wa yarfar lina wa likom
 
mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr : D: D

merci pour l'article,
hallucinant!!
j'etais loin d'imaginer l'ampleur de ce phenomene pdt le ramadan
(hamdoulah a rabat on n'assiste pas vraiment à cela)

mdrrrrrrrrrrrrrrr maskhota nti
non walah je fais pas attention, le hammam n'est pas sur mon chemin
mais pourquoi ils ne se lavent pas ça chez eux , bla frachi : D

je parle surtout il y'a une dizaine d'années avant que la salle de bain soit integrée dans les maisons !!

j'habitais à 3 mn d'un hammam trés connu à salé qui s'appelle hammam chlih et je peux t'assurer que pr y aller il faut faire le détour, koulchi kaytefrech :D

les hommes y vont à 6h du matin , katlka ghir bnadem kharj mbouder farhane b rassou , expres kahyanhan pr te montrer qu'il a fait sa petite affaire la nuit, laâyalate li kayechmou :D
 
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