Le sulfureux extrait de much loved, dernier film de nabil ayouch

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Panam a dit:
Exactement !
Un filme fait par les pu.tes et destinés aux pu.tes !!
Qui va voir une telle vulgarité à couper le souffle !!
Si j ai bien compris de bouffon de ayouch fait des filmes au Maroc pour avoir une récompense à l étranger !!
Il se moque royalement et doublement des marocains et de leur plaisir à découvrir une - réalité - cachée avec un scénario subtil !!
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Tu as pas l'impression que katzid fih chouiya? Le cinéma n'a pas pour vocation de flatté l’ego de la population locale. Les clips du ministère du tourisme font trés bien ce boulot.

Ce film est un film sur la prostitution au Maroc. C'est le sujet du film, pas un documentaire sur les fraises rouges de Kobé ou sur l'inflation a Madagascar.

Wa bghito t3a9do 7ta les realisateurs et leurs choix? Bzaf hadchi
 
DiamondBlaze a dit:
C'est tres choquant en effet mais j'imagine que ca doit etre comme ca dans ces milieux. Le realisateur doit parfois etre le mirroir des faits de societes/realite. Ca n'a rien a voir avec la trahison. C'est juste la dure realite pour certains.
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Y a de l'action au moins dans le film?

je veux voir à quoi ressemble une prestation de prostituée marocaine.
 
Bigdoul a dit:
Tu as pas l'impression que katzid fih chouiya? Le cinéma n'a pas pour vocation de flatté l’ego de la population locale. Les clips du ministère du tourisme font trés bien ce boulot.

Ce film est un film sur la prostitution au Maroc. C'est le sujet du film, pas un documentaire sur les fraises rouges de Kobé ou sur l'inflation a Madagascar.

Wa bghito t3a9do 7ta les realisateurs et leurs choix? Bzaf hadchi
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Et pourtant il n'a pas tord, quel réalisateur européen a déjà réalisé un film "documentaire" sur la pédophilie qui gangrène l'Europe jusqu'à Buckingham?

Ce n'est pas une dénonciation d'un mal qui ronge notre pays que je vois dans ce support, mais plutôt une forme d'arrivisme et d'asservissement de la part du réalisateur.

C'est honteux, qui plus est, beaucoup des protagonistes sont des acteurs populaires de séries diffusées sur les chaines publiques marocaines.
 
Makeda a dit:
Et pourtant il n'a pas tord, quel réalisateur européen a déjà réalisé un film "documentaire" sur la pédophilie qui gangrène l'Europe jusqu'à Buckingham?

Ce n'est pas une dénonciation d'un mal qui ronge notre pays que je vois dans ce support, mais plutôt une forme d'arrivisme et d'asservissement de la part du réalisateur.

C'est honteux, qui plus est, beaucoup des protagonistes sont des acteurs populaires de séries diffusées sur les chaines publiques marocaines.
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Premiérement il ne s'agit pas d'un documentaire mais d'une oeuvre de fiction. Par contre des cinéastes qui parlent des tabou il y'en a a foison : le réalisateur Pedro Almodovar et son ''La Mala Educacion'' dans lequel on parle de deux homos qui s'étaient fait violés par un prétre dans le pensionnat ou ils étaient quand ils étaient petits. ''Jeune et Jolie'' de Francois Ozon ou comment une jeune fille francaise sombre dans la prostitution, etc... meme dans le cinéma indien alors que c'est une population super traditionnelle et avec beaucoup d'extremistes, le cinéma indien parle de tout : critique religieuse, homosexualité, prostitution, drogues, systémes des castes, critiques des moeurs, stigmatisations des veuves.

Mais nan y'a que chez les arabes qu'on dit ''Allah in3al 7oriat ta3bir'' sous pretexte du principe moyen-ageux et completement hypocrite de la ''7chouma''. Meme dans un pays soit-disant islamique alors que l'économie meme du pays est basée sur la Riba, qu'on produit de la vinasse et qu'on eleve du porc sur notre territoire, on trouve encore des cromagnons qui veulent fermer la gueule aux réalisateurs parce qu'on est soit-disant un pays islamique. Wa bazzzzzz
 
@Scoco avec tous les extraits que tu nous as donné plus besoin d'aller voir le film :D
il sera certainement dispo à derb Ghalled en dvd
 
Bigdoul a dit:
Premiérement il ne s'agit pas d'un documentaire mais d'une oeuvre de fiction. Par contre des cinéastes qui parlent des tabou il y'en a a foison : le réalisateur Pedro Almodovar et son ''La Mala Educacion'' dans lequel on parle de deux homos qui s'étaient fait violés par un prétre dans le pensionnat ou ils étaient quand ils étaient petits. ''Jeune et Jolie'' de Francois Ozon ou comment une jeune fille francaise sombre dans la prostitution, etc... meme dans le cinéma indien alors que c'est une population super traditionnelle et avec beaucoup d'extremistes, le cinéma indien parle de tout : critique religieuse, homosexualité, prostitution, drogues, systémes des castes, critiques des moeurs, stigmatisations des veuves.

Mais nan y'a que chez les arabes qu'on dit ''Allah in3al 7oriat ta3bir'' sous pretexte du principe moyen-ageux et completement hypocrite de la ''7chouma''. Meme dans un pays soit-disant islamique alors que l'économie meme du pays est basée sur la Riba, qu'on produit de la vinasse et qu'on eleve du porc sur notre territoire, on trouve encore des cromagnons qui veulent fermer la gueule aux réalisateurs parce qu'on est soit-disant un pays islamique. Wa bazzzzzz
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Il semblerait que tu n'aies pas saisi la subtilité du terme documentaire, pourtant il est entre guillemets. Passons.
Ce qui est tabou pour un pays comme le Maroc ne l'est pas forcément pour un pays occidental, je fais référence à la pédophilie et non à la prostitution. On en parle du bout des lèvres alors qu'il existe des réseaux au sein même de plusieurs gouvernements européens. Si un film abordait ce thème de façon aussi crue, je serais tout autant choquée. Et ce n'est pas au nom de principe d'un autre temps.
Je n'ai jamais dit qu'il fallait censurer qui que ce soit, mais il y a une manière d'aborder un sujet. De la sorte, je ne vois pas trop l'intérêt, excuse moi d'aimer suffisamment le 7ème art pour en avoir une critique personnelle.
 
Ce Nabil Ayouch.

Mérite d’être jugée au Maroc et punis sévèrement de la façon de traiter toute les marocaines de *****.
 
Je pense qu'il y a une différence entre aborder un tabou aussi glauque soit-il et tourner des scènes chocs pour faire du buzz.

Je ne suis pas choquée qu'on veuille tourner un film sur la prostitution mais ça me choque qu'un type fasse dans le sensationnel et accessoirement du fric sur le dos des prostituées alors qu'il les avili encore plus aux yeux du public.

Il n'avait pas besoin de rajouter l'outrageant à la thématique de son film qui est par définition sensationnelle.

Les dialogues des extraits montrent clairement qu'il a choisi la caricature et l'extrême pour créer l’événement.

Personne ne me fera croire qu'on a là l'archétype de la prostituée au Maroc .. qu'elles parlent toutes comme ça .. bref, du voyeurisme à sensation que propose ce film on dirait.

Le public s'attend à ce qu'on lui raconte leurs histoires, leurs destins, pas à recevoir des leçons de langage ordurier, ça n'apporte rien au contenu.
 
Scoco a dit:
Un extrait du film Much Loved de Nabil Ayouch sur l’histoire de quatre prostituées vient d’être dévoilé. Percutante et choc, une séquence prometteuse.

Un langage cru, une réalité poignante, c’est ce que laisse présager cet extrait du film Much Loved (Zine li fik) du réalisateur Nabil Ayouch. A l’occasion de la sélection de son film dans la Quinziane des réalisateurs au festival de Cannes, le cinéaste a choisi de dévoiler une scène où l’on voit trois prostituées, dans un taxi, se préparer pour leur soirée.


« Randa, je veux que tu roules du *** », c’est ainsi que s’adresse la « patronne » à une des prostituées sur fond de musique khaliji que le chauffeur de taxi écoute. Ce dernier est choqué par les propos de cette « patronne » qui lui dit qu’une prostituée ne peut pas parler autrement. Des dialogues crus, sans détours et qui sonnent vrais.

Nabil Ayouch a interrogé 256 prostituées avant d’écrire le scénario de ce film. Much Loved retrace l’itinéraire nocturne de quatre prostituées, Randa, Noha, Soukaina et Hlima, ainsi que d’autres demoiselles de nuit qui vivent, à Marrakech, d’amours tarifées. Les chairs se montrent, les corps s’exhibent, l’argent circule aux rythmes des plaisirs et des humiliations subies. Elles sont amies et tiennent à surmonter cette violence.

Attention, certains propos dans cet extrait peuvent choquer.



TELQUEL
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hada va être le film de l'année.

blague à part , rien ne me choque dans le film. ni le sujet ni le scenario ( en tout cas des extraits ) je ne sais pas si tout le film est comme ça !! je ne le pense pas sinon ayouch se serait tiré 2 balles dans la tête.

C'est une réalité dure et dure à accpeter mais elle est bien là devant nous tous les jours ..........je viens de passer 15 jours au Maroc .........ces mots aussi durs qu'on puisse l'estimer sont monnaie courante dans la rue de la part des garçons comme des filles ......après nous ne sommes pas obligé d'apporter encore une fois l'amalgamme " prostituées" et " Femmes marocaines" .... ce sont deux choses très distinctes ...........mais la réalité montre et démontre que la société est devenue pourrie .......et ce genres de spécimens du films et en voie de devoloppement !!! qu'on le veuille ou pas .................et pour ceux qui sont habitué au " dyour le9.ab" ils peuvent témoigner de ce qu'ils ont vu et entendu ....
 
Dernière édition:
Bigdoul a dit:
Premiérement il ne s'agit pas d'un documentaire mais d'une oeuvre de fiction. Par contre des cinéastes qui parlent des tabou il y'en a a foison : le réalisateur Pedro Almodovar et son ''La Mala Educacion'' dans lequel on parle de deux homos qui s'étaient fait violés par un prétre dans le pensionnat ou ils étaient quand ils étaient petits. ''Jeune et Jolie'' de Francois Ozon ou comment une jeune fille francaise sombre dans la prostitution, etc... meme dans le cinéma indien alors que c'est une population super traditionnelle et avec beaucoup d'extremistes, le cinéma indien parle de tout : critique religieuse, homosexualité, prostitution, drogues, systémes des castes, critiques des moeurs, stigmatisations des veuves.

Mais nan y'a que chez les arabes qu'on dit ''Allah in3al 7oriat ta3bir'' sous pretexte du principe moyen-ageux et completement hypocrite de la ''7chouma''. Meme dans un pays soit-disant islamique alors que l'économie meme du pays est basée sur la Riba, qu'on produit de la vinasse et qu'on eleve du porc sur notre territoire, on trouve encore des cromagnons qui veulent fermer la gueule aux réalisateurs parce qu'on est soit-disant un pays islamique. Wa bazzzzzz
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Ne va pas comparer le génial Almodovar avec ce troufions naveteur de Nabil prétencieux à la filmographie indigeste et insipide!
Si Nabil avait le centième du talent d'Ozon ou d'Almodovar on lui aurait tout pardonner!
 
Scoco a dit:
Stp Soumiyah, tu connais le titre de la chanson? Je la trouve pas mal ;)
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Nan mais si tu la Shazam tu trouveras peut être
Moi je t'avoue j'aime pas du tout ce son mais ça ressemble à du Pitbull
 
Dernière modification par un modérateur:
Soumiyah a dit:
Pourquoi elles dansent le twerk je comprend pas
La danse des cheveux ne fait plus recette ?
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Parce que le peu talentueux Nabil réalisateur et aussi entre autre producteur a permis que des extraits "sulfureux" et buzzable sortent pour faire parler du film car il sait au fond que c'est un vulgaire navet non à cause du fond mais de la forme suffit de voir les quelques morceaux à d'anthologie nanaresque cinematographique qu'il a bien voulu lacher pour nous en convaincre!
 
Que les choqués restent choqués ... C'est pas avec eux que le monde avancera anyway.

Willi willi willi 7chouuuuma il dit qu'au Maroc y'a des prostitués !
Willi willi willi 7chouuuuma ils disent des gros mots;
Willi willi willi 7chouuuuma il a vraiment été voir des prostituées pour le film

TOZ ! Regardez choumicha ou haniwna ;)
 
Ce film risque de faire naître de nombreux vocations chez nos jeunes marocaines.
Je vois ce film , plus comme une publicité qu'autre chose.
Comme ci l'image du Maroc n'est pas sale comme Ca
 
Ce nabil ayouch engraisse son compte en vendant notre honneur et celui de nos femmes !
un coup dure pour nos traditions et coutumes et surtout face a nos enfants qui auront cette fois accès a la vulgarité car le film est totalement en darija et dans un langage de prost..... justement
 
PureMinded a dit:
Vous êtes choqués par quoi ?

Par les propos et le vocabulaire employé ? J'entends ces mots a longueurs de journée quand je suis bled dans la rue.

Par le fait que le film affiche ouvertement que la prostitution existe en masse au Maroc ? Heuuu. A moins que vous soyez aveugles, y'en a pleins sur les boulevards des grandes villes.

C'est pas une trahison, c'est juste la vérité. Mais on a pas l'habitude de l'assumer. C'est tout.

Et c'est pas en niant les problèmes qu'on va les résoudre.
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Je n'ai pas lu toutes les pages, mais je trouve que ton commentaire plein de bon sens.
Le souci est que dès qu'on ne montre pas de belles images du maroc, la plupart s'offusquent et crient au scandale. Au fait, trouver le film violent, chocant c'est nier la réalité. Que ça fasse mal ou pas, sachez qu'il y a des arabes qui se bourrent la gueule, qui b a i s e n t, qui se prositituent, qui participent à des partouezs, etc.
Et que nul n'est obligé d'aller voir le film!

Ah, ce désir de pureté de la race!!!!
 
PureMinded a dit:
Que les choqués restent choqués ... C'est pas avec eux que le monde avancera anyway.

Willi willi willi 7chouuuuma il dit qu'au Maroc y'a des prostitués !
Willi willi willi 7chouuuuma ils disent des gros mots;
Willi willi willi 7chouuuuma il a vraiment été voir des prostituées pour le film

TOZ ! Regardez choumicha ou haniwna ;)
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on est sauvé, enfin un film qui fera avancer le monde vers le Maroc....
c'est pas 7chouma, c'est criminel.....
 
PureMinded a dit:
Vous êtes choqués par quoi ?

Par les propos et le vocabulaire employé ? J'entends ces mots a longueurs de journée quand je suis bled dans la rue.

Par le fait que le film affiche ouvertement que la prostitution existe en masse au Maroc ? Heuuu. A moins que vous soyez aveugles, y'en a pleins sur les boulevards des grandes villes.

C'est pas une trahison, c'est juste la vérité. Mais on a pas l'habitude de l'assumer. C'est tout.

Et c'est pas en niant les problèmes qu'on va les résoudre.
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tu vis où au bled? parce que c'est pas un langage que j'ai l'habitude d'entendre là ou je vais et j'y vois pas des ***** à chaque coin de rue
 
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