Vers une maladie de Spike chronique ?
Concernant les effets secondaires à long terme des injections anti-Covid, on commence à peine à soulever, prudemment, le couvercle.
Le problème, c’est que l’on a pour le moment encore peu de moyen de connaître le contenu de la boîte… ni sa profondeur.
Je m’attends, ces prochains mois (et même ces prochaines années) à assister à une multiplication d’études portant sur ces sujets.
C’est une recherche nécessaire, même si les médias conventionnels prennent bien soin de ne pas ébruiter ces études, lesquelles contredisent régulièrement la propagande que ces mêmes médias ont complaisamment relayé pendant plus d’un an de campagne vaccinale.
Or, c’est précisément l’une des « garanties » majeures concernant le produit de Pfizer/BioNTech qui a été, voilà quelques semaines, contredite par des chercheurs suédois.
L’ADN humain bel et bien modifié par Pfizer
Cette étude dont je vais vous parler est, de très loin, la plus inquiétante de toutes celles sur lesquelles je suis tombé jusqu’à présent.
Pourquoi ? Parce qu’elle confirme, expérimentalement, ce sur quoi plusieurs scientifiques comme le Pr Luc Montagnier avaient alerté, à savoir que
l’ARN de ces vaccins serait susceptible d’altérer l’ADN, par un phénomène connu sous le nom de transcriptase inverse.
Les auteurs de l’étude ont exposé, in vitro, des cellules de foie humain à BNT162b2 – qui est le nom « technique » du produit de Pfizer-BioNTech.
Et non seulement ils ont observé la retranscription, dans l’ADN de ces cellules humaines, de l’ARN de BNT162b2… mais
ce phénomène s’est produit six heures seulement après l’exposition au produit[1].
Un « possible mécanisme » expliquant cette retranscription serait, suite à l’exposition au Pfizer-BioNTech, l’élévation observée de l’activité de LINE-1, des éléments de notre ADN dont la fonction est justement de déplacer, de supprimer ou…
d’ajouter des éléments de code.
Il faut prendre cette étude avec prudence, car ses résultats demandent à être confirmés par d’autres travaux, d’autant plus qu’elle n’a été menée, je le rappelle, que sur des cellules in vitro.
Mais si ses résultats sont confirmés,
cela signifie que quelques heures seulement après l’injection du produit Pfizer/BioNTech, son ARN est retranscrit en ADN dans notre corps.
Quelles implications pour notre santé ?
Quelles que soient les conséquences à terme de cette « inscription » dans notre ADN de l’ARN de Pfizer-BioNTech, il faut d’abord convenir que
tous les discours de type « ne soyez pas inquiets, l’ARN de ces produits n’altère pas l’ADN humain » étaient faux.
Étaient-ils délibérément mensongers ?
Ou bien est-ce une fois encore la démonstration que les industriels de Pfizer-BioNTech – puis derrière eux les gouvernements – ont joué les apprentis sorciers ?
Je vous laisse vous faire votre opinion.
Cette étude, en tous cas, menée sur des cellules de foie humain, jette une nouvelle lumière sur
les cas d’hépatites auto-immunes constatées après une injection anti-Covid[2].
Ces hépatites ne seraient donc pas le fruit du hasard, mais la possible conséquence de la retranscriptase inverse du matériel génétique des vaccins à ARN messager en ADN par les cellules du foie… comme l’ont observé in vitro les chercheurs suédois.