Les Français inculpés au Tchad seront transférés à N'Djamena

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion petitbijou
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tu as de speuves ou est ce que tu te contente d'ouvrir ta bouche comme le president tchadien et son coup de pub ?

Parce que tu crois que quelqu'un qui a osé kidnapper des enfants va se soucier de leur sort !!!!!

Si tu crois que 103 noirs sont destinés à l'adoption en france ou le gouvernement fait tout son possible pour extrader les noirs et les maghrébin de cette France c’est que tu parle pour parler c’est tous …c’est le francais qui défend l’esclavagiste francais parce qu’il est francais
 
Parce que tu crois que quelqu'un qui a osé kidnapper des enfants va se soucier de leur sort !!!!!

Si tu crois que 103 noirs sont destinés à l'adoption en france ou le gouvernement fait tout son possible pour extrader les noirs et les maghrébin de cette France c’est que tu parle pour parler c’est tous …c’est le francais qui défend l’esclavagiste francais parce qu’il est francais

http://www.aljazeera.net/NR/exeres/25C01BCF-7FD6-4BA9-BB1F-BE0EABF4552B.htm
 
Parce que tu crois que quelqu'un qui a osé kidnapper des enfants va se soucier de leur sort !!!!!

bien sur que oui, cela depend de pourquoi il a effectue le kidnapping.

si comme le dit aramis c'est une derive d'une philosophie humanitaire ce kidnapping a pour but d'améliorer la condition de vie des enfant.

je pense que c'est debile, mais il ya une marge entre le kidnapping dont nous parlons et le traffic d'esclave, la pedophilie ou le meurtre.

cela ne justifie pas leur actes mais ce n'est quand meme pas la meme chose.
 
j'ai toujours dit depuis le début de la médiatisation du conflit du Darfour que ce conflit était trop surmédiatisé pour ne pas être une grosse manipulation des américains anglais et français. Il y a autre chose derrière tout cela.
Les télés françaises matraquent nos oreilles avec ce conflit prétendument opposant "des méchants arabes contre les bons africains" que suaveraient les bons blancs.
Comme si les arabophones du Soudan n'étaient pas des africains et par conséquence occuperaient indûment le Soudan.

Maintenant pourquoi tout ce battage médiatique n'a jamais eu lieu en faveur des palestiniens ni même en faveur des libanais contre les Israéliens ?
 
pour ce qui est de l'arche de zoé, le but est de se servir de la faiblesse/pauvreté de certains pays dans le monde et en Afrique en particulier pour aller faire son marché se foutant des lois d'un pays souverain, le Tchad.
Le but final étant de faire plaisir à des couples de français en mal d'enfant.

Au passage cette organisation a dû inévitablement graisser la patte à des intermédiaires tchadiens pour faire cette opération.
 
bien sur que oui, cela depend de pourquoi il a effectue le kidnapping.

si comme le dit aramis c'est une derive d'une philosophie humanitaire ce kidnapping a pour but d'améliorer la condition de vie des enfant.

je pense que c'est debile, mais il ya une marge entre le kidnapping dont nous parlons et le traffic d'esclave, la pedophilie ou le meurtre.

cela ne justifie pas leur actes mais ce n'est quand meme pas la meme chose.

le pourquoi c'est l'argent monsieur c'est le profit ....toute cette affaie est une vente d'humain ..ce n'est pas seulement debile mais c'est atroce et c'est criminelle ...et c'est 103 noir n'etait pas destiner a l'adoption d'ailleur en parle d'ebergement et pas d'adoption ...ou ces enfant etait destiner alor ?
 
pour ce qui est de l'arche de zoé, le but est de se servir de la faiblesse/pauvreté de certains pays dans le monde et en Afrique en particulier pour aller faire son marché se foutant des lois d'un pays souverain, le Tchad.
Le but final étant de faire plaisir à des couples de français en mal d'enfant.

Au passage cette organisation a dû inévitablement graisser la patte à des intermédiaires tchadiens pour faire cette opération.

l'odre de mission de cette organisation criminelle eslavagiste ne comportait pas le transfert des enfants ..mais une aide d'education et de soigne sur le terretoire tchadien ...les tchadiens ce sont fait avoir ils on agit celon les papier delivrer c'est tous y'avait aucune cooperation des tchadiens avec les esclavagiste
 
Je dis peut être...

Ces petits noirs seraient peut être plus heureux en France que d'attendre leurs majorité pour mourir en méditerranée dans des embarcations de fortune.

Il m'a fait rire ce despote de président prêcher les intérêts des petits noirs...Lui, combien a il tué ?, et combien sont morts de famine sous son règne ? Bizarre il devient humain et démocrate devant les caméras, et les juges de son pays ? qui sont entrain de juger cet équipe, que personne ne sait comment est monté cette histoire?
Sont ils vraiment des juges, je sens la torture et corruption.....

c’est ce qui mérite les dictateurs. Qu’on viennent chercher leurs sujets parce qu’ils ont le malheur d’être pauvre et sans défense. On a la preuve dans un pays qui était riche et devenu suite sa colonisation le plus pauvre du golfe.
 
je pense qu'il est plus question de forme que de fond dans cette histoire

comment cette association a entrepris c démarches???

les deux continents ont connu, connaissent et connaitront encore 'echange' des petits enfants vers l'Europe mais la façon de faire sur ce coup était à désirer

Ps : Le Congo a suspendu pour le moment toute adoption entre la France et son Pays :rolleyes:
 
Moi j'acredite les theses du reseau pedophilie, de la vente d'organe, du trafic d'enfants vendus aux parents desesperes par leur sterelite en Europe et partout dans le monde prets à debourser des millions et donc à s'endetter pour toute leur vie pour avoir un enfant, mais je suis sur qu'il y a même d'autres trafics degueulasses à faire avec ces enfants auxquels on ne pense même pas.


Les gens de l'Arche de zoe sont encore innocents je le rappel puisqu'ils n'ont pas ete juges, mais ces choses là arrivent tous les jours en Afrique. Les gens "blancs" viennent exploiter la misere de cette partie du monde....ca me degoute au plus profond de moi même, ca me donne litteralement envie de vomir.

Le pire dans tout ca c'est que quand ces gens se font attraper, leur pays ressotissants demandent à ce qu'ils soient extrades et evidemment liberes car on sait pertinnement qu'en Europe personne ne les jugera au nom de ce qu'on appel le "droit d'ingerence" pffffff. Evidemment aucun blanc ne pourrait se soumettre ou ne serait ce que etre sanctionne parce qu'il a peter le derriere à un noir.

franchement ca me repugne.


En ce qui concerne le cas des gens de l'association de l'Arche de zoe (qui sont encore innocents je le rappel avec force, car les condamner avant l'heure serait egalement etre injustice) attendons de voir quel sera leur chef d'inculpation...et de voir ce que dira la justice tchadienne.
 
C'est vers 23h30 dimanche, et après une escale à Madrid, que l'avion présidentiel ramenant du
Tchad les trois journalistes français inculpés dans l'affaire de l'Arche de Zoé s'est posé à l'aéroport militaire de Villacoublay, près de Paris. Lors de son bref arrêt en Espagne, pour déposer les quatre hôtesses de l'air espagnoles également inculpées et libérées par la justice tchadienne, l'appareil était attendu par le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, et par le ministre des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos. Aux côtés du Premier ministre espagnol, le président français a précisé devant la presse que Paris et Madrid travaillaient "depuis le début la main dans la main" pour "trouver une issue satisfaisante à cette lamentable affaire".

Mais Nicolas Sarkozy et José Luis Zapatero ont aussi, de concert, remercié le président tchadien pour son "aide et sa compréhension", ainsi que son "attitude positive" dans l'affaire de l'Arche de Zoé. Peu auparavant, au cours de son voyage express au Tchad, le chef de l'Etat français avait déjà assuré : Idriss Deby Itno peut "compter sur ma reconnaissance et mon amitié". Ce qui ne l'avait pas empêché, au cours de sa visite de deux heures, menée tambour battant, de s'inquiéter du sort des autres inculpés. Il a notamment souhaité que les ressortissants français "soient jugés en France", tout en réaffirmant sa "confiance" dans la justice tchadienne.

Des magistrats tchadiens dénoncent des "pressions politiques"

Autre point de tension évoqué : le président Deby a assuré à nouveau dimanche qu'il ne remettait pas en cause le prochain déploiement d'une force européenne, voulue par la France, dans l'est du pays limitrophe du Darfour, contrairement à l'intention qui lui en était prêtée. Quant à Nicolas Sarkozy, il a souligné que "l'équipée assez lamentable" de l'Arche de Zoé "n'a rien à voir avec le déploiement de la force européenne".

Cette libération très médiatique a cependant eu un tout autre impact au Tchad, où six bénévoles français de l'Arche de Zoé, le pilote, le copilote et un steward espagnols de l'avion qui devait transporter en France les enfants, un pilote belge et quatre responsables de l'est du Tchad, sont toujours incarcérés et doivent être entendus par le juge d'instruction. Les journalistes et hôtesses revenus dimanche soir en Europe avec Nicolas Sarkozy ayant été libérés au moment où le chef de l'Etat arrivait dans la capitale tchadienne, de nombreux magistrats tchadiens qui ont dénoncé des "pressions politiques".

Ces sept personnes restent toutefois poursuivies pour "enlèvement de mineurs", "escroquerie" ou "complicité", comme les dix Européens et quatre Tchadiens toujours incarcérés à N'Djamena. Les inculpés encourent au Tchad entre 5 et 20 ans de travaux forcés. En France, une information judiciaire visant les activités de l'Arche de Zoé a également été ouverte le 24 octobre.

D'après agence
 
Libérés peu après l'arrivée de Nicolas Sarkozy. La justice tchadienne a remis en liberté dimanche à N'Djamena les trois journalistes français et les quatre hôtesses de l'air espagnoles incarcérés dans l'affaire de "L'Arche de Zoé". Ils n'ont toutefois pas encore bénéficié d'un non-lieu partiel et restent inculpés.

Juste avant, le président français était arrivé sur place, accueilli à l'aéroport par son homologue tchadien Idriss Deby. La secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme Rama Yade est également du voyage. Selon certaines sources, le chef de l'Etat devrait ramener les journalistes en France. Il s'agit de Marc Garmirian (agence Capa), Jean-Daniel Guillou (agence Synchro X) et Marie-Agnès Peleran (télévision France 3 Méditerranée). Les hôtesses de l'air feront partie du voyage. Elles prendront un avion pour Madrid depuis Paris.

"Trouver la meilleure solution"

Dès cette libération annoncée, des magistrats tchadiens ont dénonçé des "pressions politiques". "On nous a demandé dès samedi d'accélérer la procédure pour les libérer dimanche, a affirmé l'un d'eux. Nous avons expliqué que cela n'était techniquement pas faisable, et que pour rendre cette libération éventuelle conforme à la procédure, tant sur le fond que dans la forme, nous avions besoin d'au moins jusqu'à mercredi". Et d'affirmer "les pressions politiques ont été trop fortes". De source judiciaire, on précise que les ordres sont arrivés "du sommet de l'Etat" tchadien. "Loin de moi l'idée de dire que je n'ai pas confiance en l'Etat tchadien", a rétorqué Nicolas Sarkozy lors d'un point presse avec Idriss Deby.

L'affaire dite de 'l'Arche de Zoé" a éclaté le 25 octobre avec l'arrestation de neuf Français à Abeché alors que cette association s'apprêtait à ramener en France 103 enfants que l'association affirmait vouloir sauver de la guerre dans la province soudanaise du Darfour. Au total, neuf Français, sept Espagnols, un pilote belge et quatre Tchadiens ont été inculpés pour "enlèvement d'enfants", "escroquerie" ou "complicité" dans cette affaire. Samedi, le juge d'instruction de N'Djamena a auditionné les inculpés. Les membres de l'association sont toujours incarcérés tout comme les Tchadiens, le steward espagnol et le pilote belge. "On va essayer de trouver le plus rapidement possible la meilleure solution", a expliqué le président français en précisant que la justice française et la justice tchadienne allaient discuter ensemble.

Hollande veut une mission parlementaire


Les mots de Hollande


Le Premier secrétaire du Parti socialiste s'est félicité dimanche de la libération des trois journalistes français détenus au Tchad et souhaité qu'une mission d'information parlementaire puisse faire la lumière sur l'affaire de "l'Arche de Zoé". François Hollande a également demandé que les membres de l'association soient rapatriés en France et y soient jugés "si nécessaire." Il s'est également demandé si le rôle de Nicolas Sarkozy était d'aller chercher lui-même au Tchad les journalistes et les quatre hôtesses de l'air espagnoles libérées dans l'après-midi. "Je crois que le mieux, c'est de faire le clair sur tout ce qui s'est passé et de faire en sorte que les sanctions puissent être prononcées en France", a-t-il dit.
 
Libérés peu après l'arrivée de Nicolas Sarkozy. La justice tchadienne a remis en liberté dimanche à N'Djamena les trois journalistes français et les quatre hôtesses de l'air espagnoles incarcérés dans l'affaire de "L'Arche de Zoé". Ils n'ont toutefois pas encore bénéficié d'un non-lieu partiel et restent inculpés.

Juste avant, le président français était arrivé sur place, accueilli à l'aéroport par son homologue tchadien Idriss Deby. La secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme Rama Yade est également du voyage. Selon certaines sources, le chef de l'Etat devrait ramener les journalistes en France. Il s'agit de Marc Garmirian (agence Capa), Jean-Daniel Guillou (agence Synchro X) et Marie-Agnès Peleran (télévision France 3 Méditerranée). Les hôtesses de l'air feront partie du voyage. Elles prendront un avion pour Madrid depuis Paris.

"Trouver la meilleure solution"

Dès cette libération annoncée, des magistrats tchadiens ont dénonçé des "pressions politiques". "On nous a demandé dès samedi d'accélérer la procédure pour les libérer dimanche, a affirmé l'un d'eux. Nous avons expliqué que cela n'était techniquement pas faisable, et que pour rendre cette libération éventuelle conforme à la procédure, tant sur le fond que dans la forme, nous avions besoin d'au moins jusqu'à mercredi". Et d'affirmer "les pressions politiques ont été trop fortes". De source judiciaire, on précise que les ordres sont arrivés "du sommet de l'Etat" tchadien. "Loin de moi l'idée de dire que je n'ai pas confiance en l'Etat tchadien", a rétorqué Nicolas Sarkozy lors d'un point presse avec Idriss Deby.

L'affaire dite de 'l'Arche de Zoé" a éclaté le 25 octobre avec l'arrestation de neuf Français à Abeché alors que cette association s'apprêtait à ramener en France 103 enfants que l'association affirmait vouloir sauver de la guerre dans la province soudanaise du Darfour. Au total, neuf Français, sept Espagnols, un pilote belge et quatre Tchadiens ont été inculpés pour "enlèvement d'enfants", "escroquerie" ou "complicité" dans cette affaire. Samedi, le juge d'instruction de N'Djamena a auditionné les inculpés. Les membres de l'association sont toujours incarcérés tout comme les Tchadiens, le steward espagnol et le pilote belge. "On va essayer de trouver le plus rapidement possible la meilleure solution", a expliqué le président français en précisant que la justice française et la justice tchadienne allaient discuter ensemble.

Hollande veut une mission parlementaire


Les mots de Hollande


Le Premier secrétaire du Parti socialiste s'est félicité dimanche de la libération des trois journalistes français détenus au Tchad et souhaité qu'une mission d'information parlementaire puisse faire la lumière sur l'affaire de "l'Arche de Zoé". François Hollande a également demandé que les membres de l'association soient rapatriés en France et y soient jugés "si nécessaire." Il s'est également demandé si le rôle de Nicolas Sarkozy était d'aller chercher lui-même au Tchad les journalistes et les quatre hôtesses de l'air espagnoles libérées dans l'après-midi. "Je crois que le mieux, c'est de faire le clair sur tout ce qui s'est passé et de faire en sorte que les sanctions puissent être prononcées en France", a-t-il dit.

Ce ne sont pas des journalistes ...d'ailleurs les juges en déclarer qu'ils on reçus des pressions de plus haut niveau pour les libérer..et qu'ils était forcé de le faire
 
Ce ne sont pas des journalistes ...d'ailleurs les juges en déclarer qu'ils on reçus des pressions de plus haut niveau pour les libérer..et qu'ils était forcé de le faire

toi tu es enorme, ne terme de mauvaise foi et de desinformation...

lesdocu sur l'action de gens de l'arche de Zoé ont ete filmé par ces gens, et les questions posé n'etait pas de la langue d ebois... comment l'explique tu si ce n'est pas des journalistes ?

explique nous donc ce que sont ces personnes
 
toi tu es enorme, ne terme de mauvaise foi et de desinformation...

lesdocu sur l'action de gens de l'arche de Zoé ont ete filmé par ces gens, et les questions posé n'etait pas de la langue d ebois... comment l'explique tu si ce n'est pas des journalistes ?

explique nous donc ce que sont ces personnes

ces gens en etait liberer meme avant de les questionner les jugesen declarer qu'ils on recus des pression pour les liberer ...toi tu dit que ce sont des journalistes moi non
 
ces gens en etait liberer meme avant de les questionner les jugesen declarer qu'ils on recus des pression pour les liberer ...toi tu dit que ce sont des journalistes moi non

je te le redemenade, prouve ce que tu dis, parce que pour l'instant tout tend a montrer que ce sont des journalistes reconnus appartenant à des agences, qu'ils ont effectivmeent fait un repportage sans grande concession sur les gens de l'arche de Zoé, et qu'il ne participaient pas à l'action de ceux ci...

mais si tu as des PREUVES que ce n'st pas vrai on attend tous....
 
je te le redemenade, prouve ce que tu dis, parce que pour l'instant tout tend a montrer que ce sont des journalistes reconnus appartenant à des agences, qu'ils ont effectivmeent fait un repportage sans grande concession sur les gens de l'arche de Zoé, et qu'il ne participaient pas à l'action de ceux ci...

mais si tu as des PREUVES que ce n'st pas vrai on attend tous....

ecoute monsieur

en dit que quelqu'un est libre s'il a prouver son inoccense lors de son jugement ou lor de son interrogatoire

ces vendeur d'humain en etait relacher avant ca ...a cause de pression faite par le president c'est ce que a declarer des juges tchadiens a aljazeera
 
ecoute monsieur

en dit que quelqu'un est libre s'il a prouver son inoccense lors de son jugement ou lor de son interrogatoire

ces vendeur d'humain en etait relacher avant ca ...a cause de pression faite par le president c'est ce que a declarer des juges tchadiens a aljazeera

ecoute monsieur je ne vois pas en quoi tu peut presuposer de la culpabilité de ces journalistes, toute personne est innocente jusqu'a preuve du contraire.

leur passif et leur agissements montre parfaitement qu'il n'etaient pas dans le coup et meme qu'ils n'etaient pas d'accord avec la politique de l'association (c'est visible au niveau des reportage)

visiblement la justice tchadienne n' apas trouver de charges contre eux, il est evident que l'action du president a accelerer leur libération par contre tu n'as AUCUNE PREUVE (mis a part ta paranoïa) que ces gens ai comis un quelquonque delit dans cette affaire.

tu accuse sans preuve, c'est de la diffamation gratuite.
 
ecoute monsieur je ne vois pas en quoi tu peut presuposer de la culpabilité de ces journalistes, toute personne est innocente jusqu'a preuve du contraire.

leur passif et leur agissements montre parfaitement qu'il n'etaient pas dans le coup et meme qu'ils n'etaient pas d'accord avec la politique de l'association (c'est visible au niveau des reportage)

visiblement la justice tchadienne n' apas trouver de charges contre eux, il est evident que l'action du president a accelerer leur libération par contre tu n'as AUCUNE PREUVE (mis a part ta paranoïa) que ces gens ai comis un quelquonque delit dans cette affaire.

tu accuse sans preuve, c'est de la diffamation gratuite.

lajustice tchadienne ne les a meme pas interoger monsieur ..ils on etait liberer a cause des pression c'est sarkozy qui obliger le soit disons president tchadiens a les liberer

je ne suis pas contre eux ni contre personne mais je refuse de dire qu'il sont inocent parce que la methode avec la quelle il etait liberer laisse le doute planer
 
lajustice tchadienne ne les a meme pas interoger monsieur ..ils on etait liberer a cause des pression c'est sarkozy qui obliger le soit disons president tchadiens a les liberer

je ne suis pas contre eux ni contre personne mais je refuse de dire qu'il sont inocent parce que la methode avec la quelle il etait liberer laisse le doute planer

oui surement depuis le 25 octobre on leur a pas parlé... leur reportages n'ont pas ete visionnée... c'est pour cela qu'il sont passé dans le JT en France...

tu me fais bien marré.

cela fait 10 jours que le patron du principal journaliste demande sa libération et que reporter sans frontiere s'en est mélé... tu pense bien que les tchadien se sont efforcé de verifier leur identité et leur implication en 10 jours...

mais cela te fait chié que l'on puisse dire que certains des européens sont innocents....
 
oui surement depuis le 25 octobre on leur a pas parlé... leur reportages n'ont pas ete visionnée... c'est pour cela qu'il sont passé dans le JT en France...

tu me fais bien marré.

cela fait 10 jours que le patron du principal journaliste demande sa libération et que reporter sans frontiere s'en est mélé... tu pense bien que les tchadien se sont efforcé de verifier leur identité et leur implication en 10 jours...

mais cela te fait chié que l'on puisse dire que certains des européens sont innocents....

tu ne comprend pas ou quoi !!!

justement monsieur
ces journaliste non pas etait interoger
non pas etait juger
tu les inocente sur quelle base monsieur ? il etait parmis les vendeur d'humains ..c'est la justice qui devrait les inocenter et pas sarkozy ou reporter sans je ne sait pas quoi ..ces journaliste reste des coupables
 
tu ne comprend pas ou quoi !!!

justement monsieur
ces journaliste non pas etait interoger
non pas etait juger
tu les inocente sur quelle base monsieur ? il etait parmis les vendeur d'humains ..c'est la justice qui devrait les inocenter et pas sarkozy ou reporter sans je ne sait pas quoi ..ces journaliste reste des coupables

je vais te reveler un truc enorme, tu lis ?

on peut determiner qu'une personne n'est pas inpliquer dans un crime sans alle rjusqu'au jugement... tu comprend ?

les policier peuvent determiner avec une enquete si des personnes sont suspectes ou non.
dans le doute on peut les arreté au depart (il ne savait peut etre pas que c'etait des journalistes, mais ensuite ?) mais ils ont visiblement determiner qu'il n'appartenanient pas à l'association....

comment peut tu savoir les demarches effectuée par la justice tchadienne et / ou la diplomatie française, tu affirme sans preuve

les journaliste sont couplablent d equoi exactement ? d'avoir filmer des agissement qui finissent pas etre des preuvent utiles aux tchadien... hé bé....
j'espere que tu n'es pas magistrat...
 
Jusqu'au Guilvinec, l'affaire de l'Arche de Zoé a suivi Nicolas Sarkozy après son voyage éclair au Tchad d'où il a ramené en Europe trois journalistes et quatre hôtesses de l'air arrêtés en même temps que les humanitaires. Et c'est dans le port breton, où le chef de l'Etat s'était rendu pour rencontrer les pêcheurs victimes de la hausse des carburants, qu'il a déclaré mardi : "J'irai chercher tous ceux qui restent, quoi qu'ils aient fait". Car "le rôle du chef de l'Etat est de prendre en charge tous les Français".

Pourtant, la société tchadienne se raidit après ce retour de sept détenus en Europe et les rumeurs de pressions politiques pour accélérer ces libérations irritent les magistrats tchadiens. Alors que les positions se durcissent entre Paris et N'Djamena, la question du lieu où seront jugés les membres de l'Arche de Zoé se pose donc toujours à l'identique. En France ou au Tchad ? Pour l'avocat de l'Etat tchadien, pourtant, cette question n'a pas lieu d'être, l'extradition vers la France des six humanitaires étant tout simplement "impossible" au vu de la convention judiciaire de 1976 liant les deux pays. Une analyse de texte faite dans une "mise au point" après les propos du président français : "Un des articles de la convention, l'article 49-C, indique que 'l'extradition est refusée quand une infraction est commise en tout ou en partie sur le territoire de l'Etat requis', en l'espèce le Tchad", a-t-il expliqué. "Par conséquent, nous renvoyons les autorités françaises à une bonne lecture de l'article 49".

Sarkozy et l'Arche de Zoé : "on compte sur lui"

Mais la controverse tient au moins autant du bras de fer politique que de la question de droit. Le président tchadien Idriss Deby Itno a insisté, après les propos de Nicolas Sarkozy, sur le fait que la justice se ferait "au Tchad". Jugeant "inopportune" la déclaration du chef de l'Etat français, le ministre tchadien de la Justice, Albert Pahimi Padacké, avait déjà répliqué sur France Info : "Ce n'est pas le président Sarkozy qui décidera". Quelques heures plus tôt, Le Parisien avait publié un entretien de son homologue de l'Intérieur, dont le message était clair : "Quand nos délinquants se font arrêter chez vous, ils ne sont pas amenés ici". Affirmant sa volonté que les membres de l'Arche de Zoé inculpés d'enlèvement d'enfants soit jugés au Tchad, il estimait qu'un procès en France "constituerait une insulte pour le peuple tchadien".

Ignorant ce raidissement politique, les avocats français de L'Arche de Zoé et des bénévoles détenus au Tchad ont salué mardi les propos de Nicolas Sarkozy. "C'est la moindre des choses qu'on peut attendre, qu'il aille chercher ceux qu'il a oubliés, et on compte sur lui", a déclaré Me Gilbert Collard, en partance pour le Tchad avec Me Céline Lorenzon et Me Olivier Desandre-Navarre. "Il ne faudrait pas qu'on ait l'impression que la libération des journalistes scelle définitivement l'enfermement des autres", a-t-il ajouté. Interrogé pour savoir si la déclaration de Nicolas Sarkozy ne risquait pas de braquer les autorités tchadiennes, Me Collard a affirmé que "si l'opinion publique tchadienne a l'impression que la libération des journalistes est politique, nous nous en remettons à la justice".

Mais les détenus ne sont pas tous français ; l'Espagne, dont plusieurs ressortissants sont également accusés par la justice tchadienne, s'active aussi. Le ministre espagnol des Affaires étrangères a fait savoir pour sa part que l'avocat des ressortissants de Madrid détenus à N'Djamena a demandé leur libération provisoire. Quelle chance a une telle demande d'aboutir ? "Cette requête suit son cours", a simplement commenté le ministère.

D'après agence
 
07h15 | 07/11/2007 - © Reuters

Le ton est monté mardi entre la France et le Tchad à la suite de déclarations de Nicolas Sarkozy sur le sort des membres de l'Arche de Zoé poursuivis au Tchad pour enlèvement d'enfants et escroqueries.

Lors d'une étape en Bretagne, en route pour Washington, le président français a déclaré qu'il irait chercher ces six hommes et femmes, comme il l'a fait dimanche pour trois journalistes français et quatre hôtesses de l'air espagnoles.

"J'irai chercher ceux qui restent, quoi qu'ils aient fait", a-t-il dit. "Le rôle du président est de prendre en charge tous les Français."

Une déclaration aussitôt jugée "inopportune" par le ministre tchadien de la Justice, Albert Pahimi Padacket.

"Cette déclaration n'aura aucune conséquence sur la suite du dossier devant le juge", a-t-il déclaré.

Plus tard, le président tchadien Idriss Déby a déclaré à des journalistes qu'il ne jugeait pas nécessaire l'expatriation des membres de l'ONG. "La justice se fera ici au Tchad", a-t-il dit. "Il n'est pas question pour le moment que les juridictions tchadiennes se dessaisissent du dossier. Au contraire, les juridictions tchadiennes vont aller jusqu'au fond.

Il a souligné que l'opinion publique tchadienne était "très sensible à cette question" et qu'il fallait "respecter la souveraineté" et la justice du Tchad.

"Les faits ont été commis au Tchad. C'est pourquoi ces bandits doivent être jugés et condamnés ici. Ils doivent aussi purger leur peine dans le pays", a pour sa part fait valoir le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique tchadien Ahmat Mahamat Bachir, dans un entretien publié par Le Parisien.

MISE AU POINT DE L'ELYSEE

A la suite de ces déclarations, le porte-parole de l'Elysée, David Martinon, a fait une mise au point à Washington, où il accompagne Nicolas Sarkozy.

"Le président a redit ce qu'il a dit à N'Djamena, à savoir que sa préférence allait à ce que les détenus, notamment français, soit jugés plutôt en France", a déclaré David Martinon. "Pour autant, ce qu'il a dit à N'Djamena, et c'est ce qu'il a sous-entendu aujourd'hui, c'est que, bien évidemment, tout cela dépend d'une décision des autorités judiciaires tchadiennes. Ça ne peut pas se comprendre autrement."

Prié de dire si Nicolas Sarkozy irait chercher les membres de l'ONG au Tchad si les autorités tchadiennes donnaient leur feu vert, il a répondu : "Pas nécessairement. Mais ce que nous souhaitons c'est que le dialogue qui s'est engagé entre la justice tchadienne et la justice française se prolonge dans les meilleures conditions, en application des accords bilatéraux passés, pour que la lumière puisse être faite sur cette affaire entre deux justices indépendantes."

Au total, dix Européens - les six membres français de l'Arche de Zoé, trois membres d'équipage espagnols et le pilote belge qui devait ramener en France 103 enfants africains - sont inculpés et écroués au Tchad.

Nicolas Sarkozy et la secrétaire d'Etat aux Droits de l'homme, Rama Yade, avaient déjà exprimé leur préférence pour un procès en France, ce qui est techniquement possible aux termes d'une convention bilatérale.

"Nous avons une justice compétente et un procès en France constituerait une insulte pour le peuple tchadien", réplique Ahmat Mahamat Bachir. "Quand nos délinquants se font arrêter chez vous, ils ne sont pas amenés ici. Soyons sérieux, ces inculpés doivent être jugés au Tchad."

NOUVEAUX ELEMENTS A CHARGE

La justice française, qui a ouvert fin octobre une information judiciaire pour "exercice illégal de la profession d'intermédiaire en vue de l'adoption", possède aussi des éléments à charge contre les membres de l'Arche de Zoé.

Alors qu'il est déjà établi que l'association a caché au Tchad son projet d'emmener les enfants en France, il apparaît que son président, Eric Breteau, a menti à la police française, a-t-on appris de source judiciaire à Paris.

Interrogé le 10 août par la Brigade de protection des mineurs de Paris sur son projet de ramener des orphelins du Darfour en France, il a assuré bénéficier du soutien de l'Unicef, ce qui était faux. Il a aussi invoqué l'appui d'une ONG américaine dont il a donné le nom, "Children Rescue".

Ce nom était en fait celui adopté au Tchad par les membres de l'Arche de Zoé. Par ailleurs, Eric Breteau s'est vu lors de cette audition de police adresser une mise en garde officielle contre l'exécution de son projet, mise en garde mentionnée sur le procès-verbal qu'il a signé.

L'information judiciaire a été confiée à deux juges d'instruction de Paris, qui vont centraliser les plaintes déposées partout en France par les familles qui avaient financé l'Arche de Zoé en vue de l'accueil d'un enfant.

Eric Breteau clame son innocence dans un entretien au journal Sud-Ouest publié mardi. "La seule chose que j'aie faite, c'est que j'ai voulu sauver des enfants qui sont dans la détresse. Aujourd'hui, on parle de moi comme d'un criminel, alors que je suis le seul à avoir essayé de faire quelque chose pour le Darfour", dit-il au journaliste qui l'a rencontré lundi après-midi dans sa cellule.

L'enquête menée par les organisations internationales montre que les enfants que l'association a tenté de ramener en France n'étaient pas soudanais mais tchadiens et que la grande majorité d'entre eux n'étaient pas orphelins.
 
Sarkozy a montré ses limites dans cette affaire du Tchad. Il infantilise l'Afrique et l'Afrique doit se plier à la volonté de la France pour accepter de rendre des ressortissants français coupables de faits très graves (enlèvement d'enfants).

Ne soyez plus surpris des incohérences de Sarkozy qui va emmener le bâteau France droit dans l'iceberg.
 
Quand Youssouf Fofana avait été accusé du meurtre de Ilan Halimi et qu'il s'était enfui en Côte d'Ivoire, ils ont mobilisé de grands moyens pour le faire rappatrier en France. Et pourtant, il avait été attrappé par la Justice ivoirienne. Imaginez si la Côte d'Ivoire voulait juger Fofana en Côte d'voire pour un crime qu'il a commis en France pour la simple raison que c'est la justice ivoirienne qui l'a interpellé. Alors, pourquoi vouloir juger en France des criminels qui ont commis des crimes sur le sol d'un autre pays souverain avec des victimes de ce pays-là.

Quel est vraiment le problème ? Racisme anti-africain, anti-Noir, anti-musulman.

Wa Salaam
 
ce n'est pas du racisme mais c'est la croyance absolue de toute la classe politique française que l' Afrique francophone doit tout à la France.
Mais ce sentiment de supériorité est valable aussi pour l'Espagne par exemple.(voir Sebta et Mlila, ilot Tourah, journalistes espagnols venant foutre la m**** à Laayoune).

L'Arche de Zoé ce sont des fils à Papa, papa Nicolas bien sûr.

VIVE LE TCHAD, VIVE LA JUSTICE TCHADIENNE et que la France apprenne à se plier à la justice des pays beaucoup moins forts qu'elle lorsque leurs ressortissants se comportent mal.

Je suis pour un procès juste, équilibré, sans passion mais ... au Tchad, c'est la moindre des choses.
 
Je suis pour un procès juste, équilibré, sans passion mais ... au Tchad, c'est la moindre des choses.

Le delit / crime ... qu'on leur reproche a eu lieu au Tchad. Alors c'est la justice tschadienne qui doit les juger, car c'est la seule qui est competente dans ce cas la. Je trouve que c'est arrogant de la part de la France / Sarkozy de vouloir les soustraire a la justice locale: et c'est normalement contra-productif.

Un cas pareil existe pour l'instant entre l'Allemagne et la Turquie: un jeune allemand est en prison turque et est inculpe de viol d'un anglaise mineure durant leur vacances en Turquie. Les politiciens allemands, Merkel en tete, ont fait un grand remue-menage mediatique et diplomatique pour que ce jeune homme soit restitue, mais tout ce que ca a servi: la justice turque bloque categoriquement en faisant trainer la procedure davantage, alors que c'etait/est un cas de routine tout a fait banal. L'inculpe n'y peut rien que les politiciens et les medias s'en melent et il en paye les fraits... mais je trouve que c'est excellent que la justice turque n'a pas courbe l'echine face aux pressions de politiciens arrogants a la Merkel. ;)

C'est comme ca que le Tchad devrait se comporter: il est souverain sur son territoire, et devrait le demontrer: par un proces juste et equilibre, comme tu le dis!
 
Dans un courrier de 4 pages manuscrites qui a été mis en ligne mercredi par son comité de soutien, le médecin de l'Arche de Zoé Philippe Van Winkelberg, détenu au Tchad dans le cadre des accusations d'enlèvement d'enfants, soutient que les autorités française avaient été mises au courant de l'opération, qui projetait d'emmener des centaines d'enfants tchadiens en France. Le médecin écrit : "toutes les institutions départementales, régionales, nationales, députés, et ministres étaient au courant depuis le mois de mai de l'existence de ce projet".

Il déplore que, dès le 25 octobre, le jour de l'intervention de la police tchadienne, "il fut question d'emblée d'un trafic d'enfants pour les gouvernants du Tchad, bientôt relayé par les médias et les responsables politiques français". Philippe Van Winkelberg dément "toute opération illégale d'enlèvement d'enfants tchadiens pour un sordide trafic" et justifie son engagement "pour mettre ses compétences médicales au service de la cause des enfants orphelins de la guerre civile". Il poursuit en expliquant que "des familles soigneusement choisies, avaient été contactées pour recueillir les enfants innocents afin qu'ils ne soient pas à la charge des services sociaux en France".

Samedi, un nouveau rassemblement aura lieu à Castellane à l'initiative du Comité de soutien au Dr. Philippe Van Winkelberg, détenu avec cinq autres Français depuis le 25 octobre dernier dans le cadre de l'enquête sur la tentative controversée de transport de 103 enfants en France par l'Arche de Zoé. Le 3 novembre, une première manifestation a réuni environ 500 personnes à Castellane, petite commune de 1.589 habitants située aux portes des gorges du Verdon, où exerce depuis près de vingt ans le médecin.

D'après agence
 
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