Les maghrebins célibataire qui refuse la mixité avec certaine personnes

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drapo03
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Ben si lol mon cousin marocain est marié a une turque lol et j'ai vu des femmes turques mariées à des francais,après faut pas comparé les maghrébins aux turques, les maghrébins sont à la troisièmes générations

donc on en reparlera plus tard

je me souviens enfant,aucune maghrébine avec un autre que marocains et la première ça a fait du bruit on aurait dit un tsunami lol
Non c esr pas la même mentalité ni la même culture j y vais en Allemagne et là-bas c est pareil rare de voir une turc avec un étranger rien a voir avec les génération il y a des communautés comme ça
 
Non c esr pas la même mentalité ni la même culture j y vais en Allemagne et là-bas c est pareil rare de voir une turc avec un étranger rien a voir avec les génération il y a des communautés comme ça
l'allemagne et la france, sont deux pays totalement différents même si j'en suis sûre que bon nombre de femme turc sont mariées à des allemands

on aura beau dire que la france est raciste elle reste des rares pays ou l'ont ressent le racisme
j'ai de la famille en allemagne (eh oui famille très nombreuse et aussi en hollande belgique et angleterre) une nièce au canada lol

ces pays là, ne cherche pas à les intégrés, dans le sens ou ils se mêle pas de comment ils éduquent leur enfant avec leur propre culture et traditions

la france oui, elle tape un coup de pied dans la fourmilière ça plait pour certain et ça plait pas et la traite de raciste pour d'autres

je dis pas que ça a toujours était fait délicatement même moi j'en garde de mauvais souvenirs,mais au bout du compte, on dit pas que pour changé les mentalités faut donner un bon coup sur la table? après bien sur il y a juste mesure
 
@Chemker
est-ce qu'on peut considérer que la présence algérienne en France avant la guerre est anecdotique (en termes de volumétrie) et que les vrais mouvements migratoires ont eu lieu post-guerre avec une politique de regroupement familiale associée ?
 
@Chemker
est-ce qu'on peut considérer que la présence algérienne en France avant la guerre est anecdotique (en termes de volumétrie) et que les vrais mouvements migratoires ont eu lieu post-guerre avec une politique de regroupement familiale associée ?
La présence Algérienne en France avant et pendant la guerre d'Algérie est loin d'étre anecdotique, mais le plus grand nombre d'Algériens installés en France au cours d'un certain laps de temps fut bien dû au regroupement familliale associé à l'appel de main d'oeuvre post-coloniale au même moment.

L'établissement de la diaspora d'origine Algérienne en France c'est fait considérablement tout au long de plusieurs décennies.
 
Dernière édition:
Pendant la guerre d'Algérie, il y avait déja plus de 300000 Algériens en France métropolitaine.

Avant guerre, oui il y avait des algériens, principalement des hommes, s'étant établis dans les bassins miniers et ouvriers, en couple parfois avec des françaises ou des polonaises etc...
La majorité menaient cependant une vie de zoufris.

Après guerre, c'est différent, il y a le rapatriement familial, avec son lot de questionnements de transmission d'un héritage séculaire, de valeurs, d'aspirations et d'espoirs d'un retour... Un ailleurs prometteur, aimé et honni à la fois...
 
La présence Algérienne en France avant et pendant la guerre d'Algérie est loin d'étre anecdotique, mais le plus grand nombre d'Algériens installés en France au cours d'un certain laps de temps fut bien dû au regroupement familliale associé à l'appel de main d'oeuvre post-coloniale au même moment.

L'établissement de la diaspora d'origine Algérienne en France c'est fait considérablement tout au long de plusieurs décennies.

Merci pour cette réponse !
 
Avant guerre, oui il y avait des algériens, principalement des hommes, s'étant établis dans les bassins miniers et ouvriers, en couple parfois avec des françaises ou des polonaises etc...
La majorité menaient cependant une vie de zoufris.

Après guerre, c'est différent, il y a le rapatriement familial, avec son lot de questionnements de transmission d'un héritage séculaire, de valeurs, d'aspirations et d'espoirs d'un retour... Un ailleurs prometteur, aimé et honni à la fois...
et merci pour ces précisions !
 
Les premieres vague migratoire de l'Algerie vers la France, est dû aux expropriation des terres des agriculteures Algérien
non pas vraiment, "expropriation" veut dire , quand l'état saisi un bien contre une indemnité compensatoire , hors la france, à volé la terre des algériens,les mettants dehors de chez eux directement sur le champs

bref! le début du sujet n'étant pas là,mais comme il y a eu détournement,j'ai pris la peine de m'informer sur le sujet puisque j'avais comme réponse que des "oui" ou des "nons" réponse flou !
 

L’immigration algérienne en France​

De la fin du XIXè siècle à 1962
La présence algérienne en France s’inscrit désormais sur plus d’un siècle d’une histoire singulière. Les Algériens nourrissent un flux migratoire précoce et important de coloniaux vers la métropole dès la seconde moitié du XIXe siècle. Ni Français, ni étrangers jusqu’en 1962, les Algériens sont tour à tour "indigènes", "sujets français" puis "Français musulmans d’Algérie". Cette immigration qui ne dit pas son nom connaît pourtant bel et bien les difficultés de l’exil et, fait inédit, impulse de la métropole le combat pour l’indépendance.
 

Aux origines de l’immigration algérienne​

L’émigration algérienne ne coïncide pas avec la conquête coloniale de 1830. L’Algérie devient au contraire une colonie de peuplement et une terre d’immigration attirant des centaines de milliers d’Européens (Français, Espagnols, Italiens, Maltais). La mise en place du système colonial sur ce territoire, administré en tant que départements français à partir de 1848, aggrave considérablement la situation des populations autochtones. La paupérisation - exacerbée en milieu rural, la très forte croissance démographique, la pression foncière, les spoliations, le manque de ressources entraînent un double phénomène d’exode rural et d’émigration à la fin du XIXe siècle.
Majoritairement Kabyles, des hommes dans la fleur et la force de l’âge fournissent un apport de main-d’œuvre dans les villes et les exploitations agricoles du littoral méditerranéen de la métropole, avec comme premier point d’ancrage la ville de Marseille. Ils sont employés comme journaliers agricoles, terrassiers, colporteurs ou manœuvres.
La Kabylie, région particulièrement pauvre est le principal réservoir de candidats à l’émigration. Un véritable projet migratoire est élaboré collectivement par la famille ou l’assemblée du village (djema’a). Hommes seuls en métropole mais pas célibataires, ils sont bien souvent mariés par leurs familles avant leur départ, comme une façon de s’assurer leur retour au village. Leur salaire ne leur permet que de survivre en métropole, les sommes durement épargnées devant assurer la subsistance de leurs familles. Ces hommes jeunes et actifs sont désignés pour partir pour une durée prédéterminée, le plus souvent quelques mois, d’où la fréquence des rotations entres départements métropolitains et algériens (en moyenne tous les deux ans). Une fois de retour, ils sont bien souvent relayés par d’autres jeunes hommes de leur village qui les remplacent dans leur logement et même sur leur poste de travail. Les travailleurs migrants d’Algérie composent un véritable noyau communautaire en métropole. Les hommes, sur la base de la famille élargie, du village ou de la région d’origine, se retrouvent et mettent en place un réseau de solidarité et de sociabilité facilitant l’accès à un toit, à un travail, les nouvelles du pays, le maintien de traditions culturelles ou religieuses.

La veille de la Première Guerre mondiale révèle l’implantation en métropole d’une véritable communauté algérienne. Mais du fait de leur statut spécifique, ni Français ni étrangers, le dénombrement n’est pas aisé. Lors du recensement de 1901, ils ne sont pas distingués des Français mais apparaît la mention de "travailleurs originaires d’Algérie". Ils restent bien loin derrière les migrants européens. Une enquête de 1912 comptabilise 4 à 5 000 Algériens en métropole dont un millier dans la capitale et sa périphérie. Ils ne font plus seulement partie du salariat agricole, mais appartiennent aussi au prolétariat industriel et urbain. Ils travaillent par exemple à la raffinerie Say, à la Compagnie des Omnibus et sur les chantiers du métropolitain à Paris, les usines Michelin, dans les mines du Pas-de-Calais, les industries lyonnaises, sur les docks du port de Marseille. Le patronat apprécie l’apport de cette main-d’œuvre docile et bon marché, non négligeable eu égard aux forts besoins de l’industrie, et souhaite également y recourir pour briser les grèves ouvrières.
 
voilà,la suite ici http://www.histoire-immigration.fr/...n-les-pays-d-origine/l-immigration-algerienne

très intéressant mais alors très compliqué à comprendre lol

Le 5 juillet 1962, l’indépendance est célébrée par les immigrés algériens en France à grand renfort de chants et de drapeaux. Une page se tourne, celle d’un fait historique inédit : une guerre coloniale "sans nom", diffusée en métropole où l’immigration se mobilise pour la cause de l’indépendance.


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Le jour de l’indépendance dans le bidonville de La Folie à Nanterre. Photo prise par Monique Hervo © Monique Hervo, Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, MHC


Pour autant, l’espoir du retour ne se concrétise nullement. L’Algérie indépendante voit partir, de plus en plus nombreux, les jeunes actifs vers la France. Ils contribuent à changer durablement et profondément les sociétés des deux pays.
 
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